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La lanceuse d’alerte Stéphanie Gibaud devant les statues d’Edward Snowden, Julian Assange et Chelsea Manning, près du centre Pompidou à Paris, en septembre 2015.
En procès contre UBS, la lanceuse d’alerte Stéphanie Gibaud dénonce «l’absence de l’Etat français»
L’État français m’a transformée en agent de renseignement à l’intérieur d’une banque étrangère. Ils m’ont mise en risque et pour cela, ils auraient dû me protéger°°°°
A l’origine des poursuites de la justice française contre le colosse financier, il y a des lanceurs d’alerte.
Un autre exemple de lâchage par les sbires de Bercy
L’histoire d‘un homme ordinaire devenu presque par hasard agent secret
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Un tel spectacle est le fidèle reflet de la désintégration de la France dite d’en haut
Maxime Tandonnet - Mon blog personnel
Pour être franc, je n’ai pas regardé les César. Les compte-rendu de presse et de larges extraits en vidéo sur la cérémonie d’hier soir montrent un feu d’artifice de clichés idéologiques et fanatiques, de grossièreté, de scènes salaces et affligeantes largement dignes du petit monde de Sanary-sur-Mer. L’émission n’était pas interdite au moins de 12 ans que l’on sache et des enfants pouvaient se trouver devant les écrans. Les participants à ce festival de vulgarité se croient sûrement modernes et créateurs mais ne se rendent pas compte à quel point ils sont juste les reflets de la médiocrité ambiante. Un tel spectacle est le fidèle reflet de la désintégration de la France dite d’en haut, bien au-delà du seul cinéma et du show biz, un univers médiatique et politique envahi par le nihilisme, le chaos mental, la perte des repères de l’intelligence, du bon goût et de la…
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L’ancien commandant en second de la compagnie de gendarmerie départementale de Beaune, en Bourgogne, a décidé de rompre le devoir de réserve pour dénoncer l’explosion de la délinquance et les manquements de la justice.
L’ énarque ex stagiaire du Budget, l’ex directrice générale déléguée de la SNCF, la locataire de l’hôtel de Brienne refuse la réalité du terrain et a préféré blâmer le capitaine Hervé Moreau qui a eu l’outrecuidance d’écrire «La violence qui gangrène aujourd’hui notre société, comme en témoignent les récentes affaires d’affrontements entre bandes rivales dans les quartiers dits sensibles, mais aussi dans les zones rurales ou périurbaines, n’arrive pas à être prise en compte de manière judiciaire».
Il vient de sortir Vérités d’un capitaine de gendarmerie, un brûlot édité à compte d’auteur et déjà vendu à plus de 5000 exemplaires sans aucun diffuseur.
Le silence de l’ensemble de ses collègues est inquiétant! Cautionnent-ils le fait que la vérité qui dérange doit être écartée!
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