Whether you’re a customs officer, police force, military, magistrate, doctor, teacher, lecturer, congressman, senator, mayor, undercover agent or just an interested citizen, “Aviseur International” welcomes all types of uncensored information and ‘classified’ documents that you may have in relation to drug trafficking, money laundering, corruption and related matters.
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THE INFORMANT
Dans ce "blog-info" de Marc Fievet AKA "NS 55 DNRED", les articles sont reblogués dans le seul but d'informer!
Le feu de poubelles, emblème de la révolte contre la réforme … Réforme des retraites: Acide, cocktails molotov, pavés… “L … À Rennes, les interventions musclées des forces de l’ordre .. Réforme des retraites : Brav-M, CRS, gendarmes, CDI … Des jeunes, de la colère (et le souvenir du CPE) : quand la . EN […]
Propos recueillis par Hervé Chambonnière EXTRAITS Les cartels latino-américains ont débarqué dans les ports européens et ont importé leurs méthodes ultraviolentes. Y a-t-il une organisation qui vous inquiète plus qu’une autre ? Elles nous inquiètent toutes : « Mocro maffia » (organisation néerlando-marocaine), ‘Ndrangheta calabraise et autres pègres italiennes, des Balkans, russes, colombiennes… Ce qui nous étonne c’est qu’on […]
L’enquête retentissante sur la corruption au Parlement européen et la lutte contre le trafic de drogues placent la Belgique sous le feu des projecteurs. Pourtant, la police fédérale manque de bras, certains bâtiments tombent en lambeaux, et les dossiers s’accumulent faute de moyens pour les traiter. Un contexte qui peut laisser penser que la Belgique […]
Le directeur général du parti Les Centristes, la formation d’Hervé Morin, est soupçonné d’avoir vendu une drogue utilisée dans le cadre du chemsex. Lire 0000
Cérémonie dite du « Ravivage de la flamme » en ce jour de Saint-Matthieu, saint patron des douaniers
Il sont venus, ils sont tous là, ou presque et cette cérémonie a ravivé mes souvenirs et a motivé cette lettre ouverte à Michel Baron, le chef du bureau de la politique du dédouanement
Mon cher administrateur des douanes
Mon cher chef du bureau de la politique du dédouanement
Mon cher menteur
Mon cher tartuffe
Relisant tes écrits, j’ai pu constater que tu étais particulièrement performant dans l’art de la rhétorique mensongère et ta nomination au poste de chef du bureau de la politique de dédouanement, tu la mérites. Tu étais déjà un virtuose du dédouanement de toutes responsabilités de ta hiérarchie et en particulier de François Auvigne en confirmant la forfaiture de tes prédécesseurs Elizabeth Melscoet, Thomas Charvet et du gredin Erwan Guilmin
Le 10 avril 2020, je t’avais écrit une lettre ouverte, que je t’ai envoyéeà nouveau le 21 décembre 2021 et ce 21 septembre 2022, mais tes nombreuses occupations ne t’ont pas permis de trouver le temps d’y répondre.
Ce 21 septembre 2022, je profite donc de la saint Matthieu et de la date de mon anniversaire pour te féliciter de cette nomination et te rappeler à tes obligations d’honneur et d’intégrité que tu sembles avoir oubliées pour satisfaire ta hiérarchie.
J’ai mis quelques photos pour te permettre de reconnaitre tes semblables !
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Michel Baron
Ô, mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, constater une fois encore tes savantes manœuvres pour dégager la responsabilité de l’administration des douanes ne m’ont permis que de faire un constat, accablant pour toi, comme pour tes prédécesseurs Elizabeth Melscoet, Thomas Charvet et le gredin Erwan Guilmin : vous êtes des menteurs institutionnels !
Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, sais tu que je ne peux accepter cette infamie savamment distillée par tes écris mensongers. Il m’est insupportable de constater qu’après avoir été encensé puis encouragé à infiltrer et infiltrer encore, tu ne souhaitais que flétrir tant de lauriers amassés. Mes actions qu’avec respect toute la hiérarchie de la DNRED admirait, mes informations précises qui tant de fois ont permis des saisies importantes, tant de fois valorisaient un service… aux actions que tu ne connais même pas ! Tu m’as trahi comme tu as trahi l’honneur de la douane tout entière en déformant sciemment l’action que j’ai menée suite aux volontés ministérielles de Michel Charasse.
Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, toi qui occupe un haut rang d’administrateur, comment peux tu l’occuper sans honneur? Tu as préféré emprunter les affabulations de tes prédécesseurs pour m’écarter de toutes réparations. Seras-tu un sprinter comme ce faquin de Gérard Schoen si tu me rencontrais ou préférerais-tu jouer les timides méprisants et dédaigneux, comme le fit Corinne Cleostrate, et t’éloigner sans me regarder ?
Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, relire encore que toutes les turpitudes subies ne seraient la résultante que d’une erreur d’appréciation de ma part sur l’engagement de la douane sur lequel j’étais persuadé pouvoir compter, me trouble. En homme d’honneur que je suis, habitué à la parole donnée, il m’était difficile d’imaginer que tant de bassesses pouvait t’habiter.
Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, je te croyais honnête et factuel, n’hésitant pas à t’informer avant de m’emballer dans des écrits totalement infondés. Non, tu n’as rien demandé, te permettant alors de tordre le cou à la vérité des faits.
Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, merci de transmettre mes meilleures civilités à ton entourage…douanier. »
Des données et des informations sensibles concernant monsieur Xavier Niel , les familles Dassier et Tillinac , le Général Antoine Creux et son fils Matthieu sont elles dans la nature ou tout simplement soigneusement enterrées ?
Ces informations sur des comptes de campagnes (politiques), et beaucoup plus encore sont dans la nature et cela ne perturbe personne?
Quand en plus, on a connaissance des circonstances de ce vol de données protégées par le secret professionnel…
Que l’on sait qu’un juge espagnol du ‘Juzgado numero 1 de Villarcayo‘ agissant sur un dossier civil était entouré de forces armées démesurées (USECIC) face à un seul homme sans antécédent judiciaire….Et surtout la date de cette action perpétrée en bafouant totalement les lois ainsi que les droits de l’homme.
Pour rappel, est-il concevable qu’un juge espagnol agissant dans le cadre d’une procédure civile soit accompagné de brigades spéciales de l’USECIC de la Guardia Civil, puisse faire disparaître une plaque de Commissaire aux Comptes apposée sur la porte d’entrée, et interdise à ce français, Commissaire aux Comptes près la cour d’appel de paris , l’accès à sa résidence principale officielle et décrète en sa présence : la maison est abandonnée, pas d’inventaire, tout ce qui est contenu dans cette habitation est déclaré comme appartenant au propriétaire du bien loué alors que nous savons que le concept de maison abandonnée s’applique quand l’occupant est décédé et qu’il n’a ni famille ni proche…. et que les expulsions forcées sont précisément définies dans les textes comme une violation de plusieurs droits de l’homme.
Ces faits se sont déroulés le 21 avril 2017 après-midi, le vendredi précédent le premier tour des élections présidentielles, date limite après laquelle on ne peut plus rien divulguer qui pourrait influencer le vote.
Le consulat de France à Madrid fut alerté de ce “pillage orchestr锑par les autorités judiciaires espagnoles, et ce pendant le déroulement des faits.
Le consulat de France aurait dû, ne serait-ce que par principe de prudence, mettre en œuvre des diligences pour “mettre en suspens” cette action…mais le consulat ne parut nullement étonné et a répondu :
“Pas de mort? Pas de blessés? Donc ce n’est pas une urgence!!
(Un enregistrement de l’appel téléphonique existe !)
Et depuis ce 21 avril 2017, les ennuis, vexations et autres méfaits que seules les autorités sont capables de diligenter en toute impunité continuent sans relâche sur le commissaire aux comptes Jérôme Margulis !
Est-on encore en droit d’interpeller des autorités dédiées habituellement au respect des textes de lois, des décrets et autres jurisprudences établies ?
Une arrestation d’un membre de l’ETA a eu lieu à Hernani au pays basque, annonce Madrid mardi. Le ministère de l’Intérieur indique que la police s’est appuyée pour ce faire sur les archives judiciaires remises par la France.
L’Espagne a annoncé mardi la première arrestation d’un membre de l’ETA effectuée grâce aux archives judiciaires remises cette année par la France à Madrid.
« C’est la première personne arrêtée depuis la remise des documents », a confirmé une source proche de l’enquête, cinq mois après la dissolution de l’organisation séparatiste basque armée ETA.
En prison, il communiquait avec ETA
Selon cette source, il s’agit de José Carlos Apeztegia Jaca, sorti de prison en 2013, après avoir été condamné à une peine de 20 ans d’emprisonnement notamment pour tentative d’assassinat et extorsion.
Arrêté à Hernani au pays basque, dans le nord de l’Espagne, il est cette fois soupçonné d’avoir remis à ETA en 2002 – alors qu’il était en prison – « des informations sur des objectifs potentiels » d’attentat, a indiqué le ministère de l’Intérieur dans un communiqué.
L’un des documents envoyés par Apeztegia Jaca à travers « un canal de communication stable et sûr » avec la direction d’ETA ainsi que « d’autres données […] se trouvaient au sein de la documentation qui a été récemment remise par la France aux autorités espagnoles », ajoute le ministère.
Des documents saisis à Saintes
Ces documents avaient été saisis en 2003 au cours d’une opération policière à Saintes, en Charente-Maritime, lors de laquelle plusieurs etarras avaient été arrêtés.
La France a remis depuis février à l’Espagne ses archives judiciaires sur l’ETA dans l’espoir qu’elles puissent aider à résoudre les plus de 350 crimes non résolus attribués à l’organisation, durant des décennies de lutte pour l’indépendance du Pays basque.
Une cérémonie officielle de remise de ces archives a été organisée le 1er octobre à Madrid en présence des chefs de gouvernement français et espagnol Édouard Philippe et Pedro Sanchez.
« Souffrance et douleur sont le seul bilan d’ETA »
Pour le journaliste Gorka Landaburu, qui fut l’une des victimes de l’organisation terroriste basque, la dissolution de l’ETA vendredi n’est qu’une étape, la société reste dans l’attente d’un repentir.
Qu’attend aujourd’hui la société basque et espagnole d’ETA ?
Une autocritique sincère. Ce sera difficile, car ce serait renier son passé. Mais c’est nécessaire, non seulement de la part d’ETA, mais aussi de la gauche abertzale (patriote) de l’indépendantisme radical. Le soutien politique du parti Herri Batasuna a été fondamental : sans lui, ETA aurait disparu depuis longtemps. Il est important de reconnaître…
Dans une lettre datée du 16 avril dévoilée par le journal El Diario le mercredi 2 mai, le groupe séparatiste basque dit avoir « totalement dissous toutes ses structures » et « considère son intiative politique terminée ».
Le 20 avril, l’organisation indépendantiste avait demandé pardonpour le « mal » qu’elle avait causé dans sa lutte armée pour l’indépendance du Pays basque.
La solide victoire du camp indépendantiste aux législatives de ce jeudi, et la débâcle du parti de Mariano Rajoy en Catalogne, ont peut-être contribué à débloquer ce qui ressemblait à un insurmontable verrou. Au lendemain d’un scrutin marqué par un civisme exemplaire et par une participation historique de 81,94 %, la corrélation des forces penche désormais en faveur des sécessionnistes. Même si on assiste à la percée spectaculaire de la jeune formation libérale et centriste Ciudadanos (37 sièges et 25 % des suffrages), seuls les leaders indépendantistes d’Esquerra (Erc) et de Junts pel Catalunya (JpC) seraient en mesure de dégager une majorité – si, une nouvelle fois, ils scellent une alliance avec les anticapitalistes de la Cup.
VIDÉOS. Vainqueur des élections, Puigdemont est poursuivi par la justice. C’est pourtant avec lui que Rajoy devra discuter. Connaissez-vous le casse-tête espagnol ?
Londres acusa a Madrid de ‘violar la ley’ al entrar en aguas de Gibraltar y Exteriores dice que son españolas
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Un barco y un helicóptero trataban de dar caza a una embarcación de contrabandistas
Gibraltar acusa a Madrid de facilitar la huida de un ‘narco’ por no cooperar
Un grupo de pescadores frente al peñón de Gibraltar.EL MUNDO
El Ministro Principal de Gibraltar, Fabian Picardo, ha acusado este domingo al Servicio de Vigilancia Aduanera (SVA) de España de facilitar la huida de un narcotraficante por no pedir ayuda a las autoridades gibraltareñas durante una persecución efectuada este domingo que Reino Unido ha calificado de « violación de la soberanía británica », algo que las autoridades españolas han negado categóricamente tras recordar que las aguas de Gibraltar son de su titularidad.
« Sus acciones (del SVA) han dado como resultado, en última instancia, la fuga de un delincuente que los ciudadanos de ambos lados de la frontera quisieran haber visto detenido y encarcelado por tráfico de drogas », ha hecho saber Picardo en un comunicado emitido durante el último episodio de tensión entre España y Reino Unido.
« Si el SVA había estado haciendo un buen trabajo (…) lo debería haber culminado alertando a las excelentes fuerzas de seguridad gibraltareñas para que se hicieran cargo de la persecución », ha añadido.
« El conjunto de Gibraltar esperará que este asunto será adecuada y eficazmente perseguido por el Gobierno del Reino Unido. Entablaré contacto directo con los ministros del Reino Unido a este respecto para considerar qué acción se debe tomar ahora », concluyó Picardo.
La persecución, según fuentes de la Policía Real de Gibraltar, tuvo lugar en torno a las 02.40h de este domingo cuando un barco y un helicóptero del SVA comenzaron a dar caza a una embarcación presuntos contrabandistas de drogas que habían arrojados varios fardos de drogas a través del Estrecho, según informó a posteriori el SVA a la Policía gibraltareña, siempre de acuerdo con el comunicado oficial de las fuerzas de seguridad británicas.
España rechaza las quejas
España, por contra, ha rechazado siquiera calificar como « incidente » la acusación vertida este domingo por Reino Unido ya que España reconoce esas aguas territoriales como de su titularidad por lo que no se ha cometido violación alguna.
« No hay incidente. España reconoce esas aguas como españolas », han asegurado en respuesta fuentes de Exteriores a Europa Press. « Los barcos », ratificaron, « realizan tareas de control rutinario contra actividades ilegales en el cumplimiento de la ley ».
Par Mark Bray (Black Rose Anarchist Federation.), pour Roar Magazine, 22 mai 2015
Titre original : Beyond the ballot box: Apoyo Mutuo in Spain
Puerta Del Sol, Madrid
Déçu de voir les places se vider et par la voie électorale de Podemos, un nouveau mouvement social a vu le jour à la recherche du renouveau de la démocratie directe, horizontale et populaire.
Il y a quatre ans, le mouvement du 15 mai des Indignés, naissait sur la Puerta del Sol à Madrid. Le mouvement qui unifiait une large variété de courants politiques gagna ses lettres de noblesse grace à sa critique des mesures d’austérité menées par les partis au pouvoir (le PP et PSOE) et à son désir d’une réelle démocratie maintenant (¡Democracia real ya!) qui se concrétisa par des assemblées démocratiques et le rejet de toute forme de hiérarchie.
MOSCOW (Sputnik) — Infanta Cristina is suspected of involvement in fraudulent activities carried out by her husband Inaki Urdangain, who was accused of embezzling $7.3 million in public funds from the non-profit Noos Institute through a company owned by the royal couple.
Infanta Cristina tried to avoid charges by paying more than $700,000 in a public liability bond, as she indirectly benefited from her husband’s wrongdoing.
On December 22, 2014, it was announced that the Spanish duchess was to be tried on two tax offense charges.
The same month, Spain’s Socialist Workers’ Party (PSOE) called on the king to strip Infanta Cristina of her dynastic rights over her involvement in public funds embezzlement.
C’est une fin de non-recevoir sans appel que l’Espagne a opposée à la Commission européenne sur la question délicate de la répartition des migrants entre les États membres. « Je ne suis pas d’accord avec les critères qu’ils utilisent. Nous devons revenir sur ce sujet pour déterminer les capacités de chaque pays », a affirmé le ministre espagnol des Affaires étrangères, Jose Manuel García-Margallo. La proposition de l’exécutif devrait être « proportionnée, juste et réaliste », a-t-il déclaré.
Le projet de la Commission demande aux 28 États membres d’accepter des demandeurs d’asile en fonction de leur taille, de leur économie, de leur taux de chômage et de leur population.
Le système proposé s’appuie sur un indice de distribution qui donne à l’Espagne un indice de 40 % pour sa population, 40 % pour sa croissance économique, 10 % pour son taux de chômage et 10 % pour ses précédents engagements…
25 mai 2015 à 07:27 (Mis à jour : 25 mai 2015 à 09:58)
Les partisans de Ada Colau à Barcelone le 24 mai 2015 (Photo Quique Garcia.AFP)
Les élections municipales et régionales dimanche en Espagne ont été marquées par la très forte poussée des listes Podemos et un net recul du Parti populaire au pouvoir.
«L’effet Cameron» n’a pas fonctionné en Espagne. Si, au Royaume-Uni, la bonne conjoncture économique a récemment permis au parti au pouvoir de se maintenir, le chef du gouvernement Mariano Rajoy, qui avait tout misé sur la «lente récupération» et de «bons indicateurs» (croissance à 2,8%, baisse sensible du chômage…), n’a pas récolté les marrons du feu. Certes, le Parti populaire, au pouvoir depuis 2011, est en tête du scrutin, mais il avec 10 points et 2,5 millions de voix en moins par rapport aux dernières élections. Il perd la majorité absolue dans toutes les régions et…
Un groupe de policiers a frappé des activistes basques à l’aide de matraques pour disperser des protestataires après qu’ils ont essayé d’occuper la place centrale de la ville de Vitoria-Gasteiz, exigeant la libération des activistes politiques actuellement incarcérés.
La police anti-émeutes a utilisé la force contre les protestataires, qui ont érigé «un mur vivant» au mépris des arrestations. Près de 11 manifestants ont été arrêtés pendant l’expulsion.
Quatre activistes politiques Xabat Moran, Bergoi Mardenaz, Marina Sagastizabal et Ainhoa Villaverde ont été condamnés à six ans de prison pour appartenir à Segi, l’organisation basque pro-indépendante et révolutionnaire. Quatre autres, Ibon Navarro, Esteban Gasteiz, Aiala Zaldibar et Igarki Robles ont aussi reçu la même sentence, mais n’ont pas encore été arrêtés.
Une nouvelle opération anti-jihadiste a été menée hier près de Barcelone. Selon le ministère de l’Intérieur, les deux hommes interpellés “étaient responsables d’une cellule basée en Espagne et destinée à la propagande de Daesh”.
A la Une de « l’heure du crime » de Jacques Pradel, les révélations d’un journaliste d’investigation sur un des plus grands secrets de la République…
Comme le secret est en train d’être éventé, on peut dire aussi qu’il s’agit d’un des grands tabous de la cinquième République : l’existence d’un groupe ultra secret de tueurs professionnels qui exerceraient, au nom de la France une sorte de droit de représailles de l’Etat, face à ses ennemis, par exemple les terroristes qui menacent depuis de longues années nos institutions…La décision de créer ce groupe au sein du service action de la DGSE aurait été prise après l’affaire du Rainbow Warrior, au milieu des années 80. Les Présidents de la République qui ont succédé à François Mitterrand ont toujours nié officiellement l’existence de ce groupe, baptisé « Alpha » dont certains membres ont accepté de parler à mon invité, Vincent Nouzille qui publie son enquête dans un livre qui vient de paraître aux éditions Fayard.
Avec lui, nous allons revenir sur cette guerre de l’ombre dont les échecs ou les victoires ne sont jamais officiellement revendiqués..
Vincent Nouzille a passé trois ans à recueillir les témoignages d’anciens ou d’actuels membres des services de renseignements français. Il en sort un ouvrage époustouflant, où la réalité semble parfois dépasser la fiction.
C’est en 2002 qu’un événement lui met la puce à l’oreille : deux agents de la DGSE sont arrêtés en Espagne, alors qu’ils transportaient des faux passeports et un vrai arsenal de guerre… Ces agents, bien plus secrets que des agents secrets, faisaient partie de la « Cellule alpha »… Une appellation que le journaliste a tenté de comprendre, et de mettre à jour. Une cellule constituée d’une dizaine d’électrons libres, capables de mener des doubles vies sans éveiller l’attention, et de tuer sans poser de questions. Ce dispositif, créé sous Mitterrand, a été utilisé par tous les présidents depuis.
A commencer par François Hollande…
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En 2002, la France faisait libérer des espions arrêtés en Catalogne. Ils n’ont jamais comparu.
«Disparition de l’Officier traitant et de son agent.» Durant quelques heures, en avril 2002, le général Philippe Rondot a bien cru avoir perdu toute trace de deux agents de la DGSE en Espagne. C’était très ennuyeux parce qu’ils étaient partis pour un «exercice Alpha», et dans les notes de Rondot, le code «Alpha» désignait les équipes préparées aux opérations «Homo» (lire ci-contre), c’est-à-dire aux assassinats ciblés. Mystérieux exercice. Les agents «disparus» étaient en réalité sous les verrous. Et le général s’est chargé de régler l’épineux dossier jusqu’à leur libération six mois plus tard.
En prenant, comme toujours, des notes.
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En Espagne, c’est une nouvelle «affaire Rondot». La révélation par Libération, samedi, des notes du général Philippe Rondot sur sa mission secrète auprès de deux agents de la DGSE incarcérés à Barcelone en 2002 a réveillé un dossier judiciaire abandonné par les autorités.
Les deux hommes avaient été interpellés, lourdement armés, en avril 2002, dans une ville voisine de Barcelone. Ils sont restés écroués durant six mois jusqu’à ce que le général Rondot vienne, lui-même, se porter garant. Sortis de prison, ils ont totalement disparu, sans comparaître à leur procès.
Le Periódico de Catalunya a révélé, hier, photos à l’appui, l’identité des deux agents qui figureraient toujours sur le fichier des personnes recherchées par Interpol. Christian Piazzole et Richard Pérez sont vraisemblablement des «alias» inscrits sur de «vrais faux» passeports.*
Selon les notes de Philippe Rondot, ces agents se livraient à un «exercice Alpha», «Alpha» étant le nom de code des équipes préparées aux homicides, au sein du service action de la DGSE. Conseiller du ministre de la Défense au moment des faits, Alain Richard, puis de Michèle Alliot-Marie lorsqu’il se rend à Barcelone, le général relève, peu avant le procès des agents en 2004, que la justice espagnole ne croit pas à la version française : «Les armes étaient réelles, et l’agent ne savait pas que c’était un exercice», note Rondot. Les armes saisies sont, selon la presse espagnole qui en publie les photos, de type «Chacal» ou «sicario». C’est un équipement de tueur à gage : une arme de guerre démontable avec viseur télescopique, plusieurs pistolets, des silencieux, et un dispositif GPS…
A Barcelone, le général Rondot a été introduit auprès du procureur général par le responsable de l’unité antiterroriste de la Guardia Civil. Mais la presse catalane évoquait, hier, l’intervention de l’ex-ministre de l’Intérieur espagnol Mariano Rajoy, actuel président du Parti populaire (PP). Des «pressions» confirmées par l’ancien conseiller à l’Intérieur du gouvernement catalan Xavier Pomés. En France, c’est Michèle Alliot-Marie, l’actuelle garde des Sceaux, qui, selon les notes de Rondot, était à la manœuvre pour sortir les agents en leur évitant de s’expliquer devant la justice.
Alain Richard et l’ancien Premier ministre Lionel Jospin ont démenti avoir «envisagé ou encouragé» des projets «d’assassinats ciblés» après le 11 septembre 2001, comme l’avait noté Rondot.
El general Rondot, un superespía francés, organizó la desaparición de dos de sus agentes, detenidos con armas de guerra en Manresa, para evitar su captura y juicio en España
Los Mossos d’Esquadra detuvieron en abril de 2002 en Barcelona a un marsellés con un rifle de mira telescópica y una pistola. Unas horas después arrestaron a otro hombre relacionado con él. Ambos trabajaban para los servicios de espionaje franceses. Su jefe era el general Philippe Rondot, famoso por haber capturado en 1994 al terrorista Chacal. Rondot y el Gobierno engañaron a la Fiscalía para lograr la liberación de los agentes, a la vez que un general francés aprovechó el desfile de las Fuerzas Armadas del 12 de octubre de 2002 en Madrid para conversar con miembros del Ejecutivo español e interceder por los detenidos. Seis días después, y fruto de esas presiones, ambos fueron excarcelados y jamás acudieron al juicio.
17:35 30.03.2015(actualizada a las 20:08 30.03.2015)
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Las autoridades españolas congelaron las cuentas bancarias de cientos de rusos residentes en España que no informaron sobre el origen de los capitales, comunicó el medio Deutsche Welle citando al abogado Gregorio Fuentes.
Au nord du Maroc, l’enclave espagnole, Sebta, est le dernier carrefour migratoire entre l’Afrique et l’Europe. Installé depuis plusieurs mois à Casablanca, notre reporter Jean-Yves nous livre son regard sur cette ville étrange…
Tout commence par une discussion dans la voiture de mon pote Zakaria qui nous emmène à Sebta. Sebta (Ceuta en espagnol), est une des deux enclaves ibériques au Nord du Maroc. C’est là que des milliers d’automobilistes amènent leur véhicule étranger pour pouvoir circuler six mois par an sur le territoire marocain. Comme mon pote Zakaria. Notre discussion commence sur la beauté des paysages qu’on voit défiler depuis qu’on a quitté Casablanca. Différentes teintes de vert, du plus foncé au plus clair. Des palmiers par ci, des arbustes par là. Des parcelles agricoles à perte de vue. Un bois là-bas, au fond. Ça fait vraiment du bien de sortir de la grosse ville, de souffler un peu, de voir du pays.
Le ministère de l’Intérieur espagnol a annoncé ce matin que la police a arrêté deux personnes dans l’enclave espagnole de Ceuta, soupçonnées de faire partie d’une cellule djihadiste et de préparer des attentats visant l’Espagne.
A la suite de ces mises en détention, deux maisons sont en train d’être examinées par la police espagnole.
Selon une déclaration du ministère, les suspects font partie de la même cellule terroriste que ceux arrêtes le 24 janvier dernier. Quatre hommes – deux groupes de deux frères – avaient alors été interpellés : l’un d’eux avait mis en ligne une vidéo de lui prodiguant une formation militaire et lançant un appel au djihad. D’après le ministre espagnol de l’Intérieur Jorge Fernandez Diaz, les suspects étaient «fortement radicalisés, très entrainés» et présentaient de «nombreux parallèles» avec les frères Kouachi, auteurs de la tuerie du 7 janvier au siège de Charlie Hebdo à Paris.
Die Europäische Union erwägt den Aufbau einer eigenen Armee. Während deutsche Politiker die Idee begrüßten, sprach sich der britische Premier David Cameron dagegen aus, wie die russische Zeitung « Nowyje Iswestija » am Dienstag schreibt.
Der EU-Kommissionspräsident Jean-Claude Juncker sagte in einem Interview mit „Die Welt“ (Welt am Sonntag): „Eine europäische Armee hat man nicht, um sie sofort einzusetzen. Aber eine gemeinsame Armee der Europäer würde Russland den klaren Eindruck vermitteln, dass wir es ernst meinen mit der Verteidigung der europäischen Werte.“
El ministro de Asuntos Exteriores y de Cooperación español, José Manuel García-Margallo, llega este domingo a Moscú.
Durante su visita de trabajo, que se prolongará hasta el 10 de marzo, Margallo sostendrá conversaciones con su homólogo ruso, Serguéi Lavrov, el ministro de Energía Alexandr Nóvak, quien es copresidente de la Comisión Intergubernamental de Cooperación Económica e Industrial Ruso-Española, así como con empresarios españoles que operan en Rusia y representantes del exilio histórico español, los llamados niños de la guerra que abandonaron España durante la contienda civil de 1936 a 1939.
Ucrania, uno de los temas clave
Uno de los temas que Margallo debatirá en Moscú será la situación en Ucrania. La parte española ha destacado en repetidas ocasiones la necesidad de buscar una solución pacífica al conflicto e implementar los acuerdos de Minsk. En los últimos meses ha señalado también que es inoportuno enviar armas y medios de protección a Ucrania.
Durante su reciente estancia en Riga, el jefe de la diplomacia española insistió en « dar una oportunidad a la paz y al diálogo, porque la única solución en Ucrania es una solución política » y « en ningún caso es una solución militar ».
Cette semaine, à Melilla, enclave espagnole en Afrique du Nord, 800 immigrés clandestins ont pris d’assaut le mur d’enceinte. Fort heureusement l’assaut a pu être repoussé et les clandestins n’ont pas pu passer la frontière.
Une centaine de migrants d’afrique subsaharienne ont tenté de passer la frontière grillagée séparant le Maroc de l’enclave espagnole de Melilla ce jeudi.
35 migrants ont finalement réussi à atteindre le territoire espagnol. Ils ont eté emmenés au centre temporaire de rétention des migrants, escortés par la police espagnole.
Une quinzaine de migrants qui avait réussi à grimper sur la barrière, a du redescendre après avoir résisté pendant plus de 5 heures. Les forces marocaines les ont pris en charge en milieu de matinée.
Ce nouvel assaut intervient alors que les autorités marocaines ont mené le 10 février une vaste opération de démantèlement des campements de fortune du massif du Gourougou dans la région de Nador où étaient installés des milliers de migrants à proximité de Melilla, seule frontière terrestre entre l’Afrique et l’Europe avec l’autre enclave espagnole au Maroc, Ceuta.
Ce jour-là, une quarantaine de personnes étaient entrées en…
Dans un récent palmarès des destinations les plus attractives pour les retraités, l’Espagne se retrouve sans surprise dans le peloton de tête. Qualité des soins médicaux, loisirs, gastronomie, infrastructures et évidemment accessibilité y sont pour beaucoup. Analyse.
Passer ces beaux jours à l’étranger est un rêve pour beaucoup. Que ce soit pour le climat, le niveau de vie, le prix de l’immobilier ou encore les soins médicaux, nombreuses sont les raisons d’aller vivre sa retraite dans un autre pays que la France. Le quotidien Le Monde rapportait en juin dernier qu’il y aurait environ 1,2 million de retraités français résidant à l’étranger. À l’heure où le site Retraite-étranger, référence en la matière, publie son palmarès annuel des destinations les plus attractives, retour sur la place qu’occupe l’Espagne dans cette quête d’eldorado pour seniors, avec ses avantages et ses inconvénients.
Crash du F-16 grec : une femme pilote parmi les victimes
Les neuf pilotes et mécaniciens tués lors de l’accident du F-16. Photo Ministère de la Défense
19h10 : Le sergent-chef Gilles Meyer, 27 ans, originaire de Colmar (Haut-Rhin), était technicien de maintenance avionique, et avait été déployé notamment en Afghanistan et en Libye. Le sergent Nicolas Ghez, 25 ans, né à Arcachon (Gironde), était armurier opérationnel sur Mirage 2000. Le sergent Régis Lefeuvre, 25 ans, originaire de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne), était mécanicien spécialisé dans les systèmes et matériels électroniques de bord.
19h08 : L’adjudant Thierry Galoux avait 41 ans. Il faisait partie de l’armée de l’air depuis 1994. À l’âge de 21 ans, il avait commencé sa carrière à Nîmes pour obtenir son certificat d’aptitude militaire. En mai 1995, il intègre les bancs de l’école de la base aérienne 721 de Rochefort pour suivre sa formation spécialisée de sous-officier mécanicien. Il intègre d’abord le groupe d’entretien et de réparation des matériels spécialisés puis l’escadron de soutien technique aéronautique, en charge notamment de la maintenance des Transall. Il avait notamment été déployé en Côte d’Ivoire. Chef d’équipe maintenance avionique depuis le 1er septembre 2014, ce sous-officier de carrière était marié et avait deux enfants.
19h05 : Responsable maintenance vecteur et moteur, l’adjudant François Combourieu avait intégré l’armée de l’air le 29 septembre 1997. Ses formations militaires et spécialisées en poche, il est affecté sur la base aérienne 133 de Nancy-Ochey le 2 novembre 1999. Il intègre tout d’abord le service piste de l’escadron de
chasse 3/3 « Ardennes », avec lequel il est amené à être déployé en opérations extérieures, et en particulier en Afghanistan, au Tadjikistan et au Kirghizistan.
En 2010, il rejoint le tout nouvel escadron de soutien technique aéronautique. Né le 28 octobre 1977, l’adjudant Combourieu était marié et père de deux enfants.
19 heures : Le lieutenant Arnaud Poignant avait 26 ans. Il avait intègré l’armée de l’air le 26 août 2012. Il avait été promu aspirant en août 2012 et sous-lieutenant en août 2013. Officier mécanicien, il rejoint les Mirage 2000D de la BA de Nancy-Ochey en septembre 2013. Le lieutenant Poignant avait une compagne et n’avait pas enfant.
18h55 : Le capitaine Gildas Tison avait 35 ans. Il aura servi la France 17 ans et neuf mois. À 18 ans, il intègre l’armée de l’air. Il rejoint ensuite l’escadron de transition opérationnelle de la base aérienne (BA) 120 de Cazaux, puis l’escadron de chasse 2/2 « Côte d’or » de la BA 102 de Dijon sur Mirage 2000-5.
En 2003, il devient instructeur sur Alphajet à l’école de l’aviation de chasse de la BA 705 de Tours. Il est promu lieutenant en 2004 et rejoint de nouveau la BA 102 en 2006, au sein de l’escadron de chasse 1/2 « Cigognes ». En 2009, il est nommé capitaine. L’année suivante, il est détaché en Asie durant trois ans en tant qu’expert Mirage 2000. Il était affecté depuis septembre 2014 à Albacete (Espagne) comme officier de liaison au centre tactique multinational qui organise plusieurs fois par an l’exercice interalliés TLP (Tactical Leadership Program). Le capitaine Tison était marié et avait deux enfants.
18h50 : Le capitaine Mathieu Bigand avait intègré l’armée de l’air le 30 août 2004, à 20 ans. À compter de 2007, il avait suivit sa formation au sein de l’école de pilotage de l’armée de l’air de Cognac, avant d’intégrer l’école de l’aviation de chasse implantée sur la base aérienne (BA) 705 de Tours.
Il est affecté à l’escadron de chasse 1/3 « Navarre » sur la BA 133 de Nancy-Ochey, le 10 mai 2010. Le capitaine Bigand avait été détaché successivement dans le cadre de l’opération Épervier puis Serval ou il s’était particulièrement distingué en effectuant la première mission de bombardement de l’opération. Ce sous-chef de patrouille aura servi la France durant plus de dix ans et aura totalisé près de 1000 heures de vol. L’aviateur était marié et père d’un enfant.
18h45 : Le lieutenant Marjorie Kocher avait 29 ans. Elle avait intégré l’armée de l’air à 22 ans en qualité d’élève officier. Le 28 janvier 2010, elle avait rejoint l’escadron de chasse 1/3 « Navarre », stationné à Nancy, pour poursuivre sa formation d’officier navigateur systèmes d’armes sur Mirage 2000D. Elle avait ensuite été déployée lors des opérations Unified Protector en Libye et Serval au Mali. Cet officier était titulaire de la croix de la Valeur militaire avec trois étoiles de bronze, de la médaille d’outre-mer agrafe Sahel, de la médaille Commémorative française agrafe Libye et Afghanistan et de la médaille d’argent de la Défense nationale. L’aviatrice avait un compagnon et n’avait pas d’enfant.
17h38 : Le ministère de la Défense a diffusé les noms et photos des neufs soldats français qui ont perdu la vie hier à sur la base aérienne d’Albacete, en Espagne. Cinq blessés sont toujours hospitalisés, certains dans un état grave.
17h35 : Le commandant de la base de Nancy-Ochey dévoile l’identité des aviateurs décédés. Il s’agit du capitaine Gildas Tison, du capitaine Mathieu Bigand, du lieutenant Marjorie Kocher, du lieutenant Arnaud Poignant, de l’adjudant Thierry Galoux, de l’adjudant François Combourieux, du sergent-chef Gilles Meyer, du sergent-chef Régis Lefeuvre et du sergent chef Nicolas Dhez.
17h19: Le dernier bilan de la catastrophe de la base aérienne d’Albacete/Los Llanos en Espagne a été livré ce soir par le commandant u capitaine Gile la base aérienne de Nancy-Ochey. Il fait état de «sept morts et quatre blessées». Parmi les sept militaires décédés figurent trois officiers : un pilote de Mirage 2000D, sa navigatrice ainsi qu’un mécanicien. Quatre sous-officiers mécaniciens, font également partie des victimes.
15h39 : L’exercice TLP (tactical leadership programme), auquel participait l’avion de combat grec qui s’est écrasé lundi en Espagne, vise à former des pilotes «chef de mission» et constitue «l’une des formations les plus réputées et les plus exigeantes du monde», selon le ministère français de la Défense. «TLP, c’est un peu le Saint Graal» pour les pilotes, résume une source militaire.
L’exercice existe depuis 1978 et se déroulait d’abord à Florennes en Belgique, mais il a été transféré à Albacete en raison de l’encombrement et de l’exiguité de l’espace aérien belge et des pays environnants, ainsi que pour les conditions météorologiques plus favorables régnant en Espagne.
14 h 14 : L’AFP révèle qu’une enquête vient d’être ouverte à Paris concernant le crash du F-16 en Espagne qui a coûté la vie 9 soldats français. Même si les faits ont eu lieu à l’étranger, l’ouverture d’une enquête en France est une procédure classique lorsque des nationaux comptent parmi les victimes. En Espagne, une enquête a également été ouverte et confiée à un juge de Valence avec la garde civile. Une commission d’enquête technique est aussi à l’oeuvre.
11 H 30 : parmi les Français, cinq se trouvent toujours « dans un état grave mais stable », trois à l’hôpital de la Paz, et deux à l’hôpital d’Albacete, proche de la base de Los Llanos où s’est produit l’accident, à quelque 250 km au sud-est de Madrid. Les quatre autres ont pu quitter l’hôpital.
Un blessé italien reste aussi dans un état grave mais stable à l’hôpital madrilène. « Cinq autres devraient quitter l’hôpital de Hellin à Albacete dans les prochaines heures », a ajouté le porte-parole. Les cinq autres Italiens ont déjà pu sortir.
Les enquêteurs tentent d’établir les causes de la catastrophe qui s’est produite lorsque le F-16 de l’armée de l’air grecque a subi une perte de puissance du moteur lundi après-midi, s’écrasant sur des appareils français et italiens sur un des parkings de la base.
11 H 05 : ce blessé avait été transféré à l’hôpital de la Paz à Madrid, a précisé Manuel Vazquez, porte-parole du ministère. Neuf autres Français, ainsi que onze Italiens, ont été blessés dans l’accident.
11 H 01 :un neuvième militaire français, grièvement blessé lors du crash, est décédé.
10 H 15 : sept des huit victimes françaises du crash appartenaient à la base aérienne 133 de Nancy-Ochey (Meurthe-et-Moselle), a indiqué mardi le commandant de la base, où les drapeaux ont été mis en berne.
« La base aérienne 133 de Nancy-Ochey paie le plus lourd tribu avec 7 tués et 6 blessés », a souligné le colonel Olivier Lapray, évoquant devant des journalistes un drame qui « touche toute la base aérienne, toute l’armée de l’air et toutes les armées ».
« Ce sont de grands professionnels. On n’est pas à l’abri de la malchance et de la fatalité. Cela ne remet pas en cause le professionnalisme des équipages et des mécaniciens », a expliqué le commandant de la base de Nancy-Ochey, selon qui l’opération était « un entraînement à la guerre ».
Les drapeaux de la base de Nancy-Ochey ont été mis en berne à 8 heures 20, avant que les noms des victimes soient égrenés aux militaires présents, à qui consigne a été donnée de ne pas communiquer. « Ma solidarité et ma compassion vont vers les familles », a insisté le colonel Dupray, qui a prévenu les proches des victimes dans la nuit.
Les militaires de la BA 133 étaient sur place depuis une semaine, pour une opération qui devait durer une quinzaine de jours. « Il y a vraisemblablement des femmes parmi les victimes », a ajouté le colonel Lapray.
Une cellule de crise a par ailleurs été mise en place dès lundi soir sur la base, où 1 600 personnes travaillent au sein de trois escadrons. Le maire d’Ochey, Philippe Parmentier, s’est pour sa part « associé à la douleur des familles », en rappelant « les liens très forts qui unissent la commune à la base aérienne depuis près de 100 ans », a-t-il expliqué.
MARDI 6 H 45 : vingt-et-une personnes ont été blessées, 11 Italiens et 10 Français, selon le ministère espagnol de la Défense. Cinq blessés souffrent de graves brûlures et ont été transférés vers un service spécialisé à Madrid.
Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a lui-même détaillé le bilan lundi soir en direct sur une chaîne de télévision : « Il semble qu’il y a deux personnes qui sont décédées qui sont de nationalité grecque et huit Français. »
Les deux pilotes grecs, tous deux capitaines, du F-16 qui s’est écrasé font partie des morts, a précisé le ministère espagnol de la Défense. Côté français, les morts incluent trois capitaines et un lieutenant. Le ministère a ajouté que les pompiers ont mis une heure à éteindre l’incendie causé par le crash.
« C’est avec une très grande émotion que le président de la République a appris la mort de huit aviateurs suite à un accident causé par la chute d’un avion de combat F-16 peu après le décollage de la base d’Albacete », indique l’Elysée dans un communiqué.
La présidence française précise que « cet accident a causé par ailleurs de graves blessures par brûlures à six personnels mécaniciens, selon le bilan actuel présenté par les autorités espagnoles ». Le ministère de la Défense français a fait part d’un blessé « en situation d’extrême urgence, et deux placés en coma artificiel ».
23h31 : Huit militaires français ont été tués et six autres grièvement blessés dans le crash d’un F-16 lors d’un exercice de l’OTAN sur une base du sud-est de l’Espagne, selon un bilan provisoire communiqué par le ministère français de la Défense et la présidence française.
«Selon les premiers éléments fournis par les autorités espagnoles, nous déplorons la mort de huit Français», a annoncé le ministère dans un communiqué.
«Un blessé est en situation d’extrême urgence. Cinq autres sont en réanimation dont deux placés en coma artificiel», a-t-il ajouté.
La présidence française a de son côté indiqué avoir été informée de la mort de «huit aviateurs» français et de «six personnels mécaniciens» grièvement brûlés.
Trois autres blessés plus légers ont été brièvement hospitalisés, précise encore le ministère.
22H52 : L’Elysée a confirmé lundi soir avoir été informé par les autorités espagnoles que «huit aviateurs» français avaient été tués et «six personnels mécaniciens» grièvement blessés dans le crash d’un avion de combat F-16 de la force aérienne grecque sur une base aérienne du sud-est de l’Espagne.
22H42 : l’Elysée et le ministère de la Défense confirme la mort de huit militaires Français.
22H21 : Le F16 Biplace des Forces aériennes grecques s’est écrasé sur un des parkings de la baseoù étaient stationnés des avions de chasse de plusieurs nationalités, dont deux Alpha Jet, deux Mirage 2000D et deux Rafale français.
21h39 : Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a annoncé lundi soir que huit Français et deux Grecs sont morts dans l’accident d’un avion de combat F-16 de la force aérienne grecque sur une base du sud-est de l’Espagne.
«Il semble qu’il y a deux personnes qui sont décédées qui sont de nationalité grecque et huit Français», a déclaré Mariano Rajoy, interrogé en direct sur la chaîne privée Telecinco, en détaillant le bilan de dix morts dans cet accident, dont on ignorait jusque-là les nationalités.
21h31 : Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, a annoncé que huit Français étaient décédé dans le crash d’un F-16 grec sur une base de l’Otan. Ce bilan diverge de celui donné par le ministre français de la Défense, qui évoquait un mort français.
21h08 : Un militaire français a été tué et cinq autres grièvement blessés dans le crash lundi d’un avion de combat grec F-16 sur une base du sud-est de l’Espagne qui accueille un centre de formation de pilotes de l’Otan, a annoncé le ministère français de la Défense.
«Dans l’état actuel des informations dont nous disposons, nous déplorons un mort et dénombrons cinq blessés graves», a indiqué le ministère dans un communiqué ajoutant que le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, se rendrait mardi après-midi sur place.
19h02 : Le crash au décollage d’un avion de combat grec de type F-16, lundi après-midi dans le sud-est de l’Espagne, a fait dix morts et 13 blessés, a-t-on appris auprès d’un porte-parole du ministère de la Défense espagnol.
«Pour le moment nous avons dix personnes mortes et 13 blessées», a déclaré ce porte-parole en précisant que parmi les personnes blessées lors de cet accident survenu sur la base de Los Llanos dans la province d’Albacete (sud-est) sept sont très grièvement touchées.
Cinq autres se trouvaient lundi vers 18h00 GMT dans un état grave tandis qu’une a déjà pu quitter l’établissement où elle était soignée, a indiqué le porte-parole, qui n’était pas en mesure de préciser la nationalité des victimes.
L’avion de combat de la force aérienne grecque devait effectuer des manoeuvres dans le cadre d’un entrainement organisé par l’OTAN, le Tactical leadership Programme (TLP), et s’est écrasé au décollage, selon un communiqué diffusé plus tôt par le ministère de la Défense.
Il s’est apparemment écrasé sur le tarmac, heurtant d’autre aéronefs et tuant d’autres personnes qui s’y trouvaient.
Une vidéo prise depuis les abords du crash montre l’épaisse fumée noire qui s’échappe de l’aéroport :
Sous couvert de l’inattaquable excuse de la sécurité, le gouvernement de Mariano Rajoy considère préventivement le manifestant comme dangereux. Il est ainsi automatiquement regardé comme une menace à la loi grâce au nouveau projet législatif de « Sécurité citoyenne » adopté par le conseil des ministres le 29 novembre dernier.
Des policiers arrêtent des manifestants lors d’un défilé contre la réforme du droit à l’avortement, le 20 décembre 2013 à Madrid (Andres Kudacki/AP/SIPA)
Metteur en scène et dramaturge, Astrid Menasanch Tobieson travaille entre la Suède et l’Espagne. Elle est membre du groupe de théâtre Sta ! Gerillan. La lettre ci-dessous était initialement adressée aux journalistes suédois et a été publiée le 19 décembre. Avec l’autorisation de l’auteure, la traductrice a pu la retranscrire en français.
Mathilde Rambourg
La lettre d’Astrid Menasanch Tobieson
Bouleversée, je vous écris sous le coup de l’indignation. L’Espagne, dans peu de temps, empruntera le chemin qui mène d’une démocratie ouverte à ce qui…
Manifester pour défendre le droit de manifester. Ces milliers d’Espagnols conspuent ce qu’ils surnomment la “loi du bâillon”. Le texte du Parti populaire au pouvoir doit être adopté dans les prochains mois au sénat. Il englobe une série de mesures liberticides selon ses détracteurs. Ainsi des amendes très lourdes sont prévues en cas de manifestations aux abords de l’Assemblée ou en cas de perturbations des services publics. Des rassemblements se sont tenus ce samedi à Madrid et dans plusieurs autres villes du pays.