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Angela Merkel
Angela Merkel, futur secrétaire général de l’Onu?

© REUTERS/ Hannibal Hanschke
12:54 29.09.2015

Ces derniers temps, les rumeurs sur le départ éventuel d’Angela Merkel de la politique allemande dans l’objectif de prendre le poste de secrétaire général des Nations unies s’intensifient, a rapporté le quotidien allemand Bild.

Les informations sur un nouveau tournant possible dans la carrière de la chancelière sont confirmées par certains employés de l’Onu, a fait savoir Bild.

Ainsi, l’organisation a lancé au printemps 2015 la campagne Woman SG (Woman Secretary General), dont les participants désirent voir une femme à la tête de l’Onu, l’organisation n’ayant été jusqu’à présent dirigée que par des hommes. Comme le mandat de Ban Ki-moon prend fin le 31 décembre 2016, Angela Merkel a toutes les chances de prendre sa succession, son nom étant déjà sur la liste des candidates proposées par les organisateurs de la campagne.

« Elle serait la candidate idéale », a estimé un membre du mouvement.Outre Angela Merkel, la liste comprend les noms de Christine Lagarde (directrice du FMI, 59 ans), de Catherine Ashton (ex-chef de la diplomatie de l’UE, 59 ans) ou encore Dalia Grybauskaite (présidente de la Lituanie, 59 ans).

« D’un côté, (Angela) Merkel a avoué elle-même qu’elle voulait quitter son poste en démissionnant, et pas en perdant les élections ou en étant contrainte de démissionner. D’autre part, personne ne croira jamais que Merkel, qui vient d’avoir ses 60 ans, deviendra une retraitée politique et se consacrera à faire pousser des roses », a fait remarquer Bild.

Effectivement, les gens qui ont déjà eu la possibilité de jouer des rôles non-négligeables dans la grande politique ont besoin d’activité afin de ne pas perdre leurs compétences professionnelles. Peu de postes pourraient correspondre aux attentes de la chancelière allemande, sauf si on prend en considération l’Onu. Outre cela, le moment est bien choisi: la popularité Angela Merkel s’essouffle en Allemagne, tandis qu’à New York elle se sent comme un poisson dans l’eau, souligne le quotidien. Ainsi, à l’Assemblée générale elle est qualifiée de « femme la plus puissante du monde ».Il est à noter que jusqu’à présent, la candidature du secrétaire général de l’Onu a été choisie à l’issue de discussions informelles des représentants des pays membres les plus influents. Le candidat sélectionné devait par la suite obtenir le soutien des deux tiers de votants à l’Assemblée générale et le soutien des cinq membres permanents du Conseil de sécurité comprenant le Royaume-Uni, la France, la Chine, les Etats-Unis et la Russie. Selon certains experts, cette dernière pourrait pourtant bloquer une telle nomination, car il est peu probable que le président russe souhaite voir son opposant le plus fervent dans la crise ukrainienne à la tête de l’Onu, fait remarquer Bild. En outre, les pays membres du Conseil n’aiment pas voir des personnalités fortes à ce poste, et Angela Merkel risque d’être le « général » plutôt que le secrétaire de l’organisation, ajoute le quotidien.

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Profughi sirianiIl governo federale tedesco ha stanziato assegni mensili da 670 euro per ogni profugo oltre al finanziamento delle spese per l’alloggio, riferisce “Bloomberg”.

 Si prevede che quest’anno nel Paese arriveranno circa 800mila profughi. Il cancelliere tedesco Angela Merkel ha dichiarato che le spese dello Stato potrebbero continuare a crescere se il numero di arrivi supera le previsioni, segnala « RIA « Novosti ».

Circa 3,7 miliardi di euro di fondi federali finiranno nelle casse delle regioni per aiutarle a superare la difficile situazione con il nuovo afflusso di migranti. Queste misure saranno adottate il 29 settembre ed entreranno in vigore il 1° novembre, dopo l’approvazione del Parlamento.

La Merkel ha affermato che le regioni stanno affrontando grandi problemi, pertanto gli oneri devono essere ripartiti equamente con il governo federale. Ha espresso fiducia sul fatto che l’obiettivo del governo di mantenere il bilancio in pareggio non venga messo a rischio.

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ALLEMAGNE: 670 euros par mois et le logement gratuit pour les clandestins !

Pour les migrants dans l’Allemagne de Merkel. J’en connais qui n’ont même pas ça chaque mois et ont du mal à payer leur loyer. Il faut que le patronat allemand ait de gros besoins pour en arriver là mais tout ceci se paiera sur le champ du politique. Et que l’on ne demande pas à l’oncle $am d’être amical. Il fait, il fera tout pour faire sombrer l’Allemagne et l’Europe. Il s’agit de les mettre à genoux pour faire perdurer l’alliance atlantique. Et empêcher l’entente et la coopération avec la Russie…
Sources : – https://www.facebook.com/profile.php?id=100009140182723&fref=tshttp://it.sputniknews.com/politica/20150925/1230891.html

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Flüchtlinge: Friedrich warnt: IS-Kämpfer und muslimische Schläfer

« Nous avons perdu tout contrôle. L’accueil des immigrants est une énorme faute politique »

Ce sont les mots de Hans-Peter Friedrich, ministre de l’Intérieur de 2011 à 2013, qui met en garde contre l’arrivée incontrôlée dans l’UE de masses « d’immigrants dont on ne sait absolument rien ». Friedrich s’était déjà attiré en tant que ministre les foudres des médias bien-pensants et les critiques du président fédéral en affirmant que « Rien dans l’histoire ne démontre que l’islam appartient à l’Allemagne ». Une évidence politiquement incorrecte. Dans les colonnes du journal Passauer Neue Presse, cet homme politique du parti frère en Bavière (CSU) des « chrétiens-démocrates » du CDU de la chancelière Angela Merkel ne mâche pas ses mots à l’égard de la politique de cette dernière : « C’est une énorme faute politique qui peut avoir des conséquences dramatiques. Nous risquons de payer très cher le fait de ne pas enregistrer ces gens, de ne pas contrôler leur identité. Nous avons perdu tout contrôle. » Il ajoute aussi : « Nous risquons des attentats, nous devons fermer nos frontières. Il vaudrait mieux que le gouvernement de Berlin s’y prépare dès maintenant. »

L’ancien ministre défend aussi la position des pays de l’Est qu’il considère comme tout à fait compréhensible. Ces pays (Pays baltes, Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Hongrie, Roumanie et Bulgarie) refusent les quotas obligatoires et ceux qui sembleraient le plus prêt à accepter le nombre d’immigrants clandestins que souhaite leur imposer la Commission européenne (Pologne et Lituanie) ont à faire face à des manifestations populaires, comme hier samedi à Varsovie où une dizaine de milliers de personnes étaient venu dire leur opposition à l’immigration-islamisation.

Manifestation de Varsovie sous le slogan : « Aujourd’hui des immigrants, demain des terroristes » :

(Une manifestation où Martin Schulz, le président du Parlement européen s’est fait traiter de « porc allemand » pour avoir menacé qu’il serait fait usage de la force contre ceux qui refuseraient les quotas de migrants)

 

Et ce n’est pas que l’ancien ministre qui critique la politique du gouvernement fédéral formé par la « grande coalition » (CDU-CSU et SPD). C’est aussi toute la CSU bavaroise et le gouvernement du land de Bavière qui se trouve en première ligne face à l’arrivée des clandestins. Munich est littéralement submergée, et le gouvernement bavarois doit rencontrer le premier ministre hongrois Viktor Orbán en début de semaine pour discuter ensemble des solutions à adopter, en court-circuitant le gouvernement d’Angela Merkel ! Une décision qui lui vaut les critiques acerbes de la presse, mais pas de toute la presse.

LIRE-LESEN-READ-LEER: http://www.ndf.fr/nouvelles-deurope/13-09-2015/allemagne-nous-avons-perdu-tout-controle-laccueil-des-immigrants-est-une-enorme-faute-politique#.VfahEZeVeJc

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Ex-Innenminister Friedrich: „Wir haben die Kontrolle verloren“

Hans-Peter Friedrich (2012): Scharfe Kritik an Merkels Asylkurs Foto: dpa

Hans-Peter Friedrich (2012): Scharfe Kritik an Merkels Asylkurs Foto: dpa

BERLIN. Der ehemalige Bundesinnenminister Hans-Peter Friedrich (CSU) hat die derzeitige Asylpolitik der Bundesregierung gegeißelt. Die Entscheidung, Asylsuchende aus Ungarn unkontrolliert ins Land zu lassen, sei „eine beispiellose politische Fehlleistung“ und werde „verheerende Spätfolgen“ haben, sagte der CSU-Politiker der Passauer Neuen Presse.

LESEN:https://jungefreiheit.de/politik/deutschland/2015/ex-innenminister-friedrich-wir-haben-die-kontrolle-verloren/

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German Chancellor Angela Merkel has come out in defense of her staff, denying media reports that her administration lied about plans to reach a no-spying agreement with the United States.De nouveaux documents rendus publics par WikiLeaks apportent des preuves que les Etats-Unis ont espionné le ministère des Affaires étrangères allemand et le ministre Frank-Walter Steinmeier à sa tête.

Lundi 20 juillet à 18 heures, WikiLeaks a publié des documents prouvant que l’Agence nationale de sécurité US (NSA) a écouté le ministre allemand des Affaires étrangères ainsi que 20 secteurs clés de son ministère.

« La liste complète des cibles allemandes de la NSA publiée par Wikileaks à ce jour montre que la NSA a ciblé 125 téléphones de haut responsables allemands de longue date, et ce pour des raisons politiques et économiques – comme le nom de la liste l’indique », lit-on sur le site de Wikileaks.

Les documents indiquent que cette histoire d’espionnage a commencé bien avant le 11 septembre 2001, par l’écoute de Joschka Fischer, vice-chancelier et ministre allemand des Affaires étrangères, en poste de 1998 à 2005. Puis l’interception s’est poursuivie et l’ancien ministre Frank-Walter Steinmeier, en poste de 2005 à 2009, a vu ses téléphones fixe et portable écoutés.

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17:18 09.07.2015(mis à jour 18:47 09.07.2015) URL courte
 

La chancelière fédérale allemande Angela Merkel est prête à soutenir l’entrée de la Serbie et de l’Albanie au sein de l’UE, car elle redoute l’influence de la Russie sur ces pays, écrit le quotidien économique allemand Deutsche Wirtschafts Nachrichten (DWN).

Les promesses de l’Union européenne sur l’admission de nouveaux membres seront réalisées, a souligné Mme Merkel lors de sa visite en Albanie et en Serbie cette semaine. Selon elle, l’UE souhaite un développement stable des Balkans. La chancelière a promis aux dirigeants serbe et albanais de promouvoir les négociations d’adhésion de ces pays à l’UE.

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Angela Merkel et Tomislav Nikolic, Juillet  9, 2015

La chancelière allemande Angela Merkel a entamé hier une tournée de deux jours dans les Balkans occidentaux – Albanie, Serbie et Bosnie-Herzégovine.

La chancelière a l’intention d’évoquer les perspectives d’adhésion de ces pays à l’Union européenne. Compte tenu de l’influence économique croissante de la Russie dans la région, Bruxelles et Berlin doivent persuader à tout prix les dirigeants des Balkans de la fiabilité de la ligne européenne.

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multi merkel

« Les teutons flingueurs… »
Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !
Au moment où j’écris ces lignes, le « NON » est donné vainqueur en Grèce à hauteur de plus de 60 %, ce qui n’est pas rien.

La victoire de la démocratie et du courage d’un peuple !

C’est sûr qu’une semaine, c’est court, trop court pour organiser une campagne de propagande efficace pour « inciter » les gens à bien voter… Remarquez, même avec un peu de temps parfois cela ne fonctionne pas. Souvenez-vous du référendum en France sur la Constitution européenne. Le « non » l’emporta aussi car finalement, les citoyens ne veulent pas de cette Europe-là.

Alors malgré les menaces, malgré des banques fermées, malgré les promesses d’apocalypse pour l’ensemble du peuple grec, ces derniers massivement ont voté non.

Le grand déni européen a été de croire ou de vouloir croire que l’on pouvait cacher indéfiniment la poussière sous le tapis. L’heure des comptes et des décisions a enfin sonné et ce sont les Grecs qui viennent de remettre les pendules à l’heure.

Les « teutons flingueurs »…

N’imaginez pas que ce jeu de mots soit totalement gratuit, au-delà du trait d’humour, il est profondément révélateur.

Retenez ceci.

Aucune réaction de la Commission européenne.
Aucune réaction de l’Eurogroupe.
Aucune réaction du Conseil de l’Europe.
Aucune réaction du Parlement européen.

L’Allemagne ne voulait pas porter la responsabilité historique pour la troisième fois de la destruction de l’Europe, même si cette fois il s’agit d’une destruction économique.

L’Allemagne a enfin l’occasion de se débarrasser de la Grèce en faisant endosser cette responsabilité à la Grèce, conséquence logique du vote populaire sur ce référendum.

Les Allemands veulent donc flinguer la Grèce. Cela va créer un précédent. Le maillon le plus faible sortant, le dernier de la classe prendra la place du maillon le plus faible et les marchés l’attaqueront. C’est donc le détricotage de l’euro qui va bel et bien commencer.

L’Europe suspendue aux négociations franco-allemande de demain

À moins que demain, en recevant Angela Merkel à l’Élysée, François Hollande réussisse en une journée ce qu’il n’a jamais réussi à faire depuis son accession à la présidence, à savoir infléchir la position allemande.

C’est pour cette raison précise que vous n’aurez strictement aucune déclaration demain. Il ne se passera rien dans l’attente du résultat des discussions Merkel-Hollande.

Soyons clair et sans ambiguïté : si la position allemande de refus de négocier avec la Grèce l’emporte, alors l’euro est condamné à brève échéance et la France également car nous serons soit obligés de sortir de l’euro dans la pire des situations économiques et avec un endettement massif lié à notre faible croissance, conséquence d’une monnaie étouffante, soit nous serons obligés de faire la course à l’échalote avec l’Allemagne. Une course à l’austérité, mortifère pour l’avenir de notre pays et que nous n’avons en aucun cas les moyens de gagner.

J’aurais tendance, comme je l’ai fait lors de mon intervention sur BFM, à pronostiquer une débâcle française et l’expulsion de la Grèce de la zone euro (risque que l’équipe de Tsipras et de Varoufakis ont désormais en tête à chaque instant).

Toutes les instances européennes attendent le résultat du choc des titans France/Allemagne.

La seule façon pour François Hollande de faire plier Angela Merkel est de refuser la politique allemande même si cela signifie faire éclater l’Europe. Le problème c’est qu’il est rare qu’un homme habitué des motions de synthèse sache renverser la table et taper du poing dessus.

Si le président ne sait pas le faire demain, alors la France sera totalement isolée et les conséquences économiques et politiques pour notre pays seront dévastatrices.

Il est déjà trop tard, préparez-vous.

Charles SANNAT

(pour m’écrire charles@lecontrarien.com)

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Le Contrarien Matin est un quotidien de décryptage sans concession de l’actualité économique édité par la société AuCOFFRE.com. Article écrit par Charles SANNAT, directeur des études économiques. Merci de visiter notre site. Vous pouvez vous abonner gratuitement http://www.lecontrarien.com.

« L’Assemblée nationale est toujours otage de Thomas THÉVENOUD qui est toujours député. Pensons à elle. Ne l’oublions pas. »

(Pour protester pacifiquement et avec humour, n’hésitez pas à reprendre cette formule en bas de tous vos mails, de vos articles ou de vos publications, il n’y a aucun droit d’auteur !!)

http://c.brightcove.com/services/viewer/federated_f9?isVid=1&isUI=1

À propos de l’auteur

Charles Sannat est diplômé de l’Ecole Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran – Pôle Technologies de l’Information-(secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d’affaires. Il est actuellement le directeur des études économiques d’AuCOFFRE.com et rédacteur du Contrarien Matin, ‘Décryptage quotidien, sans concession, humoristique et sarcastique de l’actualité économique’.

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http://www.ariva.de/1393776116_a620346Les services de renseignements allemands sont à nouveau dans la tourmente.

Der Spiegel a révélé que le BND a aidé, au moins depuis 2008, la NSA dans ses activités d’espionnage industriel en Europe, outrepassant largement la coopération contre le terrorisme.

Les services de renseignements allemands sont de nouveau au centre d’un scandale. Jeudi, le Spiegel a révélé un nouveau faux pas du BND, qui semble avoir largement outrepassé son mandat. Depuis plus de dix ans, l’agence coopère avec la NSA pour surveiller certaines cibles. Mais ce qui devait être cantonné aux actions antiterroristes s’est étendu à d’autres domaines.

Dans sa quête d’information, le renseignement américain s’est intéressé à des grands groupes industriels sensibles comme EADS ou Eurocopter, à des responsables politiques allemands ou à l’administration français, écrit Der Spiegel, sans donner plus de détails. Selon le journal, le BND l’y a aidé.

Techniquement, la NSA demandait au BND de surveiller certaines adresses électroniques IP ou des numéros de téléphone particuliers. Mais les renseignements allemands n’ont pas cherché à vérifier systématiquement la nature des cibles identifiées par les Américains. Plus de 40.000 données auraient été collectées selon la presse allemande, sans lien avec l’antiterrorisme.
Plus de 40.000 données auraient été collectées

L’affaire a atterri sur le bureau de la chancelière sans attendre. Le porte-parole d’Angela Merkel, Steffen Seibert a critiqué «des manquements techniques et d’organisation» de la part du BND. L’opposition au Bundestag a réclamé la démission du chef des services de renseignements Gerhard Schindler. «C’est trop tôt», temporise cependant un membre de la commission d’enquête au Bundestag sur les écoutes de la NSA. «Il faut en savoir davantage». «Le procureur général va enquêter», a annoncé vendredi le président de la commission, le député Patrick Sensburg. Quoi qu’il en soit, ce nouvel épisode dans le scandale des écoutes de la NSA, qu’Angela Merkel et son gouvernement trainent comme un boulet, ébranle déjà la grande coalition.

Depuis la révélation des écoutes américaines, qui sont allés jusqu’à intercepter les communications de la chancelière, le renseignement allemand est dans la tourmente. Puis, l’année dernière ce sont des affaires d’espionnage par les États-Unis au sein même du BND qui ont été révélés. Quant à la commission d’enquête, elle s’est ensuite plainte du manque de coopération des services de renseignements, qui n’ont pas livré les documents qu’elle avait réclamés. Enfin, en début de semaine, la plus importante plateforme internet du monde, DE-CIX, installée en Allemagne, a décidé de porter plainte contre le BND en «doutant de la légalité» des opérations de surveillance informatique qu’il a menées.

source: http://www.lefigaro.fr/international/2015/04/24/01003-20150424ARTFIG00264-nouveau-scandale-au-sein-du-renseignement-allemand.php

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Et aussi:

L'ancienne station d'écoute de la NSA de Bad Aibling, dans le sud de l'Allemagne. -  AFP PHOTO/CHRISTOF STACHEAirbus aurait été espionné par les services de renseignement allemands pour le compte des Etats-Unis
Mis à jour le 24/04/2015 à 11:49

L’ancienne station d’écoute de la NSA de Bad Aibling, dans le sud de l’Allemagne. AFP PHOTO/CHRISTOF STACHE

Ces dernières années, les services de renseignement allemands ont espionné des entreprises, des responsables politiques et des hauts fonctionnaires européens pour le compte des Etats-Unis, a révélé le Spiegel Online, jeudi 23 avril. Parmi ces entreprises, figurerait le groupe aéronautique EADS, renommé Airbus Group l’année dernière.

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Sommet de Minsk

Les discussion au « format Normandie » (Ukraine, Russie, France, Allemagne) se sont ensuite poursuivis au niveau des délégations.

La rencontre à huis clos, organisée mercredi dans le cadre des entretiens « au format Normandie » (Ukraine, Russie, France, Allemagne) sur la crise en Ukraine, a duré deux heures à Minsk.

Sommet de Minsk

Les présidents ukrainien Piotr Porochenko, russe Vladimir Poutine, français François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel ont posé pour une photo de famille dans le Palais de l’Indépendance de Minsk à l’issue des discussions à huis clos.

Les entretiens se sont ensuite poursuivis au niveau des délégations.

Ces nouveaux entretiens s’inscrivent dans le prolongement des discussions sur le conflit en Ukraine entamées jeudi dernier par M.Hollande et Mme Merkel. Les deux dirigeants européens ont rencontré jeudi M.Porochenko à Kiev avant de se rendre à Moscou vendredi pour s’entretenir avec M.Poutine. Les quatre interlocuteurs se sont également entretenus par téléphone dimanche dernier.

Kiev mène depuis le 15 avril une opération militaire d’envergure pour réprimer les indépendantistes du sud-est de l’Ukraine. Les hostilités entre forces gouvernementales et insurgés du Donbass ont déjà fait, selon le dernier rapport du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, 5.486 morts, dont 59 enfants. Selon le même document, le nombre de blessés a atteint 12.972 personnes depuis le début du conflit, dont 153 enfants. Dans le même temps, près d’un million de personnes ont dû quitter leurs foyers pour fuir les combats.

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Après le périple russo-ukrainien d’Angela Merkel et François Hollande pour trouver un accord de paix dans l’est de l’Ukraine, une rencontre entre les deux dirigeants, Vladimir Poutine et Petro Porochenko est prévue mercredi à Minsk.

Ukraine : Hollande et Merkel à Moscou pour "aller chercher un accord"Ukraine : Hollande et Merkel à Kiev exposent leur plan de paixUkraine : Hollande et Merkel à Moscou pour présenter leur plan de paix à Poutine

Une nouvelle tentative pour trouver une solution et éviter que la situation ne dégénère.

Est-ce un nouveau pas encourageant dans le sens d’un réglement du conflit ? Un sommet réunissant France, Allemagne, Ukraine et Russie est prévu à Minsk mercredi avec pour objectif d’esquisser une solution pour l’Ukraine, a annoncé dimanche la chancellerie allemande dans un communiqué, à l’issue d’une conférénce téléphonique à quatre.

Angela Merkel, François Hollande, Petro Porochenko et Vladimir Poutine ont conduit « une longue conférence téléphonique » dans la matinée et « continué à travailler à un paquet de mesures dans le cadre de leurs efforts pour un règlement global du conflit dans l’Est de l’Ukraine ».

Réunion de préparation lundi à Berlin

Les travaux se poursuivront lundi à Berlin, « avec pour objectif de tenir mercredi à Minsk un sommet dans le ‘format Normandie' » réunissant les quatre puissances. Le communiqué ne précise pas qui seront les participants aux réunions de Berlin lundi. « Les signataires des accords de Minsk », première tentative en septembre dernier d’un règlement aux conflits, « vont également se retrouver à Minsk d’ici mercredi », selon la chancellerie. Il s’agit de représentants de l’OSCE, de la Russie et de l’Ukraine, ainsi que des séparatistes pro-russes actifs dans l’Est de l’Ukraine.

La situation en Ukraine a dégénéré à nouveau ces derniers jours après plusieurs mois d’accalmie, et Paris et Berlin ont lancé une initiative « de la dernière chance » pour essayer d’arriver à la paix. François Hollande et Angela Merkel ont négocié pendant cinq heures vendredi à Moscou avec le chef d’Etat russe. L’objectif est d’arriver à mettre en oeuvre les accords de Minsk, restés lettre morte.

Réunis à Munich pour une conférence sur la sécurité, de nombreux responsables européens et américains ont lancé ce week-end des appels pressants à trouver une solution, tandis que Moscou et Kiev ont continué à se rejeter mutuellement la responsabilité du conflit entre séparatistes prorusses et forces ukrainiennes qui a fait plus de 5.300 morts, dont de nombreux civils, en dix mois dans l’Est du pays.

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22:27 06.02.2015(mis à jour 08:06 07.02.2015)
Merkel et Hollande à Moscou (15)

Les négociations entre le président russe Vladimir Poutine, la chancelière allemande Angela Merkel et le président français François Hollande se sont terminées à Moscou

Le secrétaire de presse Dmitri Peskov vient d’annoncer que les négociations sont terminées.

Le tête-à-tête entre le président russe Vladimir Poutine, le président français François Hollande et chancelière allemande Angela Merkel a duré plus de cinq heures et il a été « productif ».  Une rencontre au « format  Normandie » est prévue pour dimanche. Dmitri Peskov indique qu’un texte sur le règlement de la situation en Ukraine est en cours de préparation.

Le président Hollande et la chancelière Merkel ont quitté le Kremlin et se dirigent vers l’aéroport.

Dossier:
Merkel et Hollande à Moscou (15)
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Angela Merkel dit non à un allègement de la dette grecque

Crédit photo © Reuters

(Boursier.com) — Alexis Tsipras, le chef de file du parti de gauche anti-austérité Syriza, prêtera serment en tant que nouveau Premier ministre ce lundi à 15 heures (heure de Paris). Selon l’agence de presse Reuters, la liste de son gouvernement devrait être dévoilée mardi. Syriza a obtenu dimanche 36,3% des voix et 149 députés, manquant la majorité absolue de deux sièges après les élections législatives. Le parti de Tsipras gouvernera dans le cadre d’une coalition avec la formation de droite des Grecs indépendants, qui ont fait élire 13 députés.

Dans son premier discours hier soir à Athènes, celui qui devrait être chargé ce lundi de former un gouvernement, a confirmé qu’il entendait mettre fin au programme d’austérité imposé par la BCE, l’Union européenne et le FMI et renégocier la dette du pays. « Le verdict du peuple grec signifie la fin de la troïka », a-t-il affirmé, déclenchant de nombreuses réactions.

Claire Lemaitre — ©2015, Boursier.com

LIRE l’article sur: https://www.boursier.com/actualites/economie/angela-merkel-dit-non-a-un-allegement-de-la-dette-grecque-26879.html

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Francis Wurtz

wurtz-l-humanite-dimancheLe 25 janvier prochain, les Grecs voteront. La perspective d’une victoire de Syrisa provoque un véritable branle-bas de combat dans les milieux dirigeants européens. Le président de la Commission de Bruxelles, Jean-Claude Juncker, et son associé français, Pierre Moscovici, ainsi que le lugubre ministre allemand des finances, Wolfgang Schaüble, avaient ouvert le ban en multipliant « conseils » et menaces pour tenter d’impressionner les citoyens de ce pays martyr, dans l’espoir de les dissuader de porter au pouvoir une force décidée à tenir tête à la « troïka » (1). A présent, c’est Angela Merkel en personne qui entonne l’air favori de son électorat le plus réactionnaire en agitant le bâton d’une expulsion de la Grèce de la zone euro si son futur gouvernement refusait de payer la « dette » -un fardeau , en vérité, largement illégitime et devenu irrécouvrable du fait même des purges drastiques qui ont étouffé l’économie et déstabilisé la société. C’est…

Voir l’article original 535 mots de plus

Harbin, la ville aux sculptures de neige

Harbin, la ville aux sculptures de neige

La 31e édition du Festival de sculptures sur glace et de neige de Harbin, dans le nord-est de la Chine, ouvre ses portes ce lundi 5 janvier.Aujourd’hui, 17:54

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Le président Porochenko a annoncé ce lundi 29 décembre la tenue d’un sommet à Astana, le 15 janvier prochain.
REUTERS/Ukrainian Presidential Press Service/Mykola Lazarenko

Le président ukrainien Petro Porochenko a annoncé lors d’une conférence de presse à Kiev ce lundi 29 décembre, qu’il retrouverait son homologue russe Vladimir Poutine le 15 janvier prochain dans la capitale kazakhe Astana, lors d’une rencontre à laquelle participeront Angela Merkel et François Hollande.

L’annonce de M. Porochenko intervient alors que les pourparlers avec les rebelles entamés la semaine dernière à Minsk sont aujourd’hui dans l’impasse. Les discussions laborieuses qui ont débuté le 24 décembre dernier ont certes abouti à un échange massif de prisonniers le week-end dernier, mais depuis, les discussions ont été interrompues. Et les combats, eux, ont repris, notamment aux abords de l’aéroport de Donetsk, où trois soldats ukrainiens ont été tués ce lundi, selon le président ukrainien.

LIRE: http://www.rfi.fr/europe/20141230-ukraine-porochenko-propose-une-nouvelle-rencontre-internationale-poutine-hollande-merkel-astana-15-janvier/

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http://french.ruvr.ru/news/2014_11_28/La-plus-grande-patinoire-artificielle-au-monde-ouvre-a-Moscou-9077/?slide-1

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La Commission européenne trouve nécessaire de garder la Grèce dans la zone euro

La Commission européenne trouve nécessaire de garder la Grèce dans la zone euro

La Commission européenne fait tout pour garder la Grèce dans la zone euro, communique la porte-parole de la Commission Mina Andreeva. Aujourd’hui, 20:04

Deux hommes armés se sont rendus à la police à Gand

Deux hommes armés se sont rendus à la police à Gand

Deux des quatre hommes armés qui ont pris un otage lundi matin dans la ville belge de Gand, se sont rendus à la police, ont rapporté les médias locaux.Aujourd’hui, 16:05

Le ministère russe de la Défense commence les exercices de grande envergure dans le Sud de la Russie

Le ministère russe de la Défense commence les exercices de grande envergure dans le Sud de la Russie

Le service de presse du District militaire Sud a annoncé le début des ralliements de grande envergure des gestionnaires qui seront assistés par environ 200 officiers et généraux.

 Aujourd’hui, 16:05
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Quand Helmut Kohl affirme qu’ Angela Merkel travaillait avec les services secrets US, et qu’une député l’accuse de servir les intérêts des USA au détriment des citoyens …

10 déc 2014


Une députée allemande accuse Merkel de servir les intérêts des USA au détriment des citoyens

Les Mémoires de l’ancien chancelier allemand Helmut Kohl pourraient enterrer la carrière de Merkel

Enorme scandale à l’occasion de la publication des souvenirs du chancelier allemand Helmut Kohl

« Testament. Transcription des conversations avec H. Kohl »

Il est bien possible que la publication « Die Kohl-Protokolle » nuira non seulement à la carrière de Merkel, mais pourrait avoir un effet sur le chancelier Kohl lui-même. On n’est pas loin de recours en justice,- Kohl a excessivement fait confiance à son mémorialiste Heribert Schwan, dont les souvenirs ont été publiés malgré la promesse de ne publier qu’après la mort du politicien. Schwan avait juré sur tous les saints de ne jamais publier avant le décès d’Helmut Kohl. Mais il n’a pu résister …

Vers 2001-2002, dans la solitude des caves de sa maison de Ludwigschaffen, Kohl a enregistré sur magnétophone ses souvenirs. Le journaliste écrivain Schwan devait rédiger et agencer les manuscrits du chancelier. Helmut Kohl, lors de ses discussions avec Schwan, incluait régulièrement des commentaires peu amènes, égratignant ainsi ses ex collègues du parti (et « amis » tels que Gorbatchev que Helmut Kohl désignait comme « le loser »). A cette occasion il répétait sans cesse : « mais ceci ne devra pas être écrit », toutefois Heribert Schwan notait scrupuleusement tout ce que racontait Helmut Kohl. Finalement, celui-ci ressentit que Heribert Schwan ne lui inspirait plus confiance, et ne souhaitant aucunement nuire à son parti, il bloqua la publication ; et Schwan fut contraint de restituer les 200 cassettes reprenant 630 heures d’enregistrement. Préalablement à la restitution, Schwan fit des copies. Et voici qu’il publie.

L’objet essentiel de ces publications n’est pas dans le sensationnel des secrets divulgués, rien de très nouveau n’y apparait sur le plan politique. Mais il y a là autre chose –des aspects très désagréables à propos de ses ex-collègues, révélés non par quelque quidam, mais par un homme d’État qui a procédé à la réunification du pays. Provenant de sa propre bouche, et non des rumeurs que l’on peut écarter de la main, précise stringer-news.com.

Ces éléments de souvenirs, selon lesquels Helmut Kohl écrit que Angela Merkel était mal élevée, ne savait tenir ses couverts, tentait d’attraper la nourriture avec les doigts, ces éléments-là ont été publiés non seulement en , mais bien au-delà. Mais le plus important, pour quelque raison, n’est presque pas révélé, lorsque Helmut Kohl affirme directement que sa « protégée » travaillait avec les services US.

La future chancelière allemande spéculait sur les myrtilles alors qu’elle appartenait au ‘mouvement des jeunesses allemandes libres’ et ces faits la caractérisent assez exactement. En RDA, l’ainsi nommée « amicale de négoce des fruits et légumes » achetait des baies aux particuliers pour 4 marks le kilo. Et les revendait immédiatement pour 2 marks – la vente de baies bénéficiant de subventions d’Etat, et de ce fait revendait au détail moins cher que le prix d’achat. Comprenant très tôt les lois de la vie, Angela Merkel remettait le kilo de myrtilles pour 4 marks, puis sans tarder revenait acheter ce kilo pour 2 marks… et ainsi de suite. Mais simultanément, le cœur léger, elle bassinait ses congénères aux réunions du Konsomol pour ceux qui pratiquaient de telles méthodes.

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Mais pourtant, la façon dont elle construisit sa carrière est bien plus significative. En 1986, âgée de 35 ans, Angela Merkel s’inscrit dans le mouvement Est-allemand « réveil démocratique ». Et pratiquement jusqu’aux élections qui verront la victoire des chrétiens démocrates dans l’Allemagne réunie, elle les critiquera et en dira pis que pendre. Mais dès qu’apparaitra le parfum de victoire des Chrétiens-démocrates, sans tarder Angela Merkel rejoint leurs rangs et arrive à saisir un siège de député au Bundestag du pays désormais réuni.

LIRE: http://reseauinternational.net/les-memoires-de-lancien-chancelier-allemand-helmut-kohl-pourraient-enterrer-la-carriere-de-merkel/#comment-213699

SOURCE: http://resistanceauthentique.wordpress.com/2014/12/10/quand-helmut-kohl-affirme-qu-angela-merkel-travaillait-avec-les-services-secrets-us-et-quune-depute-laccuse-de-servir-les-interets-des-usa-au-detriment-des-citoyens/

Source : http://www.nakanune.ru/news/2014/10/31/22375143/

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Die Bundeskanzlerin bleibt hart: Im Interview erklärt Angela Merkel, warum die russische Aggression nicht folgenlos bleiben kann und Deutschland ein Freihandelsabkommen mit den USA braucht.

Von Robin Alexander und Beat Balzli

Der Schreibtisch von Angela Merkel ist bis auf einen Globus und eine Telefonanlage leer. Die Kanzlerin arbeitet selten an dem überdimensionierten Chef-Möbel in ihrem Büro im fünften Stock des Kanzleramts. Lieber sitzt sie an einem schmucklos-funktionalen Konferenztisch, an dem ihr Mitarbeiter umstandslos Papiere reichen können. Dort bittet Merkel jetzt auch die beiden Reporter, Platz zu nehmen. Sie schenkt selbst Kaffee ein und kommt sofort zur Sache.

Welt am Sonntag: Frau Bundeskanzlerin, Ihr Treffen mit Präsident Putin in Australien ist nun zwei Wochen her. Im Anschluss kritisierten Sie die Russen mit sehr harten Worten. Herrscht seitdem Funkstille?

Angela Merkel: Die Bundesregierung und die russische Regierung haben laufend Kontakte auf verschiedenen Ebenen. Dabei machen wir einerseits stets deutlich, dass Russland mit seinem Vorgehen in der Ukraine-Krise internationales Recht bricht und wir uns andererseits in allen Gesprächen unvermindert um eine diplomatische Lösung bemühen. Es geht darum, dass auch Russland das Minsker Abkommen einhält, das es ja selbst vereinbart hat und das unter anderem einen Waffenstillstand vorsieht.

Welt am Sonntag: Haben Sie nach dem G-20-Gipfel in Brisbane den Ton gegenüber Putin etwa nicht verschärft? Dann hat die gesamte Weltöffentlichkeit Sie also falsch verstanden?

Merkel: Seit Beginn der Krise mache ich und macht die ganze Bundesregierung deutlich, dass es keine militärische, sondern nur eine diplomatische Lösung geben kann. Ziel dieser Lösung ist es, in der Ukraine ein Grundprinzip unserer europäischen Friedensordnung wiederherzustellen, und das ist die Anerkennung der territorialen Integrität von Staaten. Genau diesem Ziel verweigert sich Russland im Fall der Krim und in Lugansk und Donezk.

Welt am Sonntag: Ihr Außenminister hat nach dem G-20-Gipfel in Brisbane davor gewarnt, « Möglichkeiten zur Entspannung zu verbauen ». Prompt wurde er zur Audienz bei Putin eingeladen. Versucht der Kreml Sie und Frank-Walter Steinmeier gegeneinander auszuspielen?

Merkel: Bundesaußenminister Steinmeier und ich arbeiten eng zusammen und nutzen alle Gesprächsmöglichkeiten, die sinnvoll sein können, um die Ukraine-Krise zu überwinden.

Welt am Sonntag: Dann war es also auch abgesprochen, als Sie davor gewarnt haben, Putin könnte westliche Balkanländer ins Visier nehmen. Wie kommen Sie darauf?

Merkel: Mit Moldau, Georgien und der Ukraine haben drei Länder aus unserer östlichen Nachbarschaft aus eigener souveräner Entscheidung ein Assoziierungsabkommen mit der EU unterschrieben. Diesen drei Ländern bereitet Russland Schwierigkeiten. So leidet die Republik Moldau seit Jahren unter dem Konflikt um Transnistrien. Wir haben große politische Anstrengung unternommen, hier zu helfen, bislang leider vergeblich. Georgien leidet ebenfalls seit Jahren unter dem eingefrorenen Konflikt in Südossetien und Abchasien. Die Ukraine muss die Annexion der Krim und die Kämpfe im Osten ihres Landes erleben. Wir sehen außerdem, dass Russland wirtschaftliche und politische Abhängigkeiten in einigen Ländern des Westbalkans zu schaffen versucht.

Welt am Sonntag: Hätten Sie auch Estland, Lettland oder Litauen nennen können, die früher zur Sowjetunion gehörten, aber jetzt Nato-Mitglieder sind?

Merkel: Ich habe schon bei meinem Besuch in Lettland vor einiger Zeit gesagt, dass die Beistandsverpflichtung der Nato für jedes Nato-Mitglied gilt – also auch für Lettland, Estland und Litauen oder auch für Polen. Gleichzeitig habe ich mich dafür eingesetzt, dass die Nato-Russland-Akte nicht gekündigt wird, sondern dass wir Gesprächskanäle mit Russland offen halten.

Welt am Sonntag: Würden Sie für das Baltikum wirklich Krieg führen?

Merkel: Die Frage eines Kriegs im Baltikum stellt sich nicht. Dessen ungeachtet gilt Artikel 5 des Nato-Vertrags, also die Beistandsverpflichtung, für alle Bündnispartner. Deshalb tragen wir zum Beispiel zur Sicherung des baltischen Luftraums bei, stellen neue schnelle Reaktionskräfte auf und arbeiten von einer gemeinsamen Führungseinrichtung in Stettin mit Polen und Dänen militärisch im Bündnis zusammen. Dies alles geschieht im Übrigen im Einklang mit der Nato-Russland-Akte.

Ich bin überzeugt, dass die gemeinsame europäische Antwort auf Russlands Handlungen richtig ist

Angela Merkel

Welt am Sonntag: Russland bricht Verträge, Deutschland bleibt trotzdem vertragstreu?

Merkel: Ja, Brücken sind schneller abgebrochen als neu errichtet. Uns ist wichtig, entschieden gegen den Bruch internationalen Rechts vorzugehen, weshalb Sanktionen unvermeidlich sind, uns aber gleichzeitig an Abmachungen zu halten und eine diplomatische Lösung der Konflikte zu erreichen.

Welt am Sonntag: Um Russland nicht zu provozieren, haben Sie ja auch 2008 verhindert, dass die Ukraine Nato-Mitglied wurde. Hat die Geschichte Ihnen recht gegeben, oder sind Sie widerlegt worden?

Merkel: Die grundsätzliche Bereitschaft der Nato von 2008, dass die Ukraine Mitglied der Nato werden kann, wie auch die Entscheidung damals, dennoch keinen sogenannten Membership Action Plan für die Ukraine und Georgien zu verabschieden, also die Vorstufe der Mitgliedschaft, sind richtige Entscheidungen und gelten unverändert.

Welt am Sonntag: Was wäre passiert, wenn sich damals nicht Angela Merkel, sondern George W. Bush durchgesetzt hätte und die Ukraine in die Nato geholt hätte? Hätten wird dann heute Krieg mit den Russen?

Merkel: Alle Schritte zu einer Nato-Mitgliedschaft werden einstimmig gefällt. Deutschland hat damals gegen die Vorstufe der Mitgliedschaft, den Membership Action Plan, für die Ukraine und Georgien entschieden, aus guten Gründen. Ich spekuliere nicht, was geschehen wäre, wenn andere Entscheidungen getroffen worden wären.

Welt am Sonntag: Gibt es Ihnen zu denken, dass Ihre drei Vorgänger – Helmut Schmidt, Gerhard Schröder und auch Helmut Kohl – Ihre Russlandpolitik erklärtermaßen für falsch halten, vor allem die Sanktionen?

Merkel: Ich bin überzeugt, dass die gemeinsame europäische Antwort auf Russlands Handlungen richtig ist. Dass Russland die von ihm im Budapester Memorandum von 1994 vertraglich zugesicherte territoriale Integrität und Souveränität der Ukraine verletzt hat, darf nicht folgenlos bleiben.

Welt am Sonntag: Der niedrige Ölpreis ist gerade viel wirksamer als die Sanktionen. Die Russen glauben, der Preis sei manipuliert.

Merkel: Ich warne grundsätzlich vor Verschwörungstheorien jedweder Art, also auch um den Ölpreis. Ein Preis sinkt, wenn die Nachfrage sinkt. Das ist unter anderem der Fall, weil die Weltwirtschaft schwächer wächst als erwartet und die USA sich mittlerweile zu einem großen Teil selbst versorgen können.

Welt am Sonntag: Sie wollen die Sanktionen verlängern. Gleichzeitig reisen deutsche Wirtschaftsführer zu Putin nach Moskau. Stört Sie das?

Merkel: Es gibt eine Liste von Personen aus Russland, die nicht mehr in die Europäische Union reisen dürfen, aber es ist nicht verboten, dass sich deutsche Wirtschaftsführer mit russischen Unternehmern unterhalten – und auch mit russischen Politikern. Selbst zur Zeit des Kalten Krieges gab es im Übrigen diplomatische Beziehungen und Kontakte vielfältigster Art.

Welt am Sonntag: Aber eine breite Unterstützung durch die Unternehmen für Ihre Politik sähe doch ganz anders aus. Verstehen Sie, dass die deutsche Wirtschaft gegen die Sanktionen ist?

Merkel: Ich fühle eine breite Unterstützung der Wirtschaft für die Politik der Bundesregierung in der Ukrainekrise, und zwar trotz der Tatsache, dass Sanktionen natürlich auch eine Belastung für manche Unternehmen in Deutschland sind. Sanktionen sind kein Selbstzweck, sondern werden nur beschlossen, wenn sie unvermeidlich sind.

Welt am Sonntag: Die Sanktionen tun besonders weh, weil die Konjunktur schwächelt. Im letzten Quartal wuchs sogar Frankreich mit 0,3 Prozent schneller. Gibt es die Konjunkturlokomotive Deutschland nicht mehr?

Merkel: Unsere Wirtschaft ist stärker exportorientiert als die anderer Länder. Deshalb können sich geopolitische Krisen wie der Ukraine-Russland-Konflikt oder die Sorge vor der Terrororganisation IS natürlich auch auf unsere Wirtschaft auswirken. Dennoch ist Deutschlands wirtschaftliche Lage robust, und das verdanken wir vor allem der sehr starken Binnennachfrage.

Welt am Sonntag: Die Situation kann man wohl kaum als robust bezeichnen. Die Unternehmen investieren fast nur noch im Ausland.

Wir haben in Deutschland so viele Erwerbstätige und so viele sozialversicherte Beschäftige wie nie zuvor. Wir haben einen Anstieg der Reallöhne

Angela Merkel

Merkel: Wir reden für die deutsche Wirtschaft über die Frage, wie hoch das Wachstum ausfällt, wir reden nicht darüber, dass sie nicht mehr wächst. Das ist eine robuste Ausgangslage, um die uns viele andere beneiden.

Welt am Sonntag: Ihre letzte Stütze sind doch die Konsumenten. Die Leute geben ihr Geld aus, weil sich Sparen wegen der niedrigen Zinsen einfach nicht mehr lohnt.

Merkel: Die gute Binnennachfrage verdanken wir der sehr guten Arbeitsmarktsituation. Wir haben in Deutschland so viele Erwerbstätige und so viele sozialversicherte Beschäftige wie nie zuvor. Wir haben einen Anstieg der Reallöhne.

Welt am Sonntag: Trotzdem bleibt das Wachstum erschreckend bescheiden. Und die Beschlüsse der großen Koalition wie etwa Mindestlohn, Ausländermaut, Rentenerhöhungen oder Mietpreisbremse behindern es zusätzlich. Haben Sie überzogen?

Merkel: Verlässlichkeit ist ein sehr hohes Gut – für Politik und Wirtschaft. Mit unseren Beschlüssen halten wir Wort. Dazu gehört ganz wesentlich unser Versprechen, keine Steuern zu erhöhen. Für das nächste Jahr haben wir den ersten Haushalt seit 46 Jahren ohne neue Schulden vorgelegt. Das ist gerade für die jüngere Generation ein ganz wichtiges Signal.

Welt am Sonntag: Sie weichen aus.

Merkel: In keiner Weise. Mit der Umsetzung des Koalitionsvertrags, etwa zum Mindestlohn oder zur Mütterrente, halten wir Wort und schaffen Vertrauen und Verlässlichkeit. Mit unserem Haushalt denken wir an die Zukunft, denn wir steigern noch einmal die Investitionen in die Forschung und in Verkehrsprojekte.

Welt am Sonntag: Das dürfte nicht weit reichen. Und aus Europa kommen kaum Wachstumsimpulse. Das Investitionsprogramm des neuen Kommissionspräsidenten Jean-Claude Juncker von 300 Milliarden Euro wirkt beinahe verzweifelt. Ist es eine gute Idee?

Merkel: Das Investitionsprogramm setzt auf die Europäische Investitionsbank, die sinnvolle Projekte identifizieren und Kredite vergeben kann. Ich werde mich auf dem EU-Rat in diesem Monat dafür einsetzen, dass wir das mit einem Projektbuch unterlegen. Wir brauchen Projekte der europäischen Einigung – im digitalen Bereich, in der Energieinfrastruktur oder bei Verkehrsprojekten, so wie wir nach 1990 die Verkehrsprojekte Deutsche Einheit in Angriff genommen haben. Es müssen konkrete, tragfähige Projekte sein, die wir privaten Anlegern vorlegen können, um sie einzuladen, ebenfalls zu investieren.

Welt am Sonntag: Halten Sie das ernsthaft für eine gute Idee? Konjunkturprogramme verpuffen doch immer.

Merkel: Richtig, deshalb ist es wichtig, dass es kein Konjunkturprogramm ist, sondern ein Investitionsprogramm. Es ist nicht zu bestreiten, dass Europa Investitionen braucht. Was in den neuen Bundesländern oder etwa in Polen mit europäischen Geldern an Infrastruktur realisiert wurde, war absolut sinnvoll. Für genauso wichtig halte ich es, dass wir investitionsfreundlichere Bedingungen schaffen, zum Beispiel durch den Bürokratieabbau, den Kommissionspräsident Juncker zugesagt hat. Für den digitalen Bereich muss ein Rechtsrahmen entstehen, damit hier in Europa Wertschöpfung aus digitaler Wirtschaft ebenso möglich wird wie in Amerika oder Asien.

Welt am Sonntag: Wollen Sie Google und andere amerikanische Giganten benachteiligen, um die europäischen Unternehmen zu schützen?

Merkel: Mehr als Kritik an amerikanischen Marktführern bringt es uns weiter, wenn wir Europäer uns Gedanken darüber machen, wie auch wir im globalen Maßstab wettbewerbsfähige Unternehmen bekommen. Unsere Vorstellungen vom Datenschutz sind wichtig. Genauso wichtig ist es, dass europäische Unternehmen die Bedingungen haben, um in der digitalen Wirtschaft zu wachsen und Arbeitsplätze zu schaffen. Derzeit kommt auf diesem Gebiet noch vieles aus den USA und Asien und eher weniger aus Europa.

Welt am Sonntag: Unser Rückstand ist extrem.

Merkel: Genau, bestimmte Entwicklungen haben nicht in Europa stattgefunden, und wir sind nur noch Nutzer. Aber jetzt heißt es, die Chancen der Industrie 4.0, also der Verschmelzung des Digitalen mit der industriellen Produktion, zu erkennen und zu nutzen. Unsere Industrieunternehmen, gerade die vielen exzellenten Mittelständler, haben dafür ein sehr gutes Fundament.

Welt am Sonntag: Juncker hat noch eine zweite Idee: Er will die Defizitsünder Frankreich und Italien nicht sanktionieren. Finden Sie das etwa auch gut?

Merkel: Die Kommission hat einen Zeitplan festgelegt, wann Frankreich und Italien weitere Maßnahmen vorlegen müssen. Das ist vertretbar, denn beide Länder befinden sich ja tatsächlich in einem Reformprozess. Die Kommission hat aber auch deutlich gemacht, dass das, was bis jetzt auf dem Tisch liegt, noch nicht ausreicht. Dem schließe ich mich an.

Welt am Sonntag: Sie halten ja für das Wachstum in Europa auch das Freihandelsabkommen TTIP mit den USA für wichtig. Aber die Deutschen scheinen es nicht zu wollen.

Merkel: Ein Freihandelsabkommen zwischen diesen beiden großen Wirtschaftsräumen führt zu mehr Arbeitsplätzen. Außerdem gibt es uns die Möglichkeit, Standards zu setzen, im Verbraucherschutz, im Umweltschutz, im sozialen Bereich. Was zwischen den USA und Europa vereinbart wird, könnte beispielgebend auch für andere Gegenden der Welt sein. Wir haben bei den Verhandlungen keine Zeit zu verlieren, denn gerade im asiatischen und pazifischen Bereich werden immer neue Freihandelsabkommen geschlossen, und gerade China ist da sehr aktiv.

Welt am Sonntag: Bei Ihrem Koalitionspartner sorgt TTIP gerade für einen heftigen Krach. Was passiert, wenn die SPD umfällt?

Aber es bleibt bei unseren sehr hohen europäischen Standards für Verbraucher und Umwelt. Dafür stehe ich ein

Angela Merkel

Merkel: Wir haben für das Transatlantische Freihandelsabkommen viele gute Argumente an der Hand. Ich spreche immer wieder mit den Menschen über die Globalisierung. Auch unsere Wirtschaft ist immer stärker international vernetzt, das hat Folgen und viele Chancen für uns, die wir uns klarmachen müssen.

Welt am Sonntag: Nach der Finanzkrise leiden allerdings viele Deutsche an einer Art posttraumatischer Kapitalismusstörung. Verstehen Sie, warum ausgerechnet die deutschen Exportweltmeister solche Angst vor dem Freihandel haben?

Merkel: Ich verstehe gut, dass viele Menschen nach unseren Erfahrungen mit der Finanzkrise dreimal nachfragen, ob ein Regelwerk gut ist. Deshalb haben wir uns ja so für die Finanzmarktregulierung eingesetzt und drängen heute weiter darauf, auch die Schattenbanken zu regulieren. Wenn europäische Standards für ein Freihandelsabkommen mit Amerika unterschritten würden, wären viele Bedenken gerechtfertigt. Aber es bleibt bei unseren sehr hohen europäischen Standards für Verbraucher und Umwelt. Dafür stehe ich ein.

Welt am Sonntag: Können Sie das überhaupt? Sie verhandeln doch gar nicht, sondern die EU.

Merkel: Das Freihandelsabkommen wird auf Grundlage unserer hohen europäischen Standards verhandelt. Sie sind die Grundlage des Verhandlungsmandats, dem alle EU-Staaten zugestimmt haben.

Welt am Sonntag: Die Menschen haben Angst, weil die Verhandlungen hinter verschlossenen Türen stattfinden.

Merkel: Wir werden noch mehr Transparenz ermöglichen. Die neue EU-Kommission ist schon dabei, das umzusetzen. Unserem Ziel, möglichst viele europäische Interessen durchzusetzen, dienen aber gerade vertrauliche Gespräche.

Welt am Sonntag: Im Zentrum Ihres kommenden Parteitags steht jedoch nicht das große Thema Freihandel. Sie werden sich vor allem um das Nebenthema kalte Progression streiten. CDU-Arbeitnehmer- und CDU-Wirtschaftsflügel wollen sie abschaffen. Warum verteidigen Sie eigentlich diese automatische Steuererhöhung für Durchschnittsverdiener ?

Merkel: Ich gehöre zu den Menschen, die das versprechen, was sie halten können. Ein ausgeglichener Haushalt ist von großem Wert. Deshalb verspreche ich die Abschaffung der kalten Progression erst für den Zeitpunkt, an dem wir die dafür erforderlichen finanziellen Spielräume haben. Sobald sie da sind, wird die kalte Progression abgeschafft.

Welt am Sonntag: Sie verteidigen auch eine weitere Belastung für die Bürger: den Soli. Warum schaffen Sie diese Sonderabgabe nicht ab? Die Einheit ist doch fertig.

Merkel: Wir sind sehr weit vorangekommen, aber nach wie vor gibt es Unterschiede zwischen den neuen und alten Ländern, das Steueraufkommen der neuen Länder ist deutlich geringer. Die Ausgaben für die deutsche Einheit gehen über die Milliarden im Solidarpakt II hinaus – und sie haben sich mit seinem Auslaufen auch nicht erledigt.

Welt am Sonntag: Der Soli bleibt also, wie er ist?

Merkel: Derzeit laufen intensive Verhandlungen zur Neuregelung der Bund-Länder-Finanzen, in denen zum Beispiel auch die Ausgaben der deutschen Einheit sowie zukünftige notwendige Ausgaben von Bund und Ländern geklärt werden müssen.

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Nezavissimaïa gazeta

13:27 08/12/2014
MOSCOU, 8 décembre – RIA Novosti

L’hebdomadaire allemand Welt am Sonntag a publié hier une interview de la chancelière Angela Merkel, dont les propos sont repris dans la presse allemande sous les titres « Merkel met à jour la critique de Poutine » ou encore « Merkel accuse la Russie de déstabiliser l’Europe de l’est », écrit lundi le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

Les journaux allemands soulignent que la chancelière a « réaffirmé son intention d’accorder un soutien militaire à la Lettonie et à la Lituanie, qui ressentent une menace émanant de la Russie ».

Dans le texte de l’interview, la chancelière affirme que Moscou « n’hésite pas à bafouer l’intégrité territoriale des pays voisins« . Selon Merkel « la Moldavie, la Géorgie et l’Ukraine, trois pays de notre voisinage oriental qui ont pris la décision souveraine de signer un accord d’association avec l’UE, subissent des problèmes à cause de la Russie ». A titre d’exemple, elle affirme que la Moldavie « souffre du conflit autour de la Transnistrie », la Géorgie « des conflits gelés en Abkhazie et en Ossétie du Sud », et l’Ukraine « doit survivre à l’annexion de la Crimée et aux combats dans l’est du pays ». Mais aux yeux de Merkel, cette liste est loin d’être exhaustive. « Nous voyons en outre que la Russie cherche à rendre les pays des Balkans plus dépendants d’elle économiquement et politiquement », déplore-t-elle.

Plus surprenant et choquant: la chancelière s’est dite prête à participer à un conflit armé avec la Russie.

La chancelière a affirmé qu’en cas de conflit armé entre la Russie, d’un côté, et l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie de l’autre, l’Otan accorderait aux pays baltes une assistance militaire, comme prévu par les engagements dans le cadre de l’Alliance. On peine à croire que Merkel ne soit pas consciente du résultat que cela entraînerait – une aventure désastreuse pour tous. Un jeu de scénarios militaires, même verbal, est dangereux.

Par sa dureté, son caractère sans appel, voire belliqueux, l’interview du Welt am Sonntag dépasse le récent discours de Merkel à Sydney, qui a été loué par les partisans de la politique antirusse. La chancelière fait encore concurrence à Obama dans la globalisation de la menace russe, l’identifiant même jusque dans les Balkans.

On s’interroge sur le but de la manœuvre. Plusieurs versions sont possibles. Par exemple, pour dissimuler l’absence de perspectives du pari des USA sur les sanctions et l’isolement de la Russie. Mais il existe également un aspect politique intérieur. Le Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ) souligne: « Merkel se défendait, dans l’interview, contre la critique de ses trois prédécesseurs – Helmut Schmidt, Helmut Kohl et Herhardt Schroeder – qui s’étaient prononcés en faveur d’une prise en compte des intérêts de la Russie ». La chancelière a tenté de justifier à nouveau les sanctions antirusses mais ses arguments sont de moins en moins entendus.

La société allemande est profondément préoccupée par la situation en Europe et, en grande partie, ne souhaite pas rompre les relations avec la Russie. Selon un récent sondage publié le 4 décembre, 40% des Allemands, contrairement à la position de la chancelière, considèrent que les sanctions sont complètement injustifiées et 66% sont persuadés que les mesures occidentales ne feront pas changer la position du Kremlin.

Sur le même sujet

 http://fr.ria.ru/presse_russe/20141208/203176547.html
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Tony Abbott, un dirigeant peu diplomate pour accueillir le G20

Tony Abbott, le 12 novembre à Naypyidaw, la capitale birmane.

LE MONDE | 15.11.2014 à 09h59 • Mis à jour le 15.11.2014 à 14h20 | Par Caroline Taïx (Sydney, correspondance)

Le premier ministre australien, Tony Abbott, qui accueille les dirigeants du G20 samedi 15 et dimanche 16 novembre, ne s’encombre pas toujours de formules diplomatiques. Vladimir Poutine l’a appris à ses dépens, mi-octobre. Lors du G20, « il y aura de nombreuses conversations dures avec la Russie, mais la conversation que j’aurai avec M. Poutine sera la plus dure de toutes », a prévenu le chef du gouvernement conservateur. Et d’enchaîner : « I’m going to shirtfront Mr Putin. » Le mot shirtfront est emprunté au football australien, il désigne un affrontement assez violent et en particulier un coup d’épaule dans la poitrine de l’adversaire. Vladimir Poutine, ceinture noire de judo, aura été prévenu.

Au centre des différends : le crash du vol MH17 de la Malaysia Airlines, le 17 juillet, dans l’est de l’Ukraine. Tony Abbott tient la Russie pour responsable de la mort des 298 passagers, parmi lesquels se trouvaient 38 Australiens. Malgré l’émotion qu’a suscitée le drame en Australie, Tony Abbott a été vivement critiqué pour ses paroles sur le président russe. Une sénatrice lui a ainsi demandé de « se comporter en dirigeant mûr d’un grand pays » et non « en collégien travaillé par ses hormones ». Mais Tony Abbott n’en est pas à son coup d’essai.

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