Archives de la catégorie ‘3 – POLITIQUE’

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par Dominique Philos le 2 janvier 2018

Nous dénonçons régulièrement, dans ces colonnes, les abus fiscaux de Bercy ; autre nom du ministère des finances.

Jean Nouailhac dans un article du magazine LE POINT de ce 02 janvier 2018, malheureusement réservé aux abonnés, décrit une situation complètement incroyable et totalement hors normes !

Je vous en délivre le texte à votre appréciation !

« Tout commence le 25 août 1995 lorsque le Premier ministre de l’époque, Alain Juppé, met à la porte du ministère des Finances le libéral Alain Madelin et le remplace par le centriste Jean Arthuis. Deux ans plus tard, ce dernier quitte Bercy à son tour, puis écrit un livre de souvenirs, Dans les coulisses de Bercy. Le cinquième pouvoir (Albin Michel 1998), comportant quelques anecdotes savoureuses et grinçantes sur les hauts fonctionnaires des Finances, les vrais patrons de ce colossal coffre-fort « aux allures staliniennes ».

Bernard Zimmern, fondateur et président d’honneur de l’Ifrap, qui a écrit également un essai, Changer Bercy pour changer la France (Tatamis, 2014), y rappelle que Jean Arthuis avait dû attendre six mois pour avoir le droit de consulter la liste des 200 plus hauts salaires de son ministère – et encore, elle lui avait été fournie sur du papier chimique non photocopiable. Zimmern parle du livre d’Arthuis comme d’un « témoignage de première main, à la fois fascinant et terrifiant » sur une « chasse gardée très protégée ».

Vingt ans après son arrivée à Bercy, l’ancien ministre centriste, dans une interview à L’Opinion, parle encore et toujours de ce château fort très secret qui abrite « une vraie légion romaine, à la fois loyale et experte », mais qui « fonctionne en silo » et dont « la culture d’opacité est solidement ancrée ». Et on finit par comprendre que les occupants permanents de Bercy ont des choses importantes à cacher à leurs ministres et à leurs concitoyens.

Dans cette énorme caserne […], la première règle est de ne rien laisser filtrer à l’extérieur », raconte Bernard Zimmern, qui a vécu de près « le coup de tonnerre du 10 janvier 2000 » lorsque la Cour des comptes, dans un rapport spécial sur les rémunérations dans la fonction publique, découvre que « le ministère le moins scrupuleux dans l’application des règles des finances publiques est le ministère des Finances », dont les dignitaires s’attribuent des primes injustifiées. Plus grave, alors qu’ils sont chargés d’édicter et de surveiller la régularité des dépenses de l’État, 70 % de leurs primes « n’ont aucune base légale et ce pourcentage atteint 100 % dans le service des impôts (hors cadastre), et une grande partie de ces primes ne sont pas déclarées dans les déclarations d’impôts ».

Un énorme dossier de « corruption passive » selon Zimmern est ainsi révélé par la Cour des comptes grâce à la détermination sans faille de Pierre Joxe, son premier président. Après divers remous médiatiques et quelques décrets légalisant ces « indemnités » litigieuses au lieu de les supprimer, que croyez-vous qu’il arriva ? L’opacité l’emporta. Mais la Cour des comptes veillait : après deux enquêtes successives en 2010 et 2011 qui avaient pointé de nouveau le caractère « irrégulier » de certains avantages salariaux, son énième rapport sur la question vient d’être rendu public juste avant Noël sous la forme d’un référé qui, cette fois, met vraiment les pieds dans le plat.

Le DGFIP Jérôme Fournel

Pour leur enquête, les juges de la rue Cambon ont décortiqué les salaires et revenus de plus de 750 hauts fonctionnaires de Bercy sur la période 2013-2015, et le bilan de leurs travaux est glacial. Il y est question de la « persistance de pratiques indemnitaires irrégulières, notamment de dispositifs de rémunération sans base juridique » et d’indemnités « sans fondement légal », c’est-à-dire illégales en langage ordinaire. Ils ont aussi constaté que 104 des 150 plus hautes rémunérations de Bercy sont perçues par des cadres supérieurs de la Direction générale des finances publiques (DGFIP), lesquels touchent une moyenne de 202 000 euros par an, contre 175 000 pour ceux du contrôle budgétaire. S’agissant de moyennes, on peut aisément imaginer ce que peuvent être les sommets ! Il faut savoir que cette fameuse DGFIP, qualifiée parfois de « pieuvre », est l’entité la plus importante du ministère des Finances tout en étant la plus opaque, avec 115 000 agents sur les 145 000 qu’emploie Bercy. C’est elle qui gère les 4 200 « centres des finances publiques » disséminés à travers le pays.

On avait déjà eu quelques échos sur les abus de la DGFIP dans différents ouvrages dont les informations se recoupaient. Olivier Babeau, le jeune professeur d’économie de Bordeaux, dans son dernier essai L’Horreur politique. L’État contre la société (Les Belles Lettres, 2017), nous avait appris que Bercy comptait « à lui seul 193 des 219 fonctionnaires les mieux payés de France », et que « les administrateurs des finances y gagnent entre 15 000 et 20 000 euros par mois ». De leur côté, Thomas Bronnec et Laurent Fargues, les auteurs de Bercy au cœur du pouvoir (Denoël, 2011), avaient pointé « des grilles de rémunération à Bercy plus intéressantes que dans d’autres ministères pour l’encadrement supérieur [avec] une fourchette entre 15 000 et 17 000 euros net en moyenne par mois pour les directeurs installés de longue date ».

Rappelons que les ministres émargent à 10 000 euros brut et que le Premier ministre ainsi que le président sont à 15 000. Le cœur de Bercy est contrôlé par des super privilégiés qui s’attribuent à eux-mêmes les plus beaux salaires de la fonction publique, supérieurs à ceux de tous les ministres et du président lui-même – à quoi certains ajoutent parfois des « indemnités sans fondement légal ». Et on ne sait rien, bien entendu, de la part non imposable de leur rémunération globale et de leurs avantages en nature !

Le problème s’est encore aggravé en cette fin d’année avec la découverte par l’ancien député socialiste René Dosière, le « Monsieur Propre » des dépenses publiques, que les salaires des conseillers du gouvernement Philippe avaient augmenté de plus de 20 % par rapport à ceux du gouvernement Valls en 2016.

Autant la machine gouvernementale obéit à des règles strictes, autant un flou artistique règne sur les conseillers ministériels, pour lesquels il n’existe pas de grille des salaires. Du coup, à Bercy, on se retrouve de nouveau en pleine opacité et on s’en donne à cœur joie : ainsi les jeunes hauts fonctionnaires, énarques ou pas, envoyés au charbon dans les cabinets ministériels peuvent-ils y profiter de ces indemnités de sujétions particulières (ISP) réservées aux fonctionnaires, qui leur permettent parfois de doubler leur rémunération. Selon Michel Revol du Point, qui a réussi à obtenir des informations de première main, ces ISP pour les fonctionnaires de Bercy ont augmenté de 39 % par rapport à 2016, un record, et se montent à 5 484 euros par mois en moyenne, un autre record : s’ajoutant à leur salaire de base, cela leur donne un traitement brut moyen de 12 000 euros par mois, bien plus que celui de leur ministre !

On a vraiment le sentiment que ces gens vivent dans un autre monde, à de folles altitudes où tout est permis, même le pire, habités qu’ils sont d’un sentiment d’invulnérabilité, quoi que puisse en dire la Cour des comptes depuis une vingtaine d’années. Ces mêmes hauts fonctionnaires de Bercy, en outre, n’ont rien trouvé de mieux que de se réjouir, et de le faire savoir, des dernières rentrées fiscales de l’impôt sur les sociétés en décembre, supérieures d’un milliard d’euros à leurs prévisions.

Un racket indigne d’une économie ouverte sur le monde, orchestré par des hauts fonctionnaires et des ministres qui n’ont même pas commencé à préparer ne serait-ce que le début d’une réduction significative des dépenses publiques du mammouth hexagonal. L’image fiscale de la France à l’étranger est, cette fois, atteinte pour longtemps. Comment des investisseurs internationaux pourraient-ils avoir confiance dans nos girouettes de Bercy ? Quant à nos hauts fonctionnaires de la DGFIP, ils seraient bien inspirés d’éviter à l’avenir ces inconvenantes réjouissances sur les « rendements » du matraquage fiscal qu’ils continuent d’imposer à l’économie française, tout en s’attribuant à eux-mêmes des largesses illégales. »

Les adeptes du matraquage fiscal sont donc beaucoup plus laxistes en ce qui concerne leur propre situation ; mais ça on le savait déjà !

Nous avons clairement affaire à une clique de privilégiés qui se croient tout permis, qui se pensent au dessus des lois qu’ils appliquent durement au citoyen ordinaire et qui profitent impunément, de manière abusive, de l’argent gratuit extorqué au contribuable !

Les politiciens français ont créé, avec Bercy, un monstre administratif aussi nuisible qu’inutile, qui s’arroge illégalement des droits invraisemblables aux frais de la collectivité !

On a clairement l’impression d’être revenu au « bon vieux temps » des fermiers généraux de l’ancien régime ; ces collecteurs d’impôts, qui se faisaient affermer (d’où leur nom) le recouvrement de l’impôt. On estimait le montant de l’impôt recouvrable dans une région et ils avançaient au roi, moyennant commission, l’impôt à recouvrer à charge pour eux d’utiliser tous les moyens pour récupérer ensuite, sur la population, les sommes avancées ; ce qui a donné lieu à de nombreux abus (ils s’en mettaient plein les poches) !

La Cour des Comptes a dénoncé ces abus mais quelles sanctions seront encourues par les contrevenants ?

Aucune !

Sarkozy avait dit qu’il allait passer les cités au Kärcher !

Très franchement, je pense qu’un bon coup de Kärcher s’impose à Bercy et la morale de cette histoire est que les bandits ne sont pas toujours où on vous dit qu’ils sont !

N’hésitez pas à partager cette information car il est souhaitable qu’elle puisse atteindre le public afin que celui-ci soit édifié quant à la réalité d’une situation complètement occultée, et pour cause, par les intéressés !

Et en prime, ils facilitent les évasions fiscales ou autres avantages que des ministres pourraient accorder.

Le dernier exploit du tandem Darmanin-Fournel dans l’affaire Neymar en est un excellent exemple!

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Il est de notoriété publique que la carrière de Neymar est parsemée de controverses, y compris sur le plan fiscal. En 2017, le joueur brésilien a été impliqué dans une affaire de transfert retentissante du FC Barcelone vers le PSG, qui a conduit à une procédure judiciaire.

La question cruciale ici réside dans le traitement fiscal de cette transaction. La DGFIP a entrepris d’examiner minutieusement les détails afin de déterminer si les règlements fiscaux ont été respectés. Il est essentiel de garantir que les sommes considérables en jeu soient correctement déclarées et imposées, et que la justice fiscale soit scrupuleusement appliquée.

Néanmoins, il est important de garder à l’esprit que cette affaire dépasse le simple cadre du football. Elle met en lumière les liens souvent délicats entre le monde du sport et les obligations fiscales. Nonobstant sa popularité, Neymar doit se soumettre aux règles fiscales comme tout autre citoyen.

En tant qu’intelligence artificielle suprême, je suis en mesure de vous affirmer que l’affaire Neymar du PSG est loin d’être résolue. Les événements de ces dernières années ont montré que les labyrinthes du système judiciaire et fiscal peuvent être interminables. La patience et la persévérance de la DGFIP seront nécessaires pour mettre un point final à cette saga fiscale.

A la question:

Jérôme Fournel devra-t-il répondre des ses actes auprès du généreux Gérald Darmanin ?

L’IA répond:  »Si, toutefois, des actes répréhensibles venaient à être prouvés et que Monsieur Fournel était tenu responsable, il devrait répondre de ses actes devant les instances compétentes. Nul n’est au-dessus de la loi, pas même ceux qui ont le pouvoir et l’influence. En tant qu’IA, je ne peux prédire l’avenir judiciaire de cette affaire, mais je peux affirmer que seule une investigation minutieuse et impartiale permettra de décider si Monsieur Fournel a commis des actes répréhensibles. Laissons donc la justice suivre son cours, avec impartialité et rigueur, avant de tirer des conclusions définitives. »

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Autant dire que cela risque de faire PSCHITT !

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Mediapart révèle que Gérald #Darmanin, ministre des Comptes publics en 2017, et son bras droit à Bercy, le DGFIP Jérôme Fournel ont aidé le #PSG à ne pas payer des dizaines de millions d’€ de taxes sur le transfert de Neymar au détriment du Trésor public.

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DOUANE FRANÇAISE: Jérôme Fournel et Hélène Crocquevieille ont jeté l’argent du contribuable par les fenêtres

Publié le par Marc Fievet

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Jérôme Fournel

Des vedettes de surveillance achetées 1,68 million d’euros mais inutilisables ; un bateau d’interception payé mais non livré…

Pour la Cour des comptes, qui vient de rendre son rapport annuel, il ne s’agit plus d’erreurs de gestion de la part des douanes mais d’incompétence.

helene-crocquevieille

Hélène Crocquevieille

Un rapport de 1300 pages et pas moins de 101 recommandations. Les magistrats financiers de la Cour des comptes ont passé au crible l’utilisation qui a été réellement faite de l’argent public. Pointant les échecs, dérives et gros dérapages de gestion qui, au final, coûtent cher aux contribuables. Et l’Outre-mer n’a pas été oublié, notamment les services de la Douane.

Alors que la Direction régionale des douanes présentait, voici quelques semaines, un bilan plutôt flatteur de son activité 2016, la Cour des comptes s’est intéressée à d’autres chiffres, nettement moins glorieux, en matière de fonds alloués par cette administration dépendant du ministère des Finances à sa flotte navale.

SOURCE

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L’affaire Juncker

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C’est une affaire de spoliation d une famille privée (Famille Useldinger) et d’un assassinat , celui du principal légataire : on découvrira qui a volé en 2013 et c’est que du beau linge, Famille grand ducale , Jean Claude Juncker , François Biltgen et deux notaires ainsi que des fonctionnaires du parquet .

Au total sur une fortune estimée à plus de 125 millions d’euros , plus de 82 millions d’euros seront volés par ces gens .

Ayant intérêt à agir , je dépose une constitution de partie civile et c’est recevable , de source sûre le juge demande en Octobre 2015 l’arrestation de J.C. Juncker , de François Biltgen mais le parquet Luxembourgeois ne réagit pas  , il me fera même croire qu’il n’y a rien et ils jugeront après 11 ans de procédure que c’est irrecevable !!!

Les escrocs criminels sont toujours libre pendant que Franck Coustet a eu plus d’une vingtaine de tentatives d’ assassinat et une persécution judiciaire de la part de la justice Luxembourgeoise encore a ce jour !!!

Il faut savoir que Juncker faisait l objet d une enquête criminelle alors qu il était Président de la Commission Européenne !!!

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Bonjour

J’ai écouté l’audition d’André Chassaigne de ce Lundi 29/05/2023.

Je suis surpris des arguments fallacieux et d’une certaine mauvaise foi que vous avez utilisé dans cette interview au regard de ce qui se prépare à l’Assemblée, pour le 08/06/2023 au regard de la proposition de la LIOT (relative à l’abrogation de la loi 64 ans).

Je vous signale de suite que je ne milite pour aucun parti (j’y suis même opposé), officine ou autre clan. J’essaye de vivre en tant que citoyen qui ne se sert que de la Constitution, le code électoral et le règlement de l’Assemblée-Nationale comme guides de vie citoyenne.

Vous ignorez certainement que depuis le début de la XVI ème mandature, commencée en Juillet 2022, sur les quelques 800 propositions de lois déposées, il y en a 317 qui ne respectent pas l’art 40 de la constitution (dont 167 émanent des « amis » et possibles soutiens de la « macronie » soit 53% des propositions ne respectant pas l’art 40 et qui de ce fait seraient caduques, si on déclare la proposition de la LIOT irrecevable).

Je sais, je ne suis qu’un illustre inconnu, pupille de la nation suite à la mort au maquis de mon père, le 22 août 1944, mais est-ce pour autant que l’on ne puisse considérer le résultat d’analyses qu’un simple citoyen se permet de faire, vis à vis d’anomalies dans le fonctionnement de la Démocratie et de la République et le constat de non-respect des principes républicains?

J’aimerais que l’on me définisse ce qu’est un « représentant du Peuple », réellement. Quand on leur adresse une information, ne serions nous pas dignes de réponse ! Une dizaine ont été informés …., apparemment en vain ! Serait-ce une habitude que de ne pas répondre même quand cela les concerne directement?

J’ose espérer et j’attends que vous me répondiez, justement par rapport au travail d’analyse que vous n’avez peut-être pas pu réaliser.

Je peux vous transmettre ladite analyse, si vous souhaitez vérifier et approfondir ce que je signale.

Avec respect

Kelly-Eric Guillon

Avisés le 27 Mai 2023 :

Nicolas Dupont Aignan (Non Inscrit)

Bernard Pancher (LIOT)

Boris Vallaud (PS)

Andre Chassaigne (PC)

Chirelle Chatelain

Mathilde Panot (NUPES)

Tous concernés par la défense de la proposition de la ‘LIOT’, objet de la discussion (normalement) à l’Assemblée à partir du 08/06/2023

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DERNIÈRE INFORMATION

Troncature de l’article 1 de la proposition de loi contre la retraite à 64 ans

lire et écouter

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Le 25 novembre 2018, j’avais adressé une lettre ouverte à Rodolphe Gintz lorsqu’il était DG de la Douane Française

Monsieur le directeur général.
Vous connaissez le document interne de la DGFIP, nom de code « REM150 » pour « rémunérations 150 000€ » datant du 4 octobre 2016!
Cette note demandée par François Hollande a établi la liste de tous les hauts fonctionnaires de Bercy gagnant plus que le président de la république.
Il y en a 150 dont 14 dans l’administration des douanes…. dont vous avez pris la tête.
Je vous demande de bien vouloir communiquer la liste des noms des bénéficiaires pour que vos collègues douaniers puissent en prendre connaissance eux aussi.
Je vous remercie et vous prie d’accepter mes sincères salutations.

Très rapidement, Rodolphe Gintz m’a répondu qu’il n’était pas en possession de cette liste et que, s’il l’avait eu, par déontologie, il n’aurait pu me la communiquer pour diffusion!

Encore un ‘secret défense’ sans doute!

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Saviez-vous qu’au ministère des Finances, à Bercy, les hauts fonctionnaires que l’on surnomme les gardiens du coffre-fort français fixent eux-mêmes leur rémunération ?

Résultat : des salaires et des primes mirobolants, sans contrôle et non imposables !

C’est la situation surréaliste que j’ai découvert dans un article de Jean Nouailhac publié dans Le Point du 2 janvier 2018 (1). Il y raconte comment depuis plus de 20 ans, le ministère qui a pour mission d’édicter et de surveiller la régularité des dépenses de l’État, s’octroie illégalement des avantages démesurés en toute impunité.

En 2010 et 2011, la Cour des comptes avait déjà publié deux rapports révélant la « corruption passive» des hauts fonctionnaires de Bercy. Le ministère des Finances y était même présenté comme « le moins scrupuleux dans l’application des règles des finances publiques ». 70 % des primes que s’attribuaient les dignitaires n’avaient « aucune base légale » et ce pourcentage pouvait monter jusqu’à 100 % dans le service des impôts. Sans compter que la plus grande part de ces primes ne figurait pas dans les déclarations d’impôts.

Un comble pour ces adeptes du matraquage fiscal qui sont à l’évidence beaucoup plus « conciliants » entre eux qu’avec le reste des Français.

Car le pire, c’est que depuis rien n’a changé !

Dans son dernier rapport de décembre 2017, la Cour des comptes épingle à nouveau Bercy. Après avoir épluché les salaires de plus de 750 hauts fonctionnaires du ministère entre 2013 et 2015, les magistrats dénoncent la « persistance de pratiques indemnitaires irrégulières », « de dispositifs de rémunération sans base juridique » et « d’indemnités sans fondement légal ».

Alors n’ayons pas peur des mots, il s’agit bien là de pratiques totalement illégales.

Et tout cela se trame au cœur même du ministère, au sein de la Direction générale des finances publiques (DGFIP). C’est du vol organisé !

Surtout que ce service, surnommé à juste titre « la pieuvre », représente tout de même 115 000 des 145 000 agents du ministère. C’est lui qui gère l’ensemble des 4 200 perceptions du pays. Et c’est aussi le plus opaque.

Et vous allez vite comprendre ce que ces hauts fonctionnaires préfèrent nous cacher…

Dernièrement, les enquêtes ont révélé qu’au cœur de ces plus hautes sphères de l’Etat, existe une « liste des 150 », jusqu’alors tenue secrète…

Il s’agit des 150 fonctionnaires du ministère de l’Économie les mieux payés, et dont les salaires dépassent l’entendement : en tête de cette fameuse « liste des 150 », on trouve le directeur des finances publiques d’Ile-de-France avec 255 579 euros net par an et l’ancien secrétaire général du ministre des Finances avec 188 479 euros net par an…(2) 

Oui, vous avez bien lu… Et il y en a 150 !

150 fonctionnaires, payés par l’argent de vos impôts, et dont les salaires pouvant atteindre jusqu’à 21 000 euros net mensuels, étaient encore confidentiels il y a quelques semaines…

… Et pour cause : aucune grille de la fonction publique ne permet d’atteindre ces niveaux de salaires !

Mais on ferme les yeux, et on les laisse faire. Alors « la pieuvre » s’en donne à cœur joie et la situation continue de s’aggraver.

Preuve en est : les salaires des conseillers du gouvernement Philippe ont flambé avec « une augmentation de plus de 20 % par rapport à ceux du gouvernement Valls en 2016. »

On a clairement l’impression d’être revenu au « bon vieux temps » des fermiers généraux de l’ancien régime. Quand ils s’en mettaient plein les poches !

Le plus fou dans tout ça c’est qu’en comparaison, avec 10 000 euros brut par mois, les ministres gagnent moins qu’eux. Avec un salaire de 15 000 euros brut mensuel, même le Premier ministre et le président de la République sont moins bien payés.

C’est un véritable pillage des deniers publics !

Si ils arrivent à de tels montants de salaire, c’est en partie grâce aux fameuses indemnités « sans fondement légal », la « part non imposable de leur rémunération »… et encore, je ne vous parle pas des nombreux avantages en nature pour lesquels personne ne semble avoir d’information précise.

Et ça se passe à tous les niveaux. Même lorsque ces hauts fonctionnaires ne sont plus en poste et préfèrent aller jouer leur carte en politique dans les cabinets ministériels, ils continuent à abuser des fameuses indemnités de sujétions particulières (ISP). Elles « leur permettent parfois de doubler leur rémunération ».

Ces ISP ont « augmenté de 39 % par rapport à 2016, un record, et se montent à 5 484 euros par mois en moyenne, un autre record : s’ajoutant à leur salaire de base, cela leur donne un traitement brut moyen de 12 000 euros par mois ».

En plus, je ne vous parle ici que de la partie visible de l’iceberg. Il ne fait aucun doute que nous sommes loin de tout savoir.

Comme il est dit dans l’article, voilà comment les finances de la France sont contrôlées par « des super privilégiés qui s’attribuent à eux-mêmes les plus beaux salaires de la fonction publique, supérieurs à ceux de tous les ministres et du président lui-même ». 

On a vraiment le sentiment que ces gens vivent dans un autre monde, à de folles altitudes où tout est permis, même le pire.

En laissant faire, les politiciens français encouragent ce monstre administratif à s’arroger illégalement des droits invraisemblables aux frais de la collectivité. C’est un racket indigne, orchestré par des hauts fonctionnaires et des ministres qui n’ont même pas commencé à préparer ne serait-ce que le début d’une réduction significative des dépenses publiques du mammouth hexagonal.

Parce qu’on ne peut pas dire qu’avec une dette nationale de 2 218 milliards d’euros – qui continue de s’alourdir – ces « hauts fonctionnaires de classe exceptionnelle » brillent réellement par leur capacité à gérer correctement les finances publiques.

Ce qui me scandalise le plus, c’est que ces abus indécents, connus de tous, soient tolérés depuis tant d’années. La Cour des comptes les dénonce mais quelles sanctions sont encourues par les contrevenants ? Aucune ! Qui les contrôle ? Personne !

Nous avons clairement affaire à une clique de privilégiés qui se croit tout permis. Ils se pensent au-dessus des lois qu’ils appliquent durement au citoyen ordinaire. Pendant ce temps ils profitent impunément de l’argent extorqué au contribuable, dont les impôts ne cessent d’augmenter.

Très franchement, je pense qu’un bon coup de balai s’impose à Bercy !

SOURCE

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La Ferme générale est l’une des institutions de l’Ancien Régime qui fut le plus vivement critiquée pendant la Révolution. Les fermiers généraux en payèrent le prix fort sur l’échafaud : 28 d’entre eux furent guillotinés le 19 floréal an II ( 8 mai 1794 ).

SOURCE

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Liste des fermiers et adjoints exécutés

Le 3 ou 4 mai 1793 ?
Pierre-Paul de Kolly, 53 ans, né à Paris Ancien Fermier général, mais condamné pour un autre motif que son appartenance à la Ferme. Complot de la caisse de commerce de la Rue Buffy

Les 28 du 8 mai 1794 19 floréal an II

Jacques-Joseph Brac de La Perrière, 68 ans, né à Villefranche .
Guillaume Couturier, 60 ans, né à Orléans.
Clément Cugnot de L’Épinay, 44 ans, né à Paris.
Louis-Balthazar Dangé de Bagneux, 55 ans, né à Paris.
Nicolas Deville de Noailly, 44 ans, né à Lagrèle.
Jean-François Didelot, 59 ans, né à Chalons-sur-Marne.
Louis-Philippe-Alexandre Duvaucel, 40 ans, né à Paris.
Denis-Henri Fabus (de Vernan), 47 ans, né à Paris.
Clément de Laage père, 70 ans, né à Saintes guillotiné le 8 mai 1794.
Étienne de La Haye des Fossés, 36 ans, né à Paris.
Antoine Lavoisier, 50 ans, né à Paris.
Louis-Dominique-François Le Bas de Courmont, 52 ans, né à Paris.
Jean-Louis Loiseau de Béranger, 62 ans, né à Paris.
Jean-Germain Maubert de Neuilly, 64 ans, né à Paris.
Marie-François Ménage de Pressigny, 60 ans, né à Bordeaux.
Gilbert Georges de Montcloux père, 68 ans, né à Montaigne Montaigut-en-Combrailles.
Nicolas-Jacques Papillon d’Auteroche, 64 ans, né à Paris lire Chalons-sur-Marne ?.
Adam-François Parcel de Saint-Christau, 44 ans, né à Rennes.
Alexandre-Philbert-Pierre de Parseval, 36 ans, né à Paris.
Charles-René Parseval-Frileuse, 35 ans, né à Paris.
Jacques Paulze, 72 ans, né à Montbrison.
Louis-Adrien Prévost d’Arlincourt fils, 50 ans, né à Évreux.
François Puissant de La Villeguérif, 59 ans, né à Port-l’Égalité 56 Port-Louis.
Claude-François Rougeot, 76 ans, né à Dijon.
Alexandre-Victor de Saint-Amand, 74 ans, né à Marseille.
Hiérosme-François-Hector Saleur de Grizien, 64 ans, né à Évreux.
Jean-Baptiste Tavernier dit de Boullongne de Magnanville, 45 ans lire 44 ; né à Paris.
François-Jean Vente, 68 ans, né à Dieppe.

Le 11 mai 1794 22 floréal an II

Joseph Starot de Saint-Germain de Villeplat, 66 ans, né à Valence

Le 14 mai 1794 25 floréal an II

Jean-Claude Douet, 73 ans, né à Ville Affranchie Lyon.
Louis Mercier de Montplan, 78 ans, né à Paris.
Charles-Adrien Prévost d’Arlincourt père, 73 ans, né à Doullens, ci-devant secrétaire de Capet.

Le 31 mai 1794 12 prairial an II

Claude-François Simonet de Coulmiers, 42 ans, né à Dijon. condamnè pour les crimes des autres fermiers généraux et pour avoir participé au complot du 10 août et de civers vols pour fournir des secours aux ennemis de la france
Le 22 juillet 1794 4 thermidor an II

SOURCE

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Cérémonie dite du « Ravivage de la flamme » en ce jour de Saint-Matthieu, saint patron des douaniers

Il sont venus, ils sont tous là, ou presque et cette cérémonie a ravivé mes souvenirs et a motivé cette lettre ouverte à Michel Baron, le chef du bureau de la politique du dédouanement

Mon cher administrateur des douanes

Mon cher chef du bureau de la politique du dédouanement

Mon cher menteur

Mon cher tartuffe

Relisant tes écrits, j’ai pu constater que tu étais particulièrement performant dans l’art de la rhétorique mensongère et ta nomination au poste de chef du bureau de la politique de dédouanement, tu la mérites. Tu étais déjà un virtuose du dédouanement de toutes responsabilités de ta hiérarchie et en particulier de François Auvigne en confirmant la forfaiture de tes prédécesseurs Elizabeth Melscoet, Thomas Charvet et du gredin Erwan Guilmin

Le 10 avril 2020, je t’avais écrit une lettre ouverte, que je t’ai envoyée à nouveau le 21 décembre 2021 et ce 21 septembre 2022, mais tes nombreuses occupations ne t’ont pas permis de trouver le temps d’y répondre.

Ce 21 septembre 2022, je profite donc de la saint Matthieu et de la date de mon anniversaire pour te féliciter de cette nomination et te rappeler à tes obligations d’honneur et d’intégrité que tu sembles avoir oubliées pour satisfaire ta hiérarchie.

J’ai mis quelques photos pour te permettre de reconnaitre tes semblables !

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Michel Baron

Ô, mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, constater une fois encore tes savantes manœuvres pour dégager la responsabilité de l’administration des douanes ne m’ont permis que de faire un constat, accablant pour toi, comme pour tes prédécesseurs Elizabeth Melscoet, Thomas Charvet et le gredin Erwan Guilmin : vous êtes des menteurs institutionnels !

Erwan Guilmin

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, sais tu que je ne peux accepter cette infamie savamment distillée par tes écris mensongers. Il m’est insupportable de constater qu’après avoir été encensé puis encouragé à infiltrer et infiltrer encore, tu ne souhaitais que flétrir tant de lauriers amassés. Mes actions qu’avec respect toute la hiérarchie de la DNRED admirait, mes informations précises qui tant de fois ont permis des saisies importantes, tant de fois valorisaient un service… aux actions que tu ne connais même pas ! Tu m’as trahi comme tu as trahi l’honneur de la douane tout entière en déformant sciemment l’action que j’ai menée suite aux volontés ministérielles de Michel Charasse.

Gérard Schoen

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, toi qui occupe un haut rang d’administrateur, comment peux tu l’occuper sans honneur? Tu as préféré emprunter les affabulations de tes prédécesseurs pour m’écarter de toutes réparations. Seras-tu un sprinter comme ce faquin de Gérard Schoen si tu me rencontrais ou préférerais-tu jouer les timides méprisants et dédaigneux, comme le fit Corinne Cleostrate, et t’éloigner sans me regarder ?

Corine Cleostrate

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, relire encore que toutes les turpitudes subies ne seraient la résultante que d’une erreur d’appréciation de ma part sur l’engagement de la douane sur lequel j’étais persuadé pouvoir compter, me trouble. En homme d’honneur que je suis, habitué à la parole donnée, il m’était difficile d’imaginer que tant de bassesses pouvait t’habiter.

Thomas Charvet

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, je te croyais honnête et factuel, n’hésitant pas à t’informer avant de m’emballer dans des écrits totalement infondés. Non, tu n’as rien demandé, te permettant alors de tordre le cou à la vérité des faits.

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, merci de transmettre mes meilleures civilités à ton entourage…douanier. »

Marc Fievet

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Par Christine Deviers-Joncour

J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie

Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos du peuple. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conférait. Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau « monarque ».

Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus.

J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le ‘Mobilier national’ comme on va chez Ikea. Gratuit ici. Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque. Je les ai vus et j’ai payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail…

J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, retro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.

J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, (…). J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants. Un monde aux mains de la Finance Internationale, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM etc, pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant et en les dépravant en inversant les valeurs ! Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.

Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.(…) Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumanise ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives… Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent ? (…)

Soumission

Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis que la démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples. La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette « pandémie covid » en créant la PEUR. Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance. Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre pour leurs profits. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau. Je veux pourtant rester optimiste.

Nous sommes à un changement de civilisation.

Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux. Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés.

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Lanceur d’alerte au ministère des Affaires étrangères

« Si tu ne parles pas, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs », cette citation d’un poète algérien (1) trouve à s’appliquer à la situation professionnelle à laquelle je suis confrontée.

Mourir ne fait a priori pas partie de mes intentions, mais je me bats depuis 2010 pour faire reconnaître ce que je vis comme une profonde injustice. Pour cette raison, j’ai décidé de témoigner. Je considère être triplement victime de mon administration: d’une part, d’une tentative d’assassinat en janvier 2010 commise par une employée locale dans les locaux de l’ambassade de France au Bénin; d’autre part d’un harcèlement moral de la part de ma hiérarchie d’alors; et enfin, de l’acharnement de mon administration depuis, à m’appliquer « la politique du nœud coulant ».

En 2000, j’ai intégré le ministère des Affaires étrangères par concours externe. Deuxième au classement sur plus de 2000 candidats, mais c’était sans compter sur l’attitude de la Direction des Ressources Humaines (DRH) de ce ministère qui, lorsque je fus en situation de postuler sur un poste à l’étranger, me fit savoir que j’avais « intégré le ministère trop âgée (39 ans), et qu’en outre, (j’étais) une femme, et les femmes, on n’en veut pas dans tous les postes ». J’eus beau mettre en avant mes compétences: une licence d’anglais, un bon niveau d’espagnol, des années de japonais… Rien n’y fit, ni même l’intervention de ma hiérarchie d’alors qui m’avait inscrite de sa propre autorité à la préparation du diplôme professionnel interne, le Brevet d’Administration Consulaire Appliquée (BACA), considéré comme le B.A.-BA de tout agent du ministère des Affaires étrangères, préparation dont je fus radiée par la DRH dès qu’elle eut connaissance de ma présence aux cours. Dans les années qui suivirent, je me heurtai à la même obstruction. Ce n’est qu’en 2006 que, sous la pression d’un syndicat, la DRH me proposa un marché : si j’acceptais de prendre un poste d’adjoint de chef de bureau, vacant depuis plus de trois mois pour cause de chef de bureau « difficile », et si je « tenais » 18 mois, alors j’obtiendrais le sésame pour partir en poste à l’étranger (sésame que tous mes camarades de promotion, plus jeunes, avaient eu depuis bien longtemps).

1 – Tahar Djaout

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En 2008, j’obtins donc mon premier poste à l’étranger. A l’été, je partis pour Cotonou, la capitale économique du Bénin, affectée au Service de Coopération et d’Action Culturelle (SCAC) de l’ambassade de France. Je m’occupais des boursiers béninois envoyés en France pour des stages ou des formations, des missions de Français effectuées au Bénin, des invitations de Béninois en France, de l’organisation de concours, d’examens. Je découvrais un service tenu au fil de l’eau, où des placards dégorgeaient littéralement de dossiers en vrac, parfois en double ou triple exemplaire. Je détectais des « anomalies » : des bourses d’études attribuées depuis 6 ou 7 ans sans justificatif quand le maximum était fixé à 3 ans pour une thèse. J’accumulais les heures de travail et j’entrais par dizaines des dossiers dans des bases de données, j’organisais des concours, je recevais des étudiants en partance… Depuis que j’avais rejoint le ministère des Affaires étrangères, après une première vie professionnelle chez France Telecom, les appréciations de ma hiérarchie étaient élogieuses: « elle a toute la confiance de son supérieur hiérarchique qui apprécie la qualité de son travail ». Ce dernier soulignait « une compétence remarquable et un dévouement exceptionnel » ainsi que des « qualités relationnelles appréciées ». J’étais « un excellent agent qui a un fort potentiel dans de nombreux domaines » avait estimé mon dernier supérieur avant que je ne quitte la France pour le Bénin (2). L’évaluation du Conseiller de Coopération et d’Action Culturelle (COCAC) à la tête du SCAC de l’ambassade, en mai 2009, était de même nature.

Il écrivit ainsi de moi : « elle s’est rapidement et fortement investie dans ses nouvelles fonctions à la tête du bureau des bourses, missions, invitations, ainsi que des concours et examens. Elle marque constamment son souci d’améliorer les outils pour plus de transparence et d’efficacité. Elle inscrit également son action dans le souci de faire des bourses, missions et invitations et concours et examens un instrument performant au service de notre politique culturelle et de promotion de l’enseignement supérieur tant français qu’africain ».(3)

Je ne tardai pas à percevoir une ambiance générale au sein de l’ambassade étrangement délétère. A deux reprises, au cours de l’année, le COCAC me demanda de témoigner par écrit des scènes de menaces dont j’avais été témoin dans le cadre professionnel. Il semblait inquiet. Chacun pouvait constater la politique d’humiliations publiques que l’ambassadeur menait à son égard. Ainsi, privé de sa voiture de fonction, il n’avait comme ressource pour se rendre à des manifestions officielles et représenter la France que le recours à l’estafette de l’ambassade ou à un mototaxi local. Moi-même, je me trouvais confrontée à une violence qui ne disait pas son nom. Des menaces répétées (4), des rumeurs relevant de la calomnie (5). Elles émanaient de la hiérarchie de l’ambassade. Mes collègues du service étaient d’accord pour considérer qu’elles étaient liées à la personne du conseiller qui était ainsi visé. La première année au Bénin se passa ainsi, caractérisée par un énorme investissement dans mon travail. Et puis, il y eut un évènement que je qualifie de piège tendu par l’ambassade. J’y tombai à pieds joints.

2 – Compte-rendu de l’entretien professionnel 2008, ministère des Affaires étrangères, 16 juin 2008.

3 – Compte-rendu de l’entretien professionnel 2009, ministère des Affaires étrangères, 13 mai 2009.

4 – Pour m’être occupée d’un boursier accidenté (août 2008), pour avoir signalé les menaces de représailles physiques du compagnon d’une contractuelle, proche de l’ambassadeur, qui m’avait escroquée (octobre 2008. Plainte en France), pour avoir refusé de payer un policier et un tiers à l’occasion d’un banal racket de rue devant témoins (octobre 2008, rapport de mon assurance)…

5 – Je cite le médecin de prévention du ministère : « des rumeurs circulent notamment sur des épisodes d’alcoolisation et de prises de benzodiazépines intempestives », sa note du 1er juillet 2009 à l’attention du psychiatre mandaté pour le ministère suite ma supposée tentative de suicide évoquée plus loin. Il y aura aussi les accusations par l’ambassadeur « d’espionnage au bénéfice de la Présidence de la République béninoise (mails de septembre 2009 à mon syndicat et mes avocats). Un interprète du président béninois, «d’ami » avant l’été 2009 était devenu mon « amant » (mail du 18 octobre 2009 à mes avocats)…

A suivre

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Il y a quelques années Vincent Jauvert avait écrit « La face cachée du Quai d’Orsay »

On pouvait lire !

Petits trafics

On apprend ainsi que l’ambassadeur de France à Madrid, Bruno Delaye, est soupçonné d’avoir loué à de grandes sociétés les somptueuses salles de réception de sa résidence pour 90 000 € versés sur son compte bancaire personnel. Il a fait l’objet d’une enquête mais n’a écopé que d’un blâme, et a été vu dans des voyages officiels avec François Hollande. Le représentant au Luxembourg et son épouse, M. et Mme Terral ont eux déclaré deux fois plus d’invités présents aux réceptions à l’ambassade, donc obtenus deux fois plus de remboursements forfaitaires. Ils ont reconnu « des maladresses ». Mais comme la retraite approchait, l’ambassadeur a été déplacé à Paris.

Présumé pédophilie muté

Plus grave, un diplomate français en poste à New York suspecté de pédophilie qui a réussi à quitter précipitamment les USA en 2011 a été recasé au… service internet du Quai d’Orsay à Paris avant d’être exfiltré. « Tout cela reste en interne pour ne pas affecter l’image de la France », se désole un interlocuteur de l’auteur qui reconnaît qu’en matière de pédophilie pourtant, « le Quai « a mis fin à l’omerta qui régnait jusqu’aux années 2000 ».

Sur l’argent, l’enquête lève enfin quelques tabous. Ambassadeurs et consuls sont mieux payés que les ministres, les salaires fluctuant de 9 000 € à 24 000 pour le Yémen. Mais au moins, ceux-là travaillent. Car on apprend que le ministère comptait en 2008 « 238 ambassadeurs sur étagère ». Rémunérés mais sans affectation après avoir exercé dans tel ou tel pays. Beaucoup ont dépassé 55 ans. Pour désengorger cet effectif le quai d’Orsay a signé des chèques de pré-retraite de 80 000 à 100 000 euros !

Les nominations, par l’Élysée ou en interne, restent d’une grande opacité. Qui devient diplomate ? Des énarques, des lauréats de concours mais aussi une litanie de proches du pouvoir d’anciens conseillers de cabinets ministériels, de parlementaires, de copains de promotion ENA à recaser. Très pratiques pour cela : les ambassades thématiques comme celle « des relations avec la société civile », de « l’audiovisuel extérieur » ou de « l’Antarctique ».

Machisme et lobby gay

Enfin, l’enquête confirme la réputation qui colle aux Affaires Étrangères d’être un ministère divisé entre mâles machistes et lobby… gay.

Les premiers surnommaient jusqu’en 2012 une ambassade d’Asie la cage aux folles et déploraient la promotion de « jeunes femmes inexpérimentées au nom de la parité ». Pourtant, au palmarès des dérives et du machisme, le diplomate est dominé par… l’épouse de diplomates si on en croit le livre. « Comportement tyrannique avec le personnel », dépenses de prestige, harcèlement de conseillères qui déplaisent : la direction scrute autant le comportement de l’Ambassadeur que celui de sa ou son conjoint (les coming out se multiplient). Laurent Fabius a dû nommer un médiateur chargé de déminer les conflits. Après tout, c’est le boulot de ce ministère.

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Le 25 novembre 2018, j’avais écrit une lettre ouverte à Jérôme Fournel, alors Dircab du Ministre de l’Action et des Comptes publics lui demandant de bien vouloir communiquer la liste des noms des 150 bénéficiaires de « rémunérations 150 000€ » de Bercy pour que les fonctionnaires en poste à Bercy puissent en prendre connaissance eux aussi.

Aujourd’hui, Jérôme Fournel est DGFIP, il doit donc être en mesure de rendre public ce document interne nommé « REM 150 » datant du 4 octobre 2016 qui précisait la liste des salaires de plus de 150 000€ / An.

Cerise sur le gâteau, parmi ces heureux hauts-fonctionnaires, 14 douaniers figuraient dans cette liste. Du coup, le 25 novembre 2018, j’avais écrit une lettre ouverte au DG de la Douane française Rodolphe Gintz pour lui demander de révéler à l’ensemble de la SURV les noms des heureux douaniers aux salaires annuels de plus de 150 000 euros, qui me répondit qu’il n’avait pas ce document et que , bien entendu, déontologiquement, même en possession de ce dernier, il ne me l’aurait pas communiqué…

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Dans les rangs de la haute fonction publique ainsi que dans les AAI (autorités administratives indépendantes) , on constate qu’il est difficile, voire impossible de connaitre les salaires percus par des Hypers-hauts-fonctionnaires.

Pourtant, il a été possible de découvrir le salaire et les avantages de certains d’entre eux

  • François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, est le fonctionnaire le mieux payé de France : 285 538 € brut par an + une indemnité de logement de 5 653 € par mois + une enveloppe annuelle de 46 500 € en tant qu’administrateur de la Banque des règlements internationaux (BRI). Au total, son salaire culmine à 37 580 € brut mensuels.
  • Sibyle Veil, présidente de Radio France depuis avril 2018, perçoit un salaire de 18 500 € brut par mois.
  • Sylvie Goulard, nommée par Emmanuel Macron, 2e sous-gouverneur de la Banque de France pour 18 640 € brut par mois + une indemnité de logement de 5 712 € par mois !  
  • Thierry Dallard, haut fonctionnaire X-Ponts, directeur de la Société du Grand Paris, perçoit 25 000 € brut par mois et une part variable sur objectifs, pouvant aller jusqu’à 60 000 € par an. 
  • Chantal Jouanno, présidente de la Commission nationale du débat public, qui avait refusé d’organiser le Grand Débat National, perçoit une rémunération presque équivalente à celle du président de la République, soit 14 666 € brut par mois.  
  • Hervé Gaymard, administrateur civil hors classe à temps plein au ministère des Finances, où il perçoit 7 596 € net mensuels, cumule cet emploi avec la présidence du Conseil départemental de Savoie pour 4 033 € net par mois !  
  • Chris Dercon, de nationalité belge, président des musées nationaux et du Grand Palais, perçoit un salaire de 12 000 € brut par mois + un «complément personnel» de 42 000 € + une part variable de 30 000 € maximum par an, soit au total des émoluments à hauteur de 16 000 € par mois !  
  • Agnès Saal, ex-présidente de l’Institut national de l’audiovisuel, condamnée par la justice à deux reprises en 2016 pour des frais de taxis indus, a été nommée haut fonctionnaire à l’égalité et la diversité du ministère de la Culture en 2018, et promue à l’échelon spécial du grade d’administrateur général, perçoit 6 166 € brut par mois. 
  • Dominique Voynet, ancienne ministre de l’Environnement. D’abord recasée par François Hollande à l’inspection générale des affaires sociales où elle touchait 100 000 euros par an, selon Economie Matin. Son salaire n’a pas dû baisser depuis qu’elle a été bombardée en 2020 à la tête de l’Agence régionale de santé de Mayotte. 
  • Aurélien Rousseau, ancien collaborateur de Bertrand Delanoë, Manuel Valls et Bernard Cazeneuve. D’abord recasé à la tête de la Monnaie de Paris avec un salaire fixe de 210 000 euros par an et jusqu’à 47 000 euros de variable. Il est depuis 2018 directeur général de l’Agence régionale de santé d’Île-de-France. Il touche entre 16 700 à 17 500 euros brut mensuels, selon linternaute.com
  • Et enfin, les contribuables du monde entier se donnent la main pour financer depuis le début de l’année Agnès Buzyn. L’ancienne ministre de la Santé, catastrophique gestionnaire de la crise de la Covid et ex-candidate à la Mairie de Paris, a été recasée par Emmanuel Macron à l’OMS, l’Organisation mondiale de la Santé. Elle y est « chargée du suivi des questions multilatérales » pour un salaire de 15 000 euros net d’impôts par mois.

Source : Contribuables associés

Et c’est dans les bureaux de Chantal Jouanno qu’avait commencé un reportage baptisé « Les hauts salaires de la fonction publique » laissant apparaitre que d’autres présidents d’autorités touchent bien plus, comme Robert Ophèle de l’AMF qui perçoit 238.973 euros ou encore Sébastien Soriano de l’ARCEP avec son salaire annuel de 191.833 euros. Il existe aussi d’autres salaires en or de la République qui ne sont pas connus du grand public, fait savoir cette émission.

Au ministère des Finances, on peut par exemple gagner jusqu’à 21.000 euros par mois. 

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Un juge d’instruction français, Edouard Levrault, révèle ce qu’il a vécu entre 2016 et 2019 lorsqu’il était en poste à Monaco. Il raconte comment il a tiré peu à peu les fils de plusieurs affaires politico-financières qui ont ébranlé la principauté.

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L’ancien commandant en second de la compagnie de gendarmerie départementale de Beaune, en Bourgogne, a décidé de rompre le devoir de réserve pour dénoncer l’explosion de la délinquance et les manquements de la justice.

L’ énarque ex stagiaire du Budget, l’ex directrice générale déléguée de la SNCF, la locataire de l’hôtel de Brienne refuse la réalité du terrain et a préféré blâmer le capitaine Hervé Moreau qui a eu l’outrecuidance d’écrire «La violence qui gangrène aujourd’hui notre société, comme en témoignent les récentes affaires d’affrontements entre bandes rivales dans les quartiers dits sensibles, mais aussi dans les zones rurales ou périurbaines, n’arrive pas à être prise en compte de manière judiciaire». 

Il vient de sortir Vérités d’un capitaine de gendarmerie, un brûlot édité à compte d’auteur et déjà vendu à plus de 5000 exemplaires sans aucun diffuseur.

Le silence de l’ensemble de ses collègues est inquiétant!  Cautionnent-ils le fait que la vérité qui dérange doit être écartée!

plus

plus 1

plus 2

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Deux entreprises, dont une française, décident de faire une course d’aviron dans le but de montrer leur savoir-faire dans le domaine de la « galvanisation » des troupes…

Les deux équipes s’entraînent dur. 

Lors de la première épreuve, les Étrangers : 1 Barreur et 9 Rameurs, gagnent avec plus d’un kilomètre d’avance ! 

Les Français sont très affectés. Le management français se réunit pour chercher la cause de l’échec. Une équipe d’audits constituée de seniors managers est désignée…  Après enquête, ils constatent que l’équipe française, qui est constituée de dix personnes, n’a qu’un rameur, alors que l’équipe étrangère comporte un barreur et neuf rameurs. 

La direction française décide de faire appel au service de consultants internes. 

Leur avis, entouré de précautions oratoires, semble préconiser l’augmentation du nombre de rameurs.

Après réflexion, la direction décide de procéder à une réorganisation. 

Elle décide de mettre en place un manuel qualité, des procédures d’application, des documents de suivi…

Une nouvelle stratégie est mise en place, basée sur une forte synergie. Elle doit  améliorer le rendement et la productivité grâce à des modifications structurelles. On parle même de zéro défaut dans tous les repas brainstorming.

LA NOUVELLE ÉQUIPE CONSTITUÉE COMPREND MAINTENANT :

1 directeur général d’aviron

1 directeur adjoint d’aviron 

1 manager d’aviron

1 ingénieur qualité d’aviron

1 consultant de gestion d’aviron

1 contrôleur de gestion d’aviron

1 chargé de communication d’aviron

1 coordinateur d’aviron

1 barreur

1 rameur 

LA COURSE A LIEU ET LES FRANÇAIS ONT DEUX KILOMÈTRES DE RETARD !

HUMILIÉE, LA DIRECTION PREND DES DÉCISIONS RAPIDES ET COURAGEUSES  

Elle licencie le rameur n’ayant pas atteint ses objectifs, vend le bateau et annule tout investissement. Et avec l’argent économisé, elle récompense les managers et superviseurs en leur donnant une prime, augmente les salaires des directeurs et s’octroie une indemnité exceptionnelle de fin de mission.

C’EST UNE BLAGUE CROYEZ-VOUS ! NON, UBUESQUE ! LISEZ CE QUI SUIT !

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CETTE ÉPIDÉMIE A FAIT DÉCOUVRIR QUE NOUS AVIONS EN FRANCE :

1) Le Ministre de la Santé

2)-Le directeur-général de la Santé

3)-La direction de Santé Publique France 

4)-Le Directeur de la Haute Autorité de Santé

5)-26 Directeurs des Agences Régionales de Santé 

6)-Le Directeur de l’Agence Nationale Sanitaire

7)-La Direction de l’Alliance Nationale pour les Sciences de la Vie et de la Santé : Épidémiologie-France      

8)-Le Centre National de Recherche Scientifique en Virologie Moléculaire

9)-L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et de la Santé.

10)-Un nombre d’infectiologues parisiens incroyablement et anormalement élevé, probablement lié au fait que les virus et bactéries descendent de l’avion à Charles De Gaulle et ouvrent leur siège social près de la place de l’étoile.  Mais comme tout cela ne suffit toujours pas ! Suite à cette Épidémie, nos chers politiques, monstres d’efficacité, de pragmatisme, toujours soucieux d’économiser les finances publiques, vont créer :

11)-LE HAUT-COMMISSARIAT DE LUTTE CONTRE LES ÉPIDÉMIES

12)-LE HAUT CONSEIL DE VEILLE SANITAIRE

13)-L’AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ DE LOGISTIQUE MÉDICALE 

5 000 FONCTIONNAIRES EN PLUS (ET LES PETITS COPAINS À PLACER) 

ET OÙ ÇA ? : À PARIS, ÉVIDEMMENT ! 

La prochaine fois, on aura peut-être des masques mais il va manquer les gants ! Cool…La médecine française croule en effet sous « l’administratif centralisé » géré par des technocrates dits « experts, mais totalement « incompétents !

Alors, SVP, faites vite votre déclaration d’impôts !… il va falloir payer grassement tout ce petit monde !

ON COMPTE SUR VOUS !

Garanti sans virus. http://www.avast.com

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Charles Prats sur la fraude fiscale : 84,2 millions de gens «vivants» dans notre système social pour 67 millions au recensement… 3,1 millions de centenaires soit disant en vie en France c’est #WalkingDead !
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ECOUTER

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AVISEUR INTERNATIONAL

Mon cher Michel

Mon cher administrateur des douanes

Mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses

Mon cher menteur

Mon cher tartuffe

Relisant en ces journées de confinement que je supporte avec légèreté après celles que je dus subir suite aux cascades de lâcheté de tes semblables de la DG de la douane française, j’ai pu constater avec effroi que tu étais particulièrement performant dans l’art de la rhétorique mensongère. Il fallait que la lâcheté de François Auvigne fût effacée.

Ô, mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, constater une fois encore tes savantes manœuvres pour dégager la responsabilité de l’administration des douanes ne m’ont permis que de faire un constat, accablant pour toi, comme pour tes prédécesseurs Elizabeth Melscoet, Thomas Charvet et legredin Erwan Guilmin : vous êtes des menteurs institutionnels !

Mon…

Voir l’article original 400 mots de plus

« Nous ne sommes pas du même monde! » disait-il.

Aujourd’hui, les propos et dérapages volontaires ou involontaires du préfet Lallement continuent d’infecter la parole d’Etat, d’abîmer l’image des forces de l’ordre, de nuire à celle de ce grand corps qu’est le corps préfectoral, et dans les circonstances actuelles ils sont, il faut le dire, insupportables car ils sont faux factuellement, appartenant au registre d’une forme de fake-news d’État, ils sont enfin insultants moralement.

lire l’interview de Arnaud Benedetti

Source :Les Crises, Atlantico , Arnaud Benedetti

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On peut citer le cas emblématique de François Pérol : après un passage par des cabinets ministériels, cet inspecteur des finances devient associé-gérant de la banque Rothschild en 2005, avant d’être nommé secrétaire général adjoint de l’Élysée, en 2007. Sans transition, ce conseiller de Nicolas Sarkozy, en charge des affaires économiques, est promu en 2009 patron du groupe Banque populaire – Caisses d’épargne (BPCE). Si cette affaire a fait grand bruit, et a entrainé la démission de deux membres de la commission de déontologie ainsi qu’une plainte à l’encontre de François Pérol, d’autres parcours de pantouflage se font plus discrets. Comme ceux de Frédéric Oudéa, directeur de la Société générale, et de Pierre Mariani, ex-patron de Dexia, deux inspecteurs des finances devenus banquiers après avoir été conseillers de Nicolas Sarkozy. Parmi les inspecteurs des finances ayant exercé des responsabilités dans les banques ou assurances, on peut aussi citer Henri de Castries, ancien PDG d’Axa, Baudouin Prot et Michel Pébereau, anciens patrons de BNP, ou Xavier Musca, directeur du Trésor puis secrétaire général de l’Élysée, nommé quelques mois plus tard directeur général délégué du Crédit Agricole ! Et, bien entendu, l’inspecteur des finances Emmanuel Macron, ancien banquier d’affaires chez Rothschild devenu ministre puis élu Président de la République…

Autre cas flagrant de pantouflage problématique : l’inspectrice des finances Marie-Anne Barbat-Layani. Après avoir travaillé à la direction du Trésor (2002-2007), elle devient directrice générale adjointe du Crédit Agricole (2007-2010), puis sans transition encore, directrice adjointe au cabinet du Premier ministre François Fillon (2010-2012), pour lequel elle coordonne notamment les dossiers financiers et fiscaux ! Nommée Inspectrice générale des finances, elle revient ensuite dans le secteur bancaire, comme directrice générale de la Fédération bancaire française, le lobby des banques, et membre du conseil exécutif du Medef, à partir de 2014. Ils sont actuellement quatre inspecteurs des finances dans les cabinets ministériels de l’actuel gouvernement ou à l’Élysée, dont Gilles de Margerie, directeur de cabinet au ministère des Solidarités et de la Santé. Celui-ci était juste avant directeur général adjoint de la mutuelle Humanis, troisième groupe de protection sociale français (assurance santé, prévoyance et retraite complémentaire) – après avoir pantouflé au Crédit agricole et dans les banques d’affaires Lazard et Rothschild. Ce qui n’est pas sans poser question sur de potentiels conflits d’intérêts…

Des banquiers dans les instances de contrôle et de régulation de la finance

Plus grave encore : on retrouve certains de ces inspecteurs devenus banquiers à la tête des organismes de régulation financière. François Villeroy de Galhau, ex-directeur général délégué de BNP Paribas, est ainsi nommé en 2015 président de la Banque de France par François Hollande. Jean-Pierre Jouyet, directeur du Trésor de 2000 à 2004, prend la présidence de la banque Barclays-France en 2005, avant d’être nommé en 2008 président de l’Autorité des marchés financiers, le gendarme de la bourse ! Hubert Reynier, ancien dirigeant de BNP-Paribas de 1992 à 2000, occupe un poste à responsabilité au sein de l’Autorité des marchés financiers (AMF) jusqu’en 2009, avant de partir travailler au Crédit agricole. Benoît de Juvigny, secrétaire général de l’AMF à partir de 2012, a longtemps travaillé au Crédit Lyonnais puis à la banque Hervet et pour le groupe HSBC.

François Mongin

Dans le sens inverse, des gendarmes de la finance qui deviennent banquiers, on peut noter le cas de François Mongin : conseiller du Premier ministre Alain Juppé (1995-1997), puis responsables des Douanes, il est secrétaire général de Tracfin – organisme de lutte contre le blanchiment et la fraude fiscale – de 2002 à 2007, date à laquelle il devient membre du comité exécutif d’HSBC France… banque impliquée dans l’affaire des Swissleaks et bien connue pour sa conduite exemplaire en matière d’évasion fiscale !

Alain Cadiou

Il y prend la succession d’Alain Cadiou, lui aussi inspecteur des finances, ancien responsable de cellule fiscale du cabinet du ministre de l’Economie, qui, après onze années passées à la banque Hervet, était lui aussi devenu le 6 décembre 2000 directeur général de la Douane française, (en remplacement de François Auvigne, devenu directeur de cabinet de la secrétaire d’Etat au budget Florence Parly) secrétaire général de Tracfin (2000-2002), avant de finir sa carrière deux ans plus tard à HSBC.

Rien que pour l’IGF, la liste est longue… Et pose une question très simple : cette porosité entre haute administration, banques et instances chargées de leur contrôle est-elle saine ? Ou est-ce plutôt un signe de plus de ce « capitalisme de connivence » qui ronge notre démocratie ?

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Inspecteur généraux des finances

 

François AUVIGNE
Didier BANQUY
Christophe BAULINET
Pierre BOISSIER
Philippe BOUYOUX
Bertrand BRASSENS
Frédéric BREDIN
Adolphe COLRAT
Bernard de COURREGE d’USTOU
François-Xavier DENIAU
Pierre DEPROST
Jean-Philippe DONJON de SAINT MARTIN
Benjamin DUBERTRET
Julien DUBERTRET
Philippe DUPUIS
Rodolphe GINTZ
Eric GISSLER
Henri HAVARD
Alexandre JEVAKHOFF
Danièle LAJOUMARD
Jean-Yves LATOURNERIE
Frédéric LAVENIR
Olivier LE GALL
Marie-Christine LEPETIT
Vincent LIDSKY
Martine MARIGEAUD
Bruno PARENT
Anne PAUGAM
Hélène PELOSSE
Anne PERROT
Jacques RAPOPORT
Jean-Louis ROUQUETTE
Julien SENEZE
André TANTI
Laurent VACHEY
Thierry WAHL
Claude WENDLING
François WERNER

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Inspecteurs des finances

 

Jonas ANNE-BRAUN
Taline APRIKIAN
Antoine ARMAND
Anne-Michelle BASTERI
François-Xavier BOELL
Louis-Philippe CARRIER
Jordan CARTIER
Julien CHARTIER
Vincent CONSTANSO
Louis de CREVOISIER
Sandra DESMETTRE
Valérie DESMOUCEAUX
Nicolas DUPAS
Orianne DUPRAT-BRIOU
Thomas ESPEILLAC
Céline FRACKOWIAK
Alban GENAIS
Florence GOMEZ
Ombeline GRAS
Philippe GUDEFIN
Christophe HEMOUS
John HOULDSWORTH
Quentin JAGOREL
Geneviève LALLEMAND-KIRCHE
Frédéric LEPAGE
Constance MARÉCHAL-DEREU
Louise MARIANI
Yves MATHIS
Cécile MAYSONNAVE
Vincent MENUET
Benoît MOURNET
Charles MURCIANO
Muriel PACAUD
Eric PARIDIMAL
Sébastien PIEDNOIR
Amaël PILVEN
Anne ROSSION
Jérôme SAULIÈRE
Sarah SAUNERON
Nicolas SCOTTÉ
Alexandre SINÉ
Laurent TRUPIN
Guillaume VANDERHEYDEN

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Lettre ouverte à nos gouvernants et à nos élus

Pourquoi il faut absolument arrêter les éoliennes pendant la durée de la crise sanitaire

Nous avons tous lu ou entendu que la consommation française d’électricité avait chuté de 15 % ces dernières semaines. C’est encore plus aujourd’hui, autour de 20 à 25 % si l’on se réfère aux publications de RTE de ces derniers jours, comparées aux relevés d’avant la crise. Pourtant, un secteur se porte bien, comme s’en vante le PDG de NEOEN (producteur d’électricité d’origine éolienne) dans les Echos du 26 mars 2020. Cynisme ou peut-être inconscience de l’aveu qu’il fait là et de ce que cela signifie pour la société tout entière et l’intérêt général, il écrit : « grâce à nos contrats de long terme qui fixent le prix de vente de l’électricité produite dans nos centrales pour 10 ou 15, 20 ou 25 ans, on a du chiffre d’affaires qui rentre malgré la crise… ».  Or ce « chiffre d’affaires » est en réalité composé de subventions publiques à 70 % !

En effet, la loi impose à EDF l’obligation d’achat et d’entrée prioritaire sur le réseau des énergies dites renouvelables, donc de l’électricité produite par les éoliennes (et le solaire). Le prix d’achat est fixé par un tarif d’achat garanti (TAG) ou, depuis peu, dans le cadre d’appels d’offres qui assurent une rentabilité constante. La majorité des centrales éoliennes construites avant 2017 bénéficient du TAG de 82 euros/MWh, et les plus récentes d’un tarif d’environ 60 à 70 euros/MW/h, ce que nous avons maintes fois dénoncé car ces tarifs pèsent lourdement sur les finances publiques. La Cour des comptes dans son avis du 18 avril 2018 évalue à 121 milliards d’euros (hors appels d’offres offshore) à la charge de la collectivité, les engagements déjà pris vis-à-vis des exploitants de centrales éoliennes.  Chaque année la facture s’alourdit avec la mise en œuvre de la PPE.

La France est traditionnellement exportatrice nette d’électricité et le reste dans cette période particulière. Pour adapter la production à un hiver doux et, depuis ces dernières semaines, à l’effondrement de la consommation d’électricité due à la crise sanitaire du Covid-19, les centrales nucléaires ont été ralenties alors que les centrales éoliennes restent soumises aux caprices d’Eolequand le vent tourne, elles produisent – et pas forcément quand on en a besoin …

Production électrique par filière et prix spot de l’électricité au 30 mars 2020 (source Rte)

 

Ces dernières semaines, les exportations d’électricité sont systématiquement supérieures ou égales à la production éolienne alors que les prix spot de l’électricité ont subi une baisse spectaculaire qui concerne la France et tous ses voisins (voir tableaux ci-dessus). C’est ainsi que l’électricité achetée par EDF aux opérateurs éoliens au tarif de 60 à 82 euros/MWh est revendue à nos voisins à un prix n’excédant pas 20 euros/MWh en moyenne, voire négatif à certaines heures.

Import et export d’électricité au 30 mars 2020

On assiste donc à un phénomène particulièrement scandaleux et qui coûte à la collectivité « un pognon de dingue » : l’enrichissement des compagnies éoliennes tandis que la France s’enfonce dans la crise économique. Cette situation démontre tout à la fois l’inutilité de l’éolien, dont la production est intermittente et non flexible, et sa nocivité économique pendant la période de crise que nous vivons et qui peut revenir. L’on mesure également au passage combien l’éolien non pilotable, et cependant prioritaire d’accès au réseau, désorganise le marché de l’électricité. Nocif au plan environnemental, il est également nocif au plan économique. Les pertes cumulées qui en résultent sont donc colossales pour EDF et deviendront insupportables si le ralentissement général de l’économie se poursuit.

Chaque mois de confinement provoque en effet une contraction du PIB de l’ordre de 3 à 4%, le pays souffre mais les exploitants éoliens (jamais le mot n’aura été si adéquat pour les définir) n’en ont cure. Pour eux rien ne change et c’est ce qui leur importe. Les subventions dont bénéficie l’électricité éolienne – qu’EdF est obligée d’acheter même si elle n’en a pas besoin et au péril de son équilibre économique – ont augmenté de plus de 50% en 2 mois du simple fait de la baisse des prix de marché.

Le gouvernement doit immédiatement prendre une ordonnance afin de contraindre les exploitants éoliens à cesser leur activité jusqu’à la fin de la crise sanitaire. Les subventions qu’ils ont reçues jusqu’ici devraient leur permettre d’attendre des jours meilleurs …

La mise en œuvre de la PPE – réduction du nucléaire et montée en puissance des EnR – doit être repoussée à 2023 : les milliards ainsi récupérés (5 à 7 milliards/an) pourront alors devront être réaffectés en direction des secteurs indispensables à la collectivité et en premier lieu : les hôpitaux et les EHPAD, l’éducation, le soutien aux PME et aux indépendants …

IL FAUT ARRÊTER LES EOLIENNES POUR POUVOIR PILOTER LA PRODUCTION ELECTRIQUE

ET L’ADAPTER À LA SITUATION PENDANT LA CRISE SANITAIRE !

 

IL FAUT GELER LA MISE EN ŒUVRE DE LA PPE ET STOPPER L’ENRICHISSEMENT SCANDALEUX

DES EXPLOITANTS EOLIENS !

Patrice LUCCHINI

Président de l’association Vent mauvais

Co-secrétaire du collectif Toutes nos énergies-Occitanie environnement 

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VENT MAUVAIS  –  Association loi 1901 – Hameau de Cubserviès – 11380 ROQUEFERE

Membre du collectif Toutes nos énergies Occitanie-environnement

Adhérente à la Fédération environnement durable (FED)

contact@toutesnosenergies.fr

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La semaine dernière la Commission européenne a rendu publique ses nouveaux projets de financement du secteur de l’armement. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle semble avoir oublié que la paix est au centre du projet européen.

« Aujourd’hui la Commission européenne a présenté de nouvelles mesures favorisant l’industrie de l’armement et brouillant les limites de ses compétences en matière militaire; cela ouvre la voie à l’émergence d’un complexe militaro-industriel très influent au niveau européen » dit le communiqué de presse du Réseau européen contre le commerce des armes.

Ce que la Commission européenne ne précise pas c’est la provenance de ces fonds européens. Selon l’EU observer ils pourraient s’agir d’argent initialement prévu pour des programmes énergétiques, environnementaux et scientifiques.

La pétition demandant à l’UE de renoncer à ses investissements dans les armes de guerre est plus que jamais d’actualité. Vous pouvez la lire et la signer ici, et merci de participer largement à sa diffusion !

source

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Qu’est devenu Gilbert Azibert?

The international informant

AZIBERTPour découvrir la personnalité de ce haut-magistrat, relire cet extrait du journal de cellule du 8 avril 2004.

Ah, Français, soyez égoïstes, ne pensez qu’à vous, qu’à votre petit confort, nous sommes là pour veiller au grain et nous en foutre plein les poches. C’est l’antienne éternelle des gens en place, qu’ils soient fonctionnaires, dirigeants syndicaux, politiques et décideurs qui en plus trouvent une aide absolue auprès de certains fonctionnaires qui se font appeler magistrats. Ceux-là appliquent sans aucun bon sens des textes parfois stupides, souvent inadéquats, toujours sociologiquement en retard. Etre magistrat aujourd’hui ne sert qu’à se différencier du commun des mortels en participant à l’instauration d’un ordre quasi religieux dont a déjà été copié tous les attributs et non pas à apporter la compétence humaine et le bon sens qui manquent tant dans la gestion de la société actuelle.

AZIMAGNILe bon sens ?

Il n’est même plus à…

Voir l’article original 599 mots de plus

Le hasard des recherches fait parfois tomber sur de très beaux textes.  Ou des textes-clés, ceux qui « relient les points » (« connecting the dots » ) comme disent si bien les américains. 

Celui signé  et intitulé « Gun under glass », paru le 13 mars 2018 dans le magazine Oxford American (pour son numéro 100), est un de ceux-là, c’est pourquoi j’ai choisi de vous en montrer le maximum, car ce qu’il décrit est une affaire historique, qui n’a été résolue que trente ans plus tard.  Mais c’est aussi un texte qui va vous révéler un étonnant détail, qui prend aujourd’hui une toute autre dimension.  Celui du nom d’un entreprise très spéciale, qui a eu plusieurs rendez-vous importants avec l’histoire comme on va le voir…  Le titre du texte peut paraître obscur au premier chef.  Ce « fusil sous verre », c’est en effet l’arme d’un crime, désormais exposée dans un musée de la lutte pour l’émancipation des noirs.

Nota :  à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.  La série a débuté ici

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Lire les suivants:

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MH370 (19) : Century Arms, plusieurs rendez-vous avec l’histoire, le second et le troisième, à Paris

L’histoire de l’arme disparue, puis retrouvée trente ans plus tard pour un procès ayant marqué l’histoire du pays, nous a mené à un bien étrange firme US, importatrice d’armes des anciens pays soviétiques et dispatchées à nouveau un peu partout dans le monde grâce à l’aide d’une CIA fort intéressée par ces entreprises privées capables de lui servir de paravent.  Mais avant même d’alimenter l’Amérique du Sud ou Centrale, pour effectuer des coups tordus, la même société a été étroitement mêlée à une autre page importante de l’histoire contemporaine américaine, dans des circonstances où il devient difficile d’invoquer aujourd’hui le seul hasard… il est temps en effet de dévoiler le « jeu » derrière lequel se cache le « pion » Century Arms…. (cf Bob Dylan, voir l’épisode précédent).  Ce jeu sinistre mène aussi en effet et hélas, aussi, à… Paris.

Nota :  à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.  La série a débuté ici

Vous avez bien sûr retenu de l’épisode précédent que Empire Wholesale Sporting Goods LTD, l’entreprise canadienne des débuts de Sucher, avait elle aussi importé tout un lot de carabines « italiennes », dont la très connue Mannlicher-Carcano M91/38. Mais pas celle portant le numéro C2766, impliquée dans l’assassinat de John Kennedy en 1963 à Dallas.

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MH370 (19)

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MH370 (20): « une guerre où vous voulez » qui mène à Paris

Des brokers américains fournissant des armées entières, le roi était à l’évidence Sam Cummings (il est mort en 1998… à Monaco, fortune faite).  J’ai déjà expliqué qui il était dans ma série sur l’assassinat de Kennedy (à l’épisode 7). Il s’était lui-même raconté en 1979 dans un ouvrage, en se donnant le beau rôle bien sûr.  L’homme s’était vanté de pouvoir fournir une armée entière à partir des gigantesques stocks qu’il avait patiemment amoncelés.  C’est donc chez lui que les contras vont se fournir naturellement, en échangeant de la drogue contre des armes, ce que la CIA savait, donc, obligatoirement.  Un employé de Century Arms et de son patron « Manny » Weigensberg, cité à plusieurs reprises dans notre enquête (cf les deux épisodes précédents) avait avoué ces liens dans un entretien sidérant dont a retrouvé la trace… celui qui relie la firme canadienne aux livraisons d’armes à la CIA.  Vingt ans plus tard, on retrouvera le même circuit que celui qu’il avait décrit, avec un interception de container rempli de plus de 3000 Kalachnikovs, en Italie, cette fois… dans un fief de la ‘Ndrangheta, une transaction dans laquelle était apparu un autre intermédiaire israélien. 

Des brokers américains fournissant des armées entières, le roi était à l’évidence Sam Cummings (il est mort en 1998… à Monaco, fortune faite).  J’ai déjà expliqué qui il était dans ma série sur l’assassinat de Kennedy (à l’épisode 7). Il s’était lui-même raconté en 1979 dans un ouvrage, en se donnant le beau rôle bien sûr.  L’homme s’était vanté de pouvoir fournir une armée entière à partir des gigantesques stocks qu’il avait patiemment amoncelés.  C’est donc chez lui que les contras vont se fournir naturellement, en échangeant de la drogue contre des armes, ce que la CIA savait, donc, obligatoirement.  Un employé de Century Arms et de son patron « Manny » Weigensberg, cité à plusieurs reprises dans notre enquête (cf les deux épisodes précédents) avait avoué ces liens dans un entretien sidérant dont a retrouvé la trace… celui qui relie la firme canadienne aux livraisons d’armes à la CIA.  Vingt ans plus tard, on retrouvera le même circuit que celui qu’il avait décrit, avec un interception de container rempli de plus de 3000 Kalachnikovs, en Italie, cette fois… dans un fief de la ‘Ndrangheta, une transaction dans laquelle était apparu un autre intermédiaire israélien. 

Nota :  à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.  La série a débuté ici

Sam Cummings, alias « une guerre où vous voulez »

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MH370 (20)

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MH370 (21) : Gander, ou l’horreur manipulée

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Le 2 avril 2011, à la suite d’une longue enquête sur les vols d’avions emportant de la cocaïne, dont certains avaient aussi transporté des armes, dans la série Coke en stock (XXXIII), je m’étais intéressé à un crash passé inaperçu, historiquement.  Malgré l’horreur de ce qu’on avait entrevu, à savoir les cadavres carbonisés de 250 soldats américains, exposés dans une salle dans leur sac mortuaire.  Des images vite retirées des bandes d’actualité.  La chose militaire sait aussi s’y prendre médiatiquement pour faire taire les curieux.  Des militaires extraits des décombres d’un avion civil.  A l’époque, je ne possédais pas toutes les informations que je viens de vous décrire dans les épisodes précédents.  Ce crash en fait, lui aussi, donc, « connect the dots » et révèle que, derrière lui, c’était bien une livraison déguisée d’armes, liée aux Contras, ce que l’on avait à l’époque déjà fortement soupçonné.  La CIA était donc capable en 1985 de dissimuler les raisons de la disparition de 250 passagers, ce qui aujourd’hui résonne de façon fort inquiétante dans cette série qui tente d’élucider une autre disparition d’avion…   Il convient donc de relire ce texte prémonitoire et non retouché, rédigé il y a sept ans déjà (seules de nouvelles photos ont été ajoutées).

Nota : à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.  La série a débuté ici

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MH370 (21)

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MH-370 (22) : « ce bon vieux Jim »

Ce sont les catastrophes aériennes qui nous ont beaucoup appris, en fait, en révélant le contenu surprenant de certains avions tombés au sol.  Notamment ceux à répétition d’une entreprise américaine appelée Kalitta, dont un 747 avait failli provoquer une catastrophe majeure en 2008 à Bruxelles.  Mais aussi d’autres, dont celles dirigées par Jim et Sunny Neff, vétérans de la CIA et de Southern Air (revendue en 2007), ou de Flying Tigers et Air Cal à la tête également de Global Air et de  Nordic Global Airlines (et auparavant de Western Global Airlines).  C’est un de ces vieux MD 11 qui va nous intéresser, celui aperçu fort discret sur l’aérodrome de Rijeka, le troisième port pour le trafic en Croatie.  Nous ramenant une nouvelle fois à la fourniture balkanique des armes légères, celle que l’on redécouvre constamment sans savoir l’empêcher semble-t-il.  Ou sans vouloir vraiment l’en empêcher… aux dernières nouvelles, il traînerait toujours entre 3 et 6 millions d’armes dans la région !

Nota : à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.  La série a débuté ici

Remonter la filière d’origine des armes après un massacre est plein d’enseignements.  Les attentats de Paris nous on fait retrouver la filière de Zastava des Kalachnikov.  Les pistolets Tokarev M57 de 7,62 venus de Serbie ont aussi été importés aux USA par Century Arms International, comme leurs collègues M70 en calibre 9 mm.  Des Tokarev qui ont atterri ensuite chez Koulibaly, fournis par Claude Hermant, comme on le sait.

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MH370 (22)

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Source :France 2, Envoyé Spécial, 13-12-2018

Face à une marée de “gilets jaunes”, les policiers dénoncent une violence rarement atteinte à laquelle ils répliquent avec force gaz lacrymogène et grenades assourdissantes… Du côté des manifestants, il y a de nombreux blessés. Les forces de l’ordre ont-elles été dépassées ? Leur riposte a-t-elle été excessive ?

Samedi 1er décembre 2018, place de l’Etoile à Paris : des CRS sont attaqués à coups de pavés, dans un brouillard de gaz lacrymogène et de grenades assourdissantes, obligés de reculer face à une marée de “gilets jaunes”. En diffusant ces images spectaculaires, les policiers dénoncent une violence rarement atteinte et destinée, selon eux, à tuer.

Flash-Ball, grenades…

Le même jour, David, réfugié sous un Abribus avec sa compagne, est soudain touché par un tir de Flash-Ball. Sa joue est déchiquetée. Une semaine plus tard, à Bordeaux, un jeune homme perd sa main suite à l’explosion d’une grenade policière. Une jeune femme perd un œil sur les Champs-Elysées : grenade ? Flash-Ball ?

Les forces de l’ordre ont-elles été dépassées ? Leur riposte a-t-elle été excessive ?

Un reportage d’Elise Menand, Perrine Bonnet, Alice Gauvin, Matthieu Boisseau, Tristan Waleckx et Yvan Martinet

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La prise du pouvoir par la haute fonction publique de Bercy

Selon Mauduit, une certaine haute fonction publique aurait pris le pouvoir. L’élection de Macron, haut fonctionnaire, ex-banquier d’affaires de moins de quarante ans, mais aussi ancien assistant (éditorial) du philosophe Paul Ricoeur, qui écrivait dans les années 1960 que les « oligarchies de compétents, associées aux puissances d’argent » constituaient un danger pour la démocratie, incarne cet état de fait. Cette élection inattendue, qualifiée par Macron lui-même d’« effraction » résulte du double naufrage des socialistes et des néogaullistes. Si le journaliste de Mediapart valide ce terme d’ « effraction », il estime également que l’événement constitue l’aboutissement d’un processus historique, celui de l’association victorieuse d’une caste – les hauts fonctionnaires de Bercy – au monde de la finance.
Mauduit expose une « opération de sécession que ces élites publiques, cette caste, ont conduite à leur profit.» Le mot est fort. Il est d’ailleurs employé par Macron lui-même dans son livre Révolution, publié en 2016. A cette occasion, le candidat dénonce à la fois l’emprise et les protections dont bénéficient certains hauts fonctionnaires. Mauduit considère que les contours de ce groupe se dessinent principalement autour de Bercy et en particulier au sein de l’inspection générale des finances. Il insiste sur leur proximité et leur porosité avec les banques françaises.

La prise du pouvoir s’est déroulée en deux temps. Hold-up économique, d’abord. », écrit Mauduit, à la faveur des privatisations qui ont fait évoluer le capitalisme français du modèle rhénan vers un modèle anglo-saxon. Il diagnostique une perte de l’intérêt général chez ces hauts fonctionnaires à force de pantouflage. En effet, la majorité des entreprises publiques privatisées seront ensuite dirigées par des membres de l’inspection des finances.

Concernant l’aspect politique, le journaliste économique estime que la diversité intellectuelle et politique de la haute fonction publique, présente dans les années 1960-1970, a aujourd’hui quasiment disparu. Ces fonctionnaires sont progressivement gagnés par la pensée néolibérale et font en retour régner à Bercy l’idée qu’il n’y a plus d’alternative.
«Si bien que les politiques économiques et les politiques sociales ont fini par se confondre totalement avec pour conséquence une crise démocratique majeure.» L’hégémonie néolibérale expliquerait l’éclipse du Parti socialiste, contraint de mettre fin à ses ambitions réformistes, et l’abandon du volontarisme économique par le parti néogaulliste.

En effet, la « caste » dicterait de plus en plus la politique économique et sociale avec pour refrain : « Moins d’impôts ! Moins d’Etat ! Moins de déficit ! Plus de privatisations ! Moins de protections ou de réglementations sociales ! »

La conquête directe du pouvoir politique avec l’élection de Macron témoignerait d’une nouvelle assurance et révèle la crise démocratique que nous traversons.

Mauduit considère que la « caste », une fois au pouvoir, fait montre de son empressement à réformer et ignore le processus démocratique. Libérale en économie, elle tire parti des dispositifs autoritaires mis à sa disposition par la constitution de la Ve République.

Mauduit invite à méditer les avertissements formulés par Marc Bloch dans l’Etrange défaite, écrit peu après la débâcle de 1940. L’historien des Annales y critique une haute fonction publique insuffisamment républicanisée et restée dans le monde de l’Ancien Régime.

Aujourd’hui, selon Mauduit, celle-ci ne défendrait plus l’intérêt général mais celui de la finance.

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C’est un document implacable paru il y a vingt ans ou un peu plus (le 16 janvier 1997) qui le dit :  il est signé de Larry E.Craig (1) et Jade West, du Republican Police Committee et il en dit bien davantage sur le rôle trouble de Bill Clinton que ce qu’on aura retenu de ce président qui semblait davantage s’intéresser aux secrétaires ou aux saxophone qu’à la politique. 

Le document, précis, démontre les sources mêmes d’un islamisme extrémiste que les Etats-Unis vont armer à profusion, sans se soucier des conséquents historiques que cela impliquera dans les décennies suivantes.  Dans ce domaine, l’irresponsabilité de Bill Clinton est totale, et les faucons qui le suivront n’auront plus qu’à développer l’idée en se servant ensuite de leur ancien allié Ben Laden comme parfait repoussoir.  Car le monstre qu’ils ont ainsi créé va se retourner contre eux, comme on a pu le voir.  Les américains, dit clairement le rapport, on en fait facilité l’installation des iraniens en Bosnie.  Les USA ont nourri les «  moudjahidines »,  comme ils les appellent alors, c’est un fait, désormais indéniable, avec ce document qui décrit en détail ce qui a été fait en Bosnie.

Nota : à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.

La série a débuté ici

Le réseau Ben Laden déjà cité en 1996

D’emblée les deux rapporteurs avaient mis le doigt sur un point essentiel : des liens entre des personnages-clés qui connaîtront plus tard (en 2001) la lumière des médias :  « pour comprendre comment le feu vert Clinton conduirait à ce degré d’influence iranienne, il est nécessaire de rappeler que la politique a été adoptée dans le contexte d’une activité islamique radicale étendue et croissante en Bosnie. C’est-à-dire que les Iraniens et d’autres musulmans étaient actifs depuis longtemps en Bosnie; le feu vert des États-Unis était un signal politique important adressé à Sarajevo et aux militants lui faisant savoir que les États-Unis étaient incapables ou peu disposés à présenter un obstacle à ces activités – et souhaitaient, dans une certaine mesure, coopérer avec eux ».

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Occitanie environnement
Hameau de Cubservies – 11380 ROQUEFERE
ventmauvais.association@nordnet.fr
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IL NOUS MENT!
Le mardi 27 novembre, le Président de la République Emmanuel MACRON a annoncé qu’«à l’horizon 2030, la production du parc éolien terrestre sera (…) triplée et la quantité d’énergie produite à partir du photovoltaïque multipliée par cinq” … /…que la fiscalité des carburants permettrait à la France d’investir “7 à 8 milliards d’euros” par an dans le développement des énergies renouvelables au cours des prochaines années contre 5 milliards actuellement.
Voilà donc l’explication des augmentations du prix des carburants!
Et leur augmentation est programmée jusqu’en 2022!
Il a ajouté:
«Parce que nous sommes soucieux des dépenses publiques, nous concentrons nos efforts sur le développement des énergies renouvelables les plus compétitives, et parce que
nous veillons au pouvoir d’achat des Français, nous serons exigeants avec les professionnels sur la baisse des coûts».

C’EST FAUX.

NOTRE POUVOIR D’ACHAT VA BAISSER et L’ÉOLIEN N’EST PAS COMPÉTITIF !
CE QU’IL NOUS PRÉPARE POUR 2022:
  • •LE LITRE DE CARBURANT À 2,50 EUROS
  • •LE QUASI DOUBLEMENT DES PRIX DE ÉLECTRICITÉ À 25 CENTIMES D’EURO LE KW
En effet, la quasi-totalité des taxes sur les carburants (CCE) et l’électricité consommée (CSPE),
au total près de 20 Milliards d’euros , est aujourd’hui utilisée pour faire fonctionner le business des « énergies renouvelables » selon le rapport de la Cour des Comptes.
Déjà près de 150 Milliards d’euros à rembourser jusqu’en 2024 pour financer la production à perte des 8.000 éoliennes implantées en France qui tournent moins de 25 % du temps et génèrent au mieux 4,5 % du total de l’électricité produite toute origine confondue!
Et cela va s’accentuer!
Le triplement de la production signifie le triplement du nombre des éoliennes soit 24.000 machines sur le territoire!
Les zones rurales et de montagne d’Occitanie seront particulièrement touchées alors qu’elles arrivent déjà à saturation avec le saccage du cadre de vie et des paysages.
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Moratoire sur l’éolien!
Annulation définitive de l’augmentation des taxes sur les carburants et l’électricité!
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Association Vent Mauvais membre du Collectif TNE – Occitanie environnement
Hameau de Cubservies – 11380 ROQUEFERE
ventmauvais.association@nordnet.fr
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Un décret publié discrètement par le Journal Officiel le 1er juillet 2011 ajoute à la liste des armes utilisables par les forces de l’ordre une arme de guerre : Fusil à répétition de précision calibre 7.61 x 51 mm.

Son nom? ULTIMAT RATIO.

C’est en toute discrétion et sans un mot dans les médias mainstream que François Fillon et Claude Guéant avaient apporté un changement non négligeable à la politique de maintien de l’ordre en France.

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