Archives de août, 2020

AVISEUR INTERNATIONAL

Aujourd’hui, les réseaux dits sociaux se sont substitués au ‘DARKWEB’.

Sur Twitter, chaque jour des milliers de propositions commerciales criminelles pour fournir des armes, des faux papiers, de la fausse monnaie, des stups et des offres pédocriminelles inimaginables.

Seule réponse des autorités : le signalement !

Il serait grand temps que les sites modèrent eux mêmes ces parutions. Nos décideurs politiques peuvent l’exiger. On l’a constaté avec la vente de poupées sexuelles sur Amazon.

Aujourd’hui, les poupées sont interdites sur Amazon, mais de très jeunes enfants continuent d’être proposés… sur Twitter!

Il semblerait que nos chères régaliennes soient en grande difficulté pour faire supprimer des milliers de propositions commerciales de pédocriminalité, d’armes, de stups, de fausses monnaies, de faux papiers…

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Par Marc Eichinger

La question à 1,8 milliard d’euros : et si l’acquisition d’UraMin n’avait été organisée que pour constituer une caisse noire permettant de réaliser des opérations de corruption dans différents pays ?

Je ne suis pas le seul à le penser, puisque l’une des deux instructions judiciaires ouvertes par la justice française vise les faits d’« escroquerie, abus de biens sociaux, corruption d’agent public étranger ».

Sébastien de Montessus, directeur de la division Mines d’Areva de 2007 à 2012, et Daniel Wouters, responsable fusions et acquisitions de la même division Mines de 2006 à 2011, ont ainsi été mis en examen pour « corruption d’agent public étranger, corruption privée et abus de confiance » en février et mai 2018.

Anne Lauvergeon a toujours démenti qu’Areva ait versé des commissions occultes lors de l’achat d’UraMin. Mais, dans le cadre du portrait qui lui est consacré par l’émission « Complément d’enquête » de France 2 (diffusée au mois de février 2017), les propos qu’elle tient laissent entrevoir une autre possibilité. Interrogée sur le versement d’éventuels pots-de-vin, elle indique : « Je ne sais pas… Moi, nous, on n’en a pas fait. » Et si d’autres que la présidente du directoire avaient utilisé l’argent versé à l’occasion de l’OPA sur UraMin pour verser ces commissions occultes ?

il faut bien le reconnaître, la France ne fait pas grand-chose contre la corruption, sinon un peu d’affichage de circonstance.

Le 28 janvier 2017, au micro de l’émission « Secrets d’info » de France Inter, Vincent Crouzet a l’audace de citer ouvertement trois banques monégasques qui auraient servi à distribuer l’argent d’Areva.

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À la fin des années 1990 et au début des années 2000, de petits escrocs africains ont mis à l’heure d’internet et du courrier électronique une vieille arnaque en usage sur le continent connue sous le nom de code « arnaque 419 » ou « arnaque nigériane ». C’est au Nigeria que cette fraude a été mise au point – le chiffre 419 fait référence au numéro de l’article du Code pénal local qui la réprime.

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Quels ont été les bénéficiaires de l’opération UraMin ? Pour formuler des hypothèses, une bonne méthode peut consister à revenir sur les affaires de corruption dans lesquelles des employés d’Areva et de ses partenaires locaux ont été impliqués. En commençant par la Chine.

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Quels ont été les bénéficiaires de l’opération UraMin ?

Pour formuler des hypothèses, il faut revenir sur les affaires de corruption dans lesquelles des employés d’Areva et de ses partenaires locaux ont été impliqués. Après la Chine, l’Afrique du Sud. Avec un témoin-clef dont l’existence à été révélée par l’ex-agent et écrivain Vincent Crouzet : Saifee Durbar

Le bilan 2007 d’Areva, certifié par les deux cabinets Mazars & Guérard et Deloitte, indique : « Commercialement, l’offre pour deux EPR a été transmise le 31 janvier 2008 à Eskom » (le groupe public d’électricité sud-africain). « La réponse à une deuxième demande de l’Afrique du Sud sur dix EPR complémentaires sera remise ultérieurement sur 2008. »

Ceux qui connaissent l’Afrique du Sud post-apartheid, comme mon camarade Vincent Crouzet, lequel a été en fonction dans ce pays, savent pertinemment qu’Eskom est incapable de financer ce genre de projet. En 2008, malgré son monopole d’État, le résultat de la société est à peine positif de 100 millions de dollars.

À l’époque, le pays est dirigé par Thabo Mbeki et la corruption fait rage, comme c’est encore le cas aujourd’hui. Construire des EPR dans ce pays représenterait une menace pour la sécurité de la planète.

L'ex-agent secret qui en sait beaucoup trop #12 Areva et l'argent de l'affaire UraMin : corruption en Afrique du Sud ?

Selon l’enquête sur Areva-UraMin publiée par le quotidien sud-africain Mail & Guardian en août 2012, le montant versé à des proches de l’ANC, le parti au pouvoir depuis la fin de l’apartheid, serait de l’ordre de 450 à 500 millions de dollars.

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AVISEUR INTERNATIONAL

Un porte-parole de l’autorité de police européenne Europol a déclaré à « Welt am Sonntag » qu’il y a des indications que 2020 sera une nouvelle année record pour l’importation illégale de cocaïne dans l’UE.

Des saisies récentes en Belgique et aux Pays-Bas, entre autres, l’ont montré. Les chiffres augmentent également fortement à Berlin. Comme le rapporte le «Welt am Sonntag», il y a eu 65% plus d’infractions liées à la cocaïne dans la capitale au premier semestre 2020 qu’au cours des six premiers mois de la même période de l’année dernière.

Olaf Schremm, Bureau des enquêtes criminelles

La réalité et… l’Allemagne n’est pas une exception !

« Berlin est bien sûr particulièrement vulnérable« , a déclaré Olaf Schremm, responsable de la recherche de drogue, n’hésitant pas à déclarer:

«Nous avons des politiciens ici, ainsi que des yuppies* et des cadres montants qui consomment de la cocaïne. Parfois comme drogue de fête…

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Attentat? Négligence?

Les explosions sont peut-être dues à des «matières explosives confisquées»

Les violentes explosions au Liban qui ont secoué mardi le port de Beyrouth pourraient être dues à des «matières explosives» confisquées et stockées dans un entrepôt «depuis des années», a estimé mardi un haut responsable de la sécurité.

«Il semble qu’il y ait un entrepôt contenant des matières confisquées depuis des années, et il semblerait qu’il s’agissait de matières très explosives», a indiqué le directeur général de la Sûreté générale Abbas Ibrahim, interrogé par des télévisions en se déplaçant dans le secteur. «Les services concernés mènent l’enquête, ils diront quelle est la nature de l’incident», a-t-il ajouté.

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