Archives de la catégorie ‘Transport routier’

eu-truckLes services de l’antitrust bruxellois tournent décidément à plein régime : la très active commissaire européenne à la concurrence, Margrethe Vestager, a prononcé, mardi 19 juillet, une amende record de 2,93 milliards d’euros contre le « cartel des camions », qui concerne six constructeurs.

Les allemands Daimler et MAN – détenus par Volkswagen –, comme le suédois Scania, le néerlandais DAF, l’italien Iveco et le suédois Volvo, qui détient la marque française Renault, « ont enfreint les règles de la concurrence de l’UE », a accusé l’exécutif européen dans un communiqué.

« C’est la plus grosse amende jamais infligée dans un cas de cartels dans l’UE. En gros, le double du dernier record », a précisé Margrethe Vestager, lors d’une conférence de presse à Bruxelles. Tous les constructeurs ont reconnu leur participation et ont accepté de conclure une transaction.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/automobile/article/2016/07/19/cartel-des-camions-bruxelles-s-apprete-a-prononcer-une-amende-record_4971545_1654940.html#JBWe58Zw0uWgjjvp.99

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eu-truckLa Commission européenne s’apprête à rendre une décision sur le cartel de six fabricants de camions, qui pourrait se solder par des amendes records, a appris vendredi l’AFP.

« La décision pourrait tomber mardi », a pronostiqué une première source, basée à Bruxelles. « Nous partons du principe que la décision tombera cet été », a expliqué une seconde source.

Interrogée par l’AFP, la Commission européenne s’est refusée à tout commentaire officiel.

L’exécutif européen soupçonne l’allemand MAN et le suédois Scania, tout deux détenus par l’allemand Volkswagen, l’allemand Daimler, le néerlandais DAF, l’italien Iveco et le suédois Volvo de s’être entendus sur les prix et les conditions de livraison pendant des années. Dès 2011, la Commission avait procédé à plusieurs perquisitions liées à cette affaire.

lire: http://www.lepoint.fr/automobile/actualites/cartel-des-fabricants-de-camions-une-decision-de-l-ue-est-proche-15-07-2016-2054738_683.php

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Par Bertrand Queneutte, France Bleu Normandie (Seine-Maritime – Eure) vendredi 20 mai 2016

La raffinerie Total de Normandie a voté l'arrêt complet
La raffinerie Total de Normandie a voté l’arrêt complet © Maxppp – Eric HOURI / MAXPPP

Après déjà trois jours de blocage, les salariés de la raffinerie Total de Normandie, à Gonfreville l’Orcher, ont voté majoritairement l’arrêt complet. Une nouvelle étape dans le bras de fer avec le gouvernement, autour de la Loi Travail.

La raffinerie Total de Normandie à l’arrêt complet ! C’est ce qu’ont voté majoritairement les salariés ce vendredi après-midi, au cours d’une assemblée générale. Ils sont 56% à s’être prononcé en faveur de cette nouvelle étape dans la lutte contre la Loi Travail.

LIRE PLUS: https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/la-raffinerie-de-normandie-total-vote-l-arret-complet-pour-protester-contre-la-loi-travail-1463756128

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Un nouveau Code des Douanes pour l’Union européenne, le 1er mai 2016Publié le : vendredi 29 avril 2016

Des opportunités et des simplifications pour les entreprises.

Drapeaux flottant au vent | © illustrez-vous | Fotolia

Le nouveau Code des douanes de l’Union (CDU) entre en application le dimanche 1er mai 2016. Ce code remplace le précédent texte qui datait de 1992. Il regroupe toutes les dispositions sur lesquelles se fondent les échanges de l’Union douanière avec ses partenaires commerciaux.  Ce nouveau code offre un cadre modernisé de travail et de nouvelles opportunités pour les opérateurs du commerce international. La douane française et l’ensemble des entreprises réalisant des opérations d’import-export s’y préparent depuis plusieurs mois, voire plusieurs années.

Cette nouvelle réglementation se caractérise par de nombreuses simplifications et de nombreux avantages pouvant être accordés aux opérateurs :

  • elle fait du statut d’Opérateur économique agréé (OEA) le passeport incontournable pour se développer à l’international ;
  • elle prévoit la mise en place du dédouanement centralisé communautaire, c’est-à-dire la possibilité pour un opérateur de transmettre ses déclarations à un seul bureau de douane dans l’Union, même si ses marchandises passent par différents lieux. Cette disposition sera déployée au plan communautaire à l’horizon 2019, mais la douane française a choisi de la mettre en place pour les flux qui concernent le territoire national dès le 1er mai 2016 (dédouanement centralisé national) ;
  • elle fixe pour objectif de dématérialiser 100 % des formalités douanières au 31 décembre 2020.

Pour la mise en application de ce nouveau code, une période transitoire est prévue. D’abord pour la gestion des autorisations douanières accordées avant le 1er mai 2016 et qui pourront perdurer le temps de leur validité. Une transition informatique est également prévue pour adapter l’ensemble des systèmes informatiques douaniers à l’horizon 2020.

Par ailleurs, la douane française s’est engagée, depuis près d’un an, dans une démarche proactive d’information afin de préparer les entreprises à cette nouvelle réglementation. Elle a mis en place un Tour de France des experts douaniers avec des conférences et des ateliers de travail qui se sont déjà déroulés dans près d’une quinzaine de grandes villes en métropole et en outre-mer. Pour aller plus loin, elle a lancé, le 22 septembre 2015, un grand plan intitulé « Dédouanez en France » regroupant 40 mesures concrètes en faveur des entreprises. L’objectif de ce plan est de soutenir les opérateurs tournés à l’international, de simplifier leurs formalités et de favoriser l’attractivité du territoire national ainsi que la création d’emplois.

Contacts presse

  • Service de presse, Bureau Information et communication : 01 57 53 41 03

http://www.douane.gouv.fr/articles/a12817-un-nouveau-code-des-douanes-pour-l-union-europeenne-le-1er-mai-2016

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La compañía logística norteamericana XPO Logístic empezará a ofrecer a finales de mayo un nuevo servicio de transporte en España con Vehículos Modulares Europeos (EMS), también llamados megacamiones, con una longitud máxima de 25,25 metros y un peso máximo de 60 toneladas.

La empresa ha invertido en varias unidades de megacamiones para su flota con el objetivo de reducir el impacto medioambiental del transporte de mercancías a través de procesos más eficientes, mayor capacidad de carga por viaje y ahorro en combustible, según ha informado la empresa en una nota.

De igual manera, la empresa ha establecido un protocolo de seguridad especial para la operativa de estos vehículos, que deberán disponer de suspensión neumática, espejos y detectores para el ángulo muerto, un sistema de vigilancia de abandono de carril y sistema autónomo de frenado de emergencia o de alerta de colisión, entre otras innovaciones de seguridad.

El director de Operaciones de Transport Solutions de XPO Logistics Iberia, Roberto Martínez, ha destacado que “el objetivo se centra en ofrecer a los clientes las soluciones más avanzadas disponibles”.

“Los clientes de XPO en España se beneficiarán, además, de nuestra experiencia y conocimiento operando megacamiones en otros países en los que ya están autorizados, como Holanda”, ha resaltado.

Los nuevos vehículos EMS de XPO Logistics en España también dispondrán de los últimos sistemas de gestión de control y seguimiento de cargas, incluyendo la misma tecnología GPS que ya dispone su flota de más de 2.000 camiones en la Península Ibérica.

EFE

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31 mars 2016 / Didier Déniel
La Dreal Bretagne, l'organisme responsable des contrôles en matière de...
La Dreal Bretagne, l’organisme responsable des contrôles en matière de transport dans la région, a relevé une « forte hausse » des véhicules contrôlés en infraction ces derniers mois. La majorité des véhicules concernés était étranger. PHOTO FRANCOIS DESTOC / LE TELEGRAMME

Depuis deux ans, les entreprises de transport routier françaises subissent de plein fouet la concurrence des anciens pays de l’Est, qui pratiquent le dumping social pour conquérir des marchés. L’Europe semble incapable d’endiguer ce phénomène qui fragilise les entreprises françaises.

Samedi 19 mars. Une centaine de camions se suivent, pare-chocs contre pare-chocs, sur la rocade rennaise pour une opération escargot. À l’initiative de cette manifestation, l’OTRE, le syndicat des TPE et PME du transport routier, qui dit ne plus pouvoir faire face à la concurrence déloyale des entreprises étrangères. « Nous subissons de plein fouet la concurrence des camions polonais, roumains, lituaniens et bulgares. Et dans une moindre mesure, celle des Espagnols, explique Christine Jaouen, présidente de l’OTRE Bretagne et dirigeante d’Atlantic Trans Containers, entreprise basée à La Mézière (35). Ces entreprises ont tout à fait le droit de travailler en France. On ne le conteste pas. Le problème, c’est que dans la grande majorité des cas, elles ne respectent pas notre réglementation. »
728 véhicules étrangers un dimanche en Bretagne

Principale entorse, le cabotage. Tout camion étranger est habilité à livrer en France en un point donné. Pour éviter qu’il reparte à vide, on lui accorde trois manoeuvres de chargement ou de déchargement, à effectuer dans un délai de sept jours. C’est ce qu’on appelle le cabotage. Selon la présidente de l’OTRE Bretagne, « une fois que ces routiers ont mis un pneu en France, ils accumulent les missions. En cassant les prix ». Pour étayer ces propos, l’OTRE a mené, le dimanche 6 mars, sur les cinq départements de la Bretagne historique, une action de comptage des camions étrangers. Vingt-quatre équipes ont été constituées. 691 poids lourds ont été recensés ainsi que 37 véhicules légers bâchés. « La plupart de ces véhicules attendaient de nouveaux ordres de mission. On a rencontré des chauffeurs qui nous ont dit qu’ils travaillent cinq semaines à suivre ici. Ce qui est complètement illégal. » Selon les syndicats de transporteurs et de salariés, un chauffeur de l’Est reviendrait de deux à trois fois moins cher qu’un routier français. « Nous n’avons rien contre ces gens-là. Ils se font exploiter par des donneurs d’ordre. Souvent de grosses boîtes de logistique qui profitent à fond de ces activités low-cost….

Lire sur: http://www.letelegramme.fr/bretagne/routiers-etrangers-acceleration-des-abus-31-03-2016-11013245.php#65tsgzYwooH5rvik.99

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Neuf semaines sans quitter son camion. C’est la vie d’un routier roumain chez Geodis. Qu’en pense la SNCF, maison mère de cette entreprise de transport ?

Elise Lucet interroge le directeur général de SNCF Logistics, Alain Picard. Extrait de « Salariés à prix cassé : le grand scandale » une enquête de « Cash Investigation », à voir le mardi 22 mars à partir de 20h55.

Pourquoi autant de chauffeurs des pays de l’Est roulent-ils sur les autoroutes françaises ? La réponse est simple : ils sont beaucoup plus compétitifs que les routiers français. Un chauffeur roumain chez Geodis touche par exemple un salaire mensuel brut de 237 euros, hors prime journalière.

Le week-end sur le parking de l’entreprise

Et ils roulent neuf semaines sans rentrer chez eux, dorment dans leur camion, mangent dans leur camion et passent le week-end sur le parking de l’entreprise… Mais qu’en pense la SNCF, la maison mère de Geodis ? Elise Lucet interroge Alain Picard, directeur général de SNCF Logistics.

Extrait de « Salariés à prix cassé : le grand scandale », une enquête de Sophie Le Gall diffusée dans « Cash Investigation » le mardi 22 mars à partir de 20h55.

http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/cash-investigation/video-cash-investigation-geodis-filiale-de-la-sncf-raffole-des-chauffeurs-roumains_1365073.html

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Une entreprise toulousaine se déchaîne contre le « dumping social »Cash Investigation a diffusé sur France 2, mardi 22 mars 2016, une enquête sur le dumping social et relayé le coup de gueule de l’entreprise toulousaine Rives Dicostanzo.Publié le : 23/03/2016
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L’émission était diffusée mardi 22 mars 2016 sur France 2 (Photo : mesreplay.fr)

C’est devenu la marque de fabrique de l’émission. Mardi 22 mars 2016, l’émission de France 2 Cash Investigation diffusait une enquête sur les travailleurs détachés dans le transport routier, le BTP, etc… ciblant particulièrement le cas des salariés roumains payés au salaire roumain mais travaillant en France. Dans ce reportage choc, les méthodes de grandes entreprises ont été épinglées.

Parmi elles, celles du transporteur routier Geodis, filiale de la SNCF. Dans cette partie du reportage, l’équipe de l’émission s’est rendue dans les locaux de l’entreprise toulousaine Rives Dicostanzo, spécialisée dans le déménagement et les services logistiques et comptant près de 300 salariés sur 13 sites en France dont Toulouse, Castres ou Montpellier dans la région Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées.

Geodis, « de la délinquance sociale »

Le rôle du transporteur toulousain n’était pas celui de l’accusé… mais de l’accusateur, involontaire, de Geodis, le patron toulousain ignorant au départ le nom de l’entreprise dont on lui parlait. Invité par les journalistes de Cash Investigation à commenter le temps de travail d’un conducteur roumain travaillant majoritairement en France et la différence de salaire entre la France (4 416 euros, charges comprises) et la Roumanie (1 411 euros, soit trois fois moins), voici sa réaction :

Cette différence n’arrivera jamais dans le système (de protection sociale) français. C’est du dumping social et de la délinquance sociale. C’est sauvage, désastreux et sans lendemain.

Dans un édito posté sur son site internet, l’OTRE (Organisation des TPE et PME du transport routier), dont le chef d’entreprise toulousain Christophe Dicostanzo fait partie, s’est félicitée de ce travail journalistique de « sensibilisation et de médiatisation contre la délinquance économique des profiteurs de la concurrence déloyale et du travail illégal ».

http://actu.cotetoulouse.fr/cash-investigation-entreprise-toulousaine-transports-rives-dicostanzo-dechaine-contre-dumping-social_32270/

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CAMIONPar Alice Beckel

À quelques jours du Salon international du transport et de la logistique de Paris, les transporteurs routiers français tirent la sonnette d’alarme contre la concurrence, qu’il juge déloyale, des conducteurs étrangers et somment le gouvernement à agir.

Alors que le Salon international du transport et de la logistique de Paris s’ouvre mardi prochain, l’Organisation des Transporteurs Routiers Européens (O.T.R.E) souhaite alerter le gouvernement sur ce sujet.

Au centre du problème : de petites camionnettes

Les véhicules qui cristallisent la colère des entreprises françaises sont de petites camionnettes inférieures à 3,5 tonnes pouvant transporter au maximum 3 palettes. Appelées véhicules utilitaires légers (VUL), ces camionnettes ne sont pas soumises aux mêmes réglementations que les camions et surtout elles se fondent plus facilement dans le trafic et donc échappent aux contrôles.

Dumping social et concurrence déloyale

Les VUL profitent de cet état de fait pour enfreindre la législation française. Cette dernière interdit aux entreprises de transports étrangères d’effectuer plus de trois chargements en une semaine. « Les chauffeurs venus des pays de l’Est s’affranchissent de cette contrainte en embarquant dans leur cabine plusieurs documents et en falsifiant les dates » explique Caroline Caire, secrétaire générale de l’O.T.R.E Champagne-Ardenne « Ils peuvent rouler pendant plus d’un mois en France, en semaine comme en week-ends, sans être inquiétés et surtout ils travaillent à moindre coût ».

Les transporteurs tricolores dénoncent en effet le dumping social consécutif à cette pratique. Les conditions de travail des salariés venus de Pologne, Bulgarie et Roumanie sont difficiles. « Ces conducteurs, éloignés de leur domicile durant de longues périodes, prennent leur repos dans leur véhicule, pourtant inadapté. Ils peuvent conduire de nombreuses heures d’affilée, sans limite contrôlable », explique dans un rapport daté de 2016 le ministère de l’Écologie.

La rentabilité des camions français menacée

Mais comment ces petites camionnettes chargées de quelques palettes peuvent concurrencer des poids lourds ? Les entreprises étrangères ne parviennent pas à récupérer l’ensemble des livraisons d’une société française mais ils reprennent de petites livraisons très utiles pour les grands transporteurs.

Auparavant, un poids lourd immatriculé en Champagne-Ardenne qui effectuait le trajet Reims – Paris – Rennes déchargeait puis récupérait des palettes à chaque escale. Ainsi, il roulait toujours chargé au maximum. Désormais pour le même trajet, le chauffeur champardennais a plus de risque de rouler à moitié vide. En effet, les camionnettes venues des pays de l’Est auront récupéré les livraisons entre Paris et Rennes ou Paris et Reims. Le manque à gagner est donc réel.

Renforcement des contrôles

L’O.T.R.E demande aux autorités françaises de renforcer les contrôles de ces véhicules étrangers. « Aujourd’hui, les entreprises françaises sont davantage surveillées car il est possible d’inspecter le siège social des transporteurs », affirme Caroline Caire.

La secrétaire générale de l’O.T.R.E exige aussi des pouvoirs publics de mener des actions de sensibilisation auprès des groupes français ayant recours aux transporteurs étrangers. « Si nous demandions nous-même à nos clients de ne plus faire appel aux camionnettes immatriculées dans les pays de l’Est on pourrait les vexer et les perdre ! »

Et surtout cette organisation réclame que le gouvernement se donne les moyens de ses ambitions « Des lois sont promulguées mais personne ne surveille leur application ».

Pour faire entendre leurs revendications l’O.T.R.E n’exclut pas d’organiser « une mobilisation d’envergure ».

http://www.lunion.fr/684883/article/2016-03-17/les-transporteurs-etrangers-dans-le-collimateur-des-entreprises-francaises

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Chargement de quartiers de boeufs à l’abattoir ELIVIA de Villers Bocage dès 4 heure du matin.

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En route pour l’Italie!

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Circulation

Dimanche 29 novembre de 16h à 22h

Restriction de cicurlation dimanche 29 novembre 2015 après-midi

Fermetures à titre exceptionnel

de 16h à 22h

  • l’A1 de Roissy /Paris
  • l’A106 et  l’A6 d’Orly/Paris
  • du périphérique Ouest : périphérique extérieur entre la porte de la Chapelle et la porte de Saint Cloud et périphérique intérieur entre la porte d’Orléans et la porte de Saint Cloud
  • la voie Georges Pompidou entre la porte de Saint Cloud et la place de la Concorde

Informations et recommandations :

  • au Nord  : déviation à hauteur de la route nationale 104 ou de l’A3 pour rejoindre le secteur de Roissy par la route nationale 2, puis la Capitale (soit en continuant directement sur cet axe vers l’est de Paris, soit en empruntant l’A15, l’A86 et l’A14 jusqu’à la porte Maillot)
  • au Sud  : déviation vers l’A86 pour rejoindre directement le secteur d’Orly, puis la Capitale, (en entrant dans Paris à l’est par l’A4 ou à l’ouest, soit par la RN 118, soit par l’A12 puis l’A13)
  • la francilienne (A104-N104) constituera en toutes circonstances le moyen de contourner la capitale plus largement

Les automobilistes parisiens de retour de week-end sont invités à regagner leur domicile plus tôt ce jour-là.

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>Lundi 30 novembre de 6h à 21h

Fermetures à titre exceptionnel

de 6h à 21h*

  • l’A1 de Paris/Bourget
  • du périphérique Ouest : entre la porte d’Asnières et la porte de la Chapelle
  • dans Paris un itinéraire prioritaire sécurisé est mis en place entre la place de la Concorde et la porte d’Asnières via la place de la Madeleine et le boulevard Malesherbes

Informations et recommandations (sur ce créneau horaire) :

Concernant l’itinéraire prioritaire sécurisé dans Paris : ouverture ponctuelle de quelques points de traversée lorsque les circonstances le permettront.

de 6h à 11h*

Restriction de circulation lundi 30 novembre 2015 matin

  • l’A1 de Roissy/Paris
  • l’A106 et  l’A6 segment Orly/Paris
  • RN2 entre les carrefours RN2/RN17 au Blanc-Mesnil et RD20 à Aubervilliers

de 14h à 21h*

Restriction de circulation lundi 30 novembre 2015 après-midi

  • l’A1 segment Bourget/Roissy
  • l’A6 segment porte d’Orléans/ Orly

*avec possibilité de réouverture de la circulation à certaines heures de la journée en fonction des départs et arrivées des cortèges des chefs d’État, qui restent à préciser.

Informations et recommandations (sur ce créneau horaire) :

  • accès à l’aéroport de Roissy : par l’A3 depuis la porte de Bagnolet ou par la RN 2 depuis la porte de la Villette, ou bien par l’A86 puis l’A15, et plus largement par l’A104, et par l’A3 pour ceux qui viennent de la province
  • accès à l’aéroport d’Orly : par l’A4 et l’A86 à l’est, ou par la N118 et l’A86 à l’ouest, ou encore par la RN7 au sud.

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Le capitalisme doit redevenir l’affaire de tous car il est aux mains d’une infime minorité qui est aux commandes. Un glissement imperceptible s’est déroulé depuis le début des années 80: le pouvoir de l’argent étant passé des mains des capitaines d’industrie à ceux de la haute finance. Ce faisant, l’oligarchie financière a progressivement étendu sa domination pour finir, vers le milieu des années 2000, par régner sur l’ensemble de l’économie réelle qui en est devenue totalement accro, via le levier de la financiarisation. Cette sophistication ultime de la finance (ayant accouché de la crise des subprimes dès 2007) a su se rendre indispensable à l’économie en l’arrosant de liquidités. L’ensemble des entreprises et des acteurs économiques a dès lors adopté le marché comme référence suprême sans se rendre compte que cette financiarisation revenait en fait à une monopolisation accrue des pouvoirs. Pouvoirs qui étaient imperceptiblement passés depuis les mains des capitaines d’industrie et des entrepreneurs (qui avaient au moins le mérite d’être familiers avec leurs ouvriers et avec leur production) entre les mains d’une élite de financiers. La tradition entrepreneuriale avait jusque-là réellement créé une valeur ajoutée pour notre société. Et les révolutions technologiques laissé une marque profonde pour avoir constitué les authentiques forces motrices ayant autorisé prospérité des sociétés et réalisation de l’individu. En effet, le profit n’avait jamais été qu’un instrument pour ces entreprises et non le but ultime comme il l’est pour la finance, car il était constamment réinvesti, certes dans l’intérêt de ces entrepreneurs, mais également de toute la chaîne humaine qui y participait.Aujourd’hui, le profit est l’horizon unique de cette financiarisation qui a tout contaminé sur son passage et qui ne considère désormais les entreprises que comme un levier à profits, ou une machine à sous dans un casino planétaire…..

Lire la suite sur: http://www.michelsanti.fr/volkswagen-pas-une-exception-mais-la-regle-du-capitalisme-actuel/

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© Jean-Christophe Galeazzi
Jura : des camions étrangers brûlés

Depuis le début du mois de mai, plusieurs véhicules de transport routier de marchandises d’origine étrangère ont fait l’objet d’actes de dégradation volontaire par incendie.

Les faits sont commis sur des parkings situées en bordure des grands axes, en particulier la RN 83 entre Quingey et Mouchard. Ils pourraient être liés au ras le bol des transporteurs routiers Français face à une concurrence qu’ils estiment déloyale.

Un reportage de Franck Ménestret, Jean-Christophe Galeazzi, Denis Colle et Pierre Mayayo.

video: http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2015/05/21/jura-des-camions-etrangers-brules-729469.html

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En avril dernier, trois fourgons immatriculés en Pologne avaient déjà été tagués sur l’aire de repos de Pont-de-Buis-lès-Quimerch dans le Finistère. | Archives Ouest-France

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Une trentaine de camions immatriculés à l’étranger ont été aspergés de peinture sur des aires de stationnement du Morbihan lundi soir. Deux personnes ont été interpellées.

Une trentaine de camions immatriculés à l’étranger ont été aspergés de peinture sur des aires de stationnement du Morbihan dans la nuit de lundi à mardi. Alertés, vers 1 h 45, les gendarmes ont interpellé deux personnes en flagrant délit sur l’aire de repos de Lanvaux de la RN 166 à Saint-Guyomard.

Elles reconnaissent avoir dégradé 17 camions sur la trentaine de faits recensés au cours de la nuit. Elles profitaient du sommeil des chauffeurs pour pulvériser de la peinture sur les pare-brises et vitres des cabines afin de rendre la conduite impossible de ces camions qu’ils estiment être « une concurrence déloyale ».

70 camions en trois mois

En mars dernier, 37 camions polonais, lituaniens et d'autres pays d'Europe orientale avaient été maculés de peinture noire en Bretagne.

En mars dernier, 37 camions polonais, lituaniens et d’autres pays d’Europe orientale avaient été maculés de peinture noire en Bretagne. | DR

Une enquête a été ouverte. Les faits ne sont pas isolés. Depuis trois mois, les camions venant des pays de l’Est ont plusieurs fois été pris pour cibles en Bretagne. Ploërmel, Pontivy, Marzan, Loudéac, Guingamp, Quimper, etc., ce sont déjà plus de 70 camions qui ont ainsi été aspergés de peinture.

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 Alors que le décret d’application libéralisant les transports par autocar est sur le point d’être publié, le ministre de l’Economie Emmanuel Macron avait convié différents représentants de la filière à Bercy ce jeudi 30 juillet pour faire une revue des principales retombées de ce texte en termes d’emplois, de production industrielle et d’impact environnemental.

Souvent présentée comme une « mesurette » par les détracteurs de la loi Macron pour « la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques », la libéralisation du marché des autocars en France présente pourtant un potentiel de retombées alléchantes. Surtout pour une économie française qui peine toujours à redresser la barre, sur le front de l’emploi notamment.

Une nouvelle autorité de régulation

Ce jeudi 30 juillet, Emmanuel Macron avait donc convié différents représentants de la filière – entreprises de transport et organisations professionnelles –  pour faire le point à quelques jours de la publication du décret d’application synonyme de réel coup d’envoi pour la montée en puissance des transports interégionaux dans l’Hexagone. Dans un premier temps la loi s’appliquera pour les trajets de plus de 100 kilomètres : jusqu’à présent, les compagnies d’autocars devaient avoir une destination finale à l’étranger pour desservir des villes françaises. « Nous allons ensuite prendre un décret qui sera prêt début octobre et qui permettra de définir le rôle de l’autorité de régulation, l’Arafer, et de finir l’ouverture y compris pour les liaisons de moins de 100 kilomètres », a indiqué le ministre de l’Economie, lors d’un point presse organisé suite à cette réunion.

Alors que la SNCF anticipe avec la loi Macron une perte de 200 millions d’euros de chiffre d’affaires sur son activité grandes lignes (TGV et trains Intercités), la nouvelle autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) sera ainsi chargée d’évaluer la possibilité de mettre en place une nouvelle ligne d’autocar courte distance sans que cela ne vienne trop perturber des services déjà en place et proposés par les collectivités (TER, TER et autocars conventionnés). Point important, la « perte » subie par la SNCF pourrait être compensée par la fermeture de trains de nuit ou d’Intercités déficitaires, comme cela avait été évoqué dans un rapport parlementaire remis en mai dernier.

Une solution de reclassement pour un secteur du transport routier en souffrance

Si la loi vise à booster l’offre de services de mobilité pour les Français – qui ne sont que 17% à utiliser les transports collectifs, soit beaucoup moins que chez nos principaux voisins européen – Emmanuel Macron insiste logiquement sur les retombées en termes d’emplois : « pour les compagnies de transport, les perspectives sont d’ici la fin de l’année de plusieurs milliers d’emplois, elles m’ont été confirmées, a souligné le ministre, précisant qu’il s’agira de « créations d’emplois de chauffeurs d’autocars, de services attachés, de services dans les gares routières que nous auront à créer et puis évidemment chez les constructeurs de ces autocars ».

La possibilité de reclasser certains salariés d’entreprises en difficultés est également une conséquence positive attendue de la libéralisation, a mis en avant Emmanuel Macron : « nous avons eu une longue discussion sur la reconversion des transporteurs routiers en chauffeurs d’autocars, car aujourd’hui il y a eu plusieurs difficultés dans le secteur du transport routier qui ont conduit, en ce qui concerne Mory Ducros (placé en liquidation judiciaire en mars 2015, ndlr) ou d’autres entreprises, à des programmes de licenciements ces dernières années et donc nous travaillons à cette reconversion, une perspective très concrète très pragmatique de création d’emplois ».

Une production d’autocars made in France relancée ?

Avec la libéralisation de ce secteur, de nombreuses compagnies de transport devraient rejoindre un marché français largement occupé par les français Eurolines (Transdev) et iDBUS (SNCF) mais également par le britannique Megabus. L’allemand MeinFleinBus pourrait ainsi rejoindre son compatriote FlixBus, leader outre-Rhin et qui a ouvert ses premières lignes en France en mai dernier.

Dans ces conditions de fort développement de l’offre commerciale, les commandes de nouveaux autocars vont bon train. A l’usine Iveco d’Annonay (Ardèche), on prévoit ainsi une montée en cadence comme le montrait un reportage de L’Usine Nouvelle publié en avril. Mais actuellement ce site est le seul à produire des autocars en France et ne peut donc pas répondre à lui seul à la demande. Les compagnies comme la SNCF – qui a passé commandes pour 80 véhicules afin de renforcer la flotte iDBUS – se sont ainsi tournées vers des fabricants qui produisent à l’étranger : principalement les marques du groupe Daimler, Mercedes et Setra, ou de Volkswagen, MAN et Scania.

D’après Emmanuel Macron et face à cette forte demande, la production d’autocars sur le sol français est une option sérieuse désormais envisagée : « il est très important que nous puissions aussi créer des emplois chez les constructeurs d’autocars. Nous avons des constructeurs français, nous ferons tout pour qu’ils puissent bénéficier de cette ouverture, et nous souhaitons aussi que les constructeurs étrangers, qui aujourd’hui occupent une part importante du marché de la construction des autocars, puissent développer en France des capacités de production et créer aussi de l’emploi industriel. »

La question de la pollution 

Dernier point abordé lors de la réunion : l’impact sur l’environnement. « 40 à 50% des passagers d’autocars ont abandonné la voiture individuelle en Allemagne, où l’ouverture s’est faite il y a un peu plus de deux ans » , a indiqué le ministre. Pour lui, « un autocar qui transporte même 5, 10 ou 20 personnes pollue moins que 5,10 ou 20 véhicules donc le bilan est bon ».

Sur certaines lignes SNCF délaissées, l’autocar peut également s’avérer être un meilleur élève en matière d’écologie, surtout que la loi impose des conditions sévères aux compagnies qui opèrent en France. « Ce sera des autocars aux normes Euro 6, qui sont 15 fois polluants que les autocars produits il y a 10 ans », a expliqué un Emmanuel Macron plus que jamais convaincu que l’autocar sera l’un des moteurs de sortie de crise pour la France.

Julien Bonnet

SOURCE: http://www.usinenouvelle.com/article/liberalisation-des-trajets-en-autocar-bercy-s-attend-a-des-milliers-d-emplois-crees-avant-la-fin-de-l-annee.N343582

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Brussels Star

BRABANT WALLON

autoroute

Du 18 au 22 mai, de nouvelles boucles de pesée seront installées sur l’E411. Après Courrière il y a quelques semaines, cette fois-ci c’est au niveau de la sortie Louvain-La-Neuve (8A) vers Namur qu’elles le seront.

L’autoroute sera fermée durant ces cinq nuits entre 20h00 et 6h00, le temps d’installer le portique et les capteurs au sol.

Le but est donc de contrôler leur poids, leur hauteur, la vitesse, la longueur,…pour que tout soit informatisé et transmis à un serveur, des données que recevra la police et qui au besoin dressera un procès verbal en cas d’anomalie.

Une courte déviation sera mise en place donc quelques perturbations sont à prévoir.

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Créée 1979, Norbert Dentressangle s’est considérablement renforcée Etats-Unis derniers mois

Le groupe américain XPO Logistics a annoncé mardi soir le rachat de Norbert Dentressangle pour 3,53 milliards de dollars.Le groupe de transports Norbert Dentressangle passe sous pavillon américain. XPO Logistics, basé dans le Connecticut a annoncé mardi soir racheter le français pour 3,53 milliards de dollars, pour devenir l’un des premiers acteurs de la logistique et du transport dans le monde.
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Norbert Dentressangle racheté par l’américain XPO Logisticspour 3,24 mds EUR

AFP le 28/04/2015 à 23:05
Le groupe de logistique américain XPO Logistics va prendre le contrôle du transporteur routier français Norbert Dentressangle, valorisé à 3,24 milliards d’euros ( AFP/Archives / Laurent Fievet )

Le groupe de logistique américain XPO Logistics va prendre le contrôle du transporteur routier français N

Le groupe de logistique américain XPO Logistics va prendre le contrôle du transporteur routier français Norbert Dentressangle, valorisé à 3,24 milliards d’euros, a indiqué mardi à l’AFP une source proche du dossier.

Cette opération en numéraire, qui marque l’implantation de XPO Logistics en Europe, se fait par le rachat de la participation de 67% détenue par le fondateur du groupe français Norbert Dentressangle, a ajouté cette source qui a requis l’anonymat.

XPO Logistics, spécialisé dans le transport et la logistique, offre 217,50 euros par action Norbert Dentressangle et va reprendre la dette de l’entreprise lyonnaise. Ce prix représente une prime de 36,7% comparé au cours de clôture du titre mardi soir à la Bourse de Paris.

Le groupe américain, qui est basé à Greenwich dans le Connecticut, s’est engagé à lancer une offre publique d’achat au même prix sur le solde des actions qu’il ne détient pas encore, selon la source.

D’après elle, cette fusion ne devrait pas se traduire par des suppressions d’emplois vu que XPO Logistics n’est pas présent en Europe, notamment en France (67% de l’activité de Norbert Dentressangle).

XPO Logistics emploie 10.000 personnes sur 200 sites et revendique avoir une base de 15.0000 clients dans différents secteurs d’activités allant de l’aéronautique au secteur public en passant par la technologique.

L’an dernier, le groupe dirigé par Bradley Jacobs a réalisé un chiffre d’affaires de 2,4 milliards de dollars (+235,6% en un an). Toutefois, il avait essuyé une perte nette de 63,6 millions de dollars.

http://www.boursorama.com/actualites/norbert-dentressangle-rachete-par-l-americain-xpo-logistics-pour-3-24-mds-eur-7dacc9cc062918009c77945ca607337f

Le constructeur de poids-lourds souhaite maintenir tous les sites de fabrication de camions et de leurs composants.Renault Trucks SAS, filiale du groupe suédois Volvo en France, veut supprimer 591 postes en restructurant son organisation commerciale. Le constructeur de poids-lourds prévoit parallèlement la création de 79 postes, ramenant la perte nette à 512 emplois.

« L’essentiel des postes supprimés se situerait dans les services administratifs de l’organisation commerciale » au siège de la société basée à Saint-Priest (Rhône), précise la direction qui avait convoqué une réunion extraordinaire du comité central d’entreprise mardi pour informer les syndicats.
Read more at http://lexpansion.lexpress.fr/entreprises/renault-trucks-prevoit-de-supprimer-plus-de-500-postes-en-france_1675561.html#LsMj3QXpM7zCWMyh.99

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Le Point – Publié le 14/04/2015 à 11:37 – Modifié le 14/04/2015 à 13:51

Spécialisée dans le transport de marchandises, Gefco, qui compte 4 500 salariés en France, étudie un plan qui viserait à supprimer 10 % de ses effectifs.
"Nous ne fermons aucune agence, mais nous devons réduire nos coûts", a déclaré le président du directoire de Gefco, Luc Nadal.
« Nous ne fermons aucune agence, mais nous devons réduire nos coûts », a déclaré le président du directoire de Gefco, Luc Nadal. © DR

Après le transporteur MoryGlobal, encore une mauvaise nouvelle pour la logistique en France : le groupe Gefco a annoncé mardi étudier la suppression de 500 postes, soit plus de 10 % de ses effectifs dans l’Hexagone. Gefco, qui compte plus de 4 000 salariés en France, est une ancienne filiale du groupe automobile PSA Peugeot Citroën, qui en a cédé 75 % aux chemins de fer russes (RZD) fin 2012 pour 800 millions d’euros et conservé une participation minoritaire de 25 %. « Nous ne fermons aucune agence, mais nous devons réduire nos coûts », a déclaré le président du directoire de Gefco, Luc Nadal, lors d’une conférence de presse, en évoquant la mauvaise passe que traverse actuellement le secteur français de la messagerie.

Ce plan social intervient de fait après la mise en liquidation d’une autre société de messagerie, MoryGlobal (ex-Mory Ducros), qui va entraîner dès la fin avril le licenciement de 2 138 personnes. « On s’y attendait depuis quelque temps parce que l’activité messagerie est en perte de profit », a déclaré à l’AFP le secrétaire du comité central d’entreprise (CCE) de Gefco, Michel Le Breton (FO, majoritaire). « Pour les salariés qui sont très attachés à la société, c’est dur », a-t-il ajouté. « Les représentants du personnel vont demander le meilleur accompagnement possible, et que soient reclassés un maximum de salariés, les négociations sont en cours », a ajouté M. Le Breton, alors que le CCE doit se réunir jeudi. FO a lancé un appel à la grève vendredi dans les 48 agences touchées. PSA, maison mère historique de Gefco, reste son plus important client.
La Suite: http://www.lepoint.fr/economie/plan-social-500-emplois-menaces-dans-une-entreprise-de-transport-14-04-2015-1920961_28.php#xtor=EPR-6-%5BNewsletter-Mi-journee%5D-20150414

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Le Haut Parleur

citaro_ratp4307Bientôt des caméras à l’arrière des bus pour verbaliser les automobilistes

Une solution vidéo-verbalisation automatisée pourrait bientôt être testée par la RATP

En 2004, la mise en place expérimentale de caméras embarquées dans des bus de la RATP, afin de relever les infractions dans les couloirs de bus, s’était heurtée à l’hostilité des syndicats.
L’hebdomadaire Auto Plus affirme jeudi qu’un « système de vidéo-verbalisation embarquée » pourrait équiper à titre expérimental des autobus de la RATP afin de lutter contre les contrevenants circulant dans les couloirs réservés.
La RATP a souligné qu’elle « s’intéresse à toutes les technologies permettant de favoriser la lutte contre le stationnement dans les voies de circulation réservées », mais que « rien n’a été décidé à ce jour quant à l’opportunité d’un tel système ».
Selon Auto Plus, qui ne cite pas de source, « une solution de vidéo-verbalisation automatisée pourrait bientôt être testée » et installée sur des bus de la RATP…

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Après le retrait de la principale offre de reprise de l’entreprise (qui ne concernait que 142 employés) et le refus du gouvernement de lui venir en aide, le tribunal de commerce de Bobigny (Seine-Saint-Denis) a prononcé mardi la liquidation judiciaire de MoryGlobal .

Au 30 avril, les 2 150 salariés repris par MoryGlobal début 2014 après la liquidation de Mory Ducros, qui s’était soldée par la suppression de 2 900 emplois, seront à leur tour licenciés, ce qui constituera de nouveau l’un des plus grands « plans sociaux » de ces dernières années.
C’est Thomas Hollande, avocat du comité d’entreprise du transporteur et fils du Président de la République, qui a annoncé cette décision aux dizaines de salariés rassemblés à l’extérieur du tribunal. Ces derniers ont exprimés bruyamment leur écœurement et leur colère. «On a été roulés dans la farine depuis des années», s’est écrié l’un d’eux, employé de la société Mory depuis 35 ans. Les délégués syndicaux ont annoncé qu’ils allaient continuer à se battre pour obtenir «un PSE digne de ce nom» et «les mêmes conditions de départ que leurs collègues» partis il y a un an.

En février 2014, l’Etat avait accordé à la société un prêt de 17,5 millions d’euros. Dans un jugement d’une rare sévérité contre l’entreprise, le tribunal de commerce de Pontoise a constaté un an plus tard que «l’actionnaire principal a semblé se désintéresser du projet de restructuration de la société MoryGlobal et de sa pérennité », ne donnant aucun «signe suffisant d’implication». Pire, il «s’est lui-même mis en difficulté» en prélevant 7,5 millions d’euros de la trésorerie de MoryGlobal pour financer le PSE de Mory Ducros, s’étonnent les juges, évoquant un «acte de gestion anormal».

Le gouvernement a fait savoir qu’il allait faire du «traitement social et organiser une cellule de reclassement». Son porte-parole, Stéphane Le Foll, a déclaré mercredi sur RTL qu’il mesurait la «désespérance des salariés» de MoryGlobal, en ajoutant qu’il envisageait de «discuter tout de même du code du travail pour lutter contre le chômage». Traduction: faciliter encore les licenciements, baisser les salaires et augmenter le temps de travail.

source: http://parti-ouvrier-independant.fr/2015/04/01/liquidation-judiciaire-de-moryglobal-2-150-licenciements-qui-viennent-sajouter-aux-2-900-quavait-entraines-celle-de-mory-ducros-lannee-derniere/

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Solidarité Ouvrière

Normandie Actu, 14 mars 2015 :

Les routiers sont toujours en colère. Un (nouveau) mouvement doit débuter dimanche 15 mars 2015, à 22h, de Caen (Calvados) à Rouen (Seine-Maritime).

Le ton est donné. Après les mouvements aux portes de Rouen (Seine-Maritime), au Havre et sur le périphérique de Caen (Calvados), fin janvier 2015, l’intersyndicale CGT, CFDT, CFE-CGC, CFTC et FO des syndicats représentatifs des transports routiers appelle l’ensemble des salariés de la branche à se mobiliser (encore), dimanche 15 mars 2015, à partir de 22h, et pour une durée indéterminée, pour des actions de blocages et de grève. Un appel au durcissement du conflit après l’échec des négociations salariales.

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Database of Press Releases related to Africa - APO-Source


DHL nommé Transporteur tout cargo international de l’année en Afrique

DHL Express est la seule entreprise de logistique en Afrique qui dispose d’un réseau aérien dédié

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 6 mars 2015/African Press Organization (APO)/ DHL Aviation, une division du premier fournisseur de services express internationaux au monde DHL Express (http://www.dpdhl.com), a reçu ce prix très prestigieux dans la catégorie Transporteur tout cargo international de l’année en Afrique, à la cérémonie des Prix internationaux d’excellence dans le fret aérien décernés par le STAT Times, qui s’est tenue à Johannesburg en Afrique du Sud le 26 février. Les lauréats de ces prix sont désignés et élus par les lecteurs du STAT TIMES dans le monde entier. Le STAT TIMES est la publication spécialisée consacrée à l’industrie de l’aéronautique mondiale et du fret aérien.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/dhl_logo2.jpg

Photo Charles Brewer: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/charles-brewer-1.jpg
(Charles Brewer, directeur général de DHL Express Afrique…

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« Hollande et toute la classe politique dehors, Place à la VI éme république »

Thierry Borne et Xavier Kemlin ont roulé toute la journée a bord de leur camion flanqué du slogan « Hollande et toute la classe politique dehors, Place à la VI éme république » pour arriver à Paris en début de soirée.
Durant leur trajet ils ont été suivit par les forces de l’ ordre.
Après nouveau contrôle porte de Brancion à Paris, le véhicule sera parqué pour la nuit aux abords de la porte de Versailles.
Ils tenteront de rouler sur le périphérique demain durant la journée en attendant un rendez vous avec la présidence de la république.

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En d’autres temps, lors du « Narco Tour » de Marc Fievet (aka NS 55 DNRED), les forces de l’ordre, une fois encore s’étaient employées à dégager ce véhicule qui pouvait importuner le président de la République qui n’était autre que Nicolas Sarkozy.

et la suite

http://www.dailymotion.com/video/x4k55n_ns55-refoule-chez-vuitton_news

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Solidarité Ouvrière

Communiqué CGT, 17 février 2015 :

Parmi les professions inquiètes et mécontentes du projet de loi Macron, les chauffeurs routiers marchandises ont remporté une première victoire contre le dumping social qui tire les prix, les salaires, les conditions de travail. En effet, le 14 février, le gouvernement a fait adopter dans le cadre du projet de loi adopté hier un amendement visant à faire appliquer la directive détachement aux salariés en situation de cabotage, c’est à dire la possibilité pour un transporteur européen de livrer des marchandises entre deux villes d’un État membre dans lequel il n’est pas établi. Concrètement, dorénavant le salarié étranger effectuant un transport en France devra être sous le régime du salarié détaché. La France imposant l’application des règles sociales françaises pour ce salarié.

Pour la fédération CGT des Transports, c’est en effet après la Belgique et l’Allemagne, « un message politique fort » envoyé à Bruxelles. C’est…

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Le Monde.fr | 16.02.2015 à 16h45 • Mis à jour le 16.02.2015 à 16h59

La loi Macron contient – aussi – des mesures qui donnent satisfaction aux syndicats. Un amendement, introduit par le gouvernement et voté samedi 14 février, prévoit ainsi que les chauffeurs routiers étrangers exerçant temporairement en France devront être rémunérés au moins au Smic français. Une façon de tenter de lutter contre ce que, dans le secteur, on considère comme du « dumping social » entretenu par les transporteurs disposant de filiales ou de sous-traitants dans les pays d’Europe de l’Est.

« En obligeant dorénavant le salarié étranger effectuant un transport en France à être sous le régime du salarié détaché, la France impose l’application des règles sociales françaises pour ce salarié, une révolution pour ce secteur », a salué la CGT Transports, lundi dans un communiqué.

Même s’il « n’empêche pas les fraudes », ce texte envoie, selon le secrétaire général de la CGT Transports, Jérôme Vérité, « un message politique extrêmement fort » au patronat, enclin, selon lui, à profiter du système actuel.

Le gouvernement allemand avait, lui aussi, décidé, en début d’année, que les routiers qui ne passent que quelques heures sur son territoire, devaient être payés au salaire minimum pour ce temps, sous peine d’amendes.

Dans l’attente d’une « clarification de la question juridique » de la part de la Commission européenne, Berlin avait toutefois suspendu temporairement, fin janvier, cette mesure qui avait provoqué une levée de boucliers, notamment de la part de la Pologne. Bruxelles a en effet lancé le 21 janvier une « procédure préliminaire » pour vérifier la conformité de la disposition allemande au droit européen.

Selon la directive européenne de 1996 encadrant les travailleurs de l’Union européenne provisoirement détachés dans un autre pays, les cotisations sociales sont dues dans le pays d’origine, mais l’employeur doit respecter les règles de rémunérations et de travail du pays d’accueil. Toutefois, le secteur du transport routier de marchandises échappe à cette règle.

« Réponse partielle et insuffisante »

Contacté par l’AFP, Nicolas Paulissen, délégué général de la FNTR, principale fédération patronale de la branche, a estimé qu’il s’agissait d’une « réponse partielle et insuffisante au problème de distorsion de concurrence » et que « cette initiative [devait] être accompagnée d’une démarche européenne. »

À l’heure actuelle, un transporteur étranger peut réaliser trois opérations de « cabotage » (chargement et déchargement) sur le territoire français dans les sept jours suivant la livraison initiale de marchandises ayant justifié son entrée en France. Cette pratique est également permise dans le cadre d’un transit de retour, dans la limite d’une seule opération.

Dans ces deux cas, les chauffeurs étrangers ne sont pas soumis aux conditions sociales en vigueur en France, ce qui favorise le « dumping social » et fragilise l’emploi des travailleurs français, selon les syndicats.

Selon des témoignages, certains chauffeurs étrangers resteraient par ailleurs sur le territoire beaucoup plus longtemps que sept jours. Antoine Fatiga, représentant CGT Transports en Rhône-Alpes, raconte ainsi qu’« en Savoie, près de Chambéry, il y a un parking où des travailleurs polonais sont là et attendent le dimanche soir pour circuler et disent tous que les opérations qu’ils réalisent vont au-delà du cabotage légal, qu’ils restent trois ou quatre mois en France et font un peu d’international. »

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/02/16/pour-lutter-contre-le-dumping-la-france-impose-un-smic-aux-routiers-etrangers_4577564_3234.html#TDU8jtiui3KuvJSB.99

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Solidarité Ouvrière

Boursorama, 9 février 2015 :

Les négociations salariales entre patronat et syndicats du transport routier, interrompues mardi dernier faute d’avancées, reprennent ce lundi avec peu d’espoir d’aboutir.

Dos à dos, les deux camps se retrouvent ce lundi à 13h au siège de la Direction Générale du Travail à Paris pour une « ultime » séance. Débuté en novembre, le cycle de négociations annuelles obligatoires (NAO) est marqué par de fortes tensions entre partenaires sociaux. Les syndicats dénoncent la partie de « poker-menteur » du patronat, lequel défend ses « gestes d’ouverture ».

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Des routiers bloquent un dépôt pétrolier près de Rennes, le 27 juin 2011. Les routiers mettent leur mouvement entre parenthèses. La CFDT Transport, premier syndicat du secteur, a décidé mercredi de « suspendre tous les points de blocage le temps de la négociation », qui reprendra jeudi matin avec le patronat sur les salaires. L’Union Fédérale Route (CFDT-UFR) « a décidé de suspendre tous les points de blocage le temps de la négociation », a affirmé son secrétaire général, Thierry Cordier.
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Solidarité Ouvrière

Le Nouvel Observateur, 28 janvier 2015 :

Blocages de zones pétrolières, de sites industriels et logistiques : la reprise du dialogue jeudi avec le patronat n’y change rien, la CFDT Transport, majoritaire dans la profession, multiplie les actions mercredi 28 janvier.

Le syndicat avait annoncé la couleur vendredi dernier, prévenant qu’il ciblerait des « grands groupes de transport », dont les propriétaires sont adhérents des fédérations patronales (FNTR, TLF et UNOSTRA).

Voir l’article original 293 mots de plus