Archives de octobre, 2022

Arnaud Montebourg avait parfaitement exprimé son soutien dans une émission deThierry ARDISSON.

DOUANE FRANÇAISE (DNRED): le dossier de Marc Fievet est classé secret défense…Pourquoi?

Publié le par Marc Fievet

SECRET DEFENSE

Le champ d’ application “du secret de la défense nationale”, aux termes de l’ article 413-9 du code pénal, recouvre les renseignements, objets, documents, procédés, données informatisées et fichiers intéressant la défense militaire, la diplomatie, la défense civile, la sécurité intérieure, la protection des activités économiques, environnementales ou industrielles et la protection du patrimoine scientifique et culturel de la France.
La classification des informations est de la seule responsabilité de chaque ministre dans son domaine de compétence.

Le Premier Ministre est l’ autorité compétente pour définir les critères et les modalités des informations classifiés “très secret défense” qui concernent exclusivement les priorités gouvernementales majeures de défense.
La décision de classification est matérialisée par l’ apposition de tampons ou de marquages bien définis, destinés à traduire un niveau de classification “très secret défense”“secret défense” ou “confidentiel défense” .
L’ accès à un document classifié est alors limité aux seules personnes habilitées. Cependant, le fait d’ être habilité est une condition nécessaire mais non suffisante pour avoir accès à une information classifiée car il faut de plus que la personne puisse invoquer “le besoin d’ en connaître”. Si cette exigence est remplie par les nécessités des investigations conduites par les enquêteurs, le parquet ou le magistrat instructeur, seuls les premiers cités pourront avoir accès aux informations classifiées et cela à condition qu’ ils soient titulaires d’ une habilitation en cours de validité et du niveau des informations en question. Les magistrats, pour leur part, ne possèdent pas l’ habilitation requise et ne peuvent donc pas prendre connaissance des documents.
D’ autre part, il ne peut pas y avoir de déclassification d’ informations classifiées concernant de façon globale une affaire ou un dossier mais seulement une déclassification d’ un ou de plusieurs documents ou objets (logiciel informatique, prototype…).

En outre, une personne habilitée ne peut être déliée de ses obligations contractées au titre de son habilitation au secret défense. Ainsi, il est inutile de demander à une autorité administrative d’ autoriser l’ un de ses agents à venir déposer sur telle ou telle information encore classifiée. Il convient au contraire de demander la déclassification du document supportant cette information pour que l’ agent puisse ensuite s’ exprimer devant le juge si le dit document a été déclassifié.
Enfin, les règles relatives au secret de la défense nationale sont applicables en vertu de législations très diverses…

http://www.justice.gouv.fr/bulletin-officiel/3-dacg96b.htm

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AVIS
Avis n° 2005-03 du 27 janvier 2005

NOR: CSDX0508078V

Vu la loi n° 98-567 du 8 juillet 1998, et en particulier ses articles 4 (2e alinéa), 7 et 8 ; Vu la lettre de saisine du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 16 décembre 2004 et la demande présentée le 17 novembre 2004 par Mme Sophie Clement, vice-présidente chargée de l’instruction au tribunal de grande instance de Paris, dans le cadre de l’instruction ouverte à son cabinet sur plainte de M. Marc Fievet concernant ses relations avec les douanes françaises ;

La Commission consultative du secret de la défense nationale, régulièrement convoquée et constituée, ayant examiné l’ensemble des documents classifiés qu’elle a recueillis au terme des investigations conduites par son président en vertu des pouvoirs que lui confèrent les articles 5 et 6 de la loi susvisée,

Emet un avis défavorable à la déclassification des pièces contenues dans le dossier établi au nom de M. Fievet, en sa qualité d’aviseur de la direction générale des douanes et droits indirects.

Fait à Paris, le 27 janvier 2005.
Pour la Commission consultative du secret de la défense nationale:
Le président,
P. Lelong

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Plus sur ce dossier

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Coup de gueule sur l’AFP Nice, l’AFP Marseille et l’AFP Paris!

Remerciements à FR3 AM

Une association, comme tout justiciable ou avocat, a le droit de s’exprimer et les médias ´n’ont pas un pouvoir absolu dans la communication unique !

J’ai eu personnellement toutes ces organisations hier pour le « levothyrox » et sur la mise en examen de Merck afin d expliquer mes actions…Elles mentent…en précisant que mon communiqué a été pris en compte !

Je constate qu’elles relayent des informations pour que les patients ne soient pas indemnisés. En effet, elles mettent un accent sur les affaires civiles et le fameux arrêt de la Cour de Cassation pour les inciter à actionner ce recours… Mais l’article 5 du Code de procédure pénale va les bloquer dans certaines conditions dans la poursuite pénale du laboratoire Merck !

Pour les vaccins ce fut idem… Maintenant des enquêtes sont en cours…. Je pense qu’il va falloir les attaquer pour de la désinformation et obstruction aux informations de tout un chacun!

Anne Catherine Colin Chauley

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Le laboratoire Merck annonce sa mise en examen pour « tromperie aggravée »

Après un changement de formule de ce médicament contre les troubles de la thyroïde, en 2017, de nombreux patients ont affirmé souffrir d’effets secondaires.

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C’est dans Le Monde que nous apprenons que Frédéric Veaux, directeur général de la police nationale (DGPN), n’a pas apprécié jeudi d’être reçu à Marseille par quelque deux cents officiers mobilisés contre cette réforme.

A sa sortie de réunion, M. Veaux a traversé les couloirs dans une ambiance glaciale, contraint de fendre une haie de policiers manifestant bras croisés et silencieux.

Dans la foulée, Eric Arella, patron de la police judiciaire (PJ) de la zone sud a été démis de ses fonctions, vendredi 7 octobre, par Gérald Darmanin.

Eric Arella est remplacé par Dominique Abbenanti, actuellement attaché de sécurité à Alger.

(FILES) This file photo taken on September 23, 2020 shows French South East police director Eric Arella, gesturing as he speaks in his office, in Marseille, southeastern France, during and interview with AFP journalist. The head of the judicial police in the south of France, Eric Arella, was dismissed on October 7, 2022, the National Police general directory (DGPN) told AFP, the day after a demonstration in Marseille against the reform of the PJ. (Photo by Christophe SIMON / AFP)

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Alors que les soutiens de Julian Assange s’apprêtent à entourer symboliquement le Parlement de Westminster avec une chaîne humaine, la lanceuse d’alerte Stéphanie Gibaud salue la mobilisation sans répit des défenseurs du journaliste emprisonné.

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LETTRE OUVERTE de Sylvie DEMONCHY AUX SÉNATRICES ET SÉNATEURS

Mesdames, Messieurs les Sénateurs,

Bonjour,

En ma qualité de policière je connais trois catégories publiques : la fonction publique générale dont la police nationale dépend, la fonction hospitalière et la fonction territoriale.

Nous avons l’article  532-11 du code général de la fonction publique :

« Lorsqu’elles siègent en tant que conseil de discipline, les commissions consultatives paritaires sont présidées par un magistrat de l’ordre administratif, en activité ou honoraire, désigné par le président du tribunal administratif dans le ressort duquel est situé le siège du conseil de discipline. »et le décret N°84-961 du 25 octobre 1984 relatif à la procédure disciplinaire concernant les fonctionnaires de l’état,
information IGPN.

Je vous remercie de bien vouloir me donner l’article concernant les commissions paritaires administratives disciplinaires.

Vous avez là le mode opératoire du Harcèlement moral institutionnel avec la découverte de l’article L114-1 du Code de Sécurité Intérieure nous demandant allégeance à la souveraineté de l’État alors que nous sommes dans une Souveraineté nationale.

Il convient de dénoncer ces faits et d’y remédier.

Je vous mets en état d’alerte sur le fait que mes collègues viennent de me saisir, en parallèle, pour m’apprendre que les services de Police, dont les réservistes , dans les tribunaux vont disparaître dans 3 mois et qu’ils devraient être remplacés, au sein des services publics, fonction régalienne de l’état, par des sociétés privées…le CNAPS, organe hybride anticonstitutionnel.

Dans l’attente de vous lire et que vous dénonciez ces faits

Bien à vous

Sylvie DEMONCHY 

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