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THE INFORMANT
Dans ce "blog-info" de Marc Fievet AKA "NS 55 DNRED", les articles sont reblogués dans le seul but d'informer!
Clashes Occur Between BLM Protesters and Police in Washington, DC – Videos Crowd marches through D.C., protesting police killings, skirmishing with officers Thousands march in Chicago for Adam Toledo while BLM …
Clashes in Chad leave 55 dead, villages destroyed | Daily Sabah Tchad : Almountada condamne les violences au Salamat et Tchad : la CTDDH déplore les conflits intercommunautaires Les affrontements au Tchad font 55 morts et des villages … Al menos 77 muertos por enfrentamientos entre pastores y … Ciad: decine di morti in scontri […]
Farmers on UP-Haryana border clash over land claim, 1 dead, several hurt UP: यमुना खादर में गेहूं की फसल कटाई को लेकर चली गोलियां, बागपत के किसान की मौत हत्या के बाद किसान का शव जंगल में फेंका अंधड़ और बूंदाबांदी से पारा गिरा, किसानों की चिंता बढ़ी
El Chapo Fernando Arellano lugarteniente del Chapo se desiste de amparo y acepta la extradición 16 abril 2021 El presunto narcotraficante Fernando Arellano Romero, señalado como uno de operadores del líder del Cártel del Pacífico, Joaquín “El Chapo” Guzmán Loera. Se desistió del amparo que promovió en … Read More °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Fotos FOTOS: El CDN llegan […]
La police croate a annoncé mercredi avoir saisi plus d’une demi-tonne de cocaïne dans un port près de Dubrovnik à la fin du mois de mars. La drogue était cachée dans le fond d’un conteneur transportant des fruits. Source 0000
Ce n’est qu’au moment où Ali a essayé de vendre le bidon de gaz de cuisine qu’il avait volé dans la cuisine de ses parents qu’il a réalisé que c’était de la drogue qui le consommait – et non l’inverse. Cet Irakien de 27 ans avait déjà vendu son téléphone portable, ses chaises, son lit […]
Ce n’est pas faute de l’avoir écrit. Dès le 14 novembre 2014 nous avions annoncé que la libération surprise de Vojislav Seselj par le Tribunal Pénal International sur la Yougoslavie était un piège tendu à Belgrade. Voici un extrait de notre analyse :
(…) La récente visite de Vladimir Poutine à Belgrade, accueilli comme un héros, a d’ailleurs prouvé que l’amitié serbo-russe n’était pas qu’un mythe. Insupportable pour Washington qui veut isoler Moscou en Europe en relançant une nouvelle guerre froide. Et quoi de mieux pour déstabiliser un pays que de libérer un extrémiste, dont la popularité il est vrai est importante, qui à peine revenu sur son sol natal a déclaré qu’il était revenu à Belgrade avec une intention claire : renverser le pouvoir pro-européen en place qu’il accuse de traîtrise. Tout le savant travail d’équilibre des dirigeants serbes entre Bruxelles et Moscou risque de se voir détruit ouvrant…
Depuis la Haye, Laurent Gbagbo se confie : « Affi N’guessan est allé trop loin…»
Mme Ago Marthe, vice-présidente du Front Populaire Ivoirien (FPI) chargé de la coordination des actions pour la libération du président Laurent Gbagbo était en visite ce vendredi 20 février 2015 à la Haye où elle a rencontré le président Laurent Gbagbo. Elle a profité de son séjour en Europe pour expliquer ce samedi 21 février à Paris, les causes profondes de la crise qui mine son parti…
« Vous remarquez que je n’appelle plus Affi N’guessan camarade. Je l’appelle monsieur. Cet homme n’a plus sa place parmi nous…»
Parlant du président Affi N’guessan ce samedi 21 février, AGO Marthe, l’ancienne première vice-présidente de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire n’a pas ménagé ses mots pour fustiger l’attitude de l’actuel président du FPI. AGO Marthe qui sortait d’une visite au président Laurent Gbagbo à la Haye était à cet effet l’invitée de la représentation Fpi-France dirigée par Hortense Adé Assalé.
Devant un public majoritairement acquis à la cause du célèbre prisonnier de Scheveningen et dans une salle archi-comble du 177 de la rue de Charonne dans le 11ème arrondissement de Paris, la vice-présidente du Fpi a expliqué point par point, les tenants et aboutissants de la crise qui secoue son parti. Parlant de sa mission à la tête de la structure mise en place pour piloter la libération de Laurent Gbagbo, AGO Marthe a noté que : « Bien que beaucoup de choses aient été faites, les lignes n’ont pas bougé…» Du coup, consciente de l’importance de sa tâche, la vice-présidente du FPI dit avoir placé sa mission sous le signe du sel et de la lumière
Deux symboles divins dont elle compte s’inspirer pour conduire sans peur cette forte responsabilité.
« Maintenant que le président Laurent Gbagbo a approuvé mon programme de travail, je peux désormais parler et engager le combat. Car, Laurent doit être libéré dans l’honneur et non en prostituant sa lutte…» Puis de poursuivre : « Même si nous avons la gâchette sous la tempe, jamais nous n’allons-nous soumettre…»
UNE CRISE SANS RETOUR ?
Comme il fallait s’y attendre, la candidature de Laurent Gbagbo à la tête du FPI qui cristallise aujourd’hui les débats au FPI et même en Côte d’Ivoire a une fois de plus dominé la rencontre. Donnant même lieu parfois à des échanges tendus entre pro-Affi et pro-Gbagbo. Est-ce que oui ou non, Laurent Gbagbo est lui-même initiateur de sa candidature à la présidence de son parti comme tente de le lui dénier le clan Affi ? Cette question centrale a eu une réponse appropriée de la part de l’invité de la représentation du FPI :
« Le président m’a dit qu’il s’est lui-même porté candidat pour diriger le FPI. « C’est ici, à ce même endroit que j’ai reçu le notaire pour signer ma lettre de candidature. Je veux reprendre le parti la parce que je considère que Affi est entrain de dénaturer le FPI… » » A confié AGO Marthe comme étant les propres paroles du président Laurent Gbagbo.
Poursuivant son témoignage, AGO Marthe dira que Laurent Gbagbo a aussi fait savoir que l’actuel président du FPI a poussé le bouchon trop loin dans sa croisade contre lui. « Affi N’guessan est allé trop loin…»a confié Gbagbo.
Quel pourrait être alors la suite de cet imbroglio politico-judiciaire qui grève les activités du FPI ? En réponse, la vice-présidente du FPI martèlera tout simplement que les textes du parti sont contre les pro-Affi.
« Nous on brûle d’envie de suspendre Affi (…) Comment voulez-vous continuer à composer avec quelqu’un qui porte plainte contre les structures de son propre parti ? (…) De toutes les façons d’ici le 7 mars Affi va partir…» A-t-elle conclu./.
AFRIQUE – ROBERT MUGABE ANNONCE LA MISE EN OEUVRE D’UNE COUR AFRICAINE DE JUSTICE INTERNATIONALE (CAJI)
Le nouveau Président de l’Union Africaine (UA), Robert Mugabe a déclaré aujourd’hui que l’Afrique se retirerait de la Cour Pénale Internationale dès le prochain sommet de l’Union Africaine en juin, en Afrique du Sud
Le gouvernement du Kenya s’engage à verser un million de dollars en dollars pour la création d’une Cour Africaine de Justice Internationale des droits de l’homme Africain dans le cadre d’une justice de police plus large dans la Nouvelle transition de l’Afrique et d’une Cour Africaine pour traiter toutes les affaires criminelles de l’Afrique actuellement soumise à la très raciste Cour internationale de l’Europe occidentale aka la CPI de La Haye, aux Pays-Bas, qui haïssent le monde Africain Mâle en Général
Le Président Kenyatta a déclaré avoir déjà signé le « Protocole de Malabo » sur la Cour Africaine de Justice afin que les instruments nécessaires soient rapidement transmis au Parlement Africain pour une Ratification
Le Kenya fait partie des pays en première ligne à s’associer à la mise en place d’une Cour Africaine de Justice pour sortir de la CPI et de d’autre « Systèmes Blancs », dominés par les occidentaux Américains et d’autres pays occidentaux Européens qui interagissent ensemble contre les Africains
Aujourd’hui les pays Africains qui poussent à la création d’un Tribunal Continental, souhaitent créer une Institution qui offre des solutions Africaines aux problème Africains par rapport à la CPI, qui s’occupera de résoudre les problèmes Africains mais en utilisant des normes occidentale qui seront également valables lorsqu’il s’agira de résoudre les problèmes Européens.
Le Kenya fait partie des premiers pays à s’associer à la mise en place d’une Cour Africaine de Justice pour sortir de la CPI et de d’autres « Systèmes Blancs », dominés par les occidentaux, Américains et d’autres pays occidentaux Européens qui interagissent ensemble contre les Africains.
Le 13 février 2015, la Chambre de première instance I de la Cour pénale internationale (CPI) a tenu une conférence de mise en état dans l’affaire Le Procureur c. Charles Blé Goudé.
Israël juge « scandaleuse » l’ouverture d’une procédure préliminaire à la CPI
AFP16 janvier 2015, 18:23Mis à jour : 16 janvier 2015, 18:56
Le bâtiment de la Cour pénale internationale à la Haye (Crédit : Vincent van Zeijst/Wikimedia commons/CC BY SA 3.0)
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a annoncé vendredi l’ouverture d’un examen préliminaire, étape préalable à une enquête, sur des crimes de guerre présumés commis depuis l’été 2014 en Palestine.
Un examen préliminaire sert à déterminer s’il existe une « base raisonnable » pour initier une enquête, a précisé le Bureau du procureur dans un communiqué.
L’Autorité palestinienne avait reconnu le 1er janvier la compétence de la Cour à partir du 13 juin 2014, date…
Israël envisage de poursuivre des dirigeants palestiniens aux États-Unis et ailleurs pour crimes de guerre, en réponse à la demande d’adhésion de l’Autorité palestinienne au statut de Rome, acte fondateur de la Cour pénale internationale (CPI), a-t-on appris samedi de source proche du gouvernement israélien.
La requête pourrait avoir lieu début avril au tribunal de La Haye afin de poursuivre en justice des responsables
Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, lors d’une réunion le 8 novembre 2014 à Ramallah en Cisjordanie (Crédit : STR/Flash90)
La première plainte que les Palestiniens entendent déposer auprès de la Cour pénale internationale (CPI) portera sur des « crimes » perpétrés après le 13 juin 2014, quand Israël a lancé une vaste campagne d’arrestations suivie de la guerre à Gaza, a indiqué un juriste palestinien à l’AFP.
Après leur récente demande d’adhésion, les Palestiniens pourraient déposer début avril leur demande de saisie du tribunal de La Haye afin de poursuivre en justice des responsables, notamment militaires, israéliens.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu le 17 décembre 2014 lors d’une conférence de presse (Crédit : Emil Salman/POOL/FLASH90)
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a prévenu dimanche qu’Israël s’opposerait à toute poursuite de ses soldats par la Cour pénale internationale (CPI), à laquelle les Palestiniens viennent de demander d’adhérer.
« Nous ne permettrons pas que les soldats et les officiers de Tsahal soient traînés devant le tribunal de La Haye », a déclaré Netanyahu à l’ouverture du conseil des ministres hebdomadaire.
Office of the Prosecutor The Hague The Netherlands
Criminal Complaint filed by James C. Ryan 6 October 2014
Criminal Carnage in Syria
by the Criminal Cabal for Perpetual War
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COVER LETTER TO THE OFFICE OF THE PROSECUTOR
The Honorable Fatou Bensouda Office of the Prosecutor International Criminal Court Post Office Box 19519 2500 CM, The Hague, The Netherlands Fax No.: 31-70-515-8555 Email: otp.informationdesk@icc-cpi.int
Dear Ms. Bensouda:
Please accept my personal compliments. I have the honor to file with you and the International Criminal Court (ICC) this Criminal Complaint against:
U.S. citizens Barack Hussein Obama, Hillary Rodham Clinton, John Forbes Kerry, John Owen Brennan, Michael Joseph Morell, David Howell Petraeus, and Leon Edward Panetta;
Turkish citizens Recep Tayyip Erdoğan, Ahmet Davutoğlu and Hakan Fidan;
Saudi Arabian citizens King Abdullah bin Abdulaziz and Prince Saud al-Faisal;
Qatari citizens Tamim bin Hamad Al Thani, Abdullah bin Nasser bin Khalifa…
Le siècle d’exploitation et de domination de l’Afrique par l’Occident se poursuit a déclaré le président Uhuru Kenyatta du Kenya lors d’une allocution devant le Parlement de son pays, avant de prendre l’avion pour se rendre à la Cour Pénale Internationale (CPI) où il a été inculpé de crimes contre l’humanité. Peu importe les raisons ayant motivé l’action du président Kenyatta, je trouve cette décision extrêmement grave. Je suis très déçu. Déçu parce qu’encore une fois, un che…f d’État africain respecté et respectable vient de faire honte à tout un continent en montrant à la face du monde que nous demeurerons à jamais de vrais esclaves.
Plusieurs fosses communes viennent d’être découvertes dans le village de Kommounar, dans la région de Donetsk, qui était encore tout récemment sous contrôle des néofascistes ukrainiens.
Dans ces fosses communes plusieurs cadavres, principalement des femmes, disparues il y a plusieurs semaines. Elles ont été torturées, violées puis fusillées. L’une de ces victimes était enceinte (8ème mois de grossesse). Elle a été assassinée les mains attachées, avec son bébé qui n’a pas eu la chance de découvrir le monde. Les enquêteurs de l’OSCE se trouvent sur place. Des questions simples se posent : que fera la CPI ? Quelles actions entreprendra la justice dite internationale ?
Eh bien, très difficile à dire. Des crimes pourtant évidents mais malheureusement connaissant la politisation des institutions internationales de justice, il y a vraiment de quoi être perplexe. Des institutions telles que la CPI sont devenues depuis longtemps des organisations pratiquement de non-droit, dont la…
Ainsi, plus de trois ans après son arrestation dans des conditions de violence exorbitantes du droit international le plus élémentaire, plus de trente mois après son transfert à La Haye, le président Laurent Gbagbo est maintenu en détention au motif principal que le Bureau du Procureur de la CPI peine de plus en plus visiblement à étayer la moindre culpabilité contre lui.
Déjà, en février 2013, l’Audience, qui s’était tenue sur près de huit jours, avait commencé à lever le voile sur la vacuité du dossier d’accusation qui avait conduit les juges de la Chambre Préliminaire I a ajourner leur décision en « offrant » à la Procureure l’occasion d’apporter des « preuves additionnelles et de conduire des enquêtes préliminaires », en un mot de revoir sa copie. Désormais, au terme de dix nouveaux longs mois de procédure, toutes les parties ont rendu leurs conclusions.
C’est signé: pourquoi faire cette déclaration un 11 septembre, pourquoi pas le 10 ou le 12?
La Haye, 11 sept 2014 (AFP) – La Cour pénale internationale a confirmé jeudi de manière « définitive » qu’elle jugera l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo pour crimes contre l’humanité, un appel de la défense ayant été rejeté.
« La Chambre préliminaire I a rejeté la demande de la défense d’interjeter appel de la décision relative à la confirmation des charges », a indiqué dans un communiqué la CPI, qui siège à La Haye. Une date d’ouverture du procès devra être déterminée.
Après avoir d’abord douté de la solidité du dossier dressé par l’accusation contre M. Gbagbo, la CPI avait finalement confirmé en juin quatre charges de crimes contre l’humanité contre l’ancien président. Il est accusé d’avoir, avec son entourage, « ordonné, sollicité, encouragé ou contribué de toute autre manière » à commettre des meurtres, viols, actes inhumains et…
Né au moment de la conquête française, Dia Houphouët, devenu en 1915 Félix Houphouët, puis Houphouët-Boigny en 1945, domine de sa stature l’histoire de la Côte d’Ivoire du xxe siècle. Produit du système colonial, formé à l’action syndicale, puis politique, dans la coopération avec la métropole, il est, de 1960 à 1993, le premier président de la Côte d’Ivoire indépendante. Il s’efforce d’en faire un État-nation unitaire par l’autoritarisme politique et la modernisation économique et sociale. Même si les bases de ce système se fissurent à partir de 1980, il garde jusqu’à sa mort les commandes d’un pays auquel il lègue un avenir incertain.
Du pays baoulé à l’entrée en politique (1905 ?-1945)
Descendant de notables baoulés, Dia Houphouët, converti au christianisme sous le prénom de Félix en 1915, est formé à l’école de la République française. Comme médecin à partir de 1925, il se signale par sa dénonciation des abus faits aux planteurs africains par la métropole. Devenu en 1939 administrateur de son canton d’origine, il y met en œuvre les principes modernisateurs qu’il appliquera à tout le pays après 1960. Fondateur en 1944 du Syndicat agricole africain, il est en 1945 le seul député autochtone de la Côte d’Ivoire à l’Assemblée constituante française. C’est alors qu’il prend le nom de Houphouët-Boigny (« Bélier »).
L’homme politique incontournable (1945-1960)
Restant député jusqu’à la chute de la IVe République, il conçoit son action politique aussi bien dans le cadre ivoirien, en fondant en 1946 le PDCI (parti démocratique de Côte d’Ivoire), que panafricain, en présidant jusqu’en 1959 le Rassemblement démocratique africain (RDA), et français. D’abord compagnon de route du parti communiste – seule formation politique française anticolonialiste –, il s’en éloigne après 1950. Devenu dès lors l’interlocuteur incontournable de la métropole en Côte d’Ivoire, il est de tous les gouvernements français, de 1956 à 1959. L’un des rédacteurs de la Constitution de la Ve République, favorable à la Communauté franco-africaine prônée par de Gaulle, il se résout néanmoins à proclamer en 1960 l’indépendance de la Côte d’Ivoire, dont il devient, sans surprise, le premier président.
Le président de la Côte d’Ivoire (1960-1993)
Jusqu’en 1980, Houphouët-Boigny règne sans partage sur un pays dont il a réduit toute opposition au silence, par une répression impitoyable. Misant sur la modernisation économique et sociale, il préside au « miracle ivoirien ». Par sa diplomatie panafricaine et pro-occidentale, il se taille une image de « Sage de l’Afrique », qui fait écho à celle du « Vieux », du patriarche bienveillant, qu’il entretient à l’intérieur du pays. Des fissures apparaissent dans ce système cadenassé à l’orée des années 1980, avec le recul des prix des denrées d’exportation et le creusement de la dette extérieure. L’aspiration à la démocratie en profite pour s’exprimer, ce qui le contraint à accepter le pluralisme politique en 1990. La fin de sa présidence est minée par les luttes autour de sa succession et une aggravation de la situation économique qu’il laisse irrésolue à sa mort en 1993.
Depuis la mort de Felix Houphouët Boigny, la Côte d’Ivoire s’est engluée dans une crise militaro-politique, détruisant au passage son économie et la cohésion sociale.
« La vérité est si obscurcie en ces temps et le mensonge si établi qu’à moins d’aimer la vérité on ne saurait la reconnaître » (Blaise Pascal)
La paix est un bien vide dont les effets sont perceptibles dans les comportements des hommes, c’est pourquoi, la construction d’une société paisible et apaisée ne relèvent pas d’une simple proclamation. Les Ivoiriens cherchent aujourd’hui une voie, celle de la réconciliation, en vain. Comment vivre après la haine, après la guerre civile, après le crime contre l’humanité ? Comment refaire du lien avec son proche devenu un temps si lointain ? En d’autres termes, comment faire du juste avec de l’injuste ? C’est à l’examen de ces différentes questions que sont consacrées les lignes qui suivent.
Les causes de la crise actuelle en Côte d’Ivoire
Depuis la mort de Felix Houphouët Boigny, notre pays, la Côte d’Ivoire s’est…
By sending vast amounts of military aid to Israel, members of the US Congress, President George W. Bush, President Barack Obama and Defense Secretary Chuck Hagel have aided and abetted the commission of war crimes, genocide and crimes against humanity by Israeli officials and commanders in Gaza.
An individual can be convicted of a war crime, genocide or a crime against humanity in the ‘International Criminal Court (ICC) if he or she “aids, abets or otherwise assists” in the commission or attempted commission of the crime, “including providing the means for its commission.”
Rien n’arrêta la demande du peuple palestinien – ce grand peuple qui est l’incarnation de la résistance à l’oppression – pour que justice soit rendue. Imaginer d’enrailler cet appel au droit est aussi dérisoire que de vouloir bloquer une grande marée avec une barrière de sable. Ne doutez- pas : la procédure se poursuit, et les obstacles de papier mis malheureusement sur ses chemins seront vite balayés. Quant à la CPI, si elle ne sait pas prendre en considération l’ampleur des crimes commis et la complexité de la question palestinienne, c’est elle qui, avec ces certitudes mal placées, sera balayée.
La résistance juridique s’organise. Elle visera tous les obstacles, et les abattra tous. Le premier lieu sur la liste est l’opposition indigne, immonde, des Etats occidentaux qui font pression sur l’Etat de Palestine pour que ses dirigeants ne s’adressent pas à la justice internationale. Si ces dirigeants veulent que nous gardions un…
Puisqu’il est établi qu’Israël a commis un massacre à Gaza, puisque les faits sont visibles et pire, en mondovision d’autant plus que l’ONU a été touchée au coeur, les salmigondis de Bensouda ne tiennent pas la route. Pourquoi Fatou Bensouda, qui plus est procureur de la CPI, ne diligente-elle pas une enquête permettant de poursuivre, pas de son propre chef mais au nom de la CPI, Israël ?
LA HAYE, Pays-Bas – Les compétences de la CPI ne concerneraient donc pas Israël ? Alors que tout est comme dirait l’autre « nickel chrome » pour faire condamner Netanyahu et ses sbires, voici que la négresse de maison Fatou Bensouda dit que la Cour pénale internationale ne peut prendre en compte la plainte palestinienne. Une falsification ou un deux poids deux mesures incontestable.
Dès juin 2011, la coordination du FPI en exil, dans le cadre de sa mission s’est fixé les objectifs stratégiques suivants:
– La libération du Président Gbagbo;
– La libération de l’ensemble des prisonniers politiques civils et militaires et le retour sécurisé des exilés;
– La restauration de la démocratie et la souveraineté.
L’examen de la visite d’Etat en Côte d’Ivoire de Monsieur François Hollande, Président de la République Française, s’inscrit dans le cadre des objectifs stratégiques tels que définis. Ces objectifs sont contenus dans les résolutions de la dernière convention du FPI, en particulier au regard du sort réservé au Président Gbagbo qui symbolise pour l’immense majorité des Ivoiriens la démocratie et la souveraineté.
LES FAITS Le 11 avril 2011, la France parvient, par un coup de force, à ses fins: installer Ouattara au pouvoir en Côte d’Ivoire. C’est le résultat d’un long processus entamé depuis le 19 septembre…
En tout état de cause, Michel GBAGBO se réserve le droit de saisir la justice pour dénoncer les empêchements dont il a été victime et qui ne sont animés que par la volonté de laisser certains dans l’impunité.
PARIS, le 9 juillet 2014 – Dans le cadre de la plainte pour enlèvement, séquestration et traitements inhumains et dégradants, portée par Michel GBAGBO en France, la Justice française est confrontée à un manque de coopération de la part des autorités ivoiriennes.
A cet égard, il convient de rappeler que le Juge d’Instruction avait adressé plusieurs convocations pour entendre Michel GBAGBO, mais que ce dernier ne put les honorer dans la mesure où il en a été empêché par le pouvoir ivoirien.
Ce jour, il est de nouveau convoqué par le Juge d’Instruction pour être entendu à son Cabinet d’instruction à PARIS.
Malheureusement, Michel GBAGBO est encore mis dans l’impossibilité de répondre à cette convocation.
Les autorités ivoiriennes doivent sortir de cette situation de non droit, en…
Mediapart enquête sur Gbagbo et la CPI / Cantaloube lu par Protche (Le Gri-Gri) : Article paru sur Mediapart, repris à Abidjan par le Nouveau Courrier et enregistré ici par le Gri-Gri International
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La libération des infirmières bulgares avaient permis d’apprécier le relationnel de N.Sarkozy avec Kadhafi. Pour le reste, la vérité sortira! C’est inéluctable!
Cinquante millions d’euros déboursés par Mouammar Kadhafi pour sa course à l’Élysée, et l’exécution suspecte du colonel, sont autant de cadavres dans le placard de l’ex-président français Nicolas Sarkozy. Ce n’est pas un hasard si l’assaut de l’OTAN contre la Libye a débuté le 19 mars 2011 par un bombardement des chasseurs français sur les forces de Kadhafi, lesquelles étaient sur le point de terrasser les rebelles à Benghazi.
François Mattéi sur La Voix de la Russie (2e partie) « Quand Gbagbo parlera au procès, la CPI s’écroulera ».
François Mattéi.
Suite de la première partie de l’entretien.
LVdlR : Dans votre livre écrit en collaboration avec M. Gbagbo, on le retrouve dire que la « vérité finira par triompher »… Comment le président Gbagbo entrevoit-il son avenir, celui de ses proches et de la Côte d’Ivoire ? Et qu’en pensez-vous ?
F.M. : Moi, je suis très inquiet pour la Côte d’Ivoire parce que je pense qu’elle est aux mains de gens peu fiables. Des gens qui sont venus au pouvoir par les armes. Qui continuent à maintenir leurs positions par les armes. M. Ouattara ne peut rien faire contre ces gens qui l’ont ramené au pouvoir et qui sont pour la plupart analphabètes. Ils sont très nombreux. On retrouve notamment un commis de cuisine devenu préfet, c’est…
Gbagbo devant la CPI, c’est à la fois logique et aberrant. Sur le fond, soyons prudents, et même plus. La CPI n’a pas jugé Gbagbo, elle a juste dit que les charges étaient suffisantes pour que le dossier soit instruit, et la drôle de défense de Gbagbo s’est félicitée de cette décision qui « va permettre de s’expliquer », réservant un appel à quelques aspects du dossier. Non, ce n’est pas le fond qui fait débat, mais la procédure t : elle est logique car c’est la Côte d’Ivoire qui a donné la compétence à la CPI, et… c’est aussi pour ce même motif aussi qu’elle est aberrante, car la Côte d’Ivoire est un grand pays, et c’était à elle de juger Gbagbo. Ce renoncement à l’exercice d’une fonction souveraine montre combien notre Ouattara, cet ancien du FMI, a la soumission bien ancrée dans la tête. Assume la justice, Paulo, assume !
Par La Voix de la Russie | Nous avons appris récemment que la Cour pénale internationale (CPI) a confirmé les charges visant le président de la République de Côte d’Ivoire, M. Laurent Gbagbo. Et ce malgré un désaccord net parmi les trois juges de la Chambre préliminaire I. Aujourd’hui, nous nous entretenons depuis Paris avec M. François Mattei, journaliste, auteur de nombreux ouvrages, mais surtout témoin privilégié ayant suivi les principaux développements de la crise ivoirienne depuis son déclenchement en septembre 2002.
Mikhail Gamandiy-Egorov, La Voix de la Russie : M. Mattei, bonjour ! Vous êtes journaliste et écrivain français. Vous êtes également co-auteur du livre « Pour la vérité et la justice »,le second co-auteur étant le président de la République de Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo. Dans ce livre, on retrouve de nombreuses révélations et confidences, souvent inédites, du président Gbagbo, déchu le 11 avril 2011…
Les autorités de Kiev ont fait donner contre les miliciens du Donbass des bombes à phosphore et des lance-roquettes multiples. Cela suffit amplement à Porochenko et consorts pour se retrouver sur le banc des accusés à la Haye mais l’Europe garde pour le moment le silence.
L’emploi par Kiev contre les habitants et les miliciens du Donbass des bombes à phosphore et des lance-roquettes multiples que l’ONU classe dans la catégorie des armes d’extermination massive, est largement étayé par des témoignages oculaires et de nombreux enregistrements vidéo. On se demande justement pourquoi les autorités de Kiev ont eu recours aux munitions qui les rendent coupables des crimes de guerre. Bogdan Bezpalko, directeur adjoint du Centre d’études ukrainiennes et biélorusses de l’Université de Moscou, estime que cet épisode et d’autres encore relèvent des tentatives des dirigeants ukrainiens de provoquer une intervention armée de la part de la Russie :
« L’usage des bombes à phosphore, de l’artillerie lourde, des lance-roquettes multiples « Grad » et des mortiers « Tulipe » contre sa propre population, sont autant de tentatives de provoquer la Russie à intervenir militairement en Ukraine. Dans ce contexte, tant le flot de réfugiés et la cruauté disproportionnée envers la population du Donbass, visent à provoquer une réaction forte de la part de la Russie. Et puisque l’objectif n’a pas été atteint, on a vu des blindés et des avions ukrainiens faire irruption en Russie. Plus encore, selon certains témoignages, une localité russe a essuyé des tirs des blindés ukrainiens. »
Contraindre la Russie à user de la force contre l’armée ukrainienne est l’objectif prioritaire que se donne actuellement l’Occident et les États-Unis plus particulièrement, estiment les experts. Mais les États-Unis sont en train de subir un fiasco. La stratégie politique et militaire de Moscou caractérisée par la réserve et la prudence, a brouillé les cartes des technologues politiques américains en Ukraine, affirme Bogdan Bezpalko :
« Même si Kiev agit sous couvert de ses partenaires occidentaux au point qu’ils ont prodigieusement réussi à bloquer à l’ONU la résolution condamnant l’attaque contre l’ambassade russe à Kiev, cette situation ne peut pas durer longtemps. Moscou a choisi la bonne tactique de collecte de données sur les crimes de guerre commis par la junte de Kiev et de guerre de l’information. Le jour où toute cette information sera disponible à la communauté internationale, elle appuiera la position de la Russie et non pas celle de la direction ukrainienne. »
Les experts estiment que les autorités de Kiev n’ont pas encore tout vu. Compte tenu de leur rôle peu enviable de fantoches, ils finiront par être abandonnés par leurs manipulateurs et seront traduits devant un nouveau tribunal international.