Articles Tagués ‘défaut de paiement’

Wikileaks
© Flickr/ Jagz Mario  –  02.04.2016

Le directeur du Département Europe du FMI,Poul Mathias Thomsen, et la chef de la mission du FMI pour la Grèce 6, Delia Velkouleskou, ont pris part à une téléconférence consacrée au sort de la Grèce et au référendum britannique.

L'oligarchie financière mondiale fait main basse sur la Grèce
© REUTERS/ Pawel Kopczynski

Le site de Julian Assange, WikiLeaks, a mis en ligne samedi un extrait de la téléconférence qui avait eu lieu le 19 mars entre deux représentants du Fonds monétaire international (FMI). Le Fonds estime que le possible défaut de paiement de la Grèce pourrait coïncider avec le référendum sur la sortie du Royaume-Uni de l’UE (Brexit).On apprend de cette conversation publiée par WikiLeaks que le FMI envisage d’annoncer à l’Allemagne son intention de quitter la troïka des créanciers d’Athènes s’il n’arrive pas à s’entendre avec la Commission européenne sur la dette grecque.

« Ce serait une catastrophe », a réagi Delia Velkouleskou.

Frexit
© AFP 2016 FREDERICK FLORIN

 

Selon Poul Mathias Thomsen, le risque d’une catastrophe financière imminente serait nécessaire pour forcer les acteurs européens à « prendre une décision ». Cependant, estiment les responsables du FMI, le processus de prise de décision en Europe pourrait être paralysé par le référendum prévu pour fin juin au Royaume-Uni.D’après M.Thomsen, l’absence de décision concernant la Grèce hâtera la faillite de cette dernière, mais l’éventualité d’un Brexit empêchera les autorités européennes d’adopter cette décision.

https://fr.sputniknews.com/international/201604021023893480-wikileaks-faillite-grece-referendum-royaume-uni/

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Alexis Tsipras n’est pas le premier chef de gouvernement à réclamer de l’argent d’urgence à l’étranger, afin de repousser à plus tard des coupes budgétaires et des réformes aux antipodes de ses promesses électorales. Mais dans la zone euro, le chef de Syriza est sans doute celui qui, sur le fil, prend le plus de risques: le «défaut de paiement» -faillite d’État aussi dangereuse pour les 11 millions de Grecs que pour le reste de l’UE- pourrait en effet n’être plus qu’une affaire de jours.

lire: http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/06/14/20002-20150614ARTFIG00149-la-grece-a-quelques-jours-pour-eviter-le-defaut-de-paiement.php

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drachme

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Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie

(BFM Business, 30 mars 2015 via Institut des Libertés)

« Le vrai danger c’est que la Grèce sorte de l’euro, réinvente la drachme et qu’un an après on se rende compte que l’économie grecque va beaucoup mieux… Et à ce moment-là les gens vont se dire – les Portugais, les Italiens, etc. : « Mais qu’est-ce que je fous dans cette saloperie ? » Le vrai danger, ce n’est pas que la Grèce sorte… mais que la Grèce sorte et que ça marche ! »

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Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie

Une dette qui atteint 180% du PIB malgré deux « restructurations ». L’austérité à la hache a tué la croissance, la Grèce va de nouveau faire faillite. Cette économiste dit ce que l’on dit sur le blog depuis des années : Il aurait fallu laisser la Grèce sortir de l’euro et dévaluer. Mais l’euro est une monnaie politique, il ne faut jamais l’oublier. Qu’importe si cette monnaie est une vraie imbécillité (voire un crime) sur le plan économique ! Et puis aujourd’hui la perspective d’un retour à la réalité effraie tellement les esprits… OD

(Europe 1, 29 décembre 2014)

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Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie

Pierre Moscovici merveilles« Que vous ayez ou non de l’argent, dépensez-le. Voilà ce que conseille aujourd’hui le gouvernement ukrainien.

Cette philosophie n’est bien entendu pas différente de celle de n’importe quel autre pays, y compris des Etats-Unis.

Mais l’Ukraine est proche du défaut.

Voici un extrait de l’article Ukraine Can’t Scrimp on Military Spending as S&P Rating Cut :

Le lendemain de la réduction de la note de crédit de son pays, le président ukrainien a annoncé que le budget de l’an prochain ne devrait pas prévoir d’économies sur le domaine militaire, et devrait prendre en ligne de compte la possibilité d’une invasion.

« La guerre nous a rendus plus forts, mais elle a détruit notre économie, a déclaré Poroshenko. Il y a un domaine sur lequel nous ne pouvons nous permettre de faire des économies, et c’est celui de la sécurité nationale ».

L’Ukraine finalise son plan fiscal pour l’an prochain, alors que le…

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