Archives de la catégorie ‘FBI’

Le hasard des recherches fait parfois tomber sur de très beaux textes.  Ou des textes-clés, ceux qui « relient les points » (« connecting the dots » ) comme disent si bien les américains. 

Celui signé  et intitulé « Gun under glass », paru le 13 mars 2018 dans le magazine Oxford American (pour son numéro 100), est un de ceux-là, c’est pourquoi j’ai choisi de vous en montrer le maximum, car ce qu’il décrit est une affaire historique, qui n’a été résolue que trente ans plus tard.  Mais c’est aussi un texte qui va vous révéler un étonnant détail, qui prend aujourd’hui une toute autre dimension.  Celui du nom d’un entreprise très spéciale, qui a eu plusieurs rendez-vous importants avec l’histoire comme on va le voir…  Le titre du texte peut paraître obscur au premier chef.  Ce « fusil sous verre », c’est en effet l’arme d’un crime, désormais exposée dans un musée de la lutte pour l’émancipation des noirs.

Nota :  à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.  La série a débuté ici

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MH370 (19) : Century Arms, plusieurs rendez-vous avec l’histoire, le second et le troisième, à Paris

L’histoire de l’arme disparue, puis retrouvée trente ans plus tard pour un procès ayant marqué l’histoire du pays, nous a mené à un bien étrange firme US, importatrice d’armes des anciens pays soviétiques et dispatchées à nouveau un peu partout dans le monde grâce à l’aide d’une CIA fort intéressée par ces entreprises privées capables de lui servir de paravent.  Mais avant même d’alimenter l’Amérique du Sud ou Centrale, pour effectuer des coups tordus, la même société a été étroitement mêlée à une autre page importante de l’histoire contemporaine américaine, dans des circonstances où il devient difficile d’invoquer aujourd’hui le seul hasard… il est temps en effet de dévoiler le « jeu » derrière lequel se cache le « pion » Century Arms…. (cf Bob Dylan, voir l’épisode précédent).  Ce jeu sinistre mène aussi en effet et hélas, aussi, à… Paris.

Nota :  à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.  La série a débuté ici

Vous avez bien sûr retenu de l’épisode précédent que Empire Wholesale Sporting Goods LTD, l’entreprise canadienne des débuts de Sucher, avait elle aussi importé tout un lot de carabines « italiennes », dont la très connue Mannlicher-Carcano M91/38. Mais pas celle portant le numéro C2766, impliquée dans l’assassinat de John Kennedy en 1963 à Dallas.

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MH370 (19)

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MH370 (20): « une guerre où vous voulez » qui mène à Paris

Des brokers américains fournissant des armées entières, le roi était à l’évidence Sam Cummings (il est mort en 1998… à Monaco, fortune faite).  J’ai déjà expliqué qui il était dans ma série sur l’assassinat de Kennedy (à l’épisode 7). Il s’était lui-même raconté en 1979 dans un ouvrage, en se donnant le beau rôle bien sûr.  L’homme s’était vanté de pouvoir fournir une armée entière à partir des gigantesques stocks qu’il avait patiemment amoncelés.  C’est donc chez lui que les contras vont se fournir naturellement, en échangeant de la drogue contre des armes, ce que la CIA savait, donc, obligatoirement.  Un employé de Century Arms et de son patron « Manny » Weigensberg, cité à plusieurs reprises dans notre enquête (cf les deux épisodes précédents) avait avoué ces liens dans un entretien sidérant dont a retrouvé la trace… celui qui relie la firme canadienne aux livraisons d’armes à la CIA.  Vingt ans plus tard, on retrouvera le même circuit que celui qu’il avait décrit, avec un interception de container rempli de plus de 3000 Kalachnikovs, en Italie, cette fois… dans un fief de la ‘Ndrangheta, une transaction dans laquelle était apparu un autre intermédiaire israélien. 

Des brokers américains fournissant des armées entières, le roi était à l’évidence Sam Cummings (il est mort en 1998… à Monaco, fortune faite).  J’ai déjà expliqué qui il était dans ma série sur l’assassinat de Kennedy (à l’épisode 7). Il s’était lui-même raconté en 1979 dans un ouvrage, en se donnant le beau rôle bien sûr.  L’homme s’était vanté de pouvoir fournir une armée entière à partir des gigantesques stocks qu’il avait patiemment amoncelés.  C’est donc chez lui que les contras vont se fournir naturellement, en échangeant de la drogue contre des armes, ce que la CIA savait, donc, obligatoirement.  Un employé de Century Arms et de son patron « Manny » Weigensberg, cité à plusieurs reprises dans notre enquête (cf les deux épisodes précédents) avait avoué ces liens dans un entretien sidérant dont a retrouvé la trace… celui qui relie la firme canadienne aux livraisons d’armes à la CIA.  Vingt ans plus tard, on retrouvera le même circuit que celui qu’il avait décrit, avec un interception de container rempli de plus de 3000 Kalachnikovs, en Italie, cette fois… dans un fief de la ‘Ndrangheta, une transaction dans laquelle était apparu un autre intermédiaire israélien. 

Nota :  à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.  La série a débuté ici

Sam Cummings, alias « une guerre où vous voulez »

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MH370 (20)

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MH370 (21) : Gander, ou l’horreur manipulée

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Le 2 avril 2011, à la suite d’une longue enquête sur les vols d’avions emportant de la cocaïne, dont certains avaient aussi transporté des armes, dans la série Coke en stock (XXXIII), je m’étais intéressé à un crash passé inaperçu, historiquement.  Malgré l’horreur de ce qu’on avait entrevu, à savoir les cadavres carbonisés de 250 soldats américains, exposés dans une salle dans leur sac mortuaire.  Des images vite retirées des bandes d’actualité.  La chose militaire sait aussi s’y prendre médiatiquement pour faire taire les curieux.  Des militaires extraits des décombres d’un avion civil.  A l’époque, je ne possédais pas toutes les informations que je viens de vous décrire dans les épisodes précédents.  Ce crash en fait, lui aussi, donc, « connect the dots » et révèle que, derrière lui, c’était bien une livraison déguisée d’armes, liée aux Contras, ce que l’on avait à l’époque déjà fortement soupçonné.  La CIA était donc capable en 1985 de dissimuler les raisons de la disparition de 250 passagers, ce qui aujourd’hui résonne de façon fort inquiétante dans cette série qui tente d’élucider une autre disparition d’avion…   Il convient donc de relire ce texte prémonitoire et non retouché, rédigé il y a sept ans déjà (seules de nouvelles photos ont été ajoutées).

Nota : à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.  La série a débuté ici

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MH370 (21)

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MH-370 (22) : « ce bon vieux Jim »

Ce sont les catastrophes aériennes qui nous ont beaucoup appris, en fait, en révélant le contenu surprenant de certains avions tombés au sol.  Notamment ceux à répétition d’une entreprise américaine appelée Kalitta, dont un 747 avait failli provoquer une catastrophe majeure en 2008 à Bruxelles.  Mais aussi d’autres, dont celles dirigées par Jim et Sunny Neff, vétérans de la CIA et de Southern Air (revendue en 2007), ou de Flying Tigers et Air Cal à la tête également de Global Air et de  Nordic Global Airlines (et auparavant de Western Global Airlines).  C’est un de ces vieux MD 11 qui va nous intéresser, celui aperçu fort discret sur l’aérodrome de Rijeka, le troisième port pour le trafic en Croatie.  Nous ramenant une nouvelle fois à la fourniture balkanique des armes légères, celle que l’on redécouvre constamment sans savoir l’empêcher semble-t-il.  Ou sans vouloir vraiment l’en empêcher… aux dernières nouvelles, il traînerait toujours entre 3 et 6 millions d’armes dans la région !

Nota : à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.  La série a débuté ici

Remonter la filière d’origine des armes après un massacre est plein d’enseignements.  Les attentats de Paris nous on fait retrouver la filière de Zastava des Kalachnikov.  Les pistolets Tokarev M57 de 7,62 venus de Serbie ont aussi été importés aux USA par Century Arms International, comme leurs collègues M70 en calibre 9 mm.  Des Tokarev qui ont atterri ensuite chez Koulibaly, fournis par Claude Hermant, comme on le sait.

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MH370 (22)

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Les familles de 850 victimes et les 1 500 blessés poursuivent l’Arabie saoudite , l’accusant d’avoir apporté une aide matérielle et financière à Al-Qaïda dans les années qui ont précédé la pire attaque terroriste sur le sol américain.

Sur les 19 pirates de l’air qui ont pris le contrôle des avions pendant l’attaque, 15 venaient d’Arabie Saoudite.

La plainte accuse les responsables saoudiens d’être conscients que l’argent a été redirigé vers Al-Qaïda par des organisations caritatives du pays, afin qu’ils puissent financer leurs attaques. Cette plainte a été rendue possible par une nouvelle loi, la JASTA (Justice Against Sponsors of Terrorism Act), autorisant désormais les justiciables à poursuivre des États dans des affaires de terrorisme. Dans ce domaine, l’immunité diplomatique accordée aux gouvernements étrangers ne joue plus aux USA. Passé l’année dernière, Cette loi permet des procédures au civil et des recours collectifs contre des personnes, des entités et des pays étrangers ayant fourni un soutien matériel, direct ou indirect, à des organisations étrangères ou à des personnes engagées dans des activités terroristes contre les États-Unis.« Loi « Jasta » : vent de tempête entre Riyad et Washington »

Expliquant le raisonnement du procès, le coprésident du comité des plaignants, Jim Kreindler, a déclaré à CNN: « Le 11 septembre n’aurait pas pu se produire sans le soutien de l’Arabie Saoudite à Al-Qaïda ».

La plainte cite à la fois les rapports de la CIA et du FBI, y compris les «28 pages» d’une section de l’Enquête conjointe de 2002 sur les activités communautaires du renseignement avant et après les attentats terroristes du 11 septembre 2001, déclassifiée en 2016.

Cela suggère que les pirates de l’air ont reçu une assistance et un soutien financier de la part de personnes liées au gouvernement saoudien, impliquant des officiers du renseignement, du personnel de l’ambassade et des membres de la famille royale du pays.

Le gouvernement saoudien a nié toute implication dans les attaques et a refusé de commenter le dernier cas aux médias.

source: Reuters

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ciaL’homme qui était agent de la CIA à Durban en 1962 a précisé son rôle. Une révélation qui devrait attiser les pressions pour que l’agence ouvre enfin ses archives.

Publié le 16 mai 2016

La CIA n’a jamais officiellement admis avoir contribué à l’arrestation de Nelson Mandela, sur une route non loin de Durban, le 5 août 1962, un épisode qui a conduit le militant anti-apartheid à passer vingt-sept années de sa vie en prison. Une interview posthume de son agent à Durban, Don Rickard, révélée par le « Sunday Times », vient confirmer ce que l’on soupçonnait déjà. Rickard reconnaît avoir lui-même donné aux autorités le tuyau qui a permis l’arrestation de Mandela, qui se faisait alors passer pour le chauffeur éthiopien d’un blanc, sous le nom de « David Motsamayi ».

« J’ai découvert quand il venait [à Durban] et comment il venait… C’est à partir de là que j’ai été impliqué et que Mandela a été attrapé », a confié Rickard au metteur en scène John Irvin, dans le cadre de la préparation d’un film, « Mandela’s gun » qui revient sur la vie du militant, lorsqu’il était encore un guerillero armé.

LIRE plus:http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20160516.OBS0575/c-est-bien-la-cia-qui-a-declenche-l-arrestation-de-nelson-mandela.html

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La grille du « camp six » de Guantanamo, le 19 janvier 2012, à Cuba ( AFP/Archives / JIM WATSON )

La prison  en chiffres

AFP le 23/02/2016
Plus de quatorze ans après l’ouverture de Guantanamo, le 11 janvier 2002, la prison militaire qui a cristallisé le sentiment anti-américain post 11-Septembre et que Barack Obama cherche à fermer depuis 2009, renferme encore 91 détenus dont le transfèrement pose question.
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– Américaine depuis 1903

Le centre de détention a ouvert en janvier 2002 sur une base navale américaine de la côte sud-est de l’île du Cuba. Cette enclave de 117 km2 (dont seulement 49 km2 de terre ferme) avait été cédée par Cuba aux Etats-Unis en 1903, pour remercier son puissant voisin de son aide dans la guerre contre les Espagnols.

Les premiers prisonniers arrivent sur la base située à 1.000 km de La Havane, dans la foulée des attentats du 11-Septembre. Ces détenus sont qualifiés de « combattants ennemis » par l’administration de George W. Bush et privés de leurs droits fondamentaux.

– 91 prisonniers restants

Il reste à ce jour 91 détenus dans cette prison qui en a accueilli jusqu’à 680 en 2003. Au total, quelque 760 prisonniers sont passés par Guantanamo, dont 85% ont depuis été transférés sous conditions. L’administration Obama affirme avoir procédé à 147 transfèrements, …..

lire la suite: http://www.boursorama.com/actualites/quatorze-ans-apres-la-prison-de-guantanamo-en-chiffres-a64d453d7e571d06acbcf8b2e1904e94

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GUANTANAMO BAY GUARDS TOLD – ‘TREAT PRISONERS AS ANIMALS’

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Obama veut fermer Guantánamo avant son départ (mais les chances sont minces)

Le président américain a annoncé mardi un plan pour fermer la prison militaire de Guantánamo. Jusqu’à 60 prisonniers pourraient être relocalisés sur le territoire américain. Reste à convaincre le Congrès…
Une tour de garde à Guantanamo (PAUL J. RICHARDS / AFP FILES / AFP)Une tour de garde à Guantanamo (PAUL J. RICHARDS / AFP FILES / AFP)
 

Lire: http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/elections-americaines/20160223.OBS5180/pourquoi-obama-veut-reussir-a-fermer-guantanamo-avant-son-depart.html

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Un Citoyen

Je suis natif de ce beau et grand pays, multicolore et multiculturel qu'ont appelait autrefois la Yougoslavie. Un pays, mon pays, détruit par cet Occident dit civilisé et démocratique et jeté aux chiens de guerre occidentaux. Tout ça pour du pognon; la seule vraie valeur occidentale.

Je vis par ici, en France, depuis un peu plus de 45 ans, je suis donc un acteur et observateur. Mais le fait d'avoir vécu une partie de ma vie de l'autre côté de la barrière idéologique me permet de faire des comparaisons et une analyse plus réaliste de ce monde-ci.

Filo

Par Filo – Le 19 mai 2015

http://lesakerfrancophone.net/la-macedoine-un-pion-americain-sur-lechiquier-balkanique
2015-05-22_13h33_04La Macédoine, Македонија est l’une des six républiques de l’ex-Yougoslavie, tout au sud sur la carte ci-jointe, mais aussi la plus pauvre et la plus fragile.

Environ 2 500 000 habitants sur une superficie de 25 713 km² (un peu plus petite que la Belgique). La capitale du…

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Le Monde.fr avec AFP | 26.03.2015 à 20h58

Des policiers américains de l’Agence fédérale de contrôle des stupéfiants (Drug Enforcement Administration, DEA) recevaient des prostituées, de l’argent, des armes et d’onéreux cadeaux des cartels de la drogue lorsqu’ils étaient en enquête à l’étranger, révèle un rapport publié jeudi 26 mars.

Ce rapport de l’inspecteur général du ministère de la justice a été réalisé après la révélation que des agents du gouvernement avaient passé des soirées avec des prostituées lors d’un voyage présidentiel en Colombie, en 2012. L’enquête a porté sur les agissements entre 2009 et 2012 des policiers de quatre agences fédérales, celle contrôlant les stupéfiants (DEA), celle contrôlant l’alcool et les armes (ATF), le FBI et les US Marshals chargés de la sécurité en vol, précise un communiqué accompagnant le rapport.Un policiers américain de l'Agence fédérale de contrôle des stupéfiants (Drug Enforcement Administration, DEA).

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2015/03/26/les-cadeaux-des-cartels-de-la-drogue-aux-stups-americains_4602384_3222.html#eoE8lS8CVZFpAJER.99

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le monde à l'ENVERS

CARTES SIM TEL PORTABLE

La carte SIM de votre smartphone est sans doute compromise. Et par conséquent, vos communications aussi. C’est sans doute la plus grosse bombe, jusqu’ici, lâchée par Edward Snowden, cette fois via des documents fournis au site The Intercept. La NSA et son homologue britannique, le GCHQ, ont réussi la casse du siècle en dérobant les clés de cryptage des cartes SIM du premier fabricant mondial, le groupe franco-néerlandais Gemalto.

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le monde à l'ENVERS

Au fait ces « faux complots terroristes » ici clairement dénoncés seraient ils l’unique spécialité du FBI ou celui-ci aurait-il fait des émules tout autour de lui (chez les alliés des Etats-Unis par exemple) que ce soit à des fins politiques et/ou économiques…

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Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie

Phénomène passionnant, de plus en plus de vérités inavouables sortent en ce moment sur les manipulations et les mensonges qu’on a tenté de nous faire gober au plus haut niveau depuis des années : du 11 septembre aux guerres « contre le terrorisme » au Moyen-Orient, en passant par « l’agression russe » en Ukraine… Qui complote contre qui ? Et qui tire les ficelles ? OD

(France 2, Envoyé spécial, 12 février 2015)

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Universal Journal Review

Wall Street Journal: DEA Uses License-Plate Readers to Build Database for Federal, Local Authorities

The Justice Department has been building a national database to track in real time the movement of vehicles around the U.S., a secret domestic intelligence-gathering program that scans and stores hundreds of millions of records about motorists, according to current and former officials and government documents.

The primary goal of the license-plate tracking program, run by the Drug Enforcement Administration, is to seize cars, cash and other assets to combat drug trafficking, according to one government…

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Les autorités américaines ont pris des mesures de précaution pour assurer la sécurité de leurs installations à travers le monde avant la publication attendue mardi d’un rapport du Congrès dénonçant les méthodes d’interrogatoire pratiquées par la CIA.Ce rapport recense les activités conduites par l’agence fédérale dans le cadre d’un programme lancé par l’administration de George W. Bush après les attaques du 11 septembre 2001 contre le World Trade Centre à New York et le Pentagone à Washington.Le porte-parole de la Maison blanche, Josh Earnest, a reconnu que la publication de ce rapport présentait un risque pour la sécurité des ressortissants américains et des infrastructures des Etats-Unis.Les agences américaines du renseignement ont diffusé un bulletin secret mettant en garde contre de possibles réactions violentes à l’étranger.Les agences de renseignement ont « une obligation de mettre en garde contre l’éventualité accrue d’une réaction violente suscitée par la publication (du rapport) », a déclaré à Reuters un haut responsable.
(Jeff Mason, Roberta Hampton et Mark Hosenball; Pierre Sérisier pour le service français) ;))
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Cyber-risques - Cybercriminalité - Nouveau monde

Depuis quelques jours et jusqu’à la fin de l’année, Facebook diffuse à ses abonnés, par email et par « notification » (la petite bulle rouge, en haut à droite de votre écran), une notice avertissant de la mise à jour prochaine de ses conditions d’utilisation et de sa politique de confidentialité. Si vous ne les avez pas lues ou simplement pas comprises, pas de panique: L’Express s’en est chargé pour vous. Et, comme souvent avec les géants du net, la missive est beaucoup plus éloquente dans ce qu’elle ne dit pas plutôt que dans ce qu’elle proclame. Lire

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The New York Times révèle que plus de 40 agences gouvernementales des États-Unis réalisent des missions secrètes

, 17 novembre (RHC-Cubadebate)

The a révélé dans un article que des agents de plus de 40 agences gouvernementales des États-Unis réalisent des missions secrètes en se faisant passer pour des étudiants, des bénéficiaires d’aide sociale, des ou des médecins, entre autres.

Ce journal étasunien donne l’exemple du Département de l’Agriculture, qui compte plus de 100 agents se faisant passer pour des bénéficiaires de bons alimentaires pour détecter d’éventuelles fraudes dans les magasins. The Times explique que ces opérations sont si nombreuses, que certains agents sont amenés à des agents d’autres organismes de l’État sans le savoir.

L’article du quotidien new-yorkais explique que ces programmes, qui étaient autrefois l’apanage du , ont pris une telle ampleur qu’ils posent de sérieux problèmes en matière de libertés civiles.

http://www.radiohc.cu/fr/noticias/internacionales/39433-the-new-york-times-revele-que-plus-de-40-agences-gouvernementales-des-etats-unis-realisent-des-missions-secretes

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Coke en stock (LXXIII) : la CIA, l’héroïne … et l’Australie

Publié: 16 novembre 2014 dans 2 - WORLDWIDE, 3 - POLITIQUE, 36, 4 - REGALIENNES, AFRIQUE, AMERIQUE, Cannabis, Caraïbes, CIA, Cocaïne, Costa Rica, DCRI, DEA, DGSI, DNRED, Douane, Economie, FBI, Gendarmerie, Héroïne, Informations générales, INTERPOL, Justice, Les tartuffes, Narcotrafic, NSA, OCGRDF, OCRTIS, Pentagone, Police, Secret défense, Services de renseignement, Société, Terrorisme, TRACFIN, Transport aérien, Transport maritime, USA, Washington
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Merci à Morice pour ses articles, car les grands médias ne parlent pas suffisamment de ces affaires!

AVISEUR INTERNATIONAL

Coke en stock (LXXIII) : la CIA, l’héroïne … et l’Australie (1)
par morice
samedi 15 novembre 2014

Au départ, en juin dernier, j’avais simplement été intrigué par l’événement. La saisie à bord d’un petit bimoteur d’une cargaison de 35 kilos d’héroïne, très loin, dans l’autre hémisphère. Une enquête menée pendant près de quatre mois à fini par me convaincre que j’étais tombé par hasard sur un événement majeur. La découverte d’une implication directe de la CIA dans un processus reprenant tous les schémas utilisés voici 30 ans par cette même agence, avec les mêmes sociétés factices et des cargaisons semblables, a un endroit où elle avait déjà sévi, jadis. Après avoir longuement décrit ici les turpitudes de l’Agence en Amérique du Sud ou en Afrique (ici même), il était devenu temps en effet de se pencher sur un autre continent. C’est l’Australie, cette fois, qui nous en offre l’occasion…

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Africa and Asia: The Key Issues

The wars of Africa are fueled by narcotics. That is an exaggerated over-simplification, but what is less well known than it should be is that many of the internal conflicts of today’s Africa are driven in part, sometimes  a substantial part, by profits being made from the trafficking of hard drugs and precursor chemicals. The battles in Mali, in the Central African Republic, in the Democratic Republic of Congo, and Somalia are influenced by criminal drug syndicates allied to al-Qaeda-linked insurgents. The Boko Haram insurgency in Nigeria also has its narcotics component. “Follow the money” is an aphorism relevant for Africa as well as the Middle East.

It is clear to investigators that al-Qaeda in the Maghreb  (AQIM), the terrorist collective that operates in Mauritania, Mali, Niger, Algeria, and Libya (and perhaps in Tunisia), finances itself by trafficking drugs across the Sahara from south to north, and from capturing and…

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CIA.svgSelon les données d’archives déclassifiées rendues publiques par le New York Times, la CIA a embauché des nazis pendant la Guerre froide

MOSCOU, 28 octobre – RIA Novosti/La Voix de la Russie

Dans les décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, la CIA et d’autres services secrets américains ont employé plus de mille nazis comme complices, espions et informateurs contre l’URSS avant de leur accorder l’asile en Amérique, selon les données d’archives déclassifiées rendues publiques par le New York Times rapportées mardi 28 octobre par le quotidien Rossiïskaïa gazeta.

Ces activités étaient notamment importantes dans les années 1950 quand les forces de l’ordre, la CIA et le FBI engageaient volontiers d’anciens nazis de tout rang en tant qu’agents pour espionner l’URSS. Cela n’a pas gêné les directeurs du FBI Edgar Hoover et de la CIA Allen Dulles, qui ont recruté d’anciens serviteurs du Troisième Reich. Selon eux, la valeur de ces nouveaux agents dans la confrontation contre l’URSS compensait l' »erreur morale ». Les services américains recrutaient même des criminels de guerre.

Par exemple, on trouve dans les archives le dossier d’un ancien officier SS, Otto von Bolschwing, conseiller d’Adolf Eichmann et architecte de la « Solution finale ». Un an seulement après la guerre, l’ex-SS a trouvé un nouveau travail – la CIA l’a utilisé en Europe. En 1954, d’après une note de service, Otto von Bolschwing a été transféré avec sa famille à New York « pour ses services loyaux et l’innocence de ses activités au profit du IIIe Reich ». Les services israéliens ont retrouvé Eichmann en Argentine dans les années 1960 et, préoccupé par son sort, le « nazi loyal » a demandé la protection des USA. L’ex-agent a finalement bénéficié d’une couverture et il a vécu encore 20 ans en Amérique.

Un autre nazi, Alexandras Lileikis, a été recruté par la CIA en 1952 en dépit des preuves accablantes du fait que pendant la guerre, sous le contrôle de la Gestapo, il exécutait des Juifs à la mitrailleuse près de Vilna en Lituanie. Cet agent travaillant en Allemagne de l’Est était rémunéré 1 700 dollars par an et deux cartouches de cigarettes par mois. Quatre ans plus tard, il a été autorisé à entrer aux USA pour ses loyaux services.

« A en juger par les archives, plus de mille nazis travaillaient pour les USA mais ils pourraient être bien plus nombreux. Il est difficile de connaître leur nombre exact car certains documents sont toujours classifiés », constate le quotidien.

D’après les archives, les agents nazis remplissaient des missions diverses et variées. Un groupe d’anciens officiers de la Wehrmacht était formé à une base militaire du Maryland par des instructeurs américains à la tactique de guérilla en cas d’invasion de l’URSS. Dans le Connecticut, les CIA a formé à partir d’anciens gardes de la Wehrmacht un groupe qui tentait de découvrir le sens caché des symboles sur les timbres postaux soviétiques. En Virginie, un conseiller d’Hitler organisait des conférences à huis clos sur les relations avec l’URSS. Les ex-SS infiltraient les territoires allemands contrôlés par l’Union soviétique pour installer des câbles d’espionnage afin de surveiller les communications ferroviaires.T
SOURCE: http://french.ruvr.ru/2014_10_28/La-CIA-a-embauche-des-nazis-pendant-la-Guerre-froide-6000/

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http://lemondealenversblog.com/

Coup d’éclat. Une grande chaîne de télévision américaine a diffusé un entretien explosif à propos des attentats du 11-Septembre. Découvrez sur Panamza l’intégralité de la vidéo sous-titrée.

Imaginez une longue interview -rigoureuse dans le fond et mesurée sur la forme- au sujet d’une éminente controverse politique. Pas de petite phrase, aucune forme de raccourci expéditif, pas la moindre trace de condescendance de la part de l’interviewer. Et transposez la scène dans le paysage audiovisuel français.

Une projection difficile?

Au regard du tabou que constitue le 11-Septembre dans les médias traditionnels de l’Hexagone, il faudrait effectivement faire preuve d’une grande souplesse mentale pour envisager la reproduction locale d’une telle scène.

Celle-ci s’est réellement produite. Le vendredi 1er août, sur la chaîne américaine C-Span, un moment édifiant de télévision s’est déroulé.

Relativement équivalente au duo LCP-Public Sénat et forte d’un accès à plus de 100 millions de foyers américains, la chaîne a convié une personnalité singulière: Richard Gage, président et fondateur de l’association dénommée « Architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 11-Septembre ».

Source et suite de l’article : http://www.alterinfo.net/Le-11-Septembre-remis-en-question-devant-des-millions-de-telespectateurs_a107282.html

http://lemondealenversblog.com/2014/10/25/usa-le-11-septembre-remis-en-question-devant-des-millions-de-telespectateurs/

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Analogie complète

La débilité atteint parfois des sommets, malgré le passé sulfureux de l’Iphone! Géolocalisation, envoi de données personnelles sur les réseaux, contrôle des fonctions du téléphone interdisant la prise de photos ou de vidéos, la marque ayant même été considéré comme étant une forme d’addiction suivant une étude… Ce qui n’empêche pas son succès, c’est tellement « in », « top », « cool » et j’en passe…

Mais le pire de tout, c’est qu’il y a des con-sommateurs prêts à payer une fortune pour acquérir le dernier avant les autres, pour preuve, à New York, 5 jours avant la sortie du terminal « bigbrotheresque » des files d’attente ont commencé à se former, certains ayant même été payé 2500 dollars pour attendre et être les premiers acheteurs!!!

iphone_empreinte_digitale_Big-Brother

 

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OK, Fine.

After months of negotiations, the government of Niger has authorized the U.S. military to fly unarmed drones from the mud-walled desert city of Agadez, according to Nigerien and U.S. officials.

This will be the second U.S. surveillance hub in Niger and third in the region.

It advances a little-publicized U.S. strategy to tackle counter-terrorism threats alongside France, the former colonial power in that part of the continent.

In Niamey, Niger’s capital, U.S. and French forces set up neighboring drone hangars last year to conduct reconnaissance flights over Mali, where about 1,200 French soldiers are trying to suppress a revolt from 2012. 

It is unclear whether the Pentagon will continue to operate drones from Niamey, about 500 miles southwest of Agadez, though some officials said it was unlikely. About 120 U.S. troops are deployed there at a Nigerien military base adjacent to the international airport.

The third drone base in the…

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Photo: http://s2.lemde.fr/image/2013/09/01/534×267/3469496_3_b1a1_un-batiment-de-la-nsa-a-fort-meade-dans-le_e5072244d045791e81e6c54dc61b3fbf.jpg

Selon le site Internet The Intercept, l’agence nationale de sécurité des États-Unis (NSA) aurait créé en secret son propre moteur de recherche, baptisé Icreach.

28/8/14 – 11 H 44

Nicolas Armer/DPA/MAXPPP

Le logo de la NSA ( National Security Agency) devant un écran d’ordinateur. Selon le site internet The Intercept, la NSA aurait créé son propre outil de recherche du nom d’Icreach.

Le logo de la NSA ( National Security Agency) devant un écran d’ordinateur. Selon le site interne...

Les services secrets américains s’en serviraient pour partager des informations privées avec les autres agences gouvernementales du pays.

Grâce à des documents fournis par Edward Snowden, le site d’informations The Intercept a révélé que l’agence nationale de sécurité américaine (NSA) fournirait depuis décembre 2007 des données à une vingtaine d’agences gouvernementales du pays via un moteur de recherche semblable à celui de Google.
Des millions de personnes sous surveillance

Baptisé Icreach, celui-ci regrouperait plus de 850 milliards de fichiers sur la vie de personnes du monde entier. Parmi les agences concernées figureraient le FBI, la CIA ou encore la DEA (Drug Enforcement Administration). Avec ce système de partage, Icreach devance largement les 50 milliards de données de son prédécesseur, le projet Crisscross/Proton, lancé dans les années 1990 par la CIA.

Selon les documents de la NSA, la création d’Icreach aurait été un moment charnière dans l’histoire de la surveillance gouvernementale américaine. L’outil de recherche aurait d’ailleurs été conçu pour être le plus grand système de partage d’informations de surveillance top secret aux États-Unis. À l’origine, Icreach était censé coûter entre 2,5 et 4,5 milliards de dollars par an.

Icreach contiendrait des informations sur les communications privées de nombreux citoyens dans le monde mais aussi de millions d’Américains sans casier judiciaire. Si la NSA a reconnu qu’elle partageait ses données collectées avec le FBI, elle n’a pas précisé la méthode de partage.
Une base de données jamais vue

Selon les documents récupérés par The Intercept, le moteur de recherche est accessible pour plus d’un millier d’analystes provenant de 23 agences différentes. Les informations partagées à travers Icreach permettraient de géolocaliser les personnes, d’identifier leur réseau, d’anticiper d’éventuelles actions et potentiellement de révéler leur appartenance religieuse ou politique. Tout ceci dans le but de prévenir une menace contre les États-Unis.

Pour Jérémie Zimmerman, président de l’association la Quadrature du Net, l’existence d’Icreach « montre que les métadonnées (qui identifie les données NDLR) sont en réalité des données et qu’elles sont suffisantes pour définir les « motifs de vie » des personnes surveillées. Barack Obama avait affirmé le contraire pour rassurer les Américains. » « Il faut se préoccuper de cette invasion encore plus rapide de la vie privée », a-t-il expliqué.

Icreach serait capable de gérer entre deux à cinq milliards d’enregistrements par jour via une trentaine de sources différentes : courriel, appel et message téléphonique, fax, conversation Internet et géolocalisation mobile etc. Ces informations renseigneraient, non pas sur le contenu d’une communication, mais plutôt sur son émetteur, son destinataire et sur la date.

Un outil de recherche simple d’utilisation

Pour faciliter le travail des analystes, le moteur de recherche aurait été simplifié à l’image de celui de Google, consistant en une simple de barre de recherche. Il suffit alors, par exemple, de rentrer le numéro de téléphone d’une personne pour consulter son historique d’appels sur le dernier mois.

« Le fait que le FBI ou le DEA puissent se servir de ses informations sans être poursuivis montre que le système judiciaire américain est infecté », précise Jérémie Zimmerman. « La surveillance de masse n’est jamais justifiée car elle ne répond pas au principe de proportionnalité mais l’apparition de protection comme le réseau Tor (qui permet de circuler sur Internet de façon plus anonyme) pourrait réduire cette surveillance de masse et « forcer la NSA à augmenter ses coûts ».

Pierre-François Yves

SOURCE: http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Icreach-le-moteur-de-recherche-secret-de-la-NSA-2014-08-28-1197895

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