Les « Pupilles de la Nation » sont ceux dont les parents sont morts Ă la guerre, en combattant, les armes Ă la main. (Version officielle et originelle, de ClĂ©menceau 1917 et valable pour tous les conflits – les attentats ne relĂšvent pas d’une guerre ….)
A l’origine il n’y avait aucune distinction
Puis sous la poussĂ©e des lobbies Juifs* les partis et les politiques ont dĂ©libĂ©rĂ©ment cassĂ© l’unicitĂ© du titre.
*A la commission qui est Ă l’origine du dĂ©cret de Juillet 2000, aucun reprĂ©sentant – non juif – des anciens combattants et autres instances consultĂ©es n’ont pu y participer.
°°°°°°
« Pupilles de la Nation » dont la souffrance est reconnue et ses sous catĂ©gories
- « Pupilles de la Nation » juifs français dont les parents sont morts en dĂ©portation, pour simple fait de religion (ils n’auraient pas dĂ» avoir le titre de « Pupilles de la Nations, puisque ne rĂ©pondant nullement Ă la dĂ©finition originelle lors de la crĂ©ation du titre.) – dĂ©cret de Juillet 2000
- « Pupilles de la Nation » non juifs, français dont les parents sont morts en camp ou fusillĂ©s pour fait de rĂ©sistance (vrai titre selon la dĂ©finition originelle) – dĂ©cret de juillet 2004
- « Pupilles de la Nation » juifs amĂ©ricains dont les parents sont morts en dĂ©portation, au dĂ©part de la France (vrai titre) – DĂ©cret de 2015
- « Pupilles de la Nation, non juifs, Français » souffrance due Ă lâAbsence du parent (comme tous les prĂ©cĂ©dents), « Mort pour la France », en combattant les armes Ă la main, la barbarie nazie, au maquis . (DĂ©cision d’attribution laissĂ©e Ă la discrĂ©tion du ou des princes !.
« Pupilles de la Nation » dont la souffrance est dĂ©niĂ©e et ses sous catĂ©gories
- « Pupille de la Nation, non juif, Français » dont la souffrance due Ă lâAbsence du parent, « Mort pour la France » en combattant, les armes Ă la main, la barbarie nazie, au maquis est dĂ©niĂ©e :
-
- Au cours de la drĂŽle de guerre achevĂ©e lors dâun week-end Ă Zuydecoote
- Au maquis (FFI â FTP et autres rĂ©seaux, comme ceux du 4 (allez comprendre pourquoi cet Ă©talonnage de souffrance et de reconnaissance)
- Dans les FFL (combats en Afrique du Nord, au Liban et ailleurs dont la campagne dâItalie et les combats de la libĂ©rationâŠ.)
- Dans les malgré-nous
- Dans les bombardements de la barbarie âŠ. AmĂ©ricaine (le Havre et autres nĆuds stratĂ©giques des frappes chirurgicalesâŠ. DĂ©jĂ , en collatĂ©raux
Alors que les deux catĂ©gories ont la mĂȘme souffrance liĂ©e aux manques en tous genres.
Tout le reste reste hors sujet de la discrimination qui ne concerne que la seconde guerre mondiale. Pour les Guerre d’Indochine, Guerre d’AlgĂ©rie, OpĂ©rations extĂ©rieures, les « Pupilles de la nation » de ces guerres, mĂ©ritent le titre mais ne relĂšvent pas de la discrimination relative Ă la seconde guerre
Se sont rajoutĂ©s les « pupilles de la nation » dont un des parents est mort au cours d’attentats et qui n’auraient jamais dĂ» avoir ce titre, rĂ©servĂ© uniquement au cadres des guerres. Il aurait fallu crĂ©er un titre spĂ©cifique et non dĂ©valoriser celui qui existait depuis plus de 100 ans.
000000
Juste Ă une variante prĂšs :
Les « Pupilles de la Nation » juifs, amĂ©ricains sont de faux « Pupilles de la Nation » (selon la formule de ClĂ©menceau). Il font partie de la « shoah-business » grĂące Ă laquelle ils monnayent leur « souffrance » (souvenez-vous du dĂ©putĂ© europĂ©en, juif français, qui aprĂšs avoir eu – pour sa « famille-multitude », selon les annonces faites au SinaĂŻ et mĂȘme avant – le bĂ©nĂ©fice de 2000 et le dĂ©cret d’indemnisation a attaquĂ© la SNCF au titre du transport : il a gagnĂ© en 1Ăšre instance et a Ă©tĂ© dĂ©boutĂ© en appel). La SNCF voulant s’implanter au USA s’est heurtĂ©e aux lobbies juifs amĂ©ricains (plus puissants qu’en France) a due s’incliner (du moins le gouvernement) :
Ils ont perdu
* en dignité (encore plus)
* en parts de marchĂ©, puisque la SNCF a perdu et ratĂ© son implantation (dĂ©cret de 2015, relatif aux faux « Pupilles de la Nation » juifs amĂ©ricains)
Et les vrais « Pupilles de la Nation » laissĂ©s sur la touche, se battent depuis ce temps, seuls, sans le moindre soutien des poly-tocards, des pouvoirs (quels qu’ils soient et des mĂ©dias dont le silence assourdissant laisse la couverture au mauvais patron de la Fance)
JâaimeJâaime