Archives de la catégorie ‘Côte d’Ivoire’

CÔTE D’IVOIRE (Attaque de Bouaké): Michèle Alliot-Marie

accusée d’avoir «saboté» l’enquête

L’ancienne ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie a toujours nié tout blocage de la procédure, militaire comme judiciaire, concernant l’attaque de Bouaké en 2004.
© Reuters/Gonzalo Fuentes

Le 6 novembre 2004, il y a 10 ans, dix personnes – neuf soldats français et un civil américain – étaient tuées à Bouaké, en Côte d’Ivoire, dans l’attaque du camp militaire de la force Licorne. La réaction de l’armée française, qui détruit la quasi-totalité de l’aviation ivoirienne, conduit alors à des troubles dans lesquels près de 60 personnes seraient mortes. Dix ans après, l’enquête sur l’attaque du camp est toujours au point mort. Un avocat accuse les autorités françaises de bloquer le dossier.

Le 6 novembre 2004, la force Licorne, basée dans le lycée Descartes de Bouaké, est attaquée par deux avions de chasse : des Soukhoïs, pilotés par des mercenaires biélorusses et des copilotes ivoiriens. En réaction, l’armée française détruit la quasi-totalité de l’aviation ivoirienne. Une réaction qui entraîne à son tour de graves troubles et des manifestations à Abidjan. Le 9 novembre 2004, l’armée française tire sur la foule devant l’hôtel Ivoire. Près de 60 personnes sont alors tuées, d’après l’association Survie.

En Côte d’Ivoire, aucune action judiciaire n’est en cours sur tous ces événements. En France, les familles des militaires tués n’ont toujours pas d’explications sur l’attaque de Bouaké.

 Familles de militaires en colère

1 800 pages : le dossier judiciaire sur l’attaque de Bouaké est gigantesque. Mais dix ans après les événements, impossible de savoir qui a ordonné l’attaque du camp français.
L’un des avocats des familles des militaires tués, Jean Balan, estime que les juges ont fait un travail exemplaire mais que les autorités françaises, au contraire, bloquent le dossier. Il accuse notamment Michèle Alliot-Marie, à l’époque ministre de la Défense, d’avoir « saboté toute l’enquête judiciaire », et regrette que « dans l’affaire de Bouaké, on refuse la justice aux victimes ».

L’avocat décrit des familles de victimes en colère : « Ils savent pertinemment qu’on se moque d’eux. Ils ont un sentiment de profonde colère, parce que leurs enfants ou leurs maris sont morts à cause d’une bavure. Les morts n’étaient pas voulues, mais l’attaque était voulue », estime maître Balan.

L’avocat accuse notamment l’ancienne ministre de la Défense d’avoir laissé partir les pilotes des avions de combat – des mercenaires biélorusses – qui ont frappé le camp français. « On a tout fait pour les empêcher de parler, alors qu’ils étaient totalement à la disposition des autorités françaises ».

Absence de mandat d’arrêt

Michèle Alliot-Marie a toujours nié tout blocage de la procédure, militaire comme judiciaire. L’ancienne ministre de la Défense n’a pas souhaité s’exprimer directement au micro de RFI, laissant son porte-parole Florimont Olive donner sa version. « Michèle Alliot-Marie a pris connaissance avec consternation des propos de maître Balan », fait savoir ce dernier. Sur le point précis des pilotes, Michèle Alliot-Marie affirme qu’il fallait un mandat d’arrêt pour les arrêter : « Ces accusations sont totalement infondées, il n’y avait pas de mandat d’arrêt international », poursuit Florimont Olive.

D’après différentes sources, notamment judiciaires, l’Etat français pourrait proposer une solution à l’amiable aux familles des militaires tués, afin de mettre un terme à ce dossier ultra-sensible.

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« BOUAKE, un crime » – Entretien N°2 avec Maitre BALAN – CÔTE D’IVOIRE

Le 6 novembre 2004, l’aviation de la CÔTE d’IVOIRE bombarde une base française à Bouaké faisant 10 morts dont 9 français et des dizaines de blessés.
De nombreuses anomalies accompagnent l’instruction judiciaire et militaire sur ces faits.

Aujourd’hui, la version officielle est largement contestée.

REGARDER:

http://dai.ly/x10qegb

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On en reparle dans le journal du 2 février, de la minute 18 à la minute 25

Le MEDIA: le journal du 2 février 2018

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Abidjan, Paris, La Haye. Sur cette route transcontinentale se croisent quelques figures de la vie politique ivoirienne, à commencer par certains candidats à l’élection présidentielle contre Alassane Ouattara. Il en va ainsi de deux des quatre « irréductibles » du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).

Après avoir dîné dimanche 22 mars dans un restaurant discret de Neuilly-sur-Seine, l’ancien premier ministre Charles Konan Banny et le député de Port-Bouët (commune d’Abidjan), Kouadio Konan Bertin (KKB), se sont croisés deux jours plus tard dans les couloirs austères de la prison de Scheveningen, dans une banlieue cossue de La Haye.

C’est là qu’est incarcéré l’ancien président Laurent Gbagbo depuis le 30 novembre 2011, dans l’attente de son procès devant la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité. L’homme lit beaucoup, des ouvrages d’histoire ou d’actualité mais aussi ses propres livres et discours, suit avec obsession l’évolution de la situation politique ivoirienne dont il discute avec son fidèle Charles Blé Goudé, l’ancien leader des Jeunes patriotes ivoiriens.arton39208

Tous deux seront d’ailleurs jugés ensemble par la CPI. Ils échangent parfois un regard avec l’esseulé Dominic Ongwen, ancien cacique de la sanguinaire Armée de résistance du Seigneur (LRA) qui ne parle ni anglais ni français. Régulièrement, les deux hommes convient à dîner le Congolais Jean-Pierre Bemba. Tout comme Gbagbo avec son parti, le Front Populaire Ivoirien (FPI), Bemba suit les soubresauts politiques de son pays, d’autant qu’il n’a pas écarté un retour et qu’il tente de diriger à distance son Mouvement de libération du Congo.
En quête du soutien de Gbagbo et des voix du FPI

« Je suis malheureux de constater que la plupart des détenus de la CPI sont des Africains, ça me ruine le cœur », confie Charles Konan Banny, délaissant un temps ses manières d’aristocrate. Chargé dès 2011 par le président Alassane Ouattara d’orchestrer le processus de réconciliation nationale, il n’avait pas pu se rendre à La Haye dans le cadre de sa mission. « Cela ne convenait pas au président », se justifie-t-il. Aujourd’hui, le candidat à la magistrature suprême âgé de 72 ans est venu saluer son vieux camarade de lycée avec qui il aimait à taper dans le ballon : Laurent Gbagbo, le fourbe ailier gauche d’autrefois.
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« Je n’y suis pas allé pour chercher son soutien à ma candidature, mais en tant que serviteur de l’Etat. J’ai passé l’âge de faire de la politique politicienne, se défend celui qui avait appelé à voter Ouattara au second tour de l’élection présidentielle de 2010. Pourtant, il s’agit bien là de politique. Qu’on le veuille ou non, Laurent Gbagbo, qui n’a pas fini d’écrire son histoire, est une icône en Côte d’Ivoire. On ne peut pas nier son influence et la réconciliation ne peut pas se faire sans lui ».

Même mélodie du côté du fougueux KKB, 46 ans, qualifié de « soldat perdu du PDCI » par Henri Konan Bedié, l’indéboulonnable chef de son parti qu’il combat aujourd’hui et tacle sans retenue. « La situation de Gbagbo ne peut pas servir de fonds de commerce politique, lâche d’emblée celui qui a pourtant largement communiqué sur sa seconde visite à La Haye dans la presse ivoirienne. Ce déplacement s’inscrit dans une démarche de recherche de la paix en Côte d’Ivoire. ». Et d’ajouter, non sans arrière-pensée arithmétique : « Gbagbo est incontournable et représente près de 47 % des voix [résultat de Laurent Gbagbo à l’élection de 2010] ».

De son côté l’ancien ministre des affaires étrangères, Amara Essy, a choisi une approche plus discrète et diplomatique à l’égard de Laurent Gbagbo, qui fut son voisin de chambre à l’université de Cocody. Les liens sont anciens et indéfectibles, mêlent respect et considération. Il en va de même pour le cofondateur du FPI et ancien chef de la diplomatie de Laurent Gbagbo, Abou Drahamane Sangaré, avec qui Amara Essy a passé une partie de sa jeunesse à Bouaké (centre du pays) et partagé ses livres scolaires.

« Abou Drahamane Sangaré était plus proche de moi qu’il ne l’était de Laurent Gbagbo », note Amara Essy qui se revendique « militant de la libération » de ce dernier. Et ce diplomate de renom qui entre dans le chaudron politique à l’âge de 70 ans, ne se cache pas d’œuvrer auprès de ses interlocuteurs africains et occidentaux pour « parvenir à une solution » pour faire libérer Gbagbo.

S’il ne s’est pas – encore – rendu à la prison de Scheveningen, il est en contact depuis plusieurs mois avec l’ancien président par l’intermédiaire de messagers. « Gbagbo est l’un des hommes les mieux informés de Côte d’Ivoire, et dans son esprit, c’est comme s’il était à Abidjan », explique l’un de ces discrets émissaires proches du FPI coutumier de ces méthodes éprouvées durant la clandestinité.

Le fantasme de Gbagbo

A écouter ces frontistes du PDCI, Laurent Gabgbo, 69 ans, serait de retour au centre de l’échiquier d’une opposition politique ivoirienne profondément divisée, affaiblie, et en phase de recomposition. En quête d’un leader et d’un symbole, ils se tournent, au nom de la réconciliation nationale, vers une personnalité politique accusée de crimes contre l’humanité. Au risque de réhabiliter un ex-président adulé par une certaine frange de la population ivoirienne et de contester une justice internationale d’ores et déjà sous le feu des critiques.

Depuis le 17 septembre, date de l’appel de Daoukro lancé par Henri Konan Bedié en faveur d’une candidature unique du président Alassane Ouattara, la tectonique des plaques politiques provoque secousses et scissions. Les « irréductibles » en sont une conséquence. Et de son côté, le FPI est coupé en deux. Les fidèles à Laurent Gbagbo se sont rangés derrière Abou Drahamane Sangaré, refusant l’autorité du président du parti, l’ancien premier ministre Pascal Affi N’Guessan, accusé de négocier avec le pouvoir. La bataille pour la tête du parti s’est déplacée devant les tribunaux. Mais c’est bien à La Haye qu’elle pourrait être tranchée. Pascal Affi N’Guessan a lui aussi sollicité un entretien avec Laurent Gbagbo.

« Henri Konan Bedié a pour lui le logo du PDCI, de même que Pascal Affi N’Guessan n’a que les trois lettres du FPI, mais pas de véritable soutien, juste quelques militants moutonniers », balance KKB qui salue le « rapprochement de circonstance » entre les « irréductibles » du PDCI et la branche « Sangaré » du FPI, dans la tentative de constitution d’un front « tout sauf Ouattara ». Amara Essy observe, mais reste prudent à l’égard de cet embryon de coalition officialisée le 18 mars. Charles Konan Banny se réjouit de cette « union des démocrates ». Au sein de la majorité au pouvoir, on s’amuse de ces « petites manœuvres ». Un cadre du RDR jette l’anathème sur ces « irréductibles » sans charisme ni popularité.

« Invoquer Laurent Gbagbo n’est qu’un symptôme du désespoir, pathétique », tranche-t-il. « Les frondeurs du PDCI vont chercher la bénédiction de Laurent Gabgbo car ils ont besoin de forces vives et de soutiens pour affronter l’alliance du PDCI d’Henri Konan Bedié et du RDR d’Alassane Ouattara », analyse Mamadou Koulibaly, ancien président de l’Assemblée nationale et lui aussi candidat à l’élection présidentielle sous l’étiquette de son parti, Lider. « Même incarcéré, Gbagbo peut influencer et nul ne l’ignore », ajoute cet ancien cadre du FPI.

Alors, « irréductibles » et frondeurs se tournent vers les Pays-Bas. Abidjan, Paris, La Haye, cette route est devenue celle d’un étonnant pèlerinage de candidats en quête de voix du FPI et de la bénédiction de celui qui est considéré comme un diable par le pouvoir en place.

LE MONDE

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World Vision

Youssouf Bamba à New-York en juin 2014.
Youssouf Bamba à New-York en juin 2014. © UN Photo/Paulo Filgueiras

Retour sur le limogeage de l’ambassadeur de Côte d’Ivoire auprès des Nations unies à la suite d’un couac diplomatique entre Abidjan et Rabat.

C’est une affaire dont les protagonistes auraient sans doute préféré qu’elle ne s’ébruite pas. Et parce qu’elle a fini par coûter son poste à l’ambassadeur de Côte d’Ivoire auprès des Nations unies, Youssoufou Bamba, il est important d’en retracer la chronologie pas à pas.

Tout remonte au 13 octobre 2014. Ce jour-là, lors d’une réunion de la 4e Commission des Nations unies, un conseiller de l’ambassade de Côte d’Ivoire, François-Xavier Zabavy, parle publiquement du Sahara occidental comme du « dernier territoire non autonome d’Afrique ». Inacceptable pour les Marocains, dont la réaction ne se fait pas attendre : dès le lendemain, ils adressent une protestation officielle à la représentation ivoirienne. Mais, assure-t-on au ministère ivoirien des Affaires étrangères et…

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le monde à l'ENVERS

OUATTARA BAFETIGUE ONU UNTC 27-02-2015 S.E. M. Bafétigué Ouattara Ambassadeur Représentant permanent adjoint de la République de Côte d’Ivoire ratifie le Traité sur le commerce des armes

L’éviction de Youssoufou Bamba de la tête de la Représentation de la Côte-d’Ivoire auprès de l’ONU à New-York n’a pas encore fini de révéler tous les secrets. Au fur et à mesure que le temps s’écoule les langues se délient, contredisant la version «officielle» propagée par certains médias.

En effet, le site Inner City Press, sous la plume de Matthew Russell Lee, dans une série d’articles récents nuance la version connue, et attribue à la révocation de M. Bamba à un scandale d’emplois de fonctionnaires de l’ONU vendus par un haut fonctionnaire de l’État ivoirien. Ce haut cadre en mission pour la Côte-d’Ivoire auprès de l’ONU à New-York est le diplomate Bafétigué Ouattara, adjoint de Yossoufou Bamba, que ce dernier n’aurait pas su valablement…

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Depuis la Haye, Laurent Gbagbo se confie : « Affi N’guessan est allé trop loin…»

CONFERENCE DE PRESSE AGO M

Mme Ago Marthe, vice-présidente du Front Populaire Ivoirien (FPI) chargé de la coordination des actions pour la libération du président Laurent Gbagbo était en visite  ce vendredi 20 février 2015 à la Haye où elle a rencontré le président Laurent Gbagbo. Elle a profité de son séjour en Europe pour expliquer ce samedi 21 février à Paris, les causes profondes de la crise qui mine son parti…

« Vous remarquez que je n’appelle plus Affi N’guessan camarade. Je l’appelle monsieur. Cet homme n’a plus sa place parmi nous…» 

Parlant du président Affi N’guessan ce samedi 21 février, AGO Marthe, l’ancienne première vice-présidente de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire n’a pas ménagé ses mots pour fustiger l’attitude de l’actuel président du FPI. AGO Marthe qui sortait d’une visite au président Laurent Gbagbo à la Haye était à cet effet l’invitée de la représentation Fpi-France dirigée par Hortense Adé Assalé.

Devant un public majoritairement acquis à la cause du célèbre prisonnier de Scheveningen et dans une salle archi-comble du 177 de la rue de Charonne dans le 11ème arrondissement de Paris, la vice-présidente du Fpi a expliqué point par point, les tenants et aboutissants de la crise qui secoue son parti. Parlant de sa mission à la tête de la structure mise en place pour piloter la libération de Laurent Gbagbo, AGO Marthe a noté que : « Bien que beaucoup de choses aient été faites, les lignes n’ont pas bougé…» Du coup, consciente de l’importance de sa tâche, la vice-présidente du FPI dit avoir placé sa mission sous le signe du sel et de la lumière

Deux symboles divins dont elle compte s’inspirer pour conduire sans peur cette forte responsabilité.

« Maintenant que le président Laurent Gbagbo a approuvé mon programme de travail, je peux désormais parler et engager le combat. Car, Laurent doit être libéré dans l’honneur et non en prostituant sa lutte…» Puis de poursuivre : « Même si nous avons la gâchette sous la tempe, jamais nous n’allons-nous soumettre…»

UNE CRISE SANS RETOUR ?

Comme il fallait s’y attendre, la candidature de Laurent Gbagbo à la tête du FPI qui cristallise aujourd’hui les débats au FPI et même en Côte d’Ivoire a une fois de plus dominé la rencontre. Donnant même lieu parfois à des échanges tendus entre pro-Affi et pro-Gbagbo. Est-ce que oui ou non, Laurent Gbagbo est lui-même initiateur de sa candidature à la présidence de son parti comme tente de le lui dénier le clan Affi ? Cette question centrale a eu une réponse appropriée de la part de l’invité de la représentation du FPI : 

« Le président m’a dit qu’il s’est lui-même porté candidat pour diriger le FPI. « C’est ici, à ce même endroit que j’ai reçu le notaire pour signer ma lettre de candidature. Je veux reprendre le parti la parce que je considère que Affi est entrain de dénaturer le FPI… » » A confié AGO Marthe comme étant les propres paroles du président Laurent Gbagbo.

Poursuivant son témoignage, AGO Marthe dira que Laurent Gbagbo a aussi fait savoir que l’actuel président du FPI a poussé le bouchon trop loin dans sa croisade contre lui. « Affi N’guessan est allé trop loin…» a confié Gbagbo.

Quel pourrait être alors la suite de cet imbroglio politico-judiciaire qui grève les activités du FPI ? En réponse, la vice-présidente du FPI martèlera tout simplement que les textes du parti sont contre les pro-Affi.

« Nous on brûle d’envie de suspendre Affi (…) Comment voulez-vous continuer à composer avec quelqu’un qui porte plainte contre les structures de son propre parti ? (…) De toutes les façons d’ici le 7 mars Affi va partir…» A-t-elle conclu./.

Source:http://www.eventnewstv.tv/default.php?link=voir_actualite&id=746#.VOnf88dSO9s.facebook

Vidéo : Youtube

source: http://lemondealenversblog.com/2015/02/23/depuis-la-haye-laurent-gbagbo-se-confie-affi-nguessan-est-alle-trop-loin/

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le monde à l'ENVERS

HOLLANDE ADO bercy

Au lendemain du limogeage du président du Conseil constitutionnel ivoirien Francis Wodié, l’Elysée comme on le sait a convoqué d’urgence le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara, pour une séance d’explication. Car ce limogeage est perçu par le Président François Hollande comme un acte de violation de la constitution et la preuve qu’Alassane Dramane Ouattara a l’intention de modifier l’article 35 de la constitution pour se maintenir au pouvoir en 2015, alors qu’il n’est pas éligible.

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le monde à l'ENVERS

CAFE CACAO MANSADJE Massandjé Touré-Litsé, DG du Conseil Café-Cacao (CCC), proche de la présidence ivoirienne.

Plusieurs milliers de tonnes de cacao pré-vendues aux majors du secteur devraient retourner dans l’escarcelle de sociétés proches de la présidence.

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le monde à l'ENVERS

Me Habiba Touré explique dans cette vidéo l’affaire Simone Gbagbo

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Vidéo-Côte d’Ivoire : Simone Gbagbo applaudie au tribunal
C’est ce vendredi 26 décembre 2014, au matin, qu’a débuté le procès de l’ex-Première dame de la Côte d’Ivoire, Simone Gbagbo. A son arrivée au tribunal, celle qui est accusée d’atteinte à la sûreté de l’Etat, a été… acclamée.

Simone Gbagbo est inculpée par la justice ivoirienne, avec 82 dignitaires de l’ancien régime de son mari Laurent Gbago, pour « atteinte à la sûreté de l’Etat ». Ce, pour son rôle dans la crise post-électorale meurtrière de 2010-2011, qui a fait au moins 3 000 morts.

A l’origine de cette crise, un bras-de-fer entre Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara

lire: http://www.afrik.com/video-cote-d-ivoire-simone-gbagbo-applaudie-au-tribunal

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le monde à l'ENVERS

SARKOZY GBAGBO

« Il y a eu une improvisation sur le Mali et la Centrafrique. Je ne dis pas qu’il ne fallait pas intervenir, mais je n’ai toujours pas compris ce qu’on allait y faire. Le Mali, c’est du désert, des montagnes et des grottes. Quand je vois le soin que j’ai mis à intervenir en Côte d’Ivoire… On a sorti Laurent Gbagbo, on a installé Alassane Ouattara, sans aucune polémique, sans rien».

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Né au moment de la conquête française, Dia Houphouët, devenu en 1915 Félix Houphouët, puis Houphouët-Boigny en 1945, domine de sa stature l’histoire de la Côte d’Ivoire du xxe siècle. Produit du système colonial, formé à l’action syndicale, puis politique, dans la coopération avec la métropole, il est, de 1960 à 1993, le premier président de la Côte d’Ivoire indépendante. Il s’efforce d’en faire un État-nation unitaire par l’autoritarisme politique et la modernisation économique et sociale. Même si les bases de ce système se fissurent à partir de 1980, il garde jusqu’à sa mort les commandes d’un pays auquel il lègue un avenir incertain.

Du pays baoulé à l’entrée en politique (1905 ?-1945)

Descendant de notables baoulés, Dia Houphouët, converti au christianisme sous le prénom de Félix en 1915, est formé à l’école de la République française. Comme médecin à partir de 1925, il se signale par sa dénonciation des abus faits aux planteurs africains par la métropole. Devenu en 1939 administrateur de son canton d’origine, il y met en œuvre les principes modernisateurs qu’il appliquera à tout le pays après 1960. Fondateur en 1944 du Syndicat agricole africain, il est en 1945 le seul député autochtone de la Côte d’Ivoire à l’Assemblée constituante française. C’est alors qu’il prend le nom de Houphouët-Boigny (« Bélier »).

L’homme politique incontournable (1945-1960)

Restant député jusqu’à la chute de la IVe République, il conçoit son action politique aussi bien dans le cadre ivoirien, en fondant en 1946 le PDCI (parti démocratique de Côte d’Ivoire), que panafricain, en présidant jusqu’en 1959 le Rassemblement démocratique africain (RDA), et français. D’abord compagnon de route du parti communiste – seule formation politique française anticolonialiste –, il s’en éloigne après 1950. Devenu dès lors l’interlocuteur incontournable de la métropole en Côte d’Ivoire, il est de tous les gouvernements français, de 1956 à 1959. L’un des rédacteurs de la Constitution de la Ve République, favorable à la Communauté franco-africaine prônée par de Gaulle, il se résout néanmoins à proclamer en 1960 l’indépendance de la Côte d’Ivoire, dont il devient, sans surprise, le premier président.

Le président de la Côte d’Ivoire (1960-1993)

Jusqu’en 1980, Houphouët-Boigny règne sans partage sur un pays dont il a réduit toute opposition au silence, par une répression impitoyable. Misant sur la modernisation économique et sociale, il préside au « miracle ivoirien ». Par sa diplomatie panafricaine et pro-occidentale, il se taille une image de « Sage de l’Afrique », qui fait écho à celle du « Vieux », du patriarche bienveillant, qu’il entretient à l’intérieur du pays. Des fissures apparaissent dans ce système cadenassé à l’orée des années 1980, avec le recul des prix des denrées d’exportation et le creusement de la dette extérieure. L’aspiration à la démocratie en profite pour s’exprimer, ce qui le contraint à accepter le pluralisme politique en 1990. La fin de sa présidence est minée par les luttes autour de sa succession et une aggravation de la situation économique qu’il laisse irrésolue à sa mort en 1993.

SOURCE: http://www.larousse.fr/encyclopedie/data/images/1004749-F%C3%A9lix_Houphou%C3%ABt-Boigny.jpg

Depuis la mort de Felix Houphouët Boigny, la Côte d’Ivoire s’est engluée dans une crise militaro-politique, détruisant au passage son économie et la cohésion sociale.

 

L’ESCLAVAGE EST DE RETOUR !

Qui l’aurait cru ? C’est pourtant la réalité, l’esclavage est de retour. Il revient en force sur ses terres historiques, celles de l’islam.

L’esclavage existait avant, c’est entendu, mais il avait une qualité, si l’on peut dire, il n’était pas commercial et au sortir des temps cannibales il avait sauvé des vies.

En effet, les peuples premiers étaient en état de guerre quasi permanente pour divers motifs qui souvent s’enchevêtraient : besoin de nourriture, de territoires de chasse ou de terres cultivables, de femmes, pour la gloire du chef ou satisfaire les dieux et les esprits toujours cruels que l’on passait beaucoup de temps à amadouer avec des sacrifices.

Si le clan ou la tribu vainqueur avait fait des prisonniers, la question se posait de savoir qu’en faire. Si l’un ou l’autre avait une caractéristique intéressante, malformation physique, don de faire rire, connaissance des pratiques des blancs, du dressage des chevaux, des armes à feu par exemple, le chef pouvait décider de le garder, soit comme objet de curiosité, fou du roi en quelque sorte, ou comme conseiller. Mais la règle absolument générale, car ces sociétés étant toujours au bord de la survie ne pouvaient pas nourrir de bouches inutiles, était l’exécution des prisonniers. Et, presque partout, leur consommation alimentaire car, ainsi que l’a écrit Georges Clémenceau, il eut été stupide de laisser pourrir de la bonne viande alors qu’on en manquait cruellement. Avec des mises à mort souvent atroces, comme chez les Maoris néo-zélandais qui parfois épluchaient le prisonnier encore vivant pour récupérer et tanner sa peau, ou les Canaques qui les amputaient au fur et à mesure des besoins pour préserver le plus longtemps possible la fraicheur de cette provision de bouche*.

Puis, avec l’arrivée des pratiques agricoles et des cultures vint le besoin de main d’œuvre, les prisonniers furent gardés comme esclaves. Ils travaillaient en échange de leur vie et il arrivait qu’ils soient enrôlés comme mercenaires dans les opérations guerrières. Chez les Maoris ils étaient appelés « pakehas » et les anglais, quand ils institutionnalisèrent leur présence en Nouvelle-Zélande avec le traité de Waïtangui, découvrirent avec stupeur plus de 1 200 « pakehas » blancs, marins, baleiniers, coupeurs de bois de santal, missionnaires mêmes, qui avaient été capturés et étaient maintenant esclaves guerriers dans les troupes maories.

Les Grecs, les Romains, les Chinois, les Moghols, les Hittites… tous eurent des esclaves pris parmi les prisonniers et les peuples soumis. Ils travaillaient aux champs, comme domestiques, artisans ou guerriers, comme le célèbre prince thrace Spartacus qui fomenta la première révolte d’esclaves à Rome. Chez les Canaques salomonais, les Papous, les Indiens de la région de Vancouver, mais surtout en Afrique, ils pouvaient devenir un stock alimentaire que l’on engraissait pour le vendre au plus offrant. Georges Clémenceau a décrit l’un de ces marchés** où l’on trouvait, encore à la fin du XIXème siècle, des noirs sur lesquels le marchand inscrivait à la craie le morceau demandé par le client et, dès que l’homme ou la femme était tout entier pré-vendu, on lui tranchait la tête et on le découpait pour distribuer les morceaux aux acheteurs. Les têtes étaient vendues à part.

 

clemmi.jpgExposition-vente de têtes à Bakel, frontière du Sénégal et du Soudan, photo ministère des colonies, reproduite par l’Illustration, 1891

 

C’est aux commerçants arabes que l’on doit l’organisation quasi industrielle de l’esclavage, avec la capture ou l’achat au chefs de tribus d’hommes, de femmes et d’enfants, leur transfert par caravanes, la castration dans des charcuteries spécialisées, le tri, l’exportation par bateaux entiers d’Africains pour l’essentiel, d’Européens en moindre quantité mais qui valaient plus cher, surtout les femmes originaires des Balkans, mais aussi d’autres Arabes et de diverses ethnies sémites et aryennes s’ils n’étaient pas convertis à l’islam.

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Les royaumes et empires africains ont largement alimenté ce commerce et certains, comme le Bénin, le Togo ou le Monomotapa (actuel Zimbabwe) ont bâti leur puissance par l’exportation d’esclaves. Si les livres d’histoire de nos petits écoliers n’étaient pas censurés, ils apprendraient cela à l’école.

 

 

images.jpegC’était parfaitement légal puisque le Coran et divers hadiths légifèrent sur le sujet. Ainsi le bon musulman peut s’il en a les moyens acheter quatre femmes et des maîtresses, violer et jouir sans entraves de toutes les esclaves de sa maison.

À partir du XVIème siècle, ils ont trouvé un nouveau débouché commercial avec les besoins en main d’œuvre de l’Amérique hispanique, portugaise, française et anglo-saxonne. Ce marché esclavagiste-là fut assez rapidement aboli, mais suscite la haine de madame Taubira qui, par contre, ferme les yeux sur la continuation jusqu’au milieu du XIXème siècle du commerce esclavagiste arabo-méditerranéen, dit « barbaresque », que la France en allant au Maghreb en 1835 arrêta manu militari.

L’ONU a exigé de tous les pays membres qu’ils cessent l’esclavage et officiellement tous l’ont fait, mais parfois en trainant les pieds, comme la Mauritanie qui l’a aboli en 1981, mais voté la loi le sanctionnant seulement en 2007 ! Il y reste encore entre 400 et 700 000 esclaves « haratines », ou « maures noirs », dont l’aristocratie arabe « bidhans » est propriétaire.

La plupart des pays de l’arc musulman africain qui va de la Mauritanie à Zanzibar en passant par le Soudan tolèrent encore l’esclavage, de même que les pays du golfe sous des formes modernisées. Mais il existe encore sous la forme archaïque dans plusieurs pays, entre autres au Tchad et au Mali, pays protégé de notre président.

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« Au Mali, l’esclavage est un tabou absolu, un abcès qui ronge la société. A l’exception de quelques ethnies du Sud, il se pratique encore dans quasiment toutes les communautés. Les chiffres sont effarants. « Il y a au moins 300 000 esclaves à part entière (sic) dans le pays », assure Naffet Keïta, anthropologue à l’université de Bamako » (L’Express 17 mai 2013).

Il ne s’agit pas d’esclaves importés avec des contrats, mal payés, sur-exploités, battus et violés quand ce sont des femmes, comme dans les pays de la péninsule arabique, nos alliés qataris et saoudiens, mais de vrais esclaves « à part entière » comme dit l’Express qui a raconté l’histoire d’une esclave évadée : « Dès l’âge de 7 ans, elle avait été arrachée à sa famille, avec ses trois frères, par un Touareg de rang noble de la tribu des Icherifen. Durant quinze années, elle s’est ensuite éreintée à puiser de l’eau pour les dromadaires, à les soigner, à faire la cuisine et le ménage pour ses « patrons » et leur progéniture. Sans avoir droit à autre chose que les restes des repas... » Si elle avait fait des enfants, ils auraient été la propriété du maitre, d’ailleurs certains en font faire à la chaine par leurs esclaves femmes, pour les revendre.
Ça se passe au Mali, aujourd’hui.

À Zanzibar, où Laurent Fabius aime prendre quelques jours de vacances de temps en temps, si vous agitez un billet de 50 $ sous le nez d’un chauffeur de taxi en lui disant que vous voulez voir le marché aux esclaves (qui, officiellement n’existe pas), il vous conduira dans une charmante boutique comme celle-ci :

 

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Le chiffre exact d’esclaves en Afrique musulmane est difficile à cerner, mais les ONG qui s’en préoccupent l’estiment à 15 millions.

 

 

 

Encore plus au niveau mondial, si l’on y ajoute les esclaves des pays d’Asie comme l’Inde (environ 5 millions) et la Chine (environ un million), surtout dans les Etats du centre et du nord de la Chine où ils sont « ouvriers » dans des cimenteries et briqueteries. La Russie est considérée comme État esclavagiste car elle fait travailler ses prisonniers, contrairement aux pays occidentaux où ils son nourris, logés, blanchis et distraits aux frais des contribuables.

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esclaves chinois

Cet esclavage-là dure encore mais était en voie de récession lente et sûre sous la pression de l’ONU et des pays occidentaux. Or il est actuellement relancé par les musulmans fondamentalistes et c’est avec regret que je le constate : les musulmans « modérés » ne le condamnent pas ou seulement du bout des lèvres, non plus que nos viragos des droits de la femme et des homosexuels, mesdames Belkacem et Taubira.

Boko Haram au Nigeria et les autorités du califat Irako-syrien annoncent ouvertement qu’ils capturent des femmes pour les vendre à des notables musulmans ou les mettre dans les bordels djihadistes où elles retrouvent quelques petites idiotes blanches fraichement converties que les « grands frères » des cités ont convaincues de s’y rendre volontairement pour le plaisir des guerriers de l’islam. Tout le monde le sait, mais nos autorités politiques et féministes traitent le sujet comme s’il s’agissait d’une charmante coutume musulmane, et madame Taubira a déclaré qu’il ne fallait pas en parler car « on n’a pas le droit de charger de ce fardeau les jeunes de nos cités« .

D’ailleurs, comme il faut excuser l’esclavage islamique pour ne pas froisser « certaines communautés », les intellectuels socialistes trouvent des mots et des périphrases issus du politiquement correct pour adoucir la dénonciation de l’esclavage actuel, comme l’expression « esclavage par ascendance », une vieille coutume ancestrale qui va de père en fils et se transmet de bouche édentée à oreille sale, alors respect s’il vous plait !

Ainsi, au Mali, « Ce phénomène, ancré depuis des siècles, est qualifié d' »esclavage par ascendance » : « La condition servile se transmet par la mère, tout enfant né d’une femme esclave le sera à son tour, quel que soit le statut de son père. » (L’Express) Donc cette charmante coutume « ethnique » et « par ascendance » ne peut être critiquée, d’ailleurs les esclaves ne sont-ils pas « assimilés culturellement » ? Si c’est « culturel », madame Filipetti ne peut, comme mesdames Taubira et Belkacem, que trouver ça très bien. « Ainsi, de génération en génération, ces enfants deviennent les serviteurs des descendants du maître. Ils sont leur propriété, à l’instar d’un animal ou d’un objet. Certes, ils sont assimilés culturellement – les Bellahs parlent tamacheq, la langue touareg ; les Harratines sont arabophones ; les Dyons connaissent le bambara***… – et vivent auprès de leurs maîtres, mais ils n’ont aucun droit. L’esclave ne possède rien, n’hérite de rien, il ne peut pas se marier librement et ses enfants peuvent lui être pris à tout moment. Il y a aussi les brimades, les humiliations, les mauvais traitements. Sans compter les coups, parfois mortels, le droit de cuissage et les viols« .

Aux yeux de nos maitres politiques actuels, les maitres esclavagistes sont musulmans, donc intouchables.

 

Maurice D.

 

*   Guerres indigènes en Océanie, éd. Dictus publishing, en vente sur Amazon

** Horreurs coloniales, Georges Clémenceau : www.heresie.com/clemenceau.htm

*** Le bambara est la langue du président malien Ibrahim Boubacar Keita

SOURCE: « article paru sur Minurne-Résistance www.minurne.fr »

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En tout état de cause, Michel GBAGBO se réserve le droit de saisir la justice pour dénoncer les empêchements dont il a été victime et qui ne sont animés que par la volonté de laisser certains dans l’impunité.

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Tant mieux et merci Edwy Plenel!

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