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Cérémonie dite du « Ravivage de la flamme » en ce jour de Saint-Matthieu, saint patron des douaniers

Il sont venus, ils sont tous là, ou presque et cette cérémonie a ravivé mes souvenirs et a motivé cette lettre ouverte à Michel Baron, le chef du bureau de la politique du dédouanement

Mon cher administrateur des douanes

Mon cher chef du bureau de la politique du dédouanement

Mon cher menteur

Mon cher tartuffe

Relisant tes écrits, j’ai pu constater que tu étais particulièrement performant dans l’art de la rhétorique mensongère et ta nomination au poste de chef du bureau de la politique de dédouanement, tu la mérites. Tu étais déjà un virtuose du dédouanement de toutes responsabilités de ta hiérarchie et en particulier de François Auvigne en confirmant la forfaiture de tes prédécesseurs Elizabeth Melscoet, Thomas Charvet et du gredin Erwan Guilmin

Le 10 avril 2020, je t’avais écrit une lettre ouverte, que je t’ai envoyée à nouveau le 21 décembre 2021 et ce 21 septembre 2022, mais tes nombreuses occupations ne t’ont pas permis de trouver le temps d’y répondre.

Ce 21 septembre 2022, je profite donc de la saint Matthieu et de la date de mon anniversaire pour te féliciter de cette nomination et te rappeler à tes obligations d’honneur et d’intégrité que tu sembles avoir oubliées pour satisfaire ta hiérarchie.

J’ai mis quelques photos pour te permettre de reconnaitre tes semblables !

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Michel Baron

Ô, mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, constater une fois encore tes savantes manœuvres pour dégager la responsabilité de l’administration des douanes ne m’ont permis que de faire un constat, accablant pour toi, comme pour tes prédécesseurs Elizabeth Melscoet, Thomas Charvet et le gredin Erwan Guilmin : vous êtes des menteurs institutionnels !

Erwan Guilmin

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, sais tu que je ne peux accepter cette infamie savamment distillée par tes écris mensongers. Il m’est insupportable de constater qu’après avoir été encensé puis encouragé à infiltrer et infiltrer encore, tu ne souhaitais que flétrir tant de lauriers amassés. Mes actions qu’avec respect toute la hiérarchie de la DNRED admirait, mes informations précises qui tant de fois ont permis des saisies importantes, tant de fois valorisaient un service… aux actions que tu ne connais même pas ! Tu m’as trahi comme tu as trahi l’honneur de la douane tout entière en déformant sciemment l’action que j’ai menée suite aux volontés ministérielles de Michel Charasse.

Gérard Schoen

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, toi qui occupe un haut rang d’administrateur, comment peux tu l’occuper sans honneur? Tu as préféré emprunter les affabulations de tes prédécesseurs pour m’écarter de toutes réparations. Seras-tu un sprinter comme ce faquin de Gérard Schoen si tu me rencontrais ou préférerais-tu jouer les timides méprisants et dédaigneux, comme le fit Corinne Cleostrate, et t’éloigner sans me regarder ?

Corine Cleostrate

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, relire encore que toutes les turpitudes subies ne seraient la résultante que d’une erreur d’appréciation de ma part sur l’engagement de la douane sur lequel j’étais persuadé pouvoir compter, me trouble. En homme d’honneur que je suis, habitué à la parole donnée, il m’était difficile d’imaginer que tant de bassesses pouvait t’habiter.

Thomas Charvet

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, je te croyais honnête et factuel, n’hésitant pas à t’informer avant de m’emballer dans des écrits totalement infondés. Non, tu n’as rien demandé, te permettant alors de tordre le cou à la vérité des faits.

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher ex-responsable des affaires juridiques et contentieuses aujourd’hui chef du bureau de la politique du dédouanement, mon cher menteur, mon cher tartuffe, merci de transmettre mes meilleures civilités à ton entourage…douanier. »

Marc Fievet

Plus sur Marc Fievet

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On peut citer le cas emblématique de François Pérol : après un passage par des cabinets ministériels, cet inspecteur des finances devient associé-gérant de la banque Rothschild en 2005, avant d’être nommé secrétaire général adjoint de l’Élysée, en 2007. Sans transition, ce conseiller de Nicolas Sarkozy, en charge des affaires économiques, est promu en 2009 patron du groupe Banque populaire – Caisses d’épargne (BPCE). Si cette affaire a fait grand bruit, et a entrainé la démission de deux membres de la commission de déontologie ainsi qu’une plainte à l’encontre de François Pérol, d’autres parcours de pantouflage se font plus discrets. Comme ceux de Frédéric Oudéa, directeur de la Société générale, et de Pierre Mariani, ex-patron de Dexia, deux inspecteurs des finances devenus banquiers après avoir été conseillers de Nicolas Sarkozy. Parmi les inspecteurs des finances ayant exercé des responsabilités dans les banques ou assurances, on peut aussi citer Henri de Castries, ancien PDG d’Axa, Baudouin Prot et Michel Pébereau, anciens patrons de BNP, ou Xavier Musca, directeur du Trésor puis secrétaire général de l’Élysée, nommé quelques mois plus tard directeur général délégué du Crédit Agricole ! Et, bien entendu, l’inspecteur des finances Emmanuel Macron, ancien banquier d’affaires chez Rothschild devenu ministre puis élu Président de la République…

Autre cas flagrant de pantouflage problématique : l’inspectrice des finances Marie-Anne Barbat-Layani. Après avoir travaillé à la direction du Trésor (2002-2007), elle devient directrice générale adjointe du Crédit Agricole (2007-2010), puis sans transition encore, directrice adjointe au cabinet du Premier ministre François Fillon (2010-2012), pour lequel elle coordonne notamment les dossiers financiers et fiscaux ! Nommée Inspectrice générale des finances, elle revient ensuite dans le secteur bancaire, comme directrice générale de la Fédération bancaire française, le lobby des banques, et membre du conseil exécutif du Medef, à partir de 2014. Ils sont actuellement quatre inspecteurs des finances dans les cabinets ministériels de l’actuel gouvernement ou à l’Élysée, dont Gilles de Margerie, directeur de cabinet au ministère des Solidarités et de la Santé. Celui-ci était juste avant directeur général adjoint de la mutuelle Humanis, troisième groupe de protection sociale français (assurance santé, prévoyance et retraite complémentaire) – après avoir pantouflé au Crédit agricole et dans les banques d’affaires Lazard et Rothschild. Ce qui n’est pas sans poser question sur de potentiels conflits d’intérêts…

Des banquiers dans les instances de contrôle et de régulation de la finance

Plus grave encore : on retrouve certains de ces inspecteurs devenus banquiers à la tête des organismes de régulation financière. François Villeroy de Galhau, ex-directeur général délégué de BNP Paribas, est ainsi nommé en 2015 président de la Banque de France par François Hollande. Jean-Pierre Jouyet, directeur du Trésor de 2000 à 2004, prend la présidence de la banque Barclays-France en 2005, avant d’être nommé en 2008 président de l’Autorité des marchés financiers, le gendarme de la bourse ! Hubert Reynier, ancien dirigeant de BNP-Paribas de 1992 à 2000, occupe un poste à responsabilité au sein de l’Autorité des marchés financiers (AMF) jusqu’en 2009, avant de partir travailler au Crédit agricole. Benoît de Juvigny, secrétaire général de l’AMF à partir de 2012, a longtemps travaillé au Crédit Lyonnais puis à la banque Hervet et pour le groupe HSBC.

François Mongin

Dans le sens inverse, des gendarmes de la finance qui deviennent banquiers, on peut noter le cas de François Mongin : conseiller du Premier ministre Alain Juppé (1995-1997), puis responsables des Douanes, il est secrétaire général de Tracfin – organisme de lutte contre le blanchiment et la fraude fiscale – de 2002 à 2007, date à laquelle il devient membre du comité exécutif d’HSBC France… banque impliquée dans l’affaire des Swissleaks et bien connue pour sa conduite exemplaire en matière d’évasion fiscale !

Alain Cadiou

Il y prend la succession d’Alain Cadiou, lui aussi inspecteur des finances, ancien responsable de cellule fiscale du cabinet du ministre de l’Economie, qui, après onze années passées à la banque Hervet, était lui aussi devenu le 6 décembre 2000 directeur général de la Douane française, (en remplacement de François Auvigne, devenu directeur de cabinet de la secrétaire d’Etat au budget Florence Parly) secrétaire général de Tracfin (2000-2002), avant de finir sa carrière deux ans plus tard à HSBC.

Rien que pour l’IGF, la liste est longue… Et pose une question très simple : cette porosité entre haute administration, banques et instances chargées de leur contrôle est-elle saine ? Ou est-ce plutôt un signe de plus de ce « capitalisme de connivence » qui ronge notre démocratie ?

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Inspecteur généraux des finances

 

François AUVIGNE
Didier BANQUY
Christophe BAULINET
Pierre BOISSIER
Philippe BOUYOUX
Bertrand BRASSENS
Frédéric BREDIN
Adolphe COLRAT
Bernard de COURREGE d’USTOU
François-Xavier DENIAU
Pierre DEPROST
Jean-Philippe DONJON de SAINT MARTIN
Benjamin DUBERTRET
Julien DUBERTRET
Philippe DUPUIS
Rodolphe GINTZ
Eric GISSLER
Henri HAVARD
Alexandre JEVAKHOFF
Danièle LAJOUMARD
Jean-Yves LATOURNERIE
Frédéric LAVENIR
Olivier LE GALL
Marie-Christine LEPETIT
Vincent LIDSKY
Martine MARIGEAUD
Bruno PARENT
Anne PAUGAM
Hélène PELOSSE
Anne PERROT
Jacques RAPOPORT
Jean-Louis ROUQUETTE
Julien SENEZE
André TANTI
Laurent VACHEY
Thierry WAHL
Claude WENDLING
François WERNER

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Inspecteurs des finances

 

Jonas ANNE-BRAUN
Taline APRIKIAN
Antoine ARMAND
Anne-Michelle BASTERI
François-Xavier BOELL
Louis-Philippe CARRIER
Jordan CARTIER
Julien CHARTIER
Vincent CONSTANSO
Louis de CREVOISIER
Sandra DESMETTRE
Valérie DESMOUCEAUX
Nicolas DUPAS
Orianne DUPRAT-BRIOU
Thomas ESPEILLAC
Céline FRACKOWIAK
Alban GENAIS
Florence GOMEZ
Ombeline GRAS
Philippe GUDEFIN
Christophe HEMOUS
John HOULDSWORTH
Quentin JAGOREL
Geneviève LALLEMAND-KIRCHE
Frédéric LEPAGE
Constance MARÉCHAL-DEREU
Louise MARIANI
Yves MATHIS
Cécile MAYSONNAVE
Vincent MENUET
Benoît MOURNET
Charles MURCIANO
Muriel PACAUD
Eric PARIDIMAL
Sébastien PIEDNOIR
Amaël PILVEN
Anne ROSSION
Jérôme SAULIÈRE
Sarah SAUNERON
Nicolas SCOTTÉ
Alexandre SINÉ
Laurent TRUPIN
Guillaume VANDERHEYDEN

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09/06/15 à 8:47

Mis à jour le 09/06/15 à 9:19

© REA

HSBC réduit la voilure.
La banque sino-britannique va diminuer ses effectifs de près de 50.000 personnes, imposer un régime minceur à sa banque d’investissement et chercher à réaliser jusqu’à cinq milliards de dollars (4,4 milliards d’euros) d’économies d’ici 2017.

La première banque européenne a confirmé la vente de ses filiales turque et brésilienne, employant quelque 25.000 personnes, tout en maintenant une présence au Brésil pour servir sa clientèle d’entreprises. Entre 22.000 et 25.000 postes équivalent temps plein seront par ailleurs supprimés dans le reste du réseau mondial de HSBC du fait de fermetures d’agences et du regroupement de services techniques et de back-office.

lire sur: http://www.capital.fr/bourse/actualites/cure-d-austerite-drastique-chez-hsbc-1046509

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A lire aussi

A la Une de « l’heure du crime » de Jacques Pradel, les révélations d’un journaliste d’investigation sur un des plus grands secrets de la République…

Comme le secret est en train d’être éventé, on peut dire aussi qu’il s’agit d’un des grands tabous de la cinquième République : l’existence d’un groupe ultra secret de tueurs professionnels qui exerceraient, au nom de la France une sorte de droit de représailles de l’Etat, face à ses ennemis, par exemple les terroristes qui menacent depuis de longues années nos institutions…La décision de créer ce groupe au sein du service action de la DGSE aurait été prise après l’affaire du Rainbow Warrior, au milieu des années 80. Les Présidents de la République qui ont succédé à François Mitterrand ont toujours nié officiellement l’existence de ce groupe, baptisé « Alpha » dont certains membres ont accepté de parler à mon invité, Vincent Nouzille qui publie son enquête dans un livre qui vient de paraître aux éditions Fayard.

Avec lui, nous allons revenir sur cette guerre de l’ombre dont les échecs ou les victoires ne sont jamais officiellement revendiqués..

Vincent Nouzille a passé trois ans à recueillir les témoignages d’anciens ou d’actuels membres des services de renseignements français. Il en sort un ouvrage époustouflant, où la réalité semble parfois dépasser la fiction.

C’est en 2002 qu’un événement lui met la puce à l’oreille : deux agents de la DGSE sont arrêtés en Espagne, alors qu’ils transportaient des faux passeports et un vrai arsenal de guerre… Ces agents, bien plus secrets que des agents secrets, faisaient partie de la « Cellule alpha »… Une appellation que le journaliste a tenté de comprendre, et de mettre à jour. Une cellule constituée d’une dizaine d’électrons libres, capables de mener des doubles vies sans éveiller l’attention, et de tuer sans poser de questions. Ce dispositif, créé sous Mitterrand, a été utilisé par tous les présidents depuis.

A commencer par François Hollande…

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Philippe Rondot à son arrivée le 11 décembre 2007 au pôle financier du palais de justice de Paris.

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hsbc.si

LIRE: FRANCE: quand un ancien DG de la douane française entrait chez HSBC et devenait inspecteur général, chef du groupe Audit France et membre du comité exécutif.

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NARCO-BUSINESS: l’implication du pouvoir… et des banques.

Les généraux sont en cause, on l’a vu. Mais pour mettre à l’abri leurs fortunes longuement amassées, ils ont dû faire appel à des banques. Celles du blanchiment, qui sont bien entendu les mêmes que celles des trafiquants. La coke, et l’argent qu’elle génère, corrompt tout (*), au plus haut niveau. Jusqu’aux chefs d’Etat, parfois, ou bien leur famille, comme en Colombie. A ce stade, il n’y a plus à parler d’éthique. C’est à celui qui va empocher la mise le premier, car le flux est tel que tout le monde en profite. Devant cette chienlit qui envahit tous les rouages d’un Etat, certains se lèvent et résistent, comme un certain juge, qui, en France, avait fait front devant les mafieux. Son équivalent hondurien, Julian Aristides Gonzalez, a connu hélas le même sort… mais depuis quelque temps, ça se lézarde, et des rats quittent le navire vénézuélien. Et viennent raconter, une fois avoir mis leur famille à l’abri, les turpitudes d’un régime qui parle un double langage constant.

Un document implacable

Un excellent rapport de mai 2011 de l’ OFDT (**), signé David Weinberger, de l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) nous dresse un tableau éloquent de la tendance générale du circuit de cocaïne désormais autour du Venezuela : « depuis 2005 et 2006, du fait des bouleversements régionaux susmentionnés, les États vénézuéliens du Zulia, du Táchira mais surtout d’Apure, limitrophes de la Colombie, deviennent ainsi, les principaux lieux de départ de la cocaïne colombienne vers le marché nord-américain, notamment au moyen du vecteur aérien. Si le crash d’un DC9 à Playa del Carmen avec 5,5 t de cocaïne à son bord en 2005 a marqué les esprits, il n’en reste pas moins exceptionnel car le trafic par les airs est majoritairement le fait de petits avions qui ne rejoignent que très rarement le Mexique sans escale. Ils atterrissent généralement dans des zones où l’espace aérien est moins contrôlé, comme en République Dominicaine et Haïti jusqu’en 2009, puis au Honduras, au Guatemala, au Costa Rica ou au Belize. » Exactement ce que je vous ai décrit ici en de multiples épisodes de la série « Coke en Stock » ! « Ces États, dotés de faibles moyens, sont désormais profondément déstabilisés par la mainmise partielle des organisations criminelles, notamment mexicaines, qui acheminent la drogue vers le nord par la voie terrestre ou maritime ». L’emprise de l’argent de la coke devenant le principal levier de corruption des hommes politiques dans ces pays.

Des avions, mais aussi des bateaux et des containers

Car il n’y a pas bien sûr que les avions pour transporter la drogue : « cependant, le moyen le plus usité reste celui des containers. Ceux-ci partent des grands ports vénézuéliens comme Maracaibo pour acheminer la drogue dans le monde entier, notamment vers le Panama et le cône sud du continent américain. Selon l’ONUDC, plus de la moitié de la drogue saisie en 2013 au Brésil proviendrait du Venezuela. Mais les portes-containers transitent généralement aussi en Colombie et il est donc difficile d’identifier le lieu précis de chargement de la drogue. Hormis ces routes, l’ONUDC observe, depuis 2005, une nette augmentation du trafic transatlantique destiné à l’Europe en provenance du Venezuela. Jusqu’en 2009, de nombreuses saisies maritimes ont été opérées, comme celle du Doña Fortuna arraisonné au milieu de l’Atlantique avec cinq tonnes de cocaïne (un petit bateau de pêche (ici à droite) ayant contenu 5 tonnes de cocaïne d’une valeur de 250 millions d’euros. En 2009, une frégate anglaise, l’HMS Iron Duke, avait arraisonné le MV Cristal (à gauche) au large des Caraïbes, il contenait lui aussi la même quantité en 212 ballots de cocaine de 26kg chacun..) ,  « mais depuis 2011 plus aucune saisie maritime majeure n’a été réalisée. Il semblerait que les trafiquants privilégient aussi les routes transatlantiques aériennes par avions privés au départ du Venezuela. La saisie la plus médiatisée est sans nul doute celle surnommée « Air Cocaïne », concernant un Boeing 727, chargé de plusieurs tonnes de drogues, retrouvé incendié au Mali en 2009  (c’est le point de départ fondamental de toute cette série !). Les radars vénézuéliens avaient détecté l’avion entrant dans l’espace aérien vénézuélien, avant de perdre sa trace dans la région d’Apure où vraisemblablement le Boeing a pris possession du chargement illicite. L’aéronef fut de nouveau observé au niveau de Valencia se dirigeant vers l’Atlantique. Fait notable, les pilotes vénézuéliens, deux frères, se trouvaient aussi à bord de l’avion retrouvé à Playa del Carmen (qui avaient donc été relâchés ou avaient bénéficié de complicités dans la police mexicaine…). Et ce n’est pas un cas isolé puisque nombre d’avions s’envolent depuis les aéroports côtiers du Venezuela vers l’Afrique mais aussi directement vers l’Europe. Ainsi, en 2011, les pilotes d’un jet privé ont été obligés par une dizaine de membres de la Garde nationale vénézuélienne de transporter 1,2 t de cocaïne qui a été interceptée aux Iles Canaries (Espagne). C’est le fameux Gulfstream 9H-FED Global Express 9234 qui a été ici l’objet ici d’une étude plus approfondie dans l’épisode précédent). » Partant des zones de stockage à la frontière colombienne, la cocaïne est chargée dans les aérodromes de Valencia et Barcelona, ou dans les ports de Maracaibo, La Guaira et Puerto Cabello. Les avions et les navires traversent alors l’Atlantique pour atteindre l’Afrique de l’Ouest, en passant notamment par l’archipel des Bijagos (Guinée-Bissau) et le Cap-Vert : cette route est surnommée l’« autoroute 10 » car elle longe approximativement la latitude 10″… l’autoroute maritime ou aérienne de la drogue !!

 

LIRE la suite sur http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/coke-en-stock-lxxxvi-l-implication-165185

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 hsbc.si
HSBC: la banque qui a porté plainte pour « vol en réunion » et recel

Bizi_logoLe mouvement Bizi ! a pour cadre d’action principal le Pays Basque nord et s’inscrit dans la mouvance altermondialiste internationale. En février, des membres de Bizi (« Vivre » en langue basque) avaient « saisi » huit chaises dans l’agence HSBC de Bayonne pour dénoncer symboliquement « le rôle joué par cette banque dans l’organisation de l’évasion fiscale en France ».  (voir ici pour plus de détails). « Le patrimoine et les biens d’HSBC qui organise ce hold-up à grande échelle doivent être immédiatement saisis et mis à la disposition de la population », avait affirmé le mouvement. Elle s’était engagée à les restituer dès que HSBC aurait versé à l’Etat les sommes qu’elle lui a dérobées frauduleusement, ce qui se chiffre en milliards. Selon cette source, les forces de l’ordre n’ont pas ménagé leurs efforts pour retrouver les chaises en question, comme si elles n’avaient rien de plus urgent à faire, allant même jusqu’à tenter de prélever les empreintes ADN des militants de ce mouvement, lesquels ont catégoriquement refusé. Pourtant, il était inutile d’aller si loin puisque Bizi a annoncé publiquement avoir remis peu après quatre chaises à plusieurs associations : ATTAC, Les Amis de la Terre France, Solidaires Finances Publiques et la cinquième, mercredi, à Edgar Morin. Jean Gadrey, sur son blog d’alternatives économiques, fait état de cette amusante proposition pour ridiculiser la banque HSBC qui a eu le toupet de porter plainte pour   « vol en réunion » et recel, un délit dans lequel ils sont pourtant passés maîtres :

« Une chaine de solidarité de grande ampleur va se former où des multiples organisations, personnalités, citoyen(ne)s vont se déclarer coresponsables de ces sièges, coresponsables du combat qu’elles symbolisent pour la justice et contre une forme de grand banditisme financier pour l’instant non réprimée par les pouvoirs publics. »

La justice française va-t-elle continuer à s’abîmer dans cette incroyable démarche défiant tout bon sens ?  Va-t-elle par exemple continuer d’employer tous les moyens à sa disposition jusqu’à la débauche, pour permettre à cette banque de voyous internationaux de récupérer leurs chaises, en accusant par exemple Edgar Morin de recel ? Peut-être pourrions nous proposer à ladite banque de payer ses dettes aux contribuables pour récupérer l’objet du délit, plutôt que de mobiliser ainsi la force publique dans une si risible histoire, une entreprise dans laquelle HSBC se ridiculise…  Rappelons  en effet pour ceux qui n’auraient pas tout compris, et pour les trolls qui persisteraient à défendre le bon droit de la banque, que le larcin (si on peu le qualifier ainsi puisqu’il ne s’agit à mes yeux que d’un emprunt), représente bien peu de chose face aux 8 milliards d’euros soustraits par la banque au regard du fisc français, et du manque à gagner pour le budget de l’état… On ferait mieux de demander aux 9187 riches clients français (dont, on se souvient, l’un des plus modestes d’entre eux, Gad Elmaleh…) d’éteindre les poursuites en payant les chaises en question, ce qui serait de bonne guerre, non ?  !

source: INSOLITE ET MILITANT : toi aussi, pars de ta banque avec ta chaise !.

Pourtant ……

François MONGIN

François Mongin, ex DG de la Douane française,  rejoint HSBC France en tant qu’inspecteur général, chef du groupe Audit France et devient membre du comité exécutif.

Il succède à Alain Cadiou, lui aussi ancien DG de la Douane française, qui prend sa retraite.

François Mongin, cinquante et un ans, diplômé de Sciences po Paris, licencié en droit et titulaire d’un Master of Law (LLM) du Trinity College de l’université de Cambridge, ancien élève de l’ENA (promotion Léonard de Vinci), démarre sa carrière à la Direction du budget. De 1989 à 1991, il est chargé de mission auprès du président-directeur général du groupe Bull. Il est nommé par la suite chef du bureau affaires étrangères, coopération aide publique au développement, commerce extérieur, puis chef du bureau travail, emploi, formation professionnelle à la Direction du budget. De 1995 à 1997, il est conseiller en charge des questions budgétaires et des comptes sociaux au cabinet du Premier ministre. De 1997 à 1999, il exerce les fonctions de sous-directeur en charge des affaires internationales, européennes, de l’agriculture et de l’environnement à la Direction du budget, avant d’être nommé chef de service, adjoint au directeur général des Douanes. De 2002 à 2007, il est directeur général des Douanes et droits indirects et parallèlement secrétaire général de Tracfin. Depuis 2007, il était inspecteur général des finances au service de l’IGF au sein du ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/01/09/2009/LesEchos/20499-050-ECH_francois-mongin.htm#DkJekO0mAQYxfR2v.99

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Lire aussi: http://allainjules.com/2015/02/09/swissleaks-hsbc-de-gad-elmaleh-a-mohamed-vi-les-arcanes-de-la-fraude-fiscale/

Pierre Mongin, le patron aux multiples paradoxes

Pauline Damour

Etiqueté à droite mais adoubé par Hollande, autoritaire mais soutenu par les syndicats, le patron, à peine renouvelé à la tête de la RATP, a décidé de rejoindre GDF Suez.

Pierre Mongin a créé la surprise mardi 17 mars en annonçant son départ de la RATP pour GDF Suez, quelques mois seulement après son renouvellement à la tête de la régie. Celui qui va rejoindre la direction générale du groupe énergétique et de services, le 1er mai prochain, est un homme à paradoxes : étiqueté à droite, l’ancien directeur de cabinet de Balladur et de Villepin a fait la quasi-unanimité auprès des syndicats de la RATP. Même la CGT, majoritaire, n’a émis « aucune réserve » quand il a été reconduit à son poste, le 23 juillet.

D’ailleurs, si les Franciliens ont l’occasion de se plaindre du manque de propreté dans le métro, des tramways bondés ou des retards sur les lignes du RER, ils sont rarement dérangés par des conflits sociaux, encore moins par une paralysie générale du réseau. C’est la grande fierté de Pierre Mongin : « La RATP a le taux de grèves le plus bas du secteur », a-t-il pour habitude de glisser à ses interlocuteurs. Et c’est indéniablement ce qui a pesé en sa faveur quand l’Elysée s’est déterminé à le reconduire.

Un épais carnet d’adresses *

Accusé par les syndicats d’avoir été « recasé » à la tête de la RATP par la droite moins d’un an avant l’élection présidentielle de 2007, le haut fonctionnaire traîne derrière lui la casserole du CPE, le contrat première embauche enterré par le gouvernement Villepin pour calmer la révolte des jeunes dans la rue. « J’étais contre », confie-t-il aujourd’hui, même s’il a défendu le « smic jeunes » en 1993, ce qui lui collera longtemps à la peau.

S’il jure « ne pas avoir de plan de carrière », ce fils de bonne famille marseillaise n’aurait pas compris qu’on lui retire les rênes de la RATP en 2014. »Je peux encore rendre des services à mon camarade de promotion de l’ENA François Hollande », livrait-il en privé début 2014. Doté d’un carnet d’adresses aussi dense qu’un plan de métro parisien, Pierre Mongin n’a de fait pas ménagé ses efforts pour défendre sa transformation de préfet en manager : « En huit ans, le chiffre d’affaires de la RATP a augmenté de 22% et le résultat net a été multiplié par 6,5, insistait-il devant les députés à l’Assemblée nationale, quelques jours avant son renouvellement. Nous avons la meilleure rentabilité du secteur en Europe et des investissements à un niveau historiquement haut, dépassant 1,5 milliard par an, pour moderniser les infrastructures franciliennes », énumère-t-il encore, tel un patron du CAC 40 en plein road show financier.

S’il affiche une autorité de préfet, Pierre Mongin reste ouvert au dialogue. « Je parle et j’écoute beaucoup, c’est d’ailleurs pour ça que je suis toujours en retard à mes rendez-vous », reconnaît-il. Aussi, s’il aime tant citer la phrase « il faut donner du temps au temps » de François Mitterrand, le seul homme politique qui l’ait « vraiment intimidé », c’est parce qu’elle lui va comme un gant. En 2006, il se donne six mois pour analyser le fonctionnement de la RATP avant de fixer son cap stratégique. En 2012, il prend trois mois pour faire remonter plus de 20.000 contributions des salariés. « Il tenait à soumettre les grands enjeux – l’ouverture à la concurrence, le Grand Paris… – à tous ses collaborateurs », raconte son secrétaire général, Emmanuel Pitron. Cela lui permet de décrocher son brevet du dialogue social aux yeux de ses pairs. « Quand les machinistes ont cinq minutes à la descente des bus pour s’exprimer, est-ce vraiment une démarche participative ? » raille-t-on cependant à la CGT, où la méthode est plutôt perçue comme « une opération de communication ».

Il répond à ceux qui le critiquent

Une pique que l’ancien préfet n’apprécierait guère, lui qui a souvent du mal à accepter la critique. « Il a un rapport fusionnel à l’entreprise, reconnaît un proche. Du coup, il a du mal à reconnaître des points faibles à la boîte. A l’écouter, tout va toujours très bien à la RATP ! » Et quand ça va mal, mieux vaut ne pas le dire trop fort. « J’ai eu droit à de sacrées engueulades dès que j’abordais les problèmes d’image de l’entreprise auprès des voyageurs », se souvient Yves Boutry, ancien représentant des usagers de la Fnaut (Fédération nationale des associations d’usagers des transports) au conseil d’administration. Pas question de lui dire, par exemple, que la propreté du métro parisien laisse toujours à désirer.

« J’investis 40 millions d’euros dans la rénovation des stations », réagit-il immédiatement, en usant, comme souvent, de la première personne du singulier. « Et si les stations paraissent sales, c’est surtout à cause des infiltrations d’eau… en provenance de la voirie », assure-t-il. Quant à la ponctualité des métros, des bus ou des trams, Pierre Mongin exhibe les 147 critères (ponctualité, régularité, qualité de l’information aux voyageurs…) qu’il s’est engagé à faire respecter depuis 2012 (79 auparavant) auprès du Syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif), l’autorité de tutelle de la RATP. Soumis à des bonus-malus pouvant atteindre plusieurs dizaines de millions d’euros.

Il a la culture du résultat

Pas toujours au beau fixe, les relations avec Jean-Paul Huchon, le président de la région Ile-de-France, se sont nettement améliorées depuis 2010. « C’est un partenaire loyal et réactif », convient le socialiste. Très attaché à sa mission de service public, le patron de la Régie n’est jamais non plus à court d’arguments pour réfuter l’idée selon laquelle la RATP vit des subsides de l’Etat (3 milliards d’euros versés par le Stif entre 2012 et 2015). « J’ai rendu 100 millions aux contribuables pendant mon deuxième mandat, tient-il à souligner. Et réalisé 300 millions d’économies en gagnant 1% de productivité tous les ans dans le groupe », poursuit le patron qui veut inculquer à la RATP la culture du résultat.

« Il incarne son entreprise à la manière d’un grand serviteur de l’Etat qui veut insuffler de la modernité et de l’efficacité dans le système », résume Henri de Castries, le PDG d’Axa, avec qui il chasse en Sologne. Un ami proche, auprès duquel il a cherché du réconfort lors de sa mise en examen dans l’enquête sur le financement de la campagne d’Edouard Balladur, en 1995. Une affaire, annulée en mars par la cour d’appel de Paris, qui a profondément marqué cet homme élevé dans le respect de l’ordre public. « C’était vraiment me méconnaître, raconte-t-il. J’en ai gardé un profond sentiment d’injustice et de souffrance. » Au sens figuré comme au sens propre : car pendant de longues semaines, ses collaborateurs ont vu leur PDG arriver au bureau plié en deux par une sciatique. « Il était mortifié, se souvient un ami marseillais. A cette époque, il s’est beaucoup appuyé sur sa fille avocate et sur le clan familial. »

Il défend son monopole

Pas très libéral, même s’il s’en défend, l’ancien préfet a mis beaucoup d’énergie à préserver le périmètre de la RATP face à l’arrivée de la concurrence. « Dès 2008, il a bataillé comme un acharné pour obtenir à Bruxelles les délais les plus longs avant la mise sur le marché des lignes de bus (2024), de tram (2029) et du métro (2039) ! » se souvient un ex-fonctionnaire du ministère des Transports. De quoi s’attirer la sympathie des syndicats maison, mais pas celle de ses rivaux. L’an dernier, les dirigeants de Deutsche Bahn ont menacé de porter plainte contre la Régie, candidate à l’exploitation du RER de Berlin. Jugeant qu’elle bénéficiait « d’une situation de monopole illégale au regard du droit européen ».

Car Pierre Mongin ne s’est pas gêné pour aller chercher des parts de marché en dehors de son fief d’Ile-de-France. Dans les grosses villes de province et à l’international, où les bus et les tramways de la filiale RATP Dev ont pour objectif de rapporter 30% du chiffre d’affaires du groupe à l’horizon 2020. « Jean-Paul Bailly [président de la RATP avant Anne-Marie Idrac] avait ouvert la voie, rappelle Arnaud Aymé, du cabinet de conseil Sia Partners. Mais Pierre Mongin a voulu accélérer le tempo. » Ce volontarisme lui joue parfois des tours : « Il se prend parfois les pieds dans le tapis », sourit ce responsable d’une entreprise ferroviaire.

Comme en septembre 2012, lorsqu’il provoque une minitempête boursière sur le titre Veolia Environnement après avoir expliqué, en marge d’une conférence de presse, que la RATP et SNCF « s’étaient mis d’accord sur le rachat de certains actifs de Veolia Transdev ». Une opération de plus d’1 milliard d’euros dont l’idée exaspère Jean-Pierre Jouyet, vieille connaissance de la promotion Voltaire et patron à l’époque de la Caisse des dépôts, coactionnaire de Veolia : « La RATP n’a pas les moyens de ses ambitions et les actionnaires n’ont pas l’intention d’obtempérer », lâche-t-il.

Il est respecté par Pepy

S’il aime prendre des décisions tranchées, Pierre Mongin sait aussi faire des compromis. Ainsi, il a pacifié les relations de la RATP avec SNCF, en mettant fin aux querelles entre dirigeants. « Guillaume Pepy et Pierre Mongin se respectent et ça se passe bien entre eux, même s’ils ont des tempéraments différents », affirme Jean-Paul Huchon, qui voit souvent les deux hommes. Les excès de communication du premier irritent parfois le second, plus discret. « On le voit mal enfourcher un scooter pour débarquer dans une salle de rédaction, ni enfiler un gilet rouge pour déminer une grève sur le RER B », admet un proche conseiller. L’ex-sous-directeur de la police de Paris préfère œuvrer en coulisses.

Notamment lorsqu’il s’agit de mettre fin en 2010 à la bataille qui déchire les deux groupes pour diriger Systra. L’entreprise d’ingénierie ferroviaire (3.800 salariés), choisie pour concevoir le tramway de Casablanca et le métro de La Mecque, est codétenue par la RATP et SNCF. « Il a mis un terme à cette guerre stérile qui nous faisait perdre des parts de marché en proposant un réel joint-venture« , reconnaît Guillaume Pepy, qui prend soin d’alterner avec Pierre Mongin les déplacements officiels à l’étranger dans l’avion présidentiel.

Il est un bon VRP à l’international

Très attaché à la Méditerranée, où il passe ses vacances d’été dans sa demeure des Lecques, le patron marseillais est devenu par la force des choses un globe-trotteur. En septembre dernier, il était à New York avec François Hollande et Anne Hidalgo, invité au sommet de l’ONU sur le climat pour défendre ses bus « zéro émission de carbone ». Un projet de plus de 2 milliards d’euros pour remplacer toute la flotte parisienne d’ici à 2025 par des bus électriques. « Une vitrine technologique qui nous permettra d’être les mieux placés pour conserver notre marché après 2024″, assure le patron qui a signé avec Henri Proglio, le PDG d’EDF, un accord pour développer des batteries à forte capacité.

Autre avancée technologique sur laquelle le patron compte pour grossir à l’étranger : le métro automatique, dont les lignes parisiennes 1 et 14 sont les vitrines internationales. Notamment en Arabie saoudite, où Pierre Mongin se rendra dans quelques jours pour signer le contrat gagné pour l’exploitation du réseau de bus de Riyad. En espérant faire coup double avec le métro. Le préfet est même devenu VRP !

http://www.challenges.fr/entreprise/20141024.CHA9444/comment-le-pdg-de-la-ratp-seduit-tout-le-monde-y-compris-la-cgt.html

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Fran�ois MonginNe pas oublier que Pierre a un frère, François Mongin, qui fut le DG de la Douane française et aujourd’hui, au Comité Exécutif d’ HSBC comme inspecteur Général.

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« LuxLeaks » ou Jean Claude le Magouilleur

Jean-Claude Juncker en octobre 2013

LIRE

La nouvelle Commission européenne déjà cahuzaquisée – Réflexion d’ Eric Verhaeghe.

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MOBILISATION GENERALE

 Il faut sauver le soldat Jean-Claude Juncker!

Cette affaire « est le reflet du passé (…) je souhaite qu’on regarde l’avenir, on est en train de travailler à grande vitesse » sur la lutte contre l’optimisation fiscale, qui « n’est plus acceptable pour personne« , a déclaré à Bruxelles le ministre français des Finances, Michel Sapin. Mais elle doit être « mondiale« , a-t-il ajouté soulignant que le Luxembourg n’était pas le seul paradis fiscal.

Et ben voyons!

Mais qui sont-ils ces grands services et serviteurs en charge

de lutter contre « l’optimisation fiscale » ?

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Que savait donc la Direction générale de la Douane française?

DG Jean Dominique Comolli

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DG Jean-Luc Vialla

JEAN-LUC VIALLA, NEW HEAD OF CUSTOMS

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DG Pierre Mathieu Duhamel

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DG François Auvigne
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DG François Mongin

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Que savait donc le TRACFIN?
Cellule française de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme

Un EX du TRACFIN: François Werner, inspecteur général des Finances, directeur du FGAO répond aux questions de l’institut Jean Lecanuet à l’occasion du colloque

Evolution des dangers et des menaces : ouvrons les yeux !

organisé le 29 janvier 2014 au Sénat.

VOIR: http://www.dailymotion.com/video/x1edhkj_interview-de-francois-werner_news

Michel Sapin et le directeur du Tracfin, Jean-Baptiste Carpentier

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Que savait donc la DNRED?

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Que savait donc nos chers ministres des finances?

Appellation Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie

Appellation Ministre de l’Économie et des Finances

Appellation Ministre des Finances et des Comptes Publics

Appellation Ministre de l’Économie, du Redressement productif et du Numérique

Appellation Ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique

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Que savait donc nos chers ministres du budget?

23 juin 1988 au 15 mai 1991 Gouvernement Michel Rocard (2) Michel Charasse (PS) Ministre délégué auprès du ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et du Budget, chargé du Budget
15 mai 1991 au 2 avril 1992 Gouvernement Édith Cresson Pierre Bérégovoy Ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et du Budget
15 mai 1991 au 2 avril 1992 Gouvernement Édith Cresson Michel Charasse (PS) Ministre délégué auprès du ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et du Budget, chargé du Budget
2 avril 1992 au 2 octobre 1992 Gouvernement Pierre Bérégovoy Michel Charasse (PS) Ministre du Budget
2 octobre 1992 au 29 mars 1993 Gouvernement Pierre Bérégovoy Martin Malvy (PS) Ministre du Budget
29 mars 1993 au 11 mai 1995 Gouvernement Édouard Balladur Nicolas Sarkozy (RPR) Ministre du Budget, porte-parole du Gouvernement
17 mai 1995 au 7 novembre 1995 Gouvernement Alain Juppé (1) François d’Aubert (UDF-PR) Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, chargé du Budget
7 novembre 1995 au 2 juin 1997 Gouvernement Alain Juppé (2) Alain Lamassoure (UDF-PR) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie et des Finances, chargé du Budget, porte-parole du Gouvernement
2 juin 1997 au 2 novembre 1999 Gouvernement Lionel Jospin Christian Sautter (PS) Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget
3 janvier 2000 au 6 mai 2002 Gouvernement Lionel Jospin Florence Parly Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget
6 mai 2002 au 17 juin 2002 Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (1) Alain Lambert (UMP) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget
17 juin 2002 au 30 mars 2004 Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (2) Alain Lambert (UMP) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget et de la Réforme budgétaire
30 mars 2004 au 29 novembre 2004 Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (3) Dominique Bussereau (UMP) Secrétaire d’État auprès du ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget et de la Réforme budgétaire
29 novembre 2004 au 31 mai 2005 Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (3) Jean-François Copé (UMP) Secrétaire d’État auprès du ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget et de la Réforme budgétaire
2 juin 2005 au 15 mai 2007 Gouvernement Dominique de Villepin Jean-François Copé (UMP) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget et de la Réforme de l’État, Porte-Parole du Gouvernement
17 mai 2007 au 18 juin 2007 Gouvernement François Fillon (1) Éric Woerth (UMP) Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique
18 juin 2007 au 22 mars 2010 Gouvernement François Fillon (2) Éric Woerth (UMP) Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique puis ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’État
20 mars 2010 au 29 juin 2011 Gouvernement François Fillon (2) et (3) François Baroin (UMP) Ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’État
29 juin 2011 au 10 mai 2012 Gouvernement François Fillon (3) Valérie Pécresse(UMP) Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l’État
16 mai 2012 au 19 mars 2013 Gouvernement Jean-Marc Ayrault (1) et (2) Jérôme Cahuzac (PS) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances, chargé du Budget
19 mars 2013 au 31 mars 2014 Gouvernement Jean-Marc Ayrault (2) Bernard Cazeneuve (PS) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances, chargé du Budget
depuis le 9 avril 2014 Gouvernement Manuel Valls (1) et (2) Christian Eckert (PS) Secrétaire d’État auprès du ministre des Finances et des Comptes publics, chargé du Budget

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Et que savait les dirigeants de l’OMD?

Le Président du Conseil de l’OMD s’adresse à l’Assemblée générale d’INTERPOL

Le mercredi 5 novembre, M. Zouhair Chorfi, Président du Conseil de l’OMD et Directeur général de la Douane du Maroc, s’est adressé aux chefs de police et autres hauts responsables des services chargés de l’application de la loi réunis à Monaco, du 3 au 7 novembre 2014, à l’occasion de la 83ème Assemblée générale d’INTERPOL.

La rencontre était organisée autour du thème « Agir contre le crime : 100 ans de coopération policière internationale », un siècle après la naissance du concept d’INTERPOL en 1914, lors du premier Congrès de police judiciaire international qui s’était tenu également à Monaco.

L’Assemblée générale, instance dirigeante suprême d’INTERPOL, se réunit une fois par an et prend toutes les décisions importantes touchant à la politique générale, aux ressources nécessaires à la coopération internationale, aux méthodes de travail, aux finances et aux activités.

Les débats ont porté cette année sur les menaces criminelles internationales contemporaines telles que les combattants étrangers, la cybercriminalité, la sécurité des frontières et la sécurité environnementale. Différentes campagnes d’information visant à promouvoir une alliance mondiale contre le crime, telles que la campagne “Turn Back Crime” (Agir contre le crime) lancée par INTERPOL, ont également été présentées. En outre, les efforts en matière de coopération au niveau régional et mondial ont fait l’objet de discussions entre représentants d’AFRIPOL, d’AMERIPOL, d’ASEANAPOL et d’EUROPOL.

Durant une session portant sur “les flux transnationaux et la mobilité” où il était invité à délivrer un discours d’introduction, M. Chorfi a félicité INTERPOL et ses Membres pour leur 100ème anniversaire, au nom de la Communauté douanière internationale. “Si nos prédécesseurs nous voyaient aujourd’hui, je ne doute pas qu’ils seraient fiers des progrès accomplis. Leurs objectifs, aussi inaccessibles paraissaient-ils à l’époque, ont pourtant été atteints”, a déclaré le Président du Conseil de l’OMD.

 Poursuivant, il a souligné les défis auxquels sont confrontées les autorités de lutte contre la fraude et de protection des frontières du monde entier, et a rappelé les capacités complémentaires et les connaissances spécifiques de la douane d’un côté, et de la police de l’autre, ainsi que les bénéfices qu’une coopération réelle entre les deux services peut générer.

“Différentes formes de coopération entre la douane et la police sont apparues au cours des vingt dernières années telles que les centres de coopération douane-police, les centres nationaux de ciblage et d’analyse des risques, les patrouilles frontalières et autres équipes d’investigation mixtes, ainsi que la coopération entre les services au cas par cas, et il ne s’agit là que de quelques exemples. Ces formes de coopération doivent être entretenues et appuyées pour le plus grand bien de tous, et de nouvelles formes de coopération prenant appui sur le recours à des technologies novatrices doivent être développées, encouragées et effectivement mises en œuvre”, a ajouté M. Chorfi.

Des exemples concrets de coopération entre l’OMD et INTERPOL ont été mentionnés, le Projet Aircop notamment, entreprise conjointe ONUDC-OMD-INTERPOL de lutte contre le trafic de drogues par la voie aérienne au départ de l’Amérique du Sud via l’Afrique de l’Ouest à destination de l’Europe, ainsi que des opérations internationales conjointes de lutte contre la fraude telles que l’Opération Cocair IV menée sous la conduite de l’OMD ou encore l’Opération Lionfish menée sous la conduite d’INTERPOL.

M. Chorfi a également expliqué aux participants que les deux organisations avaient mis en place des réunions régulières entre cadres supérieurs, réunions qui sont désormais fermement inscrites dans leurs agendas respectifs et qui aident les deux organisations à rationaliser leurs programmes, à suivre leurs travaux respectifs et à développer de nouveaux projets.

“Nous avons tout ce qu’il faut pour faire du monde un lieu plus sûr : le talent, l’intelligence, les connaissances, l’ambition, la bonne volonté et la persévérance. Tout comme nos prédécesseurs, les défis ne nous font pas peur. Faisons en sorte que notre vision devienne une réalité afin que, lorsque les futures générations de fonctionnaires des autorités chargées de l’application de la loi se rencontreront pour célébrer le prochain anniversaire, ils pourront regarder en arrière et être fiers de l’héritage que nous leur aurons laissé”, a conclu M. Chorfi.

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Et INTERPOL non plus ne savait rien!

Logo d'Interpol

Mireille-Ballestrazzi

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 Que savait les dirigeants de l’OMD?

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Que savait la Direction générale de la Douane française?

DG Jean Dominique Comolli

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DG Jean-Luc Vialla

JEAN-LUC VIALLA, NEW HEAD OF CUSTOMS

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DG Pierre Mathieu Duhamel

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DG François Auvigne
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DG François Mongin

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Que savait le TRACFIN?
Cellule française de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme

Un EX du TRACFIN: François Werner, inspecteur général des Finances, directeur du FGAO répond aux questions de l’institut Jean Lecanuet à l’occasion du colloque

Evolution des dangers et des menaces : ouvrons les yeux !

organisé le 29 janvier 2014 au Sénat.

VOIR: http://www.dailymotion.com/video/x1edhkj_interview-de-francois-werner_news

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Que savait la DNRED?

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Que savait nos chers ministres des finances?

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Que savait nos chers ministres du budget?

23 juin 1988 au 15 mai 1991 Gouvernement Michel Rocard (2) Michel Charasse (PS) Ministre délégué auprès du ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et du Budget, chargé du Budget
15 mai 1991 au 2 avril 1992 Gouvernement Édith Cresson Pierre Bérégovoy Ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et du Budget
15 mai 1991 au 2 avril 1992 Gouvernement Édith Cresson Michel Charasse (PS) Ministre délégué auprès du ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et du Budget, chargé du Budget
2 avril 1992 au 2 octobre 1992 Gouvernement Pierre Bérégovoy Michel Charasse (PS) Ministre du Budget
2 octobre 1992 au 29 mars 1993 Gouvernement Pierre Bérégovoy Martin Malvy (PS) Ministre du Budget
29 mars 1993 au 11 mai 1995 Gouvernement Édouard Balladur Nicolas Sarkozy (RPR) Ministre du Budget, porte-parole du Gouvernement
17 mai 1995 au 7 novembre 1995 Gouvernement Alain Juppé (1) François d’Aubert (UDF-PR) Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, chargé du Budget
7 novembre 1995 au 2 juin 1997 Gouvernement Alain Juppé (2) Alain Lamassoure (UDF-PR) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie et des Finances, chargé du Budget, porte-parole du Gouvernement
2 juin 1997 au 2 novembre 1999 Gouvernement Lionel Jospin Christian Sautter (PS) Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget
3 janvier 2000 au 6 mai 2002 Gouvernement Lionel Jospin Florence Parly Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget
6 mai 2002 au 17 juin 2002 Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (1) Alain Lambert (UMP) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget
17 juin 2002 au 30 mars 2004 Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (2) Alain Lambert (UMP) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget et de la Réforme budgétaire
30 mars 2004 au 29 novembre 2004 Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (3) Dominique Bussereau (UMP) Secrétaire d’État auprès du ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget et de la Réforme budgétaire
29 novembre 2004 au 31 mai 2005 Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (3) Jean-François Copé (UMP) Secrétaire d’État auprès du ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget et de la Réforme budgétaire
2 juin 2005 au 15 mai 2007 Gouvernement Dominique de Villepin Jean-François Copé (UMP) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget et de la Réforme de l’État, Porte-Parole du Gouvernement
17 mai 2007 au 18 juin 2007 Gouvernement François Fillon (1) Éric Woerth (UMP) Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique
18 juin 2007 au 22 mars 2010 Gouvernement François Fillon (2) Éric Woerth (UMP) Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique puis ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’État
20 mars 2010 au 29 juin 2011 Gouvernement François Fillon (2) et (3) François Baroin (UMP) Ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’État
29 juin 2011 au 10 mai 2012 Gouvernement François Fillon (3) Valérie Pécresse(UMP) Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l’État
16 mai 2012 au 19 mars 2013 Gouvernement Jean-Marc Ayrault (1) et (2) Jérôme Cahuzac (PS) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances, chargé du Budget
19 mars 2013 au 31 mars 2014 Gouvernement Jean-Marc Ayrault (2) Bernard Cazeneuve (PS) Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances, chargé du Budget
depuis le 9 avril 2014 Gouvernement Manuel Valls (1) et (2) Christian Eckert (PS) Secrétaire d’État auprès du ministre des Finances et des Comptes publics, chargé du Budget

uncitoyenindigné

Scandale à la tête de l’Union Européenne: Marine Le Pen demande la démission du Président Jean-Claude Juncker …

Marine Le Pen réclame la démission du président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker après les révélations sur le système d’évasion fiscale à grande échelle mis en place par l’ancien premier ministre du Luxembourg au profit de nombreuses multinationales:

Dans un communiqué de presse du 6 novembre, Marine Le Pen, réclame la démission de M. Juncker élu de fraîche date à la tête de l’Union Européenne:

La parution dans la presse d’une enquête internationale sur les pratiques « d’optimisation fiscale », autrement dit d’évasion fiscale, transitant par le Luxembourg, de plusieurs centaines de grands groupes, met en lumière les pratiques détestables de ce paradis fiscal au cœur de l’Europe et à la tête duquel s’est trouvé pendant 18 ans l’actuel président de la Commission européenne : Jean-Claude Juncker.

L’homme dont le gouvernement…

Voir l’article original 721 mots de plus


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