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THE INFORMANT
Dans ce "blog-info" de Marc Fievet AKA "NS 55 DNRED", les articles sont reblogués dans le seul but d'informer!
Le feu de poubelles, emblème de la révolte contre la réforme … Réforme des retraites: Acide, cocktails molotov, pavés… “L … À Rennes, les interventions musclées des forces de l’ordre .. Réforme des retraites : Brav-M, CRS, gendarmes, CDI … Des jeunes, de la colère (et le souvenir du CPE) : quand la . EN […]
Propos recueillis par Hervé Chambonnière EXTRAITS Les cartels latino-américains ont débarqué dans les ports européens et ont importé leurs méthodes ultraviolentes. Y a-t-il une organisation qui vous inquiète plus qu’une autre ? Elles nous inquiètent toutes : « Mocro maffia » (organisation néerlando-marocaine), ‘Ndrangheta calabraise et autres pègres italiennes, des Balkans, russes, colombiennes… Ce qui nous étonne c’est qu’on […]
L’enquête retentissante sur la corruption au Parlement européen et la lutte contre le trafic de drogues placent la Belgique sous le feu des projecteurs. Pourtant, la police fédérale manque de bras, certains bâtiments tombent en lambeaux, et les dossiers s’accumulent faute de moyens pour les traiter. Un contexte qui peut laisser penser que la Belgique […]
Le directeur général du parti Les Centristes, la formation d’Hervé Morin, est soupçonné d’avoir vendu une drogue utilisée dans le cadre du chemsex. Lire 0000
La grille du « camp six » de Guantanamo, le 19 janvier 2012, à Cuba ( AFP/Archives / JIM WATSON )
La prison en chiffres
AFP le 23/02/2016
Plus de quatorze ans après l’ouverture de Guantanamo, le 11 janvier 2002, la prison militaire qui a cristallisé le sentiment anti-américain post 11-Septembre et que Barack Obama cherche à fermer depuis 2009, renferme encore 91 détenus dont le transfèrement pose question.
– Américaine depuis 1903
Le centre de détention a ouvert en janvier 2002 sur une base navale américaine de la côte sud-est de l’île du Cuba. Cette enclave de 117 km2 (dont seulement 49 km2 de terre ferme) avait été cédée par Cuba aux Etats-Unis en 1903, pour remercier son puissant voisin de son aide dans la guerre contre les Espagnols.
Les premiers prisonniers arrivent sur la base située à 1.000 km de La Havane, dans la foulée des attentats du 11-Septembre. Ces détenus sont qualifiés de « combattants ennemis » par l’administration de George W. Bush et privés de leurs droits fondamentaux.
– 91 prisonniers restants
Il reste à ce jour 91 détenus dans cette prison qui en a accueilli jusqu’à 680 en 2003. Au total, quelque 760 prisonniers sont passés par Guantanamo, dont 85% ont depuis été transférés sous conditions. L’administration Obama affirme avoir procédé à 147 transfèrements, …..
Le président américain a annoncé mardi un plan pour fermer la prison militaire de Guantánamo. Jusqu’à 60 prisonniers pourraient être relocalisés sur le territoire américain. Reste à convaincre le Congrès…
Une tour de garde à Guantanamo (PAUL J. RICHARDS / AFP FILES / AFP)
« Nous ne sommes pas venus faire des affaires », a insisté François Hollande. « Nous sommes venus pour, avec les Cubains, faire un développement économique qui puisse être utile à Cuba, à la France et à la zone Caraïbes ». Cette visite programmée il y a déjà quelques mois émeut la classe politique et intellectuelle ainsi que les éditorialistes tant cette île des Caraïbes revêt de symboles depuis qu’elle avait entamé sa révolution en 1959.
Cuba, qui depuis le 7 février 1962 et suite aux nationalisations expropriant des compagnies américaines, a connu un très sévère embargo économique de la part des proches États-Unis, reçoit la visite du chef de l’État français. Celle-ci matérialise l’accélération du rapprochement entre l’Union Européenne et Cuba s’est caractérisée par la signature d’un accord entre la multinationale TOTAL et CubaPetroleo (Cupet) pour l’exploration de pétrole offshore…
Le président Raul Castro a rencontré, dimanche, au Vatican le pape François. Il souhaitait notamment le remercier pour sa médiation dans le rapprochement historique entre Cuba et les États-Unis.
C’était une première pour Raul Castro. Le président cubain se trouvait au Vatican, dimanche 10 mai, pour y rencontrer le pape François et le remercier de ses bons offices, qui ont permis le rapprochement historique en cours entre Cuba et les États-Unis.
Le Vatican avait révélé une médiation personnelle du souverain pontife, qui avait écrit aux deux chefs d’État. Les délégations des deux pays avaient également été reçues au Saint-Siège en octobre. Déjà, en 1998, Jorge Bergoglio s’était intéressé personnellement à la question cubaine, écrivant un essai intitulé « Dialogue entre Jean Paul II et Fidel Castro ». Il était alors cardinal de Buenos Aires.
Annoncée en début de semaine seulement, cette visite du président de l’île communiste a, selon un communiqué du Vatican, duré un peu plus de 50 minutes et s’est déroulée de manière « très cordiale ». Elle s’est produite un peu plus de quatre mois avant celle du pape François à La Havane, prévue en septembre.
Le dirigeant communiste lui a offert le tableau d’un artiste cubain, Kcho, qui évoque le thème des clandestins naufragés de la mer, cher à Jorge Bergoglio. Celui-ci a remis à Raul Castro une médaille représentant Saint Martin de Tours, un saint français célèbre pour avoir partagé son manteau avec un mendiant.
Raul Castro sur le chemin de l’Église
Après cette rencontre, Raul Castro s’est déclaré « très frappé », saluant « la modestie et la sagesse » du Pape et assurant qu’il « se rendrait à toutes ses messes » quand il visiterait Cuba ».
« Je lis tous les discours du Saint-Père et [….] si le pape continue à parler ainsi, un jour je recommencerai à prier et retournerai à l’Église catholique. Et je ne le dis pas pour plaisanter », a affirmé le dirigeant cubain.
Les relations n’ont pas toujours été harmonieuses entre Cuba et le l’Église catholique. Devenue aujourd’hui un partenaire incontournable dans le dialogue politique, elle a longtemps été combattue par le régime castriste.
Dans les années 1960, l’Église manifeste son opposition au nouveau régime communiste, déclenchant la fureur de Fidel Castro, qui expulse une centaine de religieux et nationalise de nombreux biens lui appartenant. Une délicate cohabitation s’ensuit.
En 1996, Fidel Castro se rend au Vatican pour rencontrer Jean Paul II. Un rapprochement est amorcé et l’Église commence à s’imposer comme interlocuteur du régime communiste à partir de la visite de Jean-Paul II en janvier 1998.
Rôle déterminant de l’Église cubaine
Seule institution reconnue et non officielle à Cuba, l’Église catholique voit sa légitimité entérinée lorsque Raul Castro la choisit comme interlocutrice lors d’un dialogue inédit lancé le 19 mai 2010, qui débouche sur la libération de quelque 130 prisonniers politiques en 2010 et 2011.
Les religieux cubains obtiennent l’engagement des autorités sur la fin du harcèlement contre les « Dames en blanc », un groupe rassemblant épouses et proches d’ex-prisonniers politiques cubains.
De son côté, l’Église apporte son appui aux réformes économiques lancées par Raul Castro. En retour, le gouvernement facilite ses activités sociales: accès aux médias d’État, diffusion de revues ou lettres paroissiales, ouverture à l’automne 2010 du premier séminaire à Cuba depuis un demi-siècle.
En mars 2012, Raul Castro reçoit à Cuba le pape Benoît XVI, qui s’était également entretenu avec Fidel Castro, du même âge que lui. Le souverain pontife avait alors appelé les autorités cubaines à respecter « les libertés fondamentales » et condamné l’embargo économique imposé à Cuba par les États-Unis depuis 1962.
En 2014, le pape François écrit aux présidents Raul Castro et Barack Obama pour les enjoindre « à résoudre des questions humanitaires d’intérêt commun comme la situation de certains détenus, pour ouvrir une nouvelle phase dans les relations entre les deux pays ».
La médiation entre Cuba et l’administration américaine est un grand succès pour la diplomatie discrète du Saint-Siège. Elle a un fort impact sur le continent latino-américain, majoritairement catholique, d’où vient pour la première fois de l’histoire un pape.
U.S. President Barack Obama and Cuban President Raul Castro sat down on Saturday afternoon for talks in a meeting that made history as the first between the leaders of the two old Cold War adversaries for more than half a century.
On Friday evening, the two leaders shook hands. They met at The Summit of the Americas in Panama.
It was their first formal meeting in more than half a century, states the New York Times. The meeting cleared the way for a normalization of relations that had seemed unthinkable to both Cubans and Americans for generations.
In a small conference room in a Panama City convention center on Saturday, President Barack Obama and Cuban President Raul Castro sat side by side. Obama said he wanted to « turn the page » on old divisions, although he acknowledged that significant differences between the governments would remain.
Après plus d’un demi-siècle de Guerre froide et moins de deux ans après avoir entamé des pourparlers tout d’abord secrets, les États-Unis et Cuba sont sur le point d’ouvrir des ambassades dans leur capitale respective. Si ce rapprochement est le choix de la raison, les Cubains peinent encore à y croire et, surtout, à penser que cela améliorera leur quotidien. [L’analyse] C’est un frêle vieillard aux longues mains parcheminées, épuisé par des heures d’attente sous le soleil brûlant de La Havane. Le vieux Julio attend l’Oncle Sam. Le voici justement, en la personne de la Section des intérêts des États-Unis (qui fait office d’ambassade officieuse américaine) aux confins du Malecon, le front de mer de la capitale et du détroit de Floride qui dévore toujours, chaque jour, son lot de balseros, ces clandestins fuyant l’île sur des barques de fortune. L’Amérique est à portée de main pour Julio et il…
Le président Juan Manuel Santos lors de sa conférence de presse donnée à Bogota, le 16 novembre 2014. REUTERS/Javier Casella/Colombian Presidency/Handout via Reuters
Après l’enlèvement d’un général de l’armée colombienne ce dimanche, le gouvernement de Bogota accuse la guérilla des FARC d’en être responsable et suspend jusqu’à nouvel ordre les négociations de paix, qui se tiennent depuis deux ans à La Havane. Le sujet fait évidemment la Une de tous les journaux colombiens, bien que les quotidiens fassent preuve de beaucoup de prudence dans leur couverture. On n’y trouve pas encore d’analyses sur les éventuelles raisons qui auraient pu pousser la guérilla à enlever un général et mettre ainsi en péril les négociations à Cuba, mais des titres comme celui de Semana qui écrit : « Le président Santos suspend les pourparlers jusqu’à ce que les circonstances de l’enlèvement soient éclaircies ». En effet, souligne El Tiempo, les FARC n’ont pour l’instant pas revendiqué l’enlèvement. Mais la zone rurale près de Quibdó, dans la province du Choco, « est le territoire du Front 34, l’une des unités de combat de la guérilla la plus impliquée dans le narcotrafic. Ses chefs répondent aux ordres d’Isaias Trujillo, qui fait partie de l’équipe des négociateurs des FARC à La Havane ».
Comme l’indique El Tiempo, le général a 55 ans, dont 31 ans passés au service de l’armée colombienne. « Ce père de deux enfants dirige une force spéciale dans la province où a eu lieu son enlèvement. Il est connu dans les rangs militaires pour sa grande expérience. Et personne ne comprend pourquoi il ne portait pas d’uniforme au moment de sa capture ». Enfin, El Espectador annonce que « le ministère colombien de la Défense a mobilisé toutes les unités militaires disponibles pour partir à la recherche du général Alzate ».
ISIS fighters in Syria have tortured at least four prisoners by waterboarding, The Washington Post reports. One of the victims was the American journalist James Foley, who was later beheaded.
In waterboarding someone gets a cloth over one’s face, then water is thrown over it. This leads to a feeling of drowning. The United States used the method often in Guantánamo Bay, until President Obama banned it.
WASHINGTON, July 17 (RIA Novosti) – The agreement between Russia and Cuba to reopen a Soviet-era intelligence facility in Lourdes near Havana is a way for Russia to « get back at the Americans » in light of Moscow’s strained relations with Washington, Tom Wheeler, an independent political expert and former South African diplomat, told RIA Novosti.
“The reached agreement indicates that Russia is intent on extending and increasing its interests and influence in the backyard of the US – in Latin America,” said Wheeler, former South African ambassador in Azerbaijan, Turkmenistan, Uzbekistan, Kyrgyzstan, Tajikistan, and Turkey.
“In the context of the US sanctions over Ukraine, this is a way of ‘getting back at the Americans,” he said.
Russia’s Kommersant business daily reported Wednesday that Russian President Vladimir Putin signed the deal during his visit to Cuba last week. Putin denied the information.
The USSR’s largest facility of this kind opened in 1967 and allowed to control American radio and telephone communications. The facility shut down in 2001 due to financial issues and a request by the US.
“The tense relations between Russia and the US over Ukraine make such an agreement with Cuba as a near neighbor of the US unsurprising,” Wheeler said.
“[The fact that] the US has not restored normal relations with Cuba after nearly 60 years makes such an agreement even more likely,” he added.
The former diplomat added that stories of nations spying on each other have become commonplace since the case of the National Security Agency contractor and whistleblower Edward Snowden, who published secret US government documents last year, gained publicity.
“If anything, this could raise the temperature between the US and Russia even more,” he said, adding, “Everybody is doing it. Why should anyone be surprised?”
Cuba remains one of Russia’s key allies in the region, with trade between the two nations topping $200 million last year. Last week, Putin also signed a law writing off 90 percent of Cuba’s unpaid Soviet-era debt.