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« Panem et circenses » : Du pain et des jeux… Quand les jeux sont plus importants que la survie du Pays, c’est que sa fin est proche !

Faites vos jeux… morituri te salutant !

Cet article détaille les méthodes de manipulation des masses, depuis la technique de la distraction, en passant par la technique de la dégradation jusqu’à maintenir le public dans l’ignorance et la médiocrité. Vous pourrez faire vous-mêmes le rapprochement avec ce que nous vivons au quotidien… et en tirerez les conclusions qui s’imposent ! Alors le peuple se réveillera t-il un jour ?!?

Peu importe la couleur politique, voici comment, avec 10 stratégies de manipulation des masses, nos dirigeants politiques manipulent le peuple français !

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Le linguiste nord-américain Noam Chomsky a élaboré une liste des « Dix Stratégies de Manipulation » à travers les médias. Nous la reproduisons ici. Elle détaille l’éventail, depuis la stratégie de…

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09:06 29.09.2015

Plus des trois quarts (77%) des Français pensent que François Hollande n’est pas un bon président de la République et 62% pensent la même chose du premier ministre Manuel Valls, selon un sondage Odoxa à paraître mardi.

A la question « Diriez-vous que François Hollande est un bon président? », 77% des sondés ont répondu non, 21% oui et 2% ne se sont pas prononcés, rapporte l’AFP.

Chez les sympathisants de gauche 48% pensent que François Hollande n’est pas un bon président, contre 50% d’un avis contraire et 2% sans opinion.

Chez les sympathisants de droite, 96% ont répondu « non », 3% « oui » et 1% ne se prononcent pas.Répondant à la même question concernant Manuel Valls, 36% des sondés considèrent qu’il est « un bon premier ministre », 62% répondent par la négative.

59% des sympathisants de gauche estiment qu’il est un bon premier ministre, contre 39% d’un avis contraire et 2% de sans opinion.

Vu de droite, 77% des sondés ont une mauvaise opinion de Manuel Valls, contre 21% et 2% de sans opinion.

L’institut note que la popularité de Manuel Valls est tombée en neuf mois de 53% à 36%.

Le classement des hommes politiques établi en fonction de deux paramètres: « Vous soutenez la personnalité » et « Vous éprouvez de la sympathie pour elle » fait apparaître Alain Juppé en tête avec 40% d’adhésion, devant François Bayrou (31%) et Emmanuel Macron (30%).

Nicolas Sarkozy arrive à la cinquième place avec 27%, devant Marine Le Pen (26%) et François Fillon se classe 9e avec 24%. Cécile Duflot (EELV) avec 12% est avant-dernière, devant Florian Philippot (FN) avec 11%.Parmi les personnalités politiques qui suscitent le plus de rejet, Marine Le Pen arrive en tête avec 53%, ex aequo avec Marion Maréchal Le Pen, et devant Florian Philippot avec 48%, autant que Nicolas Sarkozy.

A propos de la crise des réfugiés et des migrants, 70% des personnes interrogées estiment que François Hollande et Manuel Valls la gèrent mal, 29% bien et 1% n’ont pas d’opinion.

Concernant la politique économique du gouvernement, 77% des sondés la jugent « mauvaise » (35% très mauvaise et 42% plutôt mauvaise) contre 21 % (19% plutôt bonne et 2% très bonne), et 2% de sans opinion.

Sondage réalisé les 24 et 25 septembre par internet auprès d’un échantillon de 1.005 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

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Fondateur de l’Université populaire de Caen, le philosophe porte un regard très sévère sur la politique menée par François Hollande.
Le philosophe Michel Onfray en novembre 2011. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)Le philosophe Michel Onfray en novembre 2011. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)

L’Obs« Le PS est désormais ancré à droite », affirmait récemment Emmanuel Todd, tandis que d’autres évoquent une « droite complexée ». Souscrivez-vous à cette vision ?

Michel Onfray – Oui, hélas, absolument, totalement. Mais, en ce qui me concerne, c’est une évidence depuis la fameuse ouverture de la parenthèse de la rigueur en 1983, parenthèse qui n’a jamais été fermée ! Le paysage politique s’est reformé autour de Mitterrand qui, dès cette époque, a instrumentalisé le FN pour casser la droite républicaine en deux à des fins de politique politicienne : affaiblir le camp d’en face pour se maintenir au pouvoir et s’y faire réélire. Pari tenu au-delà de ses espoirs car le FN a aussi cassé la gauche républicaine en deux, ralliant à lui nombre de ses déçus : combien d’anciens socialistes, communistes, cégétistes, voire d’anciens électeurs de la LCR ou de LO se retrouvent-ils derrière le FN de Marine Le Pen relooké par Philippot ?

Le libéralisme gouverne donc de façon bureaucratique (un comble…) depuis 1983, c’est-à-dire sous Mitterrand, Chirac, Sarkozy et désormais Hollande. Soit plus d’un quart de siècle d’une même politique ! En 2005, le refus signifié par référendum de l’Europe libérale qui impulse cette politique a bien montré combien Sarkozy et Hollande méprisaient le peuple puisqu’ils ont mobilisé leurs apparatchiks afin d’imposer ce qui avait été refusé par les urnes. Ce coup d’Etat libéral permanent (un second comble…) n’a pas été oublié par ceux dans le peuple qui ne votent plus, ne votent pas ou votent aux extrêmes pour secouer le cocotier.

Quelles sont les mesures du quinquennat de François Hollande qui vous semblent les plus emblématiques de cela ?

– La pire, qui les rassemble toutes, est l’omniprésence de la communication pour masquer l’impuissance de l’action. La disparition de la réalité socialiste – qui est faite de renoncements, de compromissions, d’impéritie, de soumission à Bruxelles – est la tâche des communicants. Les émissions télévisées à deux neurones, les voyages scénarisés avec des figurants, le menhir fondant sous la pluie à l’île de Sein, le guerrier qui monte au combat après l’assaut de « Charlie », la fascisation du FN afin de pouvoir mieux se présenter en Jean Moulin de ce totalitarisme en peau de lapin, jusqu’à l’autoportrait à travers l’hommage aux panthéonisés (résistants, courageux, déterminés, luttant à contre-courant, mais un jour reconnus par l’Histoire…), tout cela cache la nullité de l’action sous des images dont on voudrait qu’elles cristallisent un capital de sympathie transformable en électorat le jour venu.

LIRE: http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20150604.OBS0127/michel-onfray-denonce-le-coup-d-etat-liberal-permanent.html

Aude Lancelin

Publié le 06-06-2015

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« Hollande et toute la classe politique dehors, Place à la VI éme république »

Thierry Borne et Xavier Kemlin ont roulé toute la journée a bord de leur camion flanqué du slogan « Hollande et toute la classe politique dehors, Place à la VI éme république » pour arriver à Paris en début de soirée.
Durant leur trajet ils ont été suivit par les forces de l’ ordre.
Après nouveau contrôle porte de Brancion à Paris, le véhicule sera parqué pour la nuit aux abords de la porte de Versailles.
Ils tenteront de rouler sur le périphérique demain durant la journée en attendant un rendez vous avec la présidence de la république.

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En d’autres temps, lors du « Narco Tour » de Marc Fievet (aka NS 55 DNRED), les forces de l’ordre, une fois encore s’étaient employées à dégager ce véhicule qui pouvait importuner le président de la République qui n’était autre que Nicolas Sarkozy.

et la suite

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Après le périple russo-ukrainien d’Angela Merkel et François Hollande pour trouver un accord de paix dans l’est de l’Ukraine, une rencontre entre les deux dirigeants, Vladimir Poutine et Petro Porochenko est prévue mercredi à Minsk.

Ukraine : Hollande et Merkel à Moscou pour "aller chercher un accord"Ukraine : Hollande et Merkel à Kiev exposent leur plan de paixUkraine : Hollande et Merkel à Moscou pour présenter leur plan de paix à Poutine

Une nouvelle tentative pour trouver une solution et éviter que la situation ne dégénère.

Est-ce un nouveau pas encourageant dans le sens d’un réglement du conflit ? Un sommet réunissant France, Allemagne, Ukraine et Russie est prévu à Minsk mercredi avec pour objectif d’esquisser une solution pour l’Ukraine, a annoncé dimanche la chancellerie allemande dans un communiqué, à l’issue d’une conférénce téléphonique à quatre.

Angela Merkel, François Hollande, Petro Porochenko et Vladimir Poutine ont conduit « une longue conférence téléphonique » dans la matinée et « continué à travailler à un paquet de mesures dans le cadre de leurs efforts pour un règlement global du conflit dans l’Est de l’Ukraine ».

Réunion de préparation lundi à Berlin

Les travaux se poursuivront lundi à Berlin, « avec pour objectif de tenir mercredi à Minsk un sommet dans le ‘format Normandie' » réunissant les quatre puissances. Le communiqué ne précise pas qui seront les participants aux réunions de Berlin lundi. « Les signataires des accords de Minsk », première tentative en septembre dernier d’un règlement aux conflits, « vont également se retrouver à Minsk d’ici mercredi », selon la chancellerie. Il s’agit de représentants de l’OSCE, de la Russie et de l’Ukraine, ainsi que des séparatistes pro-russes actifs dans l’Est de l’Ukraine.

La situation en Ukraine a dégénéré à nouveau ces derniers jours après plusieurs mois d’accalmie, et Paris et Berlin ont lancé une initiative « de la dernière chance » pour essayer d’arriver à la paix. François Hollande et Angela Merkel ont négocié pendant cinq heures vendredi à Moscou avec le chef d’Etat russe. L’objectif est d’arriver à mettre en oeuvre les accords de Minsk, restés lettre morte.

Réunis à Munich pour une conférence sur la sécurité, de nombreux responsables européens et américains ont lancé ce week-end des appels pressants à trouver une solution, tandis que Moscou et Kiev ont continué à se rejeter mutuellement la responsabilité du conflit entre séparatistes prorusses et forces ukrainiennes qui a fait plus de 5.300 morts, dont de nombreux civils, en dix mois dans l’Est du pays.

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histoireetsociete

Le résultat est si peu conséquent que l’on s’interroge sur ce qui a bien pu être réellement discuté pendant 5 heures.  5 heures de discussion pour décider qu’un document sera peut-être signé et qu’on se rappellera au téléphone. C’est un peu comme la veille avec Poroshenko, 5 heures pour aboutir selon le New York Times a confirmer seulement les termes des accords de Minsk et rien de plus.  par qui et sur quoi les deux émissaires étaient-ils mandatés? Au nom des intérêts de leurs pays respectifs et de l’Europe, très bien mais pourquoi le seul qui avait été consulté était Tusk le Polonais, la légion avancée des Etats-Unis en Europe?
De qui se moque-t-on? Si c’est comme le dit l’ensemble de la presse, des assurances données à la Russie sur la non-appartenance de l’Ukraine à l’OTAN, alors même que le dit OTAN vient de « blinder les frontières russes » dans les…

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UPROOTED PALESTINIANS: SALAM ALQUDS ALAYKUM

The Saker

Over a million people – Muslims and Orthodox Christians – have taken to the streets of Grozny to protest against the caricatures of Prophet Mohammed by the Charlie Hebdo magazine:

Their slogans were:

“We love Prophet Mohammed”
“No to Mohammed cartoons”
“Islam is a religion of peace and creation”
“Violence is not the method”

Orthodox priest from Chechnia and other regions joined the demonstrations.

River to Sea Uprooted Palestinian   

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François Hollande, président de la France

MOSCOU, 6 décembre – RIA Novosti

L’Occident et la Russie doivent éviter d’être séparés par de nouveaux murs, a déclaré samedi le président français François Hollande lors d’une rencontre de dernière minute avec son homologue russe Vladimir Poutine à Moscou.

« J’ai écouté le discours que vous avez prononcé il y a quelques heures et je pense que nous devons éviter qu’il y ait d’autres murs que viennent nous séparer. A un moment, il faut être capable de dépasser les obstacles et de trouver des solutions », a indiqué M.Hollande, en escale surprise dans la capitale russe à l’issue d’une visite de 48 heures au Kazakhstan.

Les deux chefs d’Etat ont ensuite poursuivi leur entretien à huis clos. Selon l’Elysée, la discussion a été consacrée à la crise en Ukraine.

La rencontre précédente en tête-à-tête entre MM.Poutine et Hollande remonte au 15 novembre, en marge du sommet du G20 de Brisbane (Australie).

http://fr.ria.ru/world/20141206/203167917.html

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15_nov_manif_3a_007.jpgLundi 24 Novembre 2014

 Crédit photo photosdegauche.fr (COSKUN Alparslan)

C’est cette semaine qu’on saura où a mené la stratégie de « bon élève » de François Hollande pour tenter d’écarter les sanctions européennes qui menacent la France. On attend en effet le verdict de la Commission européenne conformément au Traité négocié par Nicolas Sarkozy et ratifié par ses soins, sans en changer une ligne. La négociation menée en direct avec la droite allemande d’Angela Merkel aura au moins fait exploser la fiction d’une « Europe des règles », où les rapports de puissance auraient disparu.

L’un des résultats de la « négociation » menée par le gouvernement français dans la perspective de la décision européenne a été l’approfondissement d’un véritable « consensus austéritaire ». On y trouve un accord sur les objectifs poursuivis, sur les « réformes structurelles » à entreprendre, et des discussions à la marge sur le calendrier de mise en œuvre. Dans ce contexte, le projet de loi « Macron » n’est que le premier acte appliqué de la transposition desdites « réformes structurelles » au cas français. Le gel des salaires prôné par le récent rapport franco-allemand (Pisani-Ferry – Enderlein) constitue le but ultime de ces « réformes ».

Ce n’est pas un hasard si le pays qui a fait de ce « modèle » un produit d’exportation est celui de la Grande Coalition entre droite et sociaux-démocrates. C’est cette formule politique qui a cours au sein de la Commission européenne. C’est elle qui inspire l’attitude de François Hollande vis-à-vis du Medef dans notre pays.

Quel que soit son avis final, il y a donc tout le programme de la Commission européenne dans le projet de budget présenté par Manuel Valls. C’est pourquoi une stratégie de résistance passe par son rejet. Bien sûr, cela implique des parlementaires libres dans leur relation à l’exécutif, tout le contraire de ce que veulent les institutions de la Cinquième République. On comprend d’ailleurs pourquoi l’oligarchie refuse à toute force de les modifier. Pour l’heure, seuls les députés Front de Gauche et la députée de Nouvelle Donne joignent leurs gestes à leurs paroles en votant contre alors que les « frondeurs » du PS ou la majorité du groupe Europe Ecologie Les Verts continuent de s’abstenir. Leurs voix permettraient pourtant le rejet des projets de loi austéritaires. Un consensus ne se brise pas avec des mines navrées mais en y résistant, et donc en s’opposant.

source: https://www.lepartidegauche.fr/actualites/edito/le-consensus-austeritaire-30893

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Après Cahuzac, Le Guen, Thévenoud, Carrez et les autres, c’est donc l’Elysée qui est frappé. Contrairement aux autres, celui-ci n’est pas élu. Les fois précédentes, le peuple n’avait pas eu le droit de se prononcer sur la révocation de ces élus voyous. Cette fois, Jouyet n’est pas élu. Il se contente de bouffer à tous les râteliers. Il n’en occupe pourtant pas moins un poste décisionnel de premier rang dans la République. Si le peuple ne peut pas le sanctionner, son patron Hollande le peut et le doit. Faute de quoi le protecteur du menteur deviendrait son complice.

François Cocq

Jean-Pierre Jouyet a donc été contraint d’avouer dimanche 9 novembre qu’il avait menti. Le secrétaire général de l’Elysée a cette fois dû lâcher à l’AFP l’exact contraire de ce qu’il déclarait 72 h plus tôt. Bien sûr, le fond de l’affaire entre Fillon et Sarkozy est scandaleux. Mais la Droite n’a besoin de personne pour pourrir dans son fumier. Par contre, que la tête de pont du système élyséen se croit autorisée à mentir en toute impunité n’en est pas moins choquant. De cela, l’Elysée et Hollande doivent rendre des comptes.

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François Hollande TF1 : principales déclarations

François Hollande sur TF1 : les principales déclarations – MARTIN BUR

Le chef de l’Etat était l’invité exceptionnel de TF1 et RTL pour une émission spéciale.

Passage en revue des temps forts de la soirée.François Hollande, invité de TF1 pour une émission spéciale de 90 minutes, a notamment été interrogé, dans la première partie, par les journalistes Gilles Bouleau (TF1), Thierry Demaizière (« Sept à huit ») et Yves Calvi (RTL). Tout au long de l’émission, il a distillé quelques annonces. Passage en revue.

 

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/0203919711694-francois-hollande-sur-tf1-les-principales-declarations-1061852.php?A7O0PfEydWjDBo5q.99

Le Président de la République apparaît plus agile que puissant. Ce type d’émission ne sert pas la crédibilité de la politique

 

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François Cocq

Manuel Valls clôturait vendredi 10 octobre le Congrès de l’Association des Régions de France (ARF) à Toulouse. Et il ne s’est pas contenté d’offrir aux régions toute l’autonomie que réclamaient leurs barons socialistes. Le Premier Ministre a carrément érigé les régions en nouvelle clé de voûte de ce qu’il n’est plus convenable d’appeler la République. Manuel Valls leur cède ainsi la responsabilité d’assurer l’égalité entre les territoires. Pire, il assujettit celle-ci aux fonds octroyés par Bruxelles. Parce qu’il broie la République entre l’Europe et les régions, Valls est le bourreau de Marianne.

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uncitoyenindigné

Cessons de nous repentir !

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Pendant plus d’un siècle, de la fin du IXème jusqu’à la fin du Xème, suite aux grandes incursions du VIIIème siècle, les musulmans ravagèrent la Provence. Solidement installés dans le massif des Maures, ils saccagèrent les principales villes et abbayes de la région en toute impunité. Antibes, Fréjus, Vence, Toulon, Marseille, Aix, Embrun, Apt, Riez, Senez, Manosque, Sisteron furent toutes pillées et détruites. Il fallut l’action d’Hugues d’Arles et du comte de Provence Guillaume pour mettre fin à ces violences. Pourtant, l’expulsion des Sarrasins du massif des Maures n’arrêta pas leurs excursions. Sur les côtes de Provence et d’Italie, elles durèrent jusqu’au XVIIIème siècle !

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L’évêque de Crémone Liutprand écrivit vers 950 une histoire de son temps intitulée Antapodosis. Il nous décrit ce que subît la Provence pendant cette période difficile. René de Beaumont nous en donne un extrait dans son livre Les croisades franques d’Espagne. 

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photo_bilger_1Faut-il avoir pitié du président de la République ?

La pitié n’est pas un sentiment qui a cours en politique. Il signifie faiblesse, échec, compassion, condescendance, on n’est plus craint, on ne fait plus peur, on a perdu.

J’avoue pourtant que je l’éprouve à l’égard du président de la République pour lequel je n’ai toujours pas honte d’avoir voté.

Pour régler une fois pour toutes cette dispute incessante mais dérisoire, je précise. Comme ceux qui ont fait élire Nicolas Sarkozy en 2007 n’étaient pas prêts à valider l’ensemble de ce qui a suivi, notamment la dévastation de l’état de droit, le fait d’avoir donné ma voix à François Hollande en 2012 ne me rendait pas naïf au point de présumer que tout ce qui émanerait de son pouvoir serait remarquable. J’admets qu’aujourd’hui, il y a beaucoup de marge !

Bizarrement, cette commisération m’est venue d’abord en regardant une photographie de François Hollande en vacances à La Garde-Freinet, en train de lire, torse nu, dans une chaise longue (Voici). Rien de choquant ni d’anormal, sinon qu’il était difficile de banaliser plus médiocrement l’image du président de la République et que j’ai ressenti un malaise à le voir ainsi fixé et figé.

Mais l’essentiel est ailleurs. Le pessimisme et la contestation n’ont plus de limites.

Que le président et le Premier ministre aient prédit dès le mois de juillet que « la rentrée serait difficile » et qu’ils aient tenté, autour d’une table ronde à Brégançon, de montrer à la fois qu’ils travaillaient – personne de sensé n’en doute – et qu’ils avaient trouvé des solutions – personne de sensé n’y croit – ne rend sans doute pas moins douloureuse l’avalanche morose et aigre de ce mois d’août en cours.

Photo: http://www.lopinion.fr/17-aout-2014/trop-serieux-tue-serieux-15369

Cécile Duflot : « François Hollande ? J’y ai cru, je me suis trompée » (nouvelobservateur.fr).

Pascal Canfin : « Quand Valls dit que les partisans d’une autre politique à gauche sont irresponsables, c’est le degré zéro de l’argumentaire » (Libération).

Pierre-Alain Muet, député PS : « Je ne comprends pas l’autisme du gouvernement ! C’est ne rien comprendre de la crise que traversent l’Europe et la France » (Le Figaro).

« La faillite c’est maintenant » en couverture de L’Express.

Franz-Olivier Giesbert, qui n’est pas dénué d’intuition politique, dans un entretien stimulant dans Voici, notamment au sujet de François Hollande : « Je me pose cette question, comment quelqu’un d’aussi intelligent a-t-il pu autant foirer le début de son quinquennat ? »

Plus grave : « Les firmes françaises détiennent la palme mondiale de la rémunération des actionnaires au deuxième trimestre. Un trophée embarrassant en période de crise » (Libération).

Les frondeurs sont-ils des « irresponsables », comme les a qualifiés le Premier ministre, parce qu’ils n’ont pas été mécontents de la récente censure par le Conseil constitutionnel de l’article qui avait permis de les amadouer sur le plan parlementaire, qu’il voudraient réduire les baisses de prélèvements pour les entreprises de 41,5 milliards d’euros à 22,5 milliards et qu’ils sont plutôt favorables à une politique de la demande qu’à celle de l’offre ?

Je ne suis pas sûr que ce qui apparaît aujourd’hui à leurs yeux comme un marché de dupes soit de nature à les freiner, bien au contraire. Le pouvoir concède mais le patronat ne jouerait pas le jeu. Ce n’est pas pour rien que certains envisageraient de s’autonomiser en choisissant un provocant « Vive la gauche ».

Pour tous ceux que la chose publique passionne, les frondeurs, au sein du parti socialiste, avec de possibles alliances et complicités idéologiques et économiques entre eux et les communistes, le Front de gauche et une part des écologistes, constituent actuellement le principal danger pour le président de la République. Que celui-ci soit détesté par la droite est de bonne guerre et en quelque sorte de tradition partisane mais qu’il ne parvienne plus à inspirer son camp, et à imprimer dans la tête de la plupart des socialistes, est infiniment préoccupant pour lui.

Les frondeurs sont d’autant plus au cœur du débat que l’opposition, si elle est persuadée qu’elle aurait fait mieux, sait aussi dans le secret de ses délibérations que peu ou prou elle aurait engagé les mêmes mesures pour réduire les déficits, favoriser la croissance et faire baisser le chômage. Mais avec plus de force, de vigueur et de compétence.

Pour le reste, entre le libéralisme assumé par François Fillon, le social libéralisme de certains autres, le centrisme humaniste revendiqué par Raffarin et Bussereau, où se situe véritablement la ligne économique de l’UMP ?

Aujourd’hui le chômage augmente, la croissance est nulle et les déficits explosent : aucune des promesses n’a été tenue, aucun engagement respecté. Cela ne suffira pas, pour calmer non seulement les socialistes, le peuple de gauche mais tous les Français, de répéter qu’il faut du temps – plus de deux ans après l’élection de François Hollande ! – et que l’Europe est coupable, la France victime alors que celle-ci n’a pas su accomplir ce que d’autres pays ont mené à bien, en tout cas sans commune mesure avec notre déconfiture.

Oui, il faut avoir pitié de François Hollande parce qu’il n’y arrive pas, que les citoyens de gauche et de droite le perçoivent et que cela ajoute à la crise de notre nation.

Dans ces conditions, ne pas changer de politique – il en est d’autres concevables en effet – relève, pour ce pouvoir, d’un stupéfiant masochisme.

http://www.philippebilger.com/

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Hollande appelle Kiev à la « retenue » dans ses opérations contre les insurgés

PARIS, 16 août – RIA Novosti
 
 
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uncitoyenindigné

PEPERE

         L’un est cool,                           l’autre est un guerrier,         lui c’est pépère.

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LA POLITIQUE AFRICAINE DE HOLLANDE : ECHEC SUR TOUTE LA LIGNE ! (par Maurice D.)


On nous en cache des choses ! Le grand chef de guerre réputé vainqueur des Touaregs et des narcotrafiquants arabes au Mali en trois mois, puis pacificateur de la République Centrafricaine (RCA) que les Selekas musulmans venus du Nord voulaient conquérir en convertissant à la kalachnikov les anti-balakas chrétiens (80% de la population du pays) qui les repoussèrent avec leurs sabres d’abattis, voudrait bien que l’on parle d’autre chose.

Seulement les faits sont là : cette triste réalité sociale, économique, géostratégique et humaine, que les socialistes pensent pouvoir éradiquer en ré-enchantant le rêve, se rappelle à leur bon souvenir. En Afrique, c’est l’échec sur toute la ligne, comme tout ce que les socialistes entreprennent, même dans leurs actions de guerre pour lesquelles ils disposent pourtant d’un outil formidable : l’Armée française. Pauvres d’esprit, bienheureux naïfs baignant dans leur ignorance et leur cynisme !

Au Mali, ce fameux conflit commencé en janvier 2013, que Hollande devait régler en trois mois, puis en six… dure toujours. Pire, les Touaregs et les divers groupes indépendantistes de l’Azawad et des islamistes ont repris pratiquement tout le terrain qu’ils avaient perdu au Nord-Mali début 2013 et, en Afrique, les critiques vont bon train sur la politique aberrante de la France.

 

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Les pays africains ont décidé de tout reprendre à zéro. Ce 16 juillet, à Alger, va se tenir une grande conférence pour tenter de faire vivre ensemble les Noirs du Sud-Mali avec les Touaregs du Nord-Mali. Elle est organisée par l’Union africaine, la Communauté économique des Etats de  l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), l’Algérie et les Nations unies. L’Union européenne, la Suisse, la Mauritanie, la France, le Niger, le Tchad et le Burkina Faso n’y sont invités que comme « facilitateurs », priés de se tenir tranquilles sur les strapontins.

Pour effacer l’humiliation et tenter de ne pas perdre la face, le ministre Jean-Yves Le Drian se précipitera à Bamako, ce même 16 juillet, pour arracher à Ibrahim Boubakar Keïta, le président malien musulman mis en place par Hollande grâce à un référendum un peu bidonné, un accord de coopération militaire dont la plupart des pays africains ne veulent pas. Ils y voient un acte de recolonisation de la France en Afrique, puisqu’il prévoit une présence militaire française permanente, comme au bon vieux temps de l’A.O.F.

Quant à Hollande, il retournera en Afrique dès le 17 juillet pour entamer une tournée avec Air-Sarko (il adore !) des capitales des ex-colonies (Côte d’Ivoire, Niger, Tchad et Comores) et des départements français (Réunion et Mayotte).
Ce télescopage d’une rare maladresse diplomatique entre la France qui a décolonisé dans les années 60 et la France qui conserve ses dernières colonies, fait bien rigoler dans la presse africaine.

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Elle en profite pour rappeler « Les plus gros dérapages diplomatiques de François Hollande en Afrique » (Jeune Afrique, 10 juillet) :

  • l’humiliation qu’il imposa aux présidents africains à Kinshasa le 13 octobre 2012 en réprimandant le président Kabila ;
  • son raté au Nord-Mali où la position française a été largement critiquée par les autorités maliennes et la population, contrairement à la légende dorée du triomphe hollandais racontée par la presse métropolitaine ;
  • l’affront fait au Maroc quand la police de Valls força la porte de la résidence de l’ambassadeur du royaume en France, ensuite la fouille au corps du ministre marocain des Affaires étrangères en transit à l’aéroport de Roissy :
  • l’irruption d’un opposant notoire au roi Mohamed VI sur le seuil de la chambre du général Abdelaziz Bennani en soins dans un hôpital militaire parisien – tout pour vexer le Maroc ; 
  • la blague débile du 16 décembre devant le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) quand Hollande avait déclaré avec ironie que Manuel Valls était rentré d’Algérie « sain et sauf« , avant d’ajouter « c’est déjà beaucoup » ;
  • l’erreur commise en République Centrafricaine en n’anticipant pas les réactions de haine antimusulmane des chrétiens que les milices selekas avaient persécutés et martyrisés.

Bref, aujourd’hui ce n’est plus à Paris – qui a perdu la main – que mènent les chemins diplomatiques africains, mais à Alger.

Il y a encore autre chose dont la presse française se garde bien de parler, c’est l’échec de « la simple opération de police » (J-Y Le Drian) en République Centrafricaine.

Dans les premiers mois de l’intervention des troupes françaises, leur présence et leur action a, peut-être, évité un bain de sang, c’est en tout cas ce dont se félicitait notre gouvernement : la progression des milices musulmanes sélékas avait été arrêtée… dans les grandes villes où les combattants pris les armes à la main furent désarmés. Puis des troupes africaines sont arrivées en renfort.

Problème, certaines étaient elles-mêmes composées de musulmans, comme celles du Tchad, qui, sur le terrain ont pris de fait le parti des quelques musulmans locaux contre les chrétiens largement majoritaires. Il est vrai que ceux-ci, assoiffés de vengeance, avaient entrepris de chasser les musulmans en les repoussant vers le Nord et l’Est.

Les chrétiens étaient mal armés, l’imagerie médiatique en a fait les hommes aux machettes, les anti-balakas, face aux musulmans et leurs kalachnikovs, les ex-sélékas. Mais les chrétiens, beaucoup plus nombreux, finissaient par avoir le dessus et l’on nous a montré leur méchanceté : ils chassaient les commerçants musulmans et brûlaient leurs maisons, car eux le savent – pour l’avoir vécu dans leur chair -, il n’y a pas d’islam porteur d’amour et de paix : tout musulman est un tueur potentiel de chrétiens et autres animistes mécréants, c’est la loi divine qui le veut, la charia. Pour ceux qui ne le croient toujours pas, voir au Nigeria où, entre autres violences, l’esclavage est réintroduit par les musulmans de Boko Haram.

Les troupes françaises (2.000 hommes) qui, c’était promis par François Hollande, ne devaient rester que quelques semaines, puis quelques mois, sont toujours là et, avec le renfort des troupes africaines (6.000 hommes), tiennent a peu près les villes.
Mais les campagnes, la brousse qui sont la très grande majorité du pays et de sa population ?

La revue Actions internationales, dans son numéro de juillet 2014 titre « Folie meurtrière en Centre-Afrique : un bilan humain bouleversant ». L’Ordre de Malte, une très ancienne ONG hospitalière bien implantée en République Centrafricaine (RCA) depuis plus de trente ans, y a de nombreux centres et notamment des petits hôpitaux et dispensaires de brousse. Ses personnels constatent que « La RCA vit dans un état de guerre sans fin », que, les centres des villes étant surveillés par les armées étrangères, les milices musulmanes les ont pour l’instant quittés, mais poursuivent leur progression en brousse, dans les campagnes.

« Des vagues de violence submergent la région. À chaque fois les populations civiles sont obligées de fuir… 400.000 personnes ont été déplacées… les victimes se comptent par dizaines de milliers… les femmes sont violées et les enfants sont enrôlés de force pour combattre… Le chaos qui règne en RCA ne cesse de s’aggraver : les écoles, les hôpitaux et les églises sont la cible de saccages
(jusque) autour de la capitale ». Où sont les journalistes pour le constater ?

Il y en aura bien quelques uns dans l’un ou l’autre hôtel de Bangui le temps du passage de quelques heures de Hollande dans les prochains jours, pour l’écouter annoncer une fois de plus que « tout va très bien madame la marquise » et que nos soldats pourront bientôt rentrer au pays. Mais ils se garderont bien de s’écarter du bar de leurs hôtels : l’assassinat d’une de leurs 4consœurs il y a quelques mois les a dissuadés d’aller voir au-delà des murs de l’hôtel et de l’ambassade.

Quand l’islam est en cause, la presse préfère fermer les yeux, comme elle le fit autrefois à Timor où l’armée musulmane indonésienne tua 200.000 chrétiens timorais (entre autres en mettant le feu aux églises après en avoir barricadé les portes) en déplaça 500.000 sur une population totale de moins d’un million d’habitants, jusqu’à ce que l’ONU décide d’intervenir et de chasser l’Indonésie musulmane de Timor. Fermer les yeux comme elle le fait toujours en Papouasie occidentale, colonisée depuis quelques années par l’Indonésie qui en pille les richesses et chasse les Papous chrétiens vers les hauts plateaux couverts de jungle pendant que les colons musulmans envahissent les villes et les côtes du pays et y érigent des mosquées après avoir détruit les églises : déjà plus de 150.000 morts papous, des morts inconnus de notre presse si bien-pensante.

Maurice D.

« avec l’autorisation de  www.minurne.fr »

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«La dernière décennie du XXe siècle a connu un changement tectonique dans les affaires mondiales. Pour la première fois, une puissance non-Eurasienne a émergé, non seulement comme un arbitre clé des relations de pouvoir en Eurasie, mais aussi comme pouvoir suprême dans le monde. » (p. xiii)

http://www.les-crises.fr/reprise-le-dilemme-de-poutine/

« Maintenant, une puissance non-Eurasienne est devenue prééminente en Eurasie. – Et la primauté mondiale de l’Amérique dépend directement de la durée et de l’efficacité de sa prépondérance maintenue sur le continent eurasiatique » (p.30)
Extraits du livre Le Grand Échiquier : la Primauté Américaine et ses Impératifs Géostratégiques, Zbigniew Brzezinski, Basic Books, 1997

« On nous avait promis à Munich, après la réunification de l’Allemagne, aucune expansion de l’OTAN n’aura lieu à l’Est. Ensuite, l’OTAN s’est élargie en ajoutant les anciens pays du Pacte de Varsovie, les anciens pays de l’URSS, et j’ai demandé: “Pourquoi faites-vous cela ? ” Et ils…

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Allain Jules

 Julie Gayet et François Hollande Julie Gayet et François Hollande

PIPOLITIQUEMENT – C’est ce que prétend dans un ouvrage à paraître Yves Azéroual, auteur de « Carla et Nicolas, la véritable histoire » et de « People Politicus ».

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