Whether you’re a customs officer, police force, military, magistrate, doctor, teacher, lecturer, congressman, senator, mayor, undercover agent or just an interested citizen, “Aviseur International” welcomes all types of uncensored information and ‘classified’ documents that you may have in relation to drug trafficking, money laundering, corruption and related matters.
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THE INFORMANT
Dans ce "blog-info" de Marc Fievet AKA "NS 55 DNRED", les articles sont reblogués dans le seul but d'informer!
Detectives searching the trailer uncovered 156 kilogrammes of cocaine in kilogramme blocks, packed into cardboard boxes. ERSOU’s specialist detectives have arrested two men, after a lorry containing millions of pounds of cocaine was stopped at a Bedfordshire service station. Shortly after 2.30pm yesterday (Tuesday), officers from the ERSOU’s Regional Organised Crime Unit (ROCU) stopped a […]
La Belgique gagnerait-elle à légaliser la consommation de drogue ? Ce mercredi, “QR le débat” remettait le débat sur la table. Selon le responsable communication à Infor-Drogues Antoine Boucher, “de nombreuses études pharmacologiques ont montré que les drogues les plus toxiques sont de loin l’alcool et le tabac et ce sont des drogues légales. Donc, on […]
Dominique Strauss-Kahn En mai 1997, François AUVIGNE a été nommé chargé de mission auprès de Dominique Strauss-Kahn, ministre de l’Economie et des Finances, et de Christian Sautter, secrétaire d’Etat au Budget. Marc Fievet a écrit , de son pénitencier de Renous au Canada dans les provinces maritimes, à Dominique Strauss-Kahn une longue lettre de 17 […]
Carlos Ghosndit n’avoir« aucun doute »sur le fait que les accusations contre lui sont la conséquence d’un« complot et d’une trahison »de la part des dirigeants de Nissan, dit-il mercredi 30 janvier dans un entretien au quotidien économique japonaisNikkei (lien en anglais). Il explique que les dirigeants de Nissan étaient opposés à son projet de renforcement de l’intégration entre Renault et ses partenaires japonais, Nissan et Mitsubishi Motor.
Pour ses conseils à Renault, Alain Bauer était payé par l’alliance Renault-Nissan, via une société logée à Amsterdam.
Il conseille des présidents français et dispose d’importants réseaux en politique et dans la police, mais pas seulement : Alain Bauer, à part ses habits defranc-maçon assumé(il a été grand maître du Grand Orient de France), se dit aussiconsultant pour des dizaines de grosses sociétés, principalement appartenant au CAC 40.
Appelé en 2011 à la rescousse par Carlos Ghosn, alors tout-puissant patron du numéro un mondial de l’automobile, après l’affaire dite des « faux espions » (une manipulation basée sur des infos bidon visant trois hauts cadres du constructeur), Alain Bauer avait accepté la mission de revoir de fond en comble la direction de la sécurité et de la protection du patrimoine de l’entreprise. Accessoirement, recourir aux bons services de celui qui a alors l’oreille de Nicolas Sarkozy, alors chef de l’État, était un bon calcul : la crise des faux espions avait fortement déplu à l’Elysée…
Methamphetamine tablets made in Myanmar that were traditionally smuggled through southeastern Bangladesh are coming across the border from India, Bangladeshi officials told BenarNews.
Meanwhile, local law-enforcement authorities confirmed that smuggling rose sharply during the past three years in Cox’s Bazar district, where 14 suspected drug dealers, including five Rohingya, were shot dead by police this month. Cox’s Bazar, located in the southeastern corner of Bangladesh, borders Myanmar and is home to hundreds of thousands of Rohingya refugees.
Cette information va bouleverser les rapports économiques dans la zone Sud de l’océan Indien.
L’archipel des Comores serait en passe de s’extraire pour très longtemps du classement des pays les plus pauvres de la planète. Selon le résultat des études des sous-sols sous-marin réalisés dans la Zone Économique Exclusive, ZEE définie par la convention des Nations Unies sur le droit des mers le 10 décembre 1982, Convention de Montego Bay, les Comores pourraient produire 7 milliards de barils de pétrole et des milliers de m3 de gaz. Une information que vient de révéler
le site comores-info.net
La réserve serait au Nord-Ouest de la Grande Comore
Depuis la diffusion de cette information, les sociétés prêtes à venir exploiter la ressource se bousculent. Il est question de réserves pétrolières supérieures à celle du Qatar !
Le trésor est situé dans les 12 milles nautiques délimités par la Convention de l’ONU, cependant, la France, via Mayotte peut faire valoir ses droits.
Le 101e département français partage sa ZEE avec Anjouan. Cette proximité permettrait au voisin européen de revendiquer une partie de la fortune. Cependant, cette immense réserve de pétrole serait située dans le secteur Nord-Ouest de la
Grande Comore
Fakri Mahamadou Mradabi, l’ancien dircab du président comorien Azali, est l’actuel patron du renseignement aux Comores, serait-il englué dans une affaire de magouilles et de blanchiment? Fakri aurait-il eu des soucis avec les autorités françaises? Comptes bancaires bloqués…et même il semblerait que le Quai d’Orsay soit alerté….Mais, de ce côté là, diplomatie oblige, on ne saura rien!
Fakri aurait- il voulu récupérer des sous à Paris le mois dernier, lorsque les autorités françaises l’auraient interpellé?
Fakri Mahamadou Mradabi, plusieurs fois condamné à Moroni pour détournement de fonds publics, et abus de biens sociaux, dans des affaires avec des sociétés publiques comoriennes (Mamwe dont il était le tout puissant patron, en 2004, et Comores Hydrocarbures dont le patron était son père), à toujours réussi à échapper à la justice comorienne en s’exilant à Mayotte, puis à Paris, jusqu’à prescription de la peine.
Le fait qu’il se trouve en ce moment à Paris, avec le chef d’état-major de l’armée comorienne, qui traîne lui aussi pas mal de casseroles au sein de l’armée, le ministre comorien des Affaires étrangères, et le ministre comorien de l’intérieur, l’avocat occulte du président, qui pourrait être l’architecte de cette combinazione, n’augure rien de propre.
Le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre, pourrait toucher une prime de 50.000 euros par an, dont 31.500 euros de part variable. Pour les chefs d’état-majors (Terre, Marine, Air), la prime maximale s’élève à 43.000 euros, dont 23.000 euros de part variable. Au total, 61 officiers généraux sont concernés par cette prime.
Pour permettre de mesurer l’ampleur du deux poids, deux mesures à l’œuvre, nous présentons ici – par ordre chronologique – douze cas de fake news d’origine macroniste. Le tout en deux parties. La liste n’est assurément pas exhaustive…
Aujourd’hui où l’on redécouvre des implications de la CIA d’envoi d’armes en Syrie via un puapprovisionnement ukrainien, l’histoire d’un événement particulier résonne étrangement à nos oreilles. Le samedi 12 décembre 2009, les autorités thaïlandaises saisissent un avion à l’aéroport de Don Mueang de Bangkok. C’est un Ilyushin-76 blanc au réacteurs bleus immatriculé 4L-AWA (en Georgie donc !) s’était posé la veille apparemment pour se ravitailler en carburant, alors qu’il se rendait de Pyongyang Sunan (Corée du Nord) à Gostomel (en Ukraine). L’appareil devait se rendre d’abord à l’aéroport de Téhéran après une modification de le cargaison à faire à Gostomel, en revenant sur ses pas, donc, pour terminer logiquement ensuite son voyage à Podgorica (capitale du Monténégro), après être passé par Téhéran. Il faudra attendre le rapport de Sergio Finardi, Peter Danssaert, Brian Johnson-Thomas d’octobre 2013 pour avoir une analyse plus poussée de l’événement. Il est lisible ici. Un autre document est à consulter également ici (on peut aussi consulter celui-ci). Le point de départ de son voyage aller était Gostomel, puis Nasosnaya et Al Fujairah avant de passer par Bangkok pour rejoindre Pyongyang, c’est au retour donc qu’il a été arrêté :
En réalité, l’avion était aussi passé à l’aller par Bakou… en Azerbaïdjan, après Fujiarah et avant de rejoindre Kiev. Sur son chemin il avait dû faire une halte au Shri Lanka. Si on regarde son trajet, on demeure un peu surpris de la route du retour qui le fait passer de Bangkok à Colombo avant de remonter vers l’Arabie Saoudite : voilà un trajet qui pourrait bien en rappeler un autre…
Le 21 décembre, la police thaïlandaise affirme qu’elle a été incapable de trouver quelque chose à bord impliquant Viktor Bout dans l’envoi de cette cargaison massive d’armes (il y en a 35 tonnes à bord !). Etonnant, car dès le 25 décembre 2009 j’avais déjà découvert ceci (1) : « mieux encore : peu d’observateurs ont repéré un détail saisissant dans le cas de l’Il-76 stoppé en Thaïlande depuis le 12 décembre. Son ingénieur de vol, Mikhail Petukhov, au chômage depuis 6 mois,qui affirme ne pas savoir ce que l’avion transportait (à d’autres !) n’est autre que l’ancien copain de chambrée de Victor Bout, au temps où ils étaient tous deux militaires au 339 ème bataillon du régiment de transport soviétique de Vitebsk où ils avaient été incorporés ! Difficile de faire moins impliqué ! » En février, les charges sont portant toutes abandonnées contre l’équipage, qui risquait la peine de mort au départ, composé de biélorusses et de kazakhs, tous des pilotes ou mécaniciens chevronnés : il y avait là Ilyas Issakov, 56 ans, Alexandr Zrybnev, 53 ans, Viktor Abdukkayev, 58, Vitaliy Shumkov, 54, tous du Kazakhstan, et Mikhail Petukhou, 54 ans qui est luide Biélorussie : c’est lui le commandant de bord. « En comparaissant lundi matin devant les juges thaïlandais, ils n’ont pu les convaincre de la véracité de leurs premières déclarations selon lesquelles, affirme leNew York Times , ils transportaient du matériel de forage. Devant le tribunal, ils ont prétendu qu’ils ignoraient la nature de la cargaison transportée » écrit ici Le Point, qui ajoute que « de nombreuses zones d’ombre demeurent autour de cette mystérieuse affaire. Tous les passagers ont la cinquantaine, possèdent la qualification de pilote, et personne ne comprend très bien pourquoi ils seraient allés se poser sur un aéroport utilisé par les militaires pour faire le plein d’un avion trafiquant des armes ? Alors même que la Birmanie voisine les aurait accueillis sans problème ! » ;
Nous revenons aujourd’hui plus en détail sur l’entreprise Kalitta, qui a transporté de tout et a même participé à l’envoi de bétail américain au Kazakstan comme on va le voir.
C’est en Irlande, terre d’accueil traditionnelle de ceux qui traversent l’Atlantique, que ces vols ont été observés par des activistes anti-guerre qui ont relevé très souvent les faits lors de l’arrivée des Boeing 747 blanc, rouge et or des appareils accompagnateurs de l’armée américaine. Des avions qui passent aussi au-dessus de la France, en faisant escale à Châteauroux notamment, ou Châlons-Vatry (1), et qui se rendent bien souvent à Bagram, pour y ravitailler la base américaine. Les vols Shannon-Bagram étant fréquents en effet. Kalitta fournit l’armée américaine, en toute évidence, en mettant comme on va le voir aussi ses personnels à dure épreuve, ce qu’a révélé un procès de 2016 tenu à New-York.
Nota : à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic.
Des vols étranges au dessus de l’Irlande
D’autres l’avaient été tout autant à Bagram quand un 747 cargo immatriculé N949CA avait vainement tenté de décoller pour s’écraser à quelques dizaines de mètres de la piste seulement. La scène avait été filmée d’une voiture et une image de vidéo de surveillance montrait l’avion en perdition à quelques dizaines de mètres du sol, circuits hydrauliques de l’aileron de queue coupés par le mouvement des blindés à l’intérieur. De l’huile avait été vue sortir de l’arrière de l’avion avant la chute mortelle. L’avion était celui de National Air Cargo Group Inc, basée à Orlando, en Floride (appelée aussi National Airlines) et il emportait 207 tonnes de charge à bord, dont 5 véhicules MRAPs, pesant chacun entre 12 et 18 tonnes. Mal arrimés, ce sont ces engins venus de Camp Bastion, en Afghanistan, qui, en glissant au fond de la soute avaient complètement déséquilibré l’avion : les pilotes n’avaient rien pu faire pour rattraper l’assiette de l’avion avec un tel poids rejeté à l’extrême-arrière. Au départ National Airlines avait la même base que Kalitta, au Willow Run Airport de Ypsilanti, dans le Michigan. On en revient toujours aux mêmes, ou aux mêmes endroits !!
Lors de l’Acte XII, 4 départements (64, 40, 65 et 32) se réunissent à PAU (64) pour une marche
blanche en mémoire des victimes, blessés, défunts qu’ont engendré ce mouvement citoyen.
Toutes les Victimes seront commémorées.
Chacune d’entre elle mérite un temps de silence et de commémoration rendant hommage à leur foi
en un monde meilleur.
Nous invitons tous les citoyen-nes à rejoindre cette marche qui débutera à 14 h, place Verdun le samedi 02 février.
Les quelque trois mille participants au 49e Forum économique mondial, à Davos (Suisse), étaient attendus à partir de mardi 22 janvier et jusqu’à vendredi dans la station des Grisons. Patrons de multinationale, chefs d’Etat et de gouvernement, organisations non gouvernementales ou chercheurs se rendent à ce grand rendez-vous planétaire le plus souvent en jets privés.
Un nouveau record de 1 500 vols en jets privés est attendu cette semaine dans les aéroports avoisinant la station des Alpes suisses, d’ordinaire paisible, selon un communiqué de la société d’affrètement Air Charter Service (ACS)
Le hasard des recherches fait parfois tomber sur de très beaux textes. Ou des textes-clés, ceux qui « relient les points » (« connecting the dots » ) comme disent si bien les américains.
Celui signé Alan Huffman et intitulé « Gun under glass », paru le 13 mars 2018 dans le magazine Oxford American (pour son numéro 100), est un de ceux-là, c’est pourquoi j’ai choisi de vous en montrer le maximum, car ce qu’il décrit est une affaire historique, qui n’a été résolue que trente ans plus tard. Mais c’est aussi un texte qui va vous révéler un étonnant détail, qui prend aujourd’hui une toute autre dimension. Celui du nom d’un entreprise très spéciale, qui a eu plusieurs rendez-vous importants avec l’histoire comme on va le voir… Le titre du texte peut paraître obscur au premier chef. Ce « fusil sous verre », c’est en effet l’arme d’un crime, désormais exposée dans un musée de la lutte pour l’émancipation des noirs.
Nota : à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic. La série a débuté ici.
MH370 (19) : Century Arms, plusieurs rendez-vous avec l’histoire, le second et le troisième, à Paris
L’histoire de l’arme disparue, puis retrouvée trente ans plus tard pour un procès ayant marqué l’histoire du pays, nous a mené à un bien étrange firme US, importatrice d’armes des anciens pays soviétiques et dispatchées à nouveau un peu partout dans le monde grâce à l’aide d’une CIA fort intéressée par ces entreprises privées capables de lui servir de paravent. Mais avant même d’alimenter l’Amérique du Sud ou Centrale, pour effectuer des coups tordus, la même société a été étroitement mêlée à une autre page importante de l’histoire contemporaine américaine, dans des circonstances où il devient difficile d’invoquer aujourd’hui le seul hasard… il est temps en effet de dévoiler le « jeu » derrière lequel se cache le « pion » Century Arms…. (cf Bob Dylan, voir l’épisode précédent). Ce jeu sinistre mène aussi en effet et hélas, aussi, à… Paris.
Nota : à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic. La série a débuté ici.
Vous avez bien sûr retenu de l’épisode précédent que Empire Wholesale Sporting Goods LTD, l’entreprise canadienne des débuts de Sucher, avait elle aussi importé tout un lot de carabines « italiennes », dont la très connue Mannlicher-Carcano M91/38. Mais pas celle portant le numéro C2766, impliquée dans l’assassinat de John Kennedy en 1963 à Dallas.
MH370 (20): « une guerre où vous voulez » qui mène à Paris
Des brokers américains fournissant des armées entières, le roi était à l’évidence Sam Cummings (il est mort en 1998… à Monaco, fortune faite). J’ai déjà expliqué qui il était dans ma série sur l’assassinat de Kennedy (à l’épisode 7). Il s’était lui-même raconté en 1979 dans un ouvrage, en se donnant le beau rôle bien sûr. L’homme s’était vanté de pouvoir fournir une armée entière à partir des gigantesques stocks qu’il avait patiemment amoncelés. C’est donc chez lui que les contras vont se fournir naturellement, en échangeant de la drogue contre des armes, ce que la CIA savait, donc, obligatoirement. Un employé de Century Arms et de son patron « Manny » Weigensberg, cité à plusieurs reprises dans notre enquête (cf les deux épisodes précédents) avait avoué ces liens dans un entretien sidérant dont a retrouvé la trace… celui qui relie la firme canadienne aux livraisons d’armes à la CIA. Vingt ans plus tard, on retrouvera le même circuit que celui qu’il avait décrit, avec un interception de container rempli de plus de 3000 Kalachnikovs, en Italie, cette fois… dans un fief de la ‘Ndrangheta, une transaction dans laquelle était apparu un autre intermédiaire israélien.
Des brokers américains fournissant des armées entières, le roi était à l’évidence Sam Cummings (il est mort en 1998… à Monaco, fortune faite). J’ai déjà expliqué qui il était dans ma série sur l’assassinat de Kennedy (à l’épisode 7). Il s’était lui-même raconté en 1979 dans un ouvrage, en se donnant le beau rôle bien sûr. L’homme s’était vanté de pouvoir fournir une armée entière à partir des gigantesques stocks qu’il avait patiemment amoncelés. C’est donc chez lui que les contras vont se fournir naturellement, en échangeant de la drogue contre des armes, ce que la CIA savait, donc, obligatoirement. Un employé de Century Arms et de son patron « Manny » Weigensberg, cité à plusieurs reprises dans notre enquête (cf les deux épisodes précédents) avait avoué ces liens dans un entretien sidérant dont a retrouvé la trace… celui qui relie la firme canadienne aux livraisons d’armes à la CIA. Vingt ans plus tard, on retrouvera le même circuit que celui qu’il avait décrit, avec un interception de container rempli de plus de 3000 Kalachnikovs, en Italie, cette fois… dans un fief de la ‘Ndrangheta, une transaction dans laquelle était apparu un autre intermédiaire israélien.
Nota : à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic. La série a débuté ici.
Sam Cummings, alias « une guerre où vous voulez »…
Le 2 avril 2011, à la suite d’une longue enquête sur les vols d’avions emportant de la cocaïne, dont certains avaient aussi transporté des armes, dans la série Coke en stock (XXXIII), je m’étais intéressé à un crash passé inaperçu, historiquement. Malgré l’horreur de ce qu’on avait entrevu, à savoir les cadavres carbonisés de 250 soldats américains, exposés dans une salle dans leur sac mortuaire. Des images vite retirées des bandes d’actualité. La chose militaire sait aussi s’y prendre médiatiquement pour faire taire les curieux. Des militaires extraits des décombres d’un avion civil. A l’époque, je ne possédais pas toutes les informations que je viens de vous décrire dans les épisodes précédents. Ce crash en fait, lui aussi, donc, « connect the dots » et révèle que, derrière lui, c’était bien une livraison déguisée d’armes, liée aux Contras, ce que l’on avait à l’époque déjà fortement soupçonné. La CIA était donc capable en 1985 de dissimuler les raisons de la disparition de 250 passagers, ce qui aujourd’hui résonne de façon fort inquiétante dans cette série qui tente d’élucider une autre disparition d’avion… Il convient donc de relire ce texte prémonitoire et non retouché, rédigé il y a sept ans déjà (seules de nouvelles photos ont été ajoutées).
Nota : à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic. La série a débuté ici.
Ce sont les catastrophes aériennes qui nous ont beaucoup appris, en fait, en révélant le contenu surprenant de certains avions tombés au sol. Notamment ceux à répétition d’une entreprise américaine appelée Kalitta, dont un 747 avait failli provoquer une catastrophe majeure en 2008 à Bruxelles. Mais aussi d’autres, dont celles dirigées par Jim et Sunny Neff, vétérans de la CIA et de Southern Air (revendue en 2007), ou de Flying Tigers et Air Cal à la tête également de Global Air et de Nordic Global Airlines (et auparavant de Western Global Airlines). C’est un de ces vieux MD 11 qui va nous intéresser, celui aperçu fort discret sur l’aérodrome de Rijeka, le troisième port pour le trafic en Croatie. Nous ramenant une nouvelle fois à la fourniture balkanique des armes légères, celle que l’on redécouvre constamment sans savoir l’empêcher semble-t-il. Ou sans vouloir vraiment l’en empêcher… aux dernières nouvelles, il traînerait toujours entre 3 et 6 millions d’armes dans la région !
Nota : à ceux qui pourraient penser récupérateur l’association de la catastrophe du vol MH-370 dans le titre de cette longue série, je rappelle qu’à l’origine il y a la forte suspicion émise par l’un des parents de victimes françaises sur la possibilité que le Boeing 777 incriminé ait pu avoir eu affaire à un trafic de ce genre, ou à une bavure militaire liée à ce trafic. La série a débuté ici.
Remonter la filière d’origine des armes après un massacre est plein d’enseignements. Les attentats de Paris nous on fait retrouver la filière de Zastava des Kalachnikov. Les pistolets Tokarev M57 de 7,62 venus de Serbie ont aussi été importés aux USA par Century Arms International, comme leurs collègues M70 en calibre 9 mm. Des Tokarev qui ont atterri ensuite chez Koulibaly, fournis par Claude Hermant, comme on le sait.
Que vous soyez député, douanier, élu régional, enseignant, gendarme, policier, magistrat, maire, maître de conférence, médecin, militaire, sénateur… agent secret ou simple citoyen, tous types de documents inédits, toutes informations « sensibles » que vous pourriez détenir sur le narcotrafic, le blanchiment, la corruption et la concussion intéressent « Aviseur international ».
Naturellement, votre anonymat sera garanti.
Premier contact: WhatsApp: 33 (0) 6 84 30 31 81
Whether you’re a customs officer, police force, military, magistrate, doctor, teacher, lecturer, congressman, senator, mayor, undercover agent or just an interested citizen, “Aviseur International” welcomes all types of uncensored information and ‘classified’ documents that you may have in relation to drug trafficking, money laundering, corruption and related matters.
Sorti major de sa promotion à l’ENA, le favori à la présidence des Républicains a rejoint le Conseil d’État en 2001.
Après un poste d’éditeur, il était ensuite devenu maître des requêtes en 2004. Mais, très rapidement, il est élu député à la suite d’une élection partielle en Haute-Loire et obtient alors sa mise en détachement de la fonction publique deux mois après son entrée en poste. Comme l’explique Lyon Capitale, Laurent Wauquiez pourrait donc réintégrer ses fonctions en cas de défaite électorale dans les cinq ans. Il continue également de cumuler les droits à la retraite liés à ce poste. Il a donc cumulé 13 ans de droits de retraite.
Et plus le temps s’écoule, plus l’indignation de l’opinion publique grandit : jamais l’État n’aurait dû privatiser les autoroutes, selon une grande majorité des citoyens.
Avec le mouvement des « gilets jaunes », le dossier est devenu hautement explosif. Depuis le début du mouvement, les péages des autoroutes sont la cible régulière des manifestants.
Deux familles milliardaires d’Arabie saoudite, les al-Muhaidib et les al-Agil, ont acheté 62 passeports à Malte. Des millions d’euros dépensés pour devenir citoyens européens et circuler librement dans l’Union.Un article de notre partenaire,Ouest-France.
Les familles saoudiennes al-Muhaidib et al-Agil sont officiellement européennes et peuvent circuler librement dans l’Union. Les patriarches ont acheté 62 passeports pour leur clan, à Malte, porte d’entrée de l’UE, selon le journal officiel maltais qui vient de publier la liste des nouveaux citoyens de l’année 2017.
650 000 € par passeport
Coût de cette acquisition ? Des millions ! Il faut 650 000 € pour un passeport adulte, 25 000 € seulement pour un enfant, dans le cadre du Programme des investisseurs individuels, système controversé de visas dorés. Des queues de cerise pour ces clans d’affairistes. Selon le magazine Forbes, les al-Muhaidib et les al-Agil ne seraient pas seulement les plus riches familles du royaume saoudien, elles figureraient aussi parmi les plus grosses fortunes de la planète.
The UK’s National Crime Agency last year received a record number of reports flagging potential money laundering, terrorist financing and other suspicious activity.
The NCA said that it received 463,938 so-called suspicious activity reports, or SARs, in 2018, nearly 10 per cent more than the preceding year.
Concerns about money laundering pushed up the total, with the number of red flags increasing by 20 per cent, to 22,196. But these flags led to just 40 arrests across 28 different cases, according to the NCA statistics.
Les pays qui octroient des passeports aux riches ouvrent les portes de l’UE à la criminalité et au blanchiment.
Les ONG Transparency International et Global Witness s’insurgent contre le dispositif.
« Si vous avez beaucoup d’argent que vous avez acquis de manière douteuse, il est tout simplement raisonnable de vouloir trouver un nouveau chez-vous loin de vos victimes ». Pour Naomi Hirst, de l’ONG Global Witness, l’équation est simple.
« Les programmes de visas dorés vous offrent alors un refuge face aux autorités qui pourraient vouloir saisir vos actifs volés. Ils vous offrent aussi un moyen de voyager librement, sans éveiller de doutes », poursuit-elle.
La question a refait surface récemment, quand les autorités finlandaises ont perquisitionné une agence immobilière contrôlée par un homme d’affaires russe qui s’était offert la citoyenneté maltaise après des soupçons de blanchiment d’argent.
Autre exemple : la Hongrie a délivré des visas à la famille du chef des renseignements du Kremlin, malgré les sanctions européennes pesant sur lui.
La Hongrie vend des visas européens à la Russie
Pour des centaines de milliers d’euros, la Hongrie vend des visas à des hommes d’affaires et personnalités russes, dont certains sont sous le coup de sanctions européennes.
Les ONG anticorruption Transparency International et Global Witness se sont penchées sur les pratiques de quatre États membres qui vendent des passeports (Autriche, Bulgarie, Chypre et Malte) et 12 autres qui octroient la résidence aux investisseurs étrangers.
Des programmes d’échange de citoyenneté ou de résidence contre de l’investissement sont en cours dans 13 États membres : l’Autriche, Chypre, la Bulgarie, l’Espagne, la France, la Grèce, l’Irlande, la Lettonie, le Luxembourg, Malte, les Pays-Bas, le Portugal et le Royaume-Uni. En Hongrie, la pratique existait, mais a été interrompue .
La plupart des pays en question, à l’exception de la Bulgarie, de Chypre, de l’Irlande et du Royaume-Uni, font en outre partie de l’espace Schengen, qui permet la libre circulation dans l’UE.
Selon le rapport des deux ONG, les programmes de visas dorés ont octroyé plus de 6 000 nouvelles citoyennetés et environ 100 000 résidences en dix ans. L’origine de la fortune de la plupart des bénéficiaires de ces programmes est (pour le moins) douteuse.
Ce sont l’Espagne, la Hongrie, la Lettonie, le Portugal et le Royaume-Uni qui octroient le plus de visas aux investisseurs et à leur famille, suivis de la Grèce, de Chypre et de Malte.
Au total, ces programmes ont généré environ 25 milliards d’euros d’investissements directs étrangers, selon l’enquête des deux ONG. En termes de revenus annuels, ce sont l’Espagne (976 millions d’euros), Chypre (914 millions), le Portugal (670 millions) et le Royaume-Uni (498 millions) qui remportent la part du lion.
Le ministère de la Justice est durement épinglé par un rapport d’inspection interministérielle pour l’emploi de 40.000 personnes non déclarées, une situation en cours de régularisation, assure mardi la chancellerie.
Selon une information de France Inter, confirmée par l’AFP qui a obtenu une copie du rapport, plusieurs ministères emploient près de 50.000 « collaborateurs occasionnels du service public » employés par différents ministères, dont « 40.500 pour le seul ministère de la Justice »..
Ces employés – interprètes, experts, médiateurs … – qui sont souvent amenés à intervenir quotidiennement, sont considérés comme des prestataires, rémunérés à l’heure.
Pour ces collaborateurs occasionnels, les ministères ne paieraient donc pas les charges patronales et les personnes employées en tant que vacataires ne reversent pas la TVA selon la radio, qui publie sur son site le rapport en question.
Pierre-Mathieu Duhamel a été nommé président du conseil d’orientation de la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, pour une période de trois ans renouvelable, par un arrêté du 11 juin 2018.
Pierre-Mathieu Duhamel, âgé de 62 ans, est un ancien élève de l’ ENA (promotion Droits de l’homme ) sorti à la direction du Budget du ministère de l’Économie, des Finances et du Budget.
Durant toute sa carrière il a alterné postes administratifs, pantouflage, postes politiques et postes à Bercy.