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THE INFORMANT
Dans ce "blog-info" de Marc Fievet AKA "NS 55 DNRED", les articles sont reblogués dans le seul but d'informer!
La brigade des douanes de Gap a saisi 187 kilos de résine de cannabis, ce jeudi 23 mars lors d’un contrôle à Chorges (Hautes-Alpes), a indiqué, par communiqué, ce lundi le parquet de Gap. “La drogue était dissimulée dans le plancher du châssis dans un petit camion de marque Iveco, immatriculé en Espagne“, a souligné […]
A Bristol man has been charged with drug offences following his arrest by National Crime Agency officers investigating the attempted importation of cocaine with a potential street value of around £1.75 million. Derick Everton Grant, 52, originally from Jamaica, is the director of a food importation company that allegedly arranged the shipment in 10 pallets […]
The National Crime Agency has obtained a civil recovery order for gold worth an estimated £4 million that was being laundered by South American drug cartels. NCA financial investigators took up the case after the shipment of gold weighing 104 kilos was seized at Heathrow in June 2019. The gold was in the cargo section […]
A Paris, Corinne Cleostrate de la DNRED et Bruno Dalles du Tracfin participaient à une table ronde d’experts en charge de la lutte contre le financement du terrorisme…pendant qu’à New York, DEA et CIA faisaient libérer un narcoterroriste!
En octobre 2008, le ministère de la Justice et la Drug Enforcement Administration ont annoncé l’arrestation de Haji Juma Khan pour trafic de stupéfiants et de terrorisme.
Sa capture, ont-ils dit, a porté un coup sévère aux talibans et à la relation symbiotique entre le groupe d’insurgés et les trafiquants de drogue afghans…
Pourtant, à l’insu de tous, sauf des observateurs les plus proches de la guerre d’Afghanistan en grande partie oubliée, Khan a été libéré discrètement de la garde du Federal Bureau of Prisons le mois dernier. Après avoir passé près de 10 ans au Metropolitan Correctional Centre de Lower Manhattan, les conditions de sa libération – comme presque tout le reste de son cas – restent entourées de secret.
Le secret reflète la relation conflictuelle du gouvernement américain avec Khan. Avant son arrestation, le trafiquant présumé de drogue a travaillé avec la CIA et la DEA, a…
En 2014, les champs de pavots afghans ont permis la production de 6 400 t d’héroïne.
24/01/2016
L’Afghanistan est le premier producteur mondial d’opium depuis les années 1990, fournissant plus des trois quarts de l’héroïne consommée sur la planète. Confidentielle à la veille de l’invasion soviétique en 1979 – 200 tonnes par an – cette production n’a cessé de croître, malgré l’interdiction de la culture du pavot, en 2000, par le Mollah Omar. En 2014, 6 400 tonnes d’opium ont été confectionnées, selon les estimations de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUCD), qui table tout de même sur une forte baisse de près de moitié pour 2015, pour raisons climatiques. « La production d’opium fait partie de l’économie de guerre. Il faudrait vraiment la paix et un Etat fort pour assurer la sécurité et lutter contre ce marché », détaille Karim Pakzad, chercheur à l’Iris…
Barack Obama, chef de l’Etat américain, a annoncé jeudi que les Etats-Unis réduiraient leur contingent en Afghanistan à 5.500 hommes, après 2016. Cependant, d’ici fin 2016, 9.800 militaires US resteront déployés sur le sol afghan.L’ex numéro un afghan Hamid Karzai qualifie néanmoins la présence des troupes étrangères en Afghanistan de peu efficace, voire de destructive:
« En espérant déraciner le terrorisme et maintenir la paix dans la région, le peuple afghan a consenti, il y a 14 ans, à une présence modérée de l’armée étrangère (en Afghanistan, ndlr). Cependant, la présence des troupes étrangères soi-disant dans le but de combattre le terrorisme n’a pas abouti à son extermination. Au contraire, durant cette période, le terrorisme s’est renforcé », a déploré Hamid Karzai, cité par l’agence Khaama Press.M.Karzai a également noté que l’accord bilatéral sur la sécurité, signé entre Kaboul et Washington, n’avait pas contribué à diminuer le niveau d’instabilité dans le pays. En élargissant les frontières de la guerre, cet accord n’a pas répondu aux espérances des Afghans.
Explosion meurtrière à Jalalabad, ce samedi 18 avril 2015.REUTERS/Parwiz
En Afghanistan, ce samedi 18 avril 2015, un attentat suicide commis dans la ville de Jalalabad (est du pays) a coûté la vie à au moins 33 personnes, et en a blessé une centaine d’autres. Une attaque qui intervient alors que la fin de l’hiver marque ce qu’on appelle traditionnellement, en Afghanistan, la « saison des combats ». Même s’il faut se méfier à ce stade des effets d’annonce, l’attaque – dont les talibans nient la responsabilité – aurait été revendiquée par l’organisation Etat islamique.
Pour récupérer leur salaire ce samedi matin, de nombreux fonctionnaires faisaient la queue devant une banque de Jalalabad, la grande ville afghane de l’est du pays non loin de la frontière pakistanaise. Et c’est précisément au milieu de cette foule qu’un kamikaze a fait exploser sa charge.
À l’heure où le dernier contingent de l’armée française quitte le territoire afghan, marquant par la même le terme de quelque 13 ans de présence, les motivations premières de l’intervention américaine dans la région restent l’objet de fortes controverses.
Lorsque l’on se met à penser à la politique entreprise par les États-Unis à l’égard de l’Afghanistan, les paroles de Napoléon Bonaparte à l’égard de la diplomatie, « la diplomatie est la police en grand costume », résonne comme une vérité impitoyable. Les « gendarmes du monde libre » comme aiment à se nommer les États-Unis depuis la fin de la Guerre froide ont adopté une stratégie diplomatique extrêmement intelligente en Afghanistan. En effet, depuis l’élection du président américain Barack Obama très peu de gens ont remis en question l’engagement de Washington en Afghanistan. Sa raison ? Selon lui, c’est là que l’organisation Al-Qaïda est retranchée et c’est la « vraie » menace pour la sécurité nationale. Néanmoins, lorsque l’on s’intéresse aux véritables raisons de l’implication étasunienne en Afghanistan, la réalité semble bien différente.
L’or noir : la raison principale de la présence américaine en Afghanistan
La guerre en Afghanistan cacherait-elle autre chose ? La réponse se trouverait en partie à Houston, au Texas. En effet, en 1997 alors que George W. Bush était gouverneur du Texas, une délégation de chefs talibans venue d’Afghanistan rencontra à Houston des dirigeants de UNOCAL – groupe pétrolier californien – pour discuter de la construction d’un pipeline qui traverserait l’Afghanistan et qui acheminerait du gaz naturel depuis la mer Caspienne vers la centrale électrique à gaz naturel d’Enron à Dabhol près de Mumbai (Inde). Le jour où UNOCAL a signé la construction du pipeline, c’est la compagnie Halliburton, dirigée par Dick Cheney – futur vice-président de George W. Bush – qui a obtenu le contrat de forage dans la mer Caspienne. Les États-Unis entendaient donc obtenir la maîtrise sur ce pipeline stratégique via l’entreprise UNOCAL, mais lorsque celle-ci n’y parvint pas, les États-Unis finirent par préparer une guerre. Au moment où les militaires étaient prêts à attaquer, et qu’il ne manquait plus qu’un prétexte pour l’invasion, les événements du 11 septembre 2001 tombèrent à pic. Toutes ces «coïncidences » montrent que depuis toujours, le pétrole constitue un enjeu primordial pour les États-Unis. L’invasion de l’Afghanistan par les États-Unis peut donc être expliquée en grande partie par la volonté de Washington de contrôler l’une des régions du monde les plus riches en ressources pétrolifères.
« Le pavot est l’opium du peuple »
L’armée américaine occupe l’Afghanistan pour deux raisons principales. Premièrement Washington a la volonté de rétablir et de contrôler la plus grande fourniture mondiale d’opium des marchés internationaux de l’héroïne et utiliser la drogue comme arme contre ses adversaires sur le plan géopolitique, tout particulièrement, la Russie. En effet, désormais, plus de terres sont consacrées à l’opium en Afghanistan que pour la culture de la coca en Amérique latine. Selon le rapport annuel de l’ONU sur les drogues, en mars 2000, l’Afghanistan était le premier producteur d’opium avec 75% de la production mondiale. En 2007, l’Afghanistan détenait près de 93% de la production mondiale
L’impérialisme américain : l’Afghanistan au cœur de la stratégie hégémonique américaine
Pour les États-Unis, la raison des bases aériennes américaines implantées en Afghanistan, n’est pas tant de faire disparaître les cellules d’Al-Qaïda qui pourraient avoir survécu dans les grottes de Tora Bora que d’avoir dans leur ligne de mire les deux nations du monde qui, réunies, constituent encore aujourd’hui la seule menace à leur pouvoir suprême sur le monde: la Chine associée à la Russie.
La Chine est l’économie la plus robuste du monde. La Russie, dont l’économie ne s’est pas remise de la fin destructrice de l’ère soviétique et des grossiers pillages au cours de l’ère Eltsine, possède toujours des atouts essentiels pour l’association. La force de frappe nucléaire de la Russie et son armée représentent la seule menace dans le monde d’aujourd’hui à la domination militaire des États-Unis. La Russie détient également le plus grand trésor du monde en gaz naturel et d’immenses réserves pétrolières dont la Chine a impérieusement besoin. Ces deux puissances convergent de plus en plus à travers une nouvelle organisation créée par elles en 2001, connue sous le nom d’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS). L’Afghanistan constitue donc d’un point de vue géostratégique, le meilleur emplacement pour l’armée américaine afin de contrôler ses principaux concurrents. Pour exemple, Shindand, sa plus grande base afghane, est construite à seulement 100 kilomètres de la frontière iranienne, et à distance de frappe contre la Russie et la Chine.
Al-Qaida : « un méchant au pied d’argile » ?
La vérité, concernant toute cette tromperie autour du but réel en Afghanistan, devient claire si on examine de plus près la prétendue menace d’« Al Qaïda » là-bas. Selon l’auteur Erik Margolis, avant les attentats du 11 septembre 2001, le Renseignement étasunien accordait assistance et soutien à la fois aux talibans et à Al Qaïda. Margolis affirme que « la CIA projetait d’utiliser le Al Qaïda d’Oussama Ben Laden pour inciter à la révolte les Ouïghours musulmans contre la domination chinoise, et les talibans contre les alliés de la Russie en Asie centrale ». La plupart des médias américains choisissent d’oublier le fait qu’Al Qaïda était une création de la CIA dans les années 80. Elle recrutait et formait à la guerre des musulmans radicaux de la totalité du monde islamique contre les troupes russes en Afghanistan, dans le cadre d’une stratégie élaborée par Bill Casey, chef de la CIA sous Reagan. Face à toutes ces explications, la thèse constamment avancée par les gouvernements successifs américains à propos de la guerre contre le terrorisme apparaît quelque peu fragile. En effet, les arguments relatifs au pétrole, à l’opium ou encore à l’impérialisme américain semblent bien plus explicatifs que la seule volonté d’anéantir Al-Qaida.
« En politique rien n’arrive par hasard. Si cela se produit, vous pouvez être sûr que cela a été planifié de cette façon », les paroles de l’ancien président des Etats-Unis, Franklin D. Roosevelt, dépeignent extrêmement bien les raisons de l’invasion de l’Afghanistan. Il était donc temps de mettre en exergue les réelles intentions de la superpuissance américaine qui, loin de toute volonté démocratique, avait pour but de consolider son hégémonie et de maintenir ses adversaires à distance.
VIDEO. La force de combat de l’Otan quitte l’Afghanistan après 13 ans de conflitLa force de l’Otan en Afghanistan (Isaf) a fait ses adieux à l’Afghanistan au cours d’une cérémonie destinée à marquer la fin de 13 ans de combats dans un pays toujours en proie à une insurrection violente.
28 Déc. 2014, 11h53 | MAJ : 28 Déc. 2014, 21h01
Le commandant de la force de l’Otan en Afghanistan (Isaf) a dressé dimanche un bilan positif de l’action des troupes de combat étrangères dans le pays au moment où celles-ci se retirent après 13 ans de conflit et malgré une insurrection toujours active des talibans. AFP
«Ensemble, nous avons élevé les Afghans hors des ténèbres et du désespoir et nous leur avons donné de l’espoir pour l’avenir.» Le général américain John Campbell a dressé un bilan positif de l’action des troupes de combat étrangères en Afghanistan, lors de la cérémonie marquant, dimanche à Kaboul, la fin de leur mission après 13 ans de conflit et alors que l’insurrection des talibans ne faiblit pas.
Four Afghans held for over a decade at the U.S. military prison at Guantanamo Bay, Cuba, have been sent home to Afghanistan, the Pentagon said on Saturday, the latest step in a slow-moving push by the Obama administration to close the facility.
Le Maroc aurait reçu de l’argent de la CIA pour construire une prison secrète afin d’accueillir des détenus condamnés par les Etats-Unis. C’est ce que révèle le Washington Post qui est revenu sur une prison américaine secrète basée en Pologne où Khalid Cheikh Mohamed, ancien numéro 3 d’Al-Qaïda et présumé cerveau des attentats du 11 septembre 2001, a été interrogé.
Selon le journal américain, « en septembre 2003, la prison polonaise a été vidée. La CIA a alors dispersé les détenus en Roumanie, au Maroc et, plus tard, en Lituanie. En cherchant une solution à long terme, la CIA a payé aux Marocains 20 millions de dollars pour construire une prison qu’elle n’a jamais utilisée et dont le nom de code était ’’Bombay’’ ».
Le journal révèle aussi que la prison de la CIA en Pologne était sans doute la plus importante de tous les « sites noirs » – « black sites » – créés par l’agence de renseignement américaine après le 11 septembre 2001.
Pour rappel, l’année dernière, des ONG et un rapport de l’ONU ont pointé du doigt le Maroc pour avoir permis aux Etats-Unis de torturer des prisonniers dans un black site situé à Aïn Aouda.
La CIA est bien ancrée au Maroc. L’agence centrale de renseignement des USA se charge même de la gestion de prisons secrètes au pays de Mohammed VI. Un rapport établi par le ministère des Affaires étrangères russe traitant de la situation des droits de l’homme aux États-Unis confirme cet état de fait, en précisant que les prisons secrètes de la CIA constituent une problématique qui n’est pas réglée.
En plus du Maroc, ces centres pénitenciers tenus en secret par la CIA se trouvent également dans différents pays, tels que l’Irak, l’Afghanistan, la Thaïlande, la Pologne pour ne citer que ces pays évoqués dans ledit rapport. Ce document, qui vient d’être présenté à la Douma (Parlement russe), accable de manière virulente les USA pour son non-respect et ses violations multiformes des droits de l’homme.
« Les mauvais traitements infligés aux enfants, les ingérences dans la vie privée, les violences policières, les prisons secrètes et les restrictions des libertés d’expression constituent les principaux problèmes en matière de respect des droits de l’homme », écrit-on dans le rapport confectionné pendant une année par la diplomatie russe et qui se veut une réponse aux critiques adressées à Moscou par les gouvernements des pays occidentaux et les organisations internationales de protection des droits de l’homme.
A 25 km au sud de Rabat
Pour revenir au centre de détention détenu par la CIA au Maroc, à en croire d’autres sources concordantes, a été bâti à l’intérieur d’une colline boisée, non loin du village d’Aïn Aouda sis à 25 kilomètres au sud de Rabat.
Il s’agit, précisent les mêmes sources, d’un long bâtiment de trois étages ceint d’une quinzaine de maisons cubiques dont la construction a été réalisée avec le concours de la DST marocaine. Un autre centre de détention que les USA réservent essentiellement aux terroristes d’Al-Qaïda a également été construit au sein même de la base militaire de Beni Guerir, au Nord de Marrakech, indique-t-on encore.
Le rapport de la diplomatie russe révèle par ailleurs que « les États-Unis demeurent le pays qui compte le plus grand nombre de détenus au monde, soit 2,2 millions d’individus ». Aussi, la diplomatie russe pointe d’un doigt accusateur les USA pour les sévices et autres punitions corporelles infligées aux enfants. En ce sens, des sources relevant de la Douma indiquent que « des centaines de milliers d’enfants font l’objet de mauvais traitements aux États-Unis, ce qui entraîne la mort d’un grand nombre d’entre eux, évaluées à 1 600 victimes pour la seule année 2010 ».
D’autre part, en termes d’ingérence dans la vie privée des citoyens, le rapport russe précise qu’entre 2004 et 2007, « le nombre de messages électroniques interceptés par les services spéciaux américains a augmenté de 3 000 % ». Et ce n’est pas tout, la diplomatie russe vilipende également le pays de l’oncle Sam pour son non-respect de la liberté de la presse. « Les mesures rigoureuses adoptées par la police à l’encontre des journalistes couvrant des actions de protestation dans les villes américaines » ont été, en effet, dénoncées dans le même rapport.
K. A.
Le Temps d’Algérie, le 21 octobre 2012
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La CIA avait bien fait construire une prison secrète au Maroc suite aux attentats de 2001 et sa guerre en Afghanistan.
C’est ainsi 20 millions de dollars qui ont été dispensés à la royauté afin de permettre, selon le Washington Post, d’emprisonner mais surtout de torturer les prisonniers musulmans suspectés d’entretenir des projets antiaméricains.
Le journal américain affirme que des détenus ont été transférés secrètement de Pologne vers le Maroc pour pouvoir être “traités”… Des rapports de l’ONU viennent d’ailleurs confirmer ces dires sur ce genre de prisons comme celle de Ain Aouda servant particulièrement de centre de torture.
Le Maroc n’est d’ailleurs pas le seul pays musulman ayant abrité ce genre de prisons de sous traitement de la torture américaine. La Syrie de Bachar s’était illustrée elle aussi par ces méthodes abjectes.
L’Afghanistan est le premier fournisseur mondial d’opium et…
Selon l’ONU, la dépendance à l’héroïne est passée en Afghanistan d’un niveau inexistant sous le régime taliban (1996-2001) à plus d’un million de personnes concernées aujourd’hui.
La culture du pavot à opium en Afghanistan a atteint un record en 2014 en termes de surface. Le pays reste ainsi de loin le premier fournisseur mondial (80% de la production) de cette plante qui fournit la matière première de l’héroïne et alimente un très juteux trafic qui a tissé une toile dense à travers toute l’Asie.
224 000 hectares de pavot à opium y sont cultivés, soit une augmentation de 7% par rapport à 2013, indique à ce propos le rapport annuel du bureau des Nations unies chargé de la drogue et de la criminalité (Unodc) publié hier. Cela représente plus de trois…
Malgré la baisse régulière et rapide des superficies sur lesquelles s’etend la culture de résine de cannabis, le Maroc reste le premier producteur mondial de celle-ci, relève le rapport 2014 de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (l’ONUDC), présenté jeudi dernier à Hanoi au Vietnam.
Avec 38.000 tonnes de cannabis produits sur une superficie de 52.000 hectares en 2012, le Maroc continue à dominer un marché de 177 millions de consommateurs de cannabis dans le monde, sous forme d’herbe ou de résine. Ce chiffre est situé, d’après ledit rapport, au milieu d’une fourchette allant de 125 à 227 millions de consommateurs, soit entre 2,7 et 4,9% de la population mondiale âgée de 15 à 64 ans.
Le rapport 2014 de l’ONUDC rapporte que plus de 170 millions de personnes consomment du cannabis dans le monde contre 17 millions pour la cocaïne. Le nombre total de…
12:1525/06/2014Les policiers ont démantelé une importante filière de trafiquants d’héroïne afghane à Saint-Pétersbourg, saisissant près de 45 kilos de drogue, a annoncé jeudi aux journalistes le directeur du Service fédéral russe de contrôle des stupéfiants (FSKN) Viktor Ivanov.>>
La production de cocaïne a baissé de près de 13% en 2013 en Colombie, l’un des principaux pays producteurs, a annoncé aujourd’hui l’Office des Nations unies de lutte contre la drogue et la criminalité (ONUDC).
Un véhicule de grosse cylindrée perquisitionné renfermait tout un trésor : « 58 kilos de cannabis, un kilo de cocaïne pure, 300 grammes de cocaïne coupée, 150 cartouches de revolver de type 357 Magnum, ainsi qu’un lot de bijoux, des fausses plaques d’immatriculation et des pièces détachées de voitures », selon une source proche du dossier.
La justice belge a démantelé un important trafic international de drogue impliquant un groupe de motards des Hells Angels, procédant à la saisie d’une demi-tonne de cocaïne et à l’arrestation de 13 suspects, a rapporté jeudi le journal belge Het Nieuwsblad.
Les plans des trafiquants du Venezuela ont été contrariés dans la nuit du 14 au 15 juin, au large de la Guadeloupe. 235 kilos de cocaïne, destinés aux Antilles, ont été saisis sur un bateau de pêche et un go fast.