Archives de la catégorie ‘ONU’

Par Direct Matin, publié le 30 Septembre 2015 à 21:30

Todenhöfer a pu se rendre compte de l’extrême détermination de Daesh pour mener à bien ses objectifs.[Marwan Ibrahim / AFP/Archives]

Un journaliste allemand qui a partagé le quotidien de Daesh pendant 10 jours, affirme dans un livre que l’organisation islamiste envisage de mener une attaque nucléaire d’envergure contre les pays occidentaux.

Jürgen Todenhöfer, pictured, spent ten days with the Isis terror group researching his book on the organisationJürgen Todenhöfer écrit précisément dans son ouvrage intitulé « Inside IS – 10 jours avec Daesh » que le groupe terroriste prévoyait « un holocauste nucléaire » contre toutes puissances s’opposant à sa volonté d’établir un califat islamique dans le monde entier. L’organisation entend ainsi tuer des centaines de millions de personnes.

Au cours de son immersion, Todenhöfer a pu se rendre compte de l’extrême détermination de Daesh pour mener à bien ses objectifs. « Pour moi, personne n’a de chance de les arrêter à part les Arabes. Je suis devenu très pessimiste », a-t-il expliqué au journal The Express au cours d’une interview à propos de la sortie de son livre.

Après de nombreux échanges par Skype, Daesh a accepté d’accueillir dans ses rangs le journaliste, ancien député allemand, au motif qu’il est un critique régulier de la politique américaine menée au Moyen-Orient.

Conscient du risque qu’il encourait, Todenhöfer a confié avoir rédigé son testament avant de quitter son pays d’origine.

http://www.directmatin.fr/monde/2015-09-30/daesh-preparerait-une-attaque-nucleaire-pour-tuer-des-centaines-de-millions-de-0

Mr Todenhöfer said Isis, pictured, were the most 'brutal and dangerous' enemy he has ever seen 

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Le président finlandais Sauli NiinistöCrise des réfugiés: la Finlande fait bande à part

© AP Photo/ Heikki Saukkomaa

13:14 01.10.2015
Novye Izvestia
Helsinki confirme ainsi que sa position est loin de concorder avec celle des autres pays de l’UE

La Finlande avait été le seul pays d’Europe occidentale à ne pas soutenir la proposition de la Commission européenne sur la répartition des réfugiés dans les pays de l’UE selon une logique de quotas. Sauli Niinistö a souligné que proportionnellement, les Finlandais acceptaient déjà un très grand nombre de personnes en demande d’asile. « Ne pas aider, ce n’est pas notre voie. Mais nous devons trouver des moyens plus efficaces et stables pour aider ceux qui en ont besoin », a-t-il expliqué.

La déclaration du président finlandais intervient en pleine détérioration des relations avec la Suède, allié traditionnel du pays des mille lacs. Le ministre finlandais des Affaires étrangères Timo Soini a ainsi exigé de stopper le flux de réfugiés transitant par le pays voisin à destination de la Finlande. « La position des autorités suédoises encourage les groupes faisant du trafic illicite d’êtres humains, ainsi que les organisations terroristes qui financent le voyage des réfugiés en Europe », affirme le chef de la diplomatie finlandaise.Timo Soini, en effet, est le chef de file du parti populiste Vrais Finlandais qui avait promis à ses électeurs de réduire fortement l’immigration pendant la campagne des dernières législatives. Devenu ministre des Affaires étrangères il a dû, oubliant la politesse diplomatique, tenir ses promesses de campagne. Contrairement à ses voisins d’Europe du Nord, la Finlande a donc mené une politique migratoire très intransigeante. Seulement 3.651 personnes y ont déposé une demande d’asile l’an dernier, ce qui est largement inférieur par rapport aux autres pays scandinaves.

Néanmoins, selon les estimations du premier ministre finlandais Juha Sipilä, près de 50.000 réfugiés arriveront cette année en Finlande, essentiellement de Syrie et d’Irak. En termes de migrants par habitant, ce ratio est supérieur, par exemple, à l’Allemagne. La plupart des Finlandais n’y sont pas prêts. Le pays traverse déjà une profonde crise économique liée en grande partie aux sanctions de l’UE contre la Russie et à l’affaiblissement du rouble, et les Finlandais estiment qu’ils ne peuvent pas se permettre un fardeau supplémentaire.

Les Vrais Finlandais, soutenus par une partie des représentants d’autres partis parlementaires, exigent du gouvernement la fermeture des frontières jusqu’à ce que l’UE mette en place une aide aux réfugiés dans les zones de conflits ou dans les pays de l’UE les plus proches.En attendant, reste à persuader Stockholm de stopper le « transit suédois ». Le ministre suédois de l’Intérieur Anders Ygeman a répondu à la critique finlandaise en affirmant que l’accueil de réfugiés était une question de respect des droits de l’homme. Mais, selon les médias suédois, la demande d’Helsinki a été entendue. La police du royaume a reçu l’ordre à partir de cette semaine d’arrêter les clandestins en leur imposant un ultimatum: soit ils déposent une demande d’asile, soit ils seront placés en isolement, puis expulsés du pays.

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Pierre Barbancey
Jeudi, 1 Octobre, 2015
L’Humanité

Alors que Mahmoud Abbas prenait hier la parole devant l’Assemblée générale des nations-Unies à New York, le drapeau palestinien a été hissé au siège DE L’ONU. Un nouvel acte symbolique de reconnaissance de L’Etat palestinien.
Photo Jewel Samad/AFP
Le président de l’Autorité palestinienne, hier devant l’Assemblée générale de l’ONU, a déclaré 
que les Palestiniens ne sont « plus liés par les accords » s’ils ne sont pas respectés.

Nations unies (New York),
envoyé spécial.

Jamais peut-être la levée d’un drapeau n’a été aussi émouvante. Pour la première fois, le drapeau rouge, noir, blanc et vert, les couleurs de la Palestine, a flotté au siège des Nations unies, à New York. Il claque maintenant, fier, au côté des 193 bannières des États membres de l’ONU et de celle du Vatican qui, comme la Palestine, a le statut d’État non membre. Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, et des dizaines de responsables étrangers ont assisté à la cérémonie. Tous n’étaient cependant pas représentés, puisque la résolution autorisant le drapeau palestinien, votée le 10 septembre, a recueilli 8 refus et 45 abstentions. Les États-Unis et Israël ont voté contre, de même que le Canada et l’Australie. La France a voté pour, ainsi que la Russie et la Chine. Le Royaume-Uni et l’Allemagne se sont abstenus. Cette résolution a constitué une nouvelle étape après le vote historique de novembre 2012 à l’Assemblée générale, qui a vu la Palestine devenir un « État observateur non membre » de l’ONU. Fort de ce nouveau statut, l’État de Palestine a intégré des agences internationales et a rejoint la Cour pénale internationale. Mais il n’est pas encore devenu membre à part entière des Nations unies bien qu’il soit reconnu par plus de 130 pays.

Cette cérémonie a cependant été marquée par le discours fort et intelligent de Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité palestinienne, prononcé quelques minutes auparavant. Un discours à l’allure d’une bombe politique, résultat de la lâcheté internationale et d’une complaisance jamais vue avec un État : Israël. Un discours fortement applaudi. Le premier responsable palestinien s’est d’abord appuyé sur les 70 ans de l’Organisation des Nations unies pour rappeler à ses pairs que « le problème de la Palestine n’est toujours pas résolu. C’est une injustice historique pour un peuple. Un peuple qui ne mérite pas de vivre en exil ou de passer sa vie à fuir d’un camp de réfugiés à un autre. Il est inconcevable que la question de la Palestine n’est pas été résolue après tant de décennies ». « La Palestine, qui est un État observateur non membre des Nations unies, mérite d’être reconnue comme un État à part entière », a-t-il déclaré, évoquant « les énormes sacrifices » consentis par le peuple palestinien et leur « patience au cours de toutes ces années de souffrance et d’exil ». Une patience qui est maintenant à bout.

Mettre la communauté internationale devant ses responsabilités, en rappelant la situation sur le terrain. Et surtout, en posant une question essentielle : est-ce que le vote de pays démocratiques contre les droits des Palestiniens sert la paix et la solution à deux États ou, au contraire, cela n’aide-t-il pas les extrémismes ? De manière très solennelle, Mahmoud Abbas a alors lancé un appel. « Je demande à l’ONU, à son secrétaire général, à l’Assemblée générale, d’assurer la protection du peuple palestinien. Nous en avons besoin. Nous sommes attaqués de tous côtés. Nous n’avons personne pour nous protéger. Nous vous implorons. Nous avons besoin d’une protection internationale. »

Et puis, Mahmoud Abbas en est venu aux accords d’Oslo. Des accords qui prévoyaient la création de l’État de Palestine en 1999 et soutenu par l’ensemble des pays du monde. Seize ans après, la réalité est là, terrible. « Israël est déterminée à exercer sa domination sur notre économie. Elle a sapé les fondations sur lesquelles étaient basés les accords politiques et sécuritaires. » Notamment en poursuivant sa politique de colonisation, en refusant de se retirer des zones B et C et même, en empiétant sur la zone A, pourtant sous responsabilité politique et sécuritaire de l’Autorité palestinienne.

Mahmoud Abbas, après un moment de silence a alors lancé : « Tant qu’Israël refuse de respecter les accords signés avec nous ce qui fait que notre Autorité n’a pas de réels pouvoirs, alors nous ne serons plus les seuls à rester attachés à leur mise en œuvre. Nous ne pouvons plus continuer à être liés à ces accords avec Israël. Israël devra alors prendre ses responsabilités en tant que puissance occupante. » En clair, Abbas – et avec lui l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) – ne dirigera plus les territoires palestiniens tant que les accords et les résolutions internationales continuent à être violés. « Notre patience est arrivée à bout. Israël n’écoute pas la vérité. Elle doit maintenant assumer ses responsabilités et ses devoirs. »

Pour autant, Mahmoud Abbas n’a pas fermé la porte. Il a multiplié ses appels à la paix, assuré que l’OLP poursuivra ses efforts et a même dit espérer que le drapeau palestinien, qui flotte maintenant à l’ONU, soit un jour hissé « à Jérusalem-Est, capitale de la Palestine ».

Comment les pays occidentaux notamment – eux qui, à l’exception de la Suède – ne reconnaissent toujours pas l’État de la Palestine. Mahmoud Abbas a lancé un véritable pavé dans une mare de lâcheté qui fait que près de 70 ans après, le peuple Palestinien attend toujours son État.

http://www.humanite.fr/palestine-mahmoud-abbas-reclame-une-reconnaissance-part-entiere-585449

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Angela Merkel
Angela Merkel, futur secrétaire général de l’Onu?

© REUTERS/ Hannibal Hanschke
12:54 29.09.2015

Ces derniers temps, les rumeurs sur le départ éventuel d’Angela Merkel de la politique allemande dans l’objectif de prendre le poste de secrétaire général des Nations unies s’intensifient, a rapporté le quotidien allemand Bild.

Les informations sur un nouveau tournant possible dans la carrière de la chancelière sont confirmées par certains employés de l’Onu, a fait savoir Bild.

Ainsi, l’organisation a lancé au printemps 2015 la campagne Woman SG (Woman Secretary General), dont les participants désirent voir une femme à la tête de l’Onu, l’organisation n’ayant été jusqu’à présent dirigée que par des hommes. Comme le mandat de Ban Ki-moon prend fin le 31 décembre 2016, Angela Merkel a toutes les chances de prendre sa succession, son nom étant déjà sur la liste des candidates proposées par les organisateurs de la campagne.

« Elle serait la candidate idéale », a estimé un membre du mouvement.Outre Angela Merkel, la liste comprend les noms de Christine Lagarde (directrice du FMI, 59 ans), de Catherine Ashton (ex-chef de la diplomatie de l’UE, 59 ans) ou encore Dalia Grybauskaite (présidente de la Lituanie, 59 ans).

« D’un côté, (Angela) Merkel a avoué elle-même qu’elle voulait quitter son poste en démissionnant, et pas en perdant les élections ou en étant contrainte de démissionner. D’autre part, personne ne croira jamais que Merkel, qui vient d’avoir ses 60 ans, deviendra une retraitée politique et se consacrera à faire pousser des roses », a fait remarquer Bild.

Effectivement, les gens qui ont déjà eu la possibilité de jouer des rôles non-négligeables dans la grande politique ont besoin d’activité afin de ne pas perdre leurs compétences professionnelles. Peu de postes pourraient correspondre aux attentes de la chancelière allemande, sauf si on prend en considération l’Onu. Outre cela, le moment est bien choisi: la popularité Angela Merkel s’essouffle en Allemagne, tandis qu’à New York elle se sent comme un poisson dans l’eau, souligne le quotidien. Ainsi, à l’Assemblée générale elle est qualifiée de « femme la plus puissante du monde ».Il est à noter que jusqu’à présent, la candidature du secrétaire général de l’Onu a été choisie à l’issue de discussions informelles des représentants des pays membres les plus influents. Le candidat sélectionné devait par la suite obtenir le soutien des deux tiers de votants à l’Assemblée générale et le soutien des cinq membres permanents du Conseil de sécurité comprenant le Royaume-Uni, la France, la Chine, les Etats-Unis et la Russie. Selon certains experts, cette dernière pourrait pourtant bloquer une telle nomination, car il est peu probable que le président russe souhaite voir son opposant le plus fervent dans la crise ukrainienne à la tête de l’Onu, fait remarquer Bild. En outre, les pays membres du Conseil n’aiment pas voir des personnalités fortes à ce poste, et Angela Merkel risque d’être le « général » plutôt que le secrétaire de l’organisation, ajoute le quotidien.

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Faisal bin Hassan Trad, l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite au Conseil des droits de l’homme, a été officialisé ce lundi à la tête de son panel. Un poste stratégique qui, selon les ONG, ne devrait pas revenir à une monarchie qui bafoue régulièrement la liberté d’expression et où les exécutions sont fréquentes.

Faisal bin Hassan Trad, l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite à Genève,  s’apprête à prendre la tête du panel du Conseil.

Faisal bin Hassan Trad, l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite à Genève,  s’apprête à prendre la tête du panel du Conseil.

Combatientes del grupo yihadista Estado Islámico (EI)

Oriente Medio

13:28 23.05.2015(actualizada a las 13:38 23.05.2015) 
Atrocidades del Estado Islámico
 

El grupo yihadista Estado Islámico (EI) podría obtener armas nucleares dentro de 12 meses, según la última edición de la revista propagandista del EI, Dabiq.

Se indica que el EI se propone transportar el armamento nuclear a Occidente a través de Libia y Nigeria.

Según escribe el diario The Independent citando al supuesto autor del artículo, periodista británico John Cantlie, secuestrado por islamistas hace dos años, el EI « cuenta con miles de millones de dólares en los bancos por lo que llama a sus aliados en Pakistán a venderle bombas nucleares a través de traficantes de armas vinculados con políticos corruptos » del país asiático.

El diario agrega que según Cantlie, el EI planea cometer « algo realmente impresionante » en EEUU.

« Cuantos más grupos juren la lealtad (al EI), más posible será que (el grupo) decida cometer algo verdaderamente épico », agregó.

LaexpansióndelEstadoIslámico (EI), que sehaapoderado deuna parteconsiderable delosterritorios de Irak ySiria, seconvirtió enuno delosmayoresproblemas globalesdesdejunio de 2014.El movimiento proclamó un califato en las áreas tomadas y pretende ampliar su zona de influencia con células que actúan en Libia, Yemen y otras naciones de Oriente Medio y África del Norte.

De momento no existe un frente único de lucha contra el EI, por un lado hay una coalición internacional con EEUU a la cabeza, que se limita a bombardear desde el aire las posiciones del grupo, y por el otro, las tropas gubernamentales de Siria e Irak y los kurdos de estos dos países.

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Publié par

PHOf61c52a4-9332-11e3-9d11-442a32cc072f-805x453La force onusienne en Centrafrique (Minusca) devrait recevoir rapidement des drones et des hélicoptères, a annoncé mardi le secrétaire général adjoint des Nations Unies chargé des Opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous, au terme d’une visite de quatre jours dans le pays.

Les forces « seront dotées de drones pour la surveillance », a notamment déclaré M. Ladsous lors d’une cérémonie à Bangui marquant « l’atteinte de la pleine capacité opérationnelle » de la Minusca.

« La pleine capacité opérationnelle signifie que 90% des effectifs et du déploiement de la Minusca ont été atteints. La Force compte actuellement 8.500 hommes et prévoit d’en atteindre 10.000 avant la fin août. Quant à la force de police, qui compte actuellement 1.484 éléments, elle prévoit de réunir 1.800 policiers d’ici la fin d’août », selon un communiqué de l’ONU.

Une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU adoptée mardi a prolongé d’un an le mandat de la Minusca et porte le nombre de Casques bleus autorisés à opérer en RCA à 10.750 soldats et 2.080 policiers.

« La Minusca a développé un plan opérationnel d’urgence afin de soutenir les autorités nationales pour assurer la tenue des élections de manière sécurisée et en temps opportun, si possible avant août 2015. La protection des civils s’améliore de manière continue parce que nous avons développé des actions de protections ciblées et coordonnées », s’est félicité M. Ladsous.

« Le Forum de Bangui, qui sera suivi d’élections inclusives et crédibles, sera un élément clé dans la bonne conclusion de la transition », a conclu M. Ladsous en référence au forum qui doit réunir à partir de lundi des représentants de tout le pays pour trouver des solutions durables à la crise en Centrafrique.

Depuis le renversement du président François Bozizé en mars 2013 par la coalition rebelle Séléka, qui a depuis abandonné le pouvoir sous la pression internationale, la Centrafrique a sombré dans une crise sécuritaire et politique sans précédent opposant milices principalement chrétiennes anti-balaka, aux rebelles Séléka, essentiellement musulmans.

La présence de trois forces internationales – française européenne et onusienne – a permis de stabiliser la situation, sans réussir à pacifier l’ensemble du territoire.

AFP

SOURCE: http://afriquenewsinfo.net/2015/04/29/centrafrique-des-drones-et-des-helicopteres-pour-la-force-onusienne/

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le monde à l'ENVERS

OUATTARA BAFETIGUE ONU UNTC 27-02-2015 S.E. M. Bafétigué Ouattara Ambassadeur Représentant permanent adjoint de la République de Côte d’Ivoire ratifie le Traité sur le commerce des armes

L’éviction de Youssoufou Bamba de la tête de la Représentation de la Côte-d’Ivoire auprès de l’ONU à New-York n’a pas encore fini de révéler tous les secrets. Au fur et à mesure que le temps s’écoule les langues se délient, contredisant la version «officielle» propagée par certains médias.

En effet, le site Inner City Press, sous la plume de Matthew Russell Lee, dans une série d’articles récents nuance la version connue, et attribue à la révocation de M. Bamba à un scandale d’emplois de fonctionnaires de l’ONU vendus par un haut fonctionnaire de l’État ivoirien. Ce haut cadre en mission pour la Côte-d’Ivoire auprès de l’ONU à New-York est le diplomate Bafétigué Ouattara, adjoint de Yossoufou Bamba, que ce dernier n’aurait pas su valablement…

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Le rabbin dont la fille a été tuée à Toulouse en 2012 se dit confiant que d’avantage sera fait après les attentats de Paris

Ron Prosor, émissaire israélien à l'ONU, lors d'un discours au Conseil de Sécurité, le 22 octobre 2013 au siège des Nations unies à NewYork (Crédit : Nations unies)

NATIONS UNIES – Avant de se rendre jeudi au siège des Nations Unies à New York pour assister à la première session de l’Assemblée générale sur l’antisémitisme le rabbin Yaacov Monsonego de Toulouse a fait un arrêt rapide à Grand Central Terminal.

Là, a-t-il, il a vu quelque chose que, dans sa désinvolture était assez remarquable – des hommes juifs portant une kippa sans craindre pour leur sécurité.

La vision a souligné la nécessité de lutter contre la montée de l’antisémitisme dans le monde, a déclaré Monsonego, dont la fille de 8 ans, Miriam, a été tuée dans l’attentat terroriste en 2012 devant l’École Ohr Torah à Toulouse.

Monsonego a participé à la conférence de l’ONU en tant qu’invité spécial du Congrès juif mondial.

« Avant les attaques contre Charlie Hebdo et le marché Hypercacher, les discours des dirigeants [français] contre l’antisémitisme étaient sincères, mais essentiellement symboliques. Maintenant, je n’ai aucun doute qu’il y aura un effort conscient pour faire quelque chose », a confié Monsonego au Times of Israel.

Rabbi Yaacov Monsonego de Toulouse, France (Crédit : Cathryn J. Prince)

Rabbi Yaacov Monsonego de Toulouse, France (Crédit : Cathryn J. Prince)

Avec Israël en tête, 37 nations ont appelé l’ONU à répondre à la forte flambée de l’antisémitisme violent dans le monde entier.

Les missions des États-Unis, du Canada et de tous les 28 membres de l’Union Européenne se sont joints à Israël pour mettre sur pied cette réunion informelle des Nations unies

« Cela en dit beaucoup. De nombreux pays ont établi un partenariat avec Israël pour amener cette question de l’antisémitisme en priorité à l’ordre du jour de l’ONU. Nous avons beaucoup de travail à faire pour faire passer ce sujet de l’actualité aux livres d’histoire », a déclaré Ron Prosor, l’ambassadeur d’Israël aux Nations unies.

Mais parce que ce n’était qu’une réunion informelle, la seule action que l’Assemblée pouvait prendre était d’émettre une déclaration commune. Jusqu’à présent, plus de 40 pays ont signé la déclaration.

« Les Nations Unies doivent avancer et jouer un rôle central dans la lutte contre l’antisémitisme ainsi que contre l’intolérance, la discrimination et la violence fondées sur la religion ou la croyance. C’est un impératif moral pour cette institution d’appeler les gouvernements à travers le monde à promouvoir la tolérance et le respect mutuel dans leurs sociétés », est-il écrit dans le communiqué.

La déclaration a exhorté tous les pays à « affirmer leur rejet catégorique de l’antisémitisme, à renforcer les lois contre la discrimination, et à poursuivre les responsables de crimes antisémites ».

« La détermination à éradiquer les conditions qui ont donné lieu à l’Holocauste était un principe directeur parmi les fondateurs de cette organisation il y a plus de six décennies», poursuit leur déclaration.

« Nous renouvelons notre engagement à ce principe et nous nous efforçons d’éliminer l’antisémitisme sous toutes ses formes. »

Beaucoup de groupes juifs ont salué la déclaration, mais veulent que l’ONU prenne des mesures plus spécifiques.

« Les réunions et les discours ne suffisent pas. Les résultats de cette réunion doivent être concrets. Tous les États devraient se résoudre à combattre l’antisémitisme, et ne pas lui permettre de sévir sous le couvert de débat sur Israël », a déclaré Jonathan Sacerdoti, directeur des communications pour la Campaign Against Antisemitism [Campagne Contre l’Antisémitisme], basée au Royaume-Uni.

Sacerdoti a déclaré que les gouvernements et les organismes d’application de la loi doivent adopter une approche de tolérance zéro face à l’antisémitisme.

Pour Michael Salberg, directeur des affaires internationales de l’Anti-Defamation League, les gouvernements devraient s’inspirer du Département d’Etat américain. Créé en 2004 par mandat du Congrès, le bureau de l’Envoyé spécial surveille l’état de l’antisémitisme et de la sécurité des communautés juives dans 193 pays.

« C’est sur l’ordre du jour de la politique étrangère des États-Unis. Cela devrait être le cas partout. Ce genre de chose donnerait aux communautés juives fragiles à travers le monde un sentiment que leur gouvernement les protège, » a affirmé Salberg, ajoutant que la propre histoire de l’ONU au sujet de l’antisémitisme est en dents de scie.

En 1974, l’Assemblée Générale a adopté une résolution non contraignante assimilant le sionisme au racisme. Alors que l’ONU a abrogé cette résolution en 1991, Israël était le seul pays dans le monde à être réprimandé dans la Déclaration de Durban de la Conférence mondiale sur le racisme en 2001.

La session extraordinaire de jeudi dernier était peu fréquentée, avec plus de la moitié des représentants des 193-membres n’y assistant pas. Pourtant, plus de 50 orateurs ont pris la parole, dont le célèbre philosophe français Bernard-Henri Levy qui a qualifié l’antisémitisme d’«inhumanité radicale » dans son discours.

L’idée de la réunion a jailli après une série d’incidents antisémites qui ont éclaté à travers l’Europe au début de l’année dernière, y compris les assassinats de quatre personnes devant le Musée Juif à Bruxelles en mai.

Elle s’est accélérée l’été dernier lorsque les manifestations contre la guerre de Gaza ont dégénéré en violence contre les Juifs.

Samantha Power et le président Barack Obama le 5 juin 2013 (Crédit : Alex Wong/Getty) Samantha Power et le président Barack Obama le 5 juin 2013 (Crédit : Alex Wong/Getty)

« La montée de l’antisémitisme est rarement la seule ou la dernière manifestation d’intolérance. Lorsque les droits humains des Juifs sont réprimés, les droits d’autres groupes ethniques et religieux sont souvent pas loin derrière « , a déclaré l’ambassadrice des États-Unis Samantha Power à la conférence

Pour sa part, l’Ambassadeur Abdallah Al-Moualimi de l’Arabie saoudite a eu une approche différente.

S’exprimant au nom de l’Organisation de la Coopération Islamique qui rassemble 57 pays, il a établi un lien entre l’antisémitisme et l’islamophobie.

Il a également déclaré que la situation entre Israël et la Palestine est « très étroitement liée à l’augmentation des crimes de la haine, de l’extrémisme, de la violence et de l’antisémitisme. »

Power a répondu que, bien que les États-Unis acceptent la critique des politiques, ils rejettent « tout ce qui donnerait à penser qu’il y a une justification de l’antisémitisme. »

Elle a dit qu’il ne faut pas oublier que la négation de l’Holocauste est encore monnaie courante en Afrique du Nord et au Moyen Orient « et qu’il existe des groupes extrémistes violents qui prêchent une forme radicale de l’islam et croient qu’ils font le travail de Dieu en tuant les Juifs. »

SOURCE: http://timesofisrael.us4.list-manage2.com/track/click?u=cfb8b7e18d631d09f248bc525&id=7ff1a8640d&e=d1655544a6

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Diplomatic Briefing

Syrian ambassador to the United Nations, Bashar Ja’afari, has filed a legal complaint against American and French officials that have illegally intruded into the country to visit militant-held towns. Ja’afari lodged the protest at the headquarters of the world body in New York against the entry of several US and European officials into the country without obtaining a visa. He further called on the UN Secretary-General Ban Ki-moon and the Security Council to pressure member states to take appropriate measures in this regard. The development came following illegal separate visits to the Syrian territory by Republican US Senator John McCain, former French Foreign Minister Bernard Kouchner and American diplomat Peter Galbraith. Moreover, the Syrian envoy described the visits as blatant violations of the country’s sovereignty. McCain slipped into Syria in May 2013 to meet with foreign-sponsored militants that were fighting to overthrow the Syrian government of President Bashar Al-Assad. Galbraith…

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Armer Désarmer

Salle de l'Assemblée Générale de l'ONU. Photo Benoît Muracciole Salle de l’Assemblée Générale de l’ONU. Photo Benoît Muracciole

Article from La Revue internationale et stratégique 2014, with the kind permission of the Institut des Relations Internationales et Stratégiques (IRIS) and the International Peace Information Service (IPIS)

IPIS Insights

The Arms Trade Treaty. Prospects and

Challenges as it “enters into force”

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The entry into force of the Arms Trade Treaty (ATT) on 24 December 2014[1] is seen as a sign of hope that irresponsible transfers of conventional arms will at last begin to be eradicated. Declarations of commitment by states around the world to implement the ATT have snowballed over the past year since the UN General Assembly voted decisively on 2 April 2013 to adopt the treaty[2].

The ATT represents a paradigm shift in international law on arms transfers because for the first time in history international human rights standards have been codified alongside other international standards to…

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Armer Désarmer

Salle de l'Assemblée Générale de l'ONU. Photo Benoît Muracciole Salle de l’Assemblée Générale de l’ONU. Photo Benoît Muracciole

 Article de la Revue internationale et stratégique 2014, mis en ligne avec l’aimable autorisation de l’Institut des Relations Internationales et Stratégiques (IRIS) ainsi que de l’International Peace Information Service (IPIS)

L’entrée en vigueur imminente du Traité de commerce des armes (TCA), à la fin de l’année 2014[1], est perçue comme un motif d’espoir : le bannissement des transferts irresponsables d’armes conventionnelles serait sur le point de commencer. Au cours de l’année écoulée, et depuis l’adoption décisive du traité par l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies (ONU) le 2 avril 2013, les déclarations d’engagement des États pour mettre en oeuvre le TCA ont fait boule de neige[2]. Le TCA constitue un changement de paradigme dans le droit international sur les transferts d’armes.

Pour la première fois dans l’Histoire, des obligations universelles relatives aux droits de l’homme ont…

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ONU

Armer Désarmer

ASER_BD

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Ce mercredi 24 décembre 2014, un peu plus d’un an et demi après son adoption aux Nations Unies le 2 avril 2014, le premier traité sur le commerce des armes (TCA) de l’histoire, entre en vigueur. A ce jour, 60 États l’ont ratifié. Ce TCA, plus important traité international de ce début de XXI° siècle, régit les plus hautes normes au monde en termes de contrôle des transferts d’armes classiques, au delà des normes jusqu’ici instaurées par les accords régionaux africains, américains ou de l’Union Européenne. Il s’agit, pour beaucoup d’États Parties au TCA, de mettre notamment en œuvre les critères rigoureux d’ « évaluation du risque d’usage des armes » dont ils autoriseront désormais l’exportation.

ASER (Action Sécurité Éthique Républicaines), qui continue de travailler en relation avec de nombreux gouvernements pour faire avancer une interprétation rigoureuse des articles 6 et 7 de ce traité, tient à saluer ce…

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le monde à l'ENVERS

ISRAËL REBELLE

Avec plus d’un an et demi de retard, les Nations unies ont finalement évoqué les étroites relations qui existent entre les groupes terroristes actifs dans le sud syrien, plus particulièrement dans les provinces de Quneitra et Deraa, et «Israël».

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Quarante-huit heures après l’interpellation de six Casques bleus surpris avec des tenues de l’armée congolaise à Goma, le lieutenant-colonel Félix Prosper Basse, porte-parole militaire de la Monusco, a confié vendredi à « Jeune Afrique » les premiers éléments de l’enquête. Interview exclusive.

C’est une affaire embarrassante pour la mission onusienne en RDC. Le 26 novembre, sur la route de l’aéroport de Goma, six pilotes ukrainiens de la Monusco ont été interpellés par les services de sécurité congolais alors qu’ils étaient en possession des tenues militaires de la Garde républicaine (GR, garde présidentielle congolaise).

Une enquête a été ouverte dans la foulée par les autorités provinciales du Nord-Kivu. Et la Monusco s’est déclarée disposée à « coopérer pleinement et de manière responsable » pour faire toute la lumière sur l’affaire. En attendant, le lieutenant-colonel Félix Prosper Basse appelle la population congolaise « au calme et à ne pas céder à la manipulation ». Le porte-parole de la…

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Les pays qui soutiennent le nazisme

Les pays qui soutiennent le nazisme

Par La Voix de la Russie

Les Etats-Unis, le Canada et l’Ukraine ont voté à la séance de l’Assemblée générale de l’ONU contre le projet russe de résolution condamnant l’héroïsation du nazisme. Le document doit être adopté l’année prochaine lorsque sera célébré le 70ème anniversaire de la Victoire dans la Seconde guerre mondiale.

115 sur 193 pays membres de l’ONU ont voté pour le document présenté par la Russie.

Trois pays : Canada, Etats-Unis et Ukraine ont voté contre. Encore 55 délégations, y compris celle de l’UE, se sont abstenues.

Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_11_24/Les-pays-qui-soutiennent-le-nazisme-2031/

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le monde à l'ENVERS

Mais ça ne change rien. Il y a des choses auxquelles on ne s’habitue pas. Surtout pas. A la faiblesse, par exemple. A la mesquinerie. A la bêtise aussi, c’est moins grave. Mais surtout à la pleutrerie.

NAZISME GLORIFICATION

Nous venons, en effet, d’apprendre une bien triste nouvelle. Les Etats Unis, le Canada et l’Ukraine ont voté contre la résolution de l’Assemblée générale de l’ONU proposée par la Russie de lutter contre la glorification du nazisme.

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Strategika 51

Avis aux lecteurs: accrochez-vous!

Cette étude concerne les pays suivants: Le Burundi, le Sri-Lanka, Haïti, Malte, le Monténégro et Israël. Voici les conclusions:

  • Burundi. Allégations de violations de droit à la vie par des agents de l’État et absence d’enquête et de poursuites; discrimination entre les sexes; surpopulation carcérale; représailles, y compris les agressions physiques et menaces de mort contre des défenseurs des droits de l’homme et des journalistes.
  • Sri-Lanka. Maintien de loi de prévention du terrorisme; impunité pour les violations des droits humains commises par l’État et les acteurs non étatiques; exécutions extrajudiciaires; disparitions forcées; situation des personnes déplacées; violence sexuelle et sexiste envers les femmes.

  • Haïti. Impunité pour les violations graves des droits de l’homme; violence contre les femmes et les personnes LGBT; détention préventive prolongée; exécutions extrajudiciaires par la police; protection des enfants contre l’exploitation («restavek»), adoption abusive et trafic; expulsions forcées et fermeture…

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le monde à l'ENVERS

L’Internet en voie de dislocation ?

INTERNET ONU

Un rapport de l’Onu critique les services de renseignements: il affirme que leurs activités sur internet bafouent les droits des citoyens au secret de la correspondance, écrit jeudi le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

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Joel C. Rosenberg's Blog

Israeli Prime Minister Netanyahu addressed the UN General Assembly on Monday on the threat of "militant Islam" to his country and the world. Israeli Prime Minister Netanyahu addressed the UN General Assembly on Monday on the threat of « militant Islam » to his country and the world.

UPDATED: Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu addressed the opening Fall session of the United Nations General Assembly on Monday by noting that « militant Islam is on the march » and warning the leaders of the world that « to defeat ISIS and leave Iran as a threshold nuclear power would be to win the battle and lose the war. »

The Israeli premier cast the recent war with Hamas as part of the broader Radical Islamic jihad that is sweeping across the region from Gaza to Syria to Iran. But he stated that the greatest threat to his country and the world was a nuclear armed Iranian regime, or one that could rapidly produce nuclear warheads.

Netanyahu said he sees a new alignment of interests between Israel and moderate Arab nations in the region, and suggested such a…

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