Archives de juillet, 2018

Galileo: 4 de plus !

Le système de navigation européen va couvrir le monde entier et offrir une localisation plus précise que celle du GPS, son concurrent américain.

LIRE PLUS: https://www.linkedin.com/pulse/galileo-4-de-plus-marc-paoloni

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Depuis quelques jours, on assiste à une surenchère de communiqué visant à récupérer la saisie d’une tonne 500 de coke au large de Saint Martin dans la mer des Caraïbes. La Marine, l’OCRTIS, la DNRED et bien sur Gérald Darmanin se gargarisent de cette saisie de cocaïne destinée … à l’Amérique du Nord.

De qui se fout-on?

Le job aurait été de signaler le navire aux autorités américaines et canadiennes, permettant ainsi de ne pas encombrer notre justice qui croule sous les dossiers tout en ne dépensant pas l’argent du contribuable pour protéger les Américains!

Oserais-je rappeler à toutes nos grandes directions qui s’impliquent dans la lutte contre le narcotrafic que la mission qu’elles ont à remplir, c’est de protéger les Français en priorité de ce fléau qu’est la drogue et qu’il n’est pas prévu au programme qu’elles utilisent les résultats obtenus pour se faire de la pub!

D’après l’échelon DNRED de Fort de France, cette opération était suivie depuis des mois!

Donc, faire du chiffre pour « se faire mousser » n’est vraiment pas sérieux.

Sil vous plait messieurs, occupez vous de nos territoires !

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A partir d’un commentaire posé sur The International Informant

« Quelle mascarade depuis une semaine ! Cessez d’abreuver les français sur une histoire qui a un but ultime, mettre à mal notre président de la République.

Les sénateurs, les députés n’ont-ils pas autre chose à faire, dans l’intérêt de la France et des français, que d’écouter par commissions interposées les justifications des hiérarchies tous corps d’armes confondus qui ne pensent qu’à une chose : protéger leur petite carrière !

J’ai subi des violences policières de la part d’officiers de police d’un commissariat des côtes d’Armor.

En mars 2016, malgré l’intervention du procureur Bertrand Leclerc, du sénateur Yannick Botrel, que la grande patronne de l’IGPN, Madame Monéger-Guyomarc’h était, elle aussi, parfaitement informée des faits puisqu’un accusé réception du ministère de l’intérieur me communiquait une référence de dossier : IGPN/ UCE/N° 16/00…-D, j’ai eu la désagréable surprise d’apprendre que mon dossier a disparu du TGI de Saint Brieuc.

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https://m.huffingtonpost.fr/2018/07/24/emmanuel-macron-a-explique-alexandre-benalla-nest-pas-paye-10-000-euros-et-accessoirement-nest-pas-mon-amant_a_23488810/

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https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-24-07-2018/

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Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs. »

Article assorti d’aucune sanction en cas de non-respect, comme l’a confirmé un arrêt de la cour de cassation, le 13 octobre 1992.

Seule possible, une sanction disciplinaire aux agents publics, à la seule discrétion de l’employeur.

Par contre, faire condamner à de la prison après avoir été licencié, c’est l’excellent magistrat Baptiste Carpentier, directeur du TRACFIN, qui réussit à faire cet exploit en ‘exécutant’ Olivier Therondel.

(https://internationalinformant.wordpress.com/2018/05/15/france-justice-cahuzac-condamne-olivier-therondel-aura-t-il-droit-a-reparations/)

Et si c’est pas suffisant, bonnes gens, le Secret Défense sera là pour enterrer les dossiers et leurs turpitudes !

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DIGNITÉ – Dimanche dernier, 15 juillet, alors que le soleil se hissait à peine au-dessus du Mont-Liban, j’ai été empêché de prendre l’avion à l’aéroport de Beyrouth. Je rentrais à Bruxelles. A la porte d’embarquement, un agent zélé de la Sûreté générale libanaise a repéré un petit bout d’autocollant jaune à trois quarts arraché à l’arrière de mon passeport belge, avec un code barre anonyme, et m’a lancé, l’air mauvais : « Vous avez été en Israël ! ». J’ai répondu : « Plus d’une fois, parce que je suis un journaliste belge et que ça fait partie de mon métier ».
L’avion est parti sans moi. J’ai été transféré au sous-sol de l’aéroport dans les locaux de la Sûreté générale, où on m’a immédiatement privé de mon smartphone puis interrogé sur mes reportages en Israël (parus dans le quotidien « Le Soir »). Au préposé, j’ai répété dans mon plus bel anglais : « Je suis un journaliste belge, certes d’origine libanaise mais belge, je voyage toujours avec mon passeport belge, même quand je viens au Liban, et vous êtes en train de porter atteinte à ma liberté, à ma liberté d’informer, et au-delà de ma personne à la liberté de la presse ».
La liberté de la presse, il n’en avait rien à faire. Il m’a dit : « Comme Libanais, vous avez fait quelque chose de très grave en allant en Israël, parce qu’Israël est notre ennemi ». Je peux comprendre que le Liban considère l’Etat d’Israël comme son ennemi. Mais, moi, j’avais jadis officiellement demandé à ne plus être citoyen libanais, à être biffé des registres, et ma requête avait subi un classement vertical : pas possible ! Dimanche dernier, j’ai donc été pris en otage.
Cinq heures durant, traité comme un criminel, j’ai cru que tout allait basculer. Jusqu’au moment où le préposé, après avoir parlé au téléphone à un juge militaire, car mon cas était du ressort de la justice militaire, m’a déclaré, un peu contrarié : « Vous avez de la chance, le juge a dit que, vu votre âge, il ne fallait pas vous menotter, et vous priver de liberté et de passeport. Mais, demain, vous devrez vous présenter au tribunal militaire ». Je n’ai jamais été aussi heureux d’avoir 60 ans !
J’ai passé la matinée de lundi au tribunal militaire. Ma qualité de journaliste m’a valu en outre de passer la matinée de mardi aux Renseignements militaires, ce qui n’était pas prévu. Photos de face et de profil sur fond blanc poisseux avec mes prénom et nom en grand au niveau de mon torse, relevé des empreintes digitales, scan de l’iris, etc. : comme dans un mauvais film. Et toujours les mêmes questions sur mes voyages en Israël. Et toujours ma crainte de l’arbitraire, ma peur que soudain ça ne tourne mal…
C’était choquant ! Je n’ai toutefois subi que de la violence verbale. Et encore : pas de la part de tous les agents auxquels j’ai eu à répondre. La nature humaine est fascinante, y compris dans les sombres officines sécuritaires du Moyen-Orient. Certains ont refusé de me donner un verre d’eau, d’autres m’ont offert le café… En revanche, je reste inquiet pour certains de mes compagnons d’infortune, si j’ose les appeler ainsi, exposés à des traitements dégradants, et en particulier pour quatre jeunes hommes qui ont pris l’ascenseur en même temps que moi aux Renseignements militaires, mais poignets menottés et yeux bandés ! La torture a été en théorie criminalisée au Liban au mois d’octobre dernier…
Finalement, un juge militaire m’a autorisé, mardi après-midi, à quitter le Liban : je n’étais pas un espion, juste un journaliste belge d’origine libanaise qui avait fait son métier. Fini l’intimidation ! J’ai sauté dans le premier avion – en achetant moi-même un nouveau billet. Depuis, ma colère a fait place à une sorte d’euphorie. Je savoure mon bonheur d’être belge, et plus encore celui d’être citoyen de l’Union européenne. Notre Europe est loin d’être parfaite, et nous devons sans relâche nous employer à l’améliorer. Mais plus que tout autre territoire ou ensemble, elle est l’écrin de la dignité humaine.

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La répression sans merci appliquée par tous les États « n’a pas d’effet dissuasif » et la politique des gouvernements est totalement « contre-productive ».

Ce constat s’applique aussi pour la France!

Le coût pour la société et les contribuables est colossal!

Le président Macron pourrait il faire chiffrer par un organisme indépendant les dépenses budgétaires consacrées à la lutte contre la drogue pour:

-La Police, PJ, OCRTIS-La Gendarmerie

-La Douane (SURV – avions, bateaux – et DNRED)

-Les SERVICES

-Les militaires (Marine nationale)

et le coût indirect pour

-La Justice et la Pénitentiaire

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Les responsables de la séquestration et de l’exécution sommaire de Victor Jara, le troubadour de la chanson populaire chilienne, avaient été identifiés, et un procès devrait se tenir en septembre, quarante-deux ans après les faits.

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https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-07-07-2018/

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Par courrier du 15 février 2018, vous me demandez de me conformer strictement « aux obligations que m’impose mon état d’officier général en 2e section » à la suite de la parution d’un texte que j’ai signé sur le site de l’ASAF, texte où j’exprimais mon indignation et mon inquiétude de voir disparaître le centre de traitement des Brûlés de l’HIA Percy.

Emettre une opinion alors que je suis en 2e section depuis 10 ans ne me paraît pas constituer une entorse à mon devoir de réserve (ni un manque de loyauté comme me le reproche la directrice du SSA) puisque je n’ai jamais été associé aux décisions qui ont présidé à la restructuration et à la reconstruction de ce service.

Puisque mes propos en tant qu’officier général en 2esection semblent vous gêner, permettez-moi de vous donner un avis de citoyen.

J’ai en effet consacré 28 ans de ma carrière de spécialiste des hôpitaux des armées au fonctionnement du CTB Percy (prenant un poste que personne ne voulait) comme adjoint, j’ai ouvert un centre moderne en 1981 (celui qui a été démoli en 2014 pour faire place à l’actuel centre), j’ai participé au développement de ce centre et à celles de techniques qui ont fait progresser les soins aux Brûlés, j’ai eu l’honneur d’en être le chef de service de 1996 à 2008 ; en retraite depuis février 2008, je continue à travailler au centre des brûlés du CHR de Metz. J’ai été successivement secrétaire général puis président de la SFETB (société savante qui regroupe les acteurs des soins aux brûlés), expert auprès de l’AFSAPS, membre du conseil scientifique puis du conseil d’administration de l’EFG devenu agence de biomédecine, enfin je suis conseiller scientifique de l’ABF (association qui regroupent les anciens brûlés). Je pense donc être particulièrement qualifié lorsque je parle de brûlures et de brûlés.

Le centre de Percy était pour tous une référence remplissant pleinement sa fonction auprès des armées et jouant le rôle d’un centre régional en Ile de France mais aussi national voir international pour certains patients très graves pour lesquels il constituait le dernier espoir. Sa restructuration pose un certain nombre de problèmes

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https://www.asafrance.fr/item/reponse-du-medecin-general-2s-carsin-au-directeur-de-cabinet-de-la-ministre-des-armees.html

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https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-02-07-2018/

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