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THE INFORMANT
Dans ce "blog-info" de Marc Fievet AKA "NS 55 DNRED", les articles sont reblogués dans le seul but d'informer!
Lui ne prétendait pas être un guide bobo des pauvres sous développés, il était comme Lenz, l’haleine du peuple… pas ceux qui font l’aumone d’un débat au peuple par charité mais celui qui est l’âme même de sa rebellion triomphante…
Qu’est-ce que je peux faire, je sais pas quoi faire? J’ai été invitée pour le soir de Noël par la paroisse. En fait j’avais je ne sais pourquoi acheté deux paquets de petits boudins blancs chez Picard et je me suis dit que jamais je ne mangerai ce genre de chose. Je ne savais comment […]
Pays d’épargnants, la France est le premier marché d’Europe continentale pour la gestion d’actifs. Les institutionnels, qui représentent 73 % des encours en France, constituent une porte d’entrée privilégiée pour percer sur ce marché largement dominé par les acteurs locaux. Plusieurs gérants américains se penchent sur les opportunités offertes par la réforme de l’épargne retraite.C’est […]
Et voici le cadeau du jour, une traduction de Marianne, incontournable si l’on veut comprendre où en sont les communistes au plan international… Lisez, tout mérite commentaire et une explication de texte serait parfois nécessaires pour mesurer la stratégie que Ziouganov dessine y compris pour la Russie, son approbation de Lavrov, sa mise en cause […]
Pour gouverner me disait Risquet, il ne faut jamais oublier l’essentiel, si nous Cubains nous oublions que nous avons à notre porte le plus terrible des ennemis, nous sommes morts. Si les Chinois oublient qu’ils ont un milliard trois cent mille personnes à nourrir c’est fini pour eux. Et comme le décrit Xi Jinping dans […]
Algérie : «C’était une véritable chasse à l’homme, d’une … Algérie: à Oran, la répression empêche toute mobilisation … Algérie: durcissement de la répression contre les manifestants … Béjaïa : Rassemblement « Je suis Oran» pour dénoncer la … Algérie : Vague de répression sans précédant à Oran Béjaïa : Sit-in de solidarité avec les manifestants […]
Emeutes, fraude et vote annulé dans plusieurs communes à … Toutes les craintes sont dissipées ! Un scrutin sous haute tension Des malintentionnés prennent le relais Immense foule à Béjaïa !
« Pourquoi ? » : les manifestants consternés, dans le centre … Liban: heurts entre la police et des manifestants antipouvoir à … Liban : heurts entre la police et des jeunes opposés à la … Heurts entre police et jeunes anti-contestation Liban: affrontements entre la police et des jeunes opposés à … Journée […]
Retraites : évacuation du cinéma à Orléans, face-à-face entre … Environ 1.500 personnes dans les rues de Tours pour … Tours : un millier de manifestants de nouveau dans la rue
Manifestations des résidents de Bné Brak ce samedi contre … Israël/Bnei Brak: des dizaines d’ultra-orthodoxes protestent … 16 arrested in Bnei Brakduring protests against new Shabbat … Israel: 16 ultra-Orthodox arrested during protests against …
A partir d’un commentaire posé sur The International Informant
« Quelle mascarade depuis une semaine ! Cessez d’abreuver les français sur une histoire qui a un but ultime, mettre à mal notre président de la République.
Les sénateurs, les députés n’ont-ils pas autre chose à faire, dans l’intérêt de la France et des français, que d’écouter par commissions interposées les justifications des hiérarchies tous corps d’armes confondus qui ne pensent qu’à une chose : protéger leur petite carrière !
J’ai subi des violences policières de la part d’officiers de police d’un commissariat des côtes d’Armor.
En mars 2016, malgré l’intervention du procureur Bertrand Leclerc, du sénateur Yannick Botrel, que la grande patronne de l’IGPN, Madame Monéger-Guyomarc’h était, elle aussi, parfaitement informée des faits puisqu’un accusé réception du ministère de l’intérieur me communiquait une référence de dossier : IGPN/ UCE/N° 16/00…-D, j’ai eu la désagréable surprise d’apprendre que mon dossier a disparu du TGI de Saint Brieuc.
Un pompier auprès d’une femme blessée lors de la charge, le 2 juin à Rennes. | DAMIEN MEYER / AFPUne charge policière, menée à l’aide notamment de véhicules de police, de lacrymogènes, puis de coups de matraque pour empêcher des manifestants contre le projet de loi travail d’accéder à la rocade de Rennes, a fait, jeudi 2 juin, plusieurs blessés qui ont dû être pris en charge par les pompiers.
Peu avant 15 heures, quatre ou cinq véhicules de police ont roulé sans s’arrêter en direction de quelque 300 manifestants pour les disperser. Les policiers ont ouvert les vitres des véhicules pour vaporiser au passage de grandes quantités de gaz lacrymogène sur les manifestants. Les véhicules ne se sont arrêtés qu’après avoir traversé la foule.
Plusieurs dizaines de membres des forces de l’ordre ont ensuite poursuivi les manifestants pour achever la dispersion, à coups de matraque.
Les pompiers appelés sur place ont pris en charge deux blessés. Un troisième a été emmené directement par les manifestants aux urgences, selon un représentant du syndicat SUD. Plusieurs journalistes ont aussi reçu des coups de matraque.
Sur le site de France 3 Régions, le reporter cameraman de la chaîne Bruno Van Wassenhove raconte l’incident :« Les véhicules de police ont (…) serré les journalistes et les manifestants sur le bas-côté de la route. Les forces de l’ordre se sont dirigées vers les jeunes, qui se sont égaillés dans les fossés et les talus. Dans l’action, j’ai vu un confrère photographe se faire matraquer, puis quelques instants plus tard se retrouver à terre. La police a cherché à disperser les manifestants à coups de matraque. Lorsque nous journalistes, nous sommes insurgés auprès des forces de l’ordre de la violence de leur intervention, les policiers, très énervés, ont brutalement écarté plusieurs d’entre nous. Une journaliste qui filmait s’est vu attraper vigoureusement et éjecter, j’ai moi-même essuyé un coup de matraque. »
A la mi-journée, près d’un millier de manifestants, selon SUD, étaient partis du centre de Rennes vers la préfecture Beauregard, dans l’est de la ville. Ils devaient rejoindre un autre cortège composé des autres syndicats opposés à la loi travail qui tenaient un barrage filtrant en périphérie de Rennes.
Les deux cortèges, totalisant près de 1 200 manifestants, selon la préfecture, se sont rejoints vers 13 heures à la hauteur de la préfecture, tirant des pétards, des fumigènes et faisant résonner des sirènes devant un cordon de gendarmes.
C’est après cette réunion des deux cortèges que plusieurs centaines de personnes de cette manifestation ont pris la direction de la rocade en vue de la bloquer.
« Conditions extrêmement difficiles »
« Il y avait vingt fonctionnaires de police, mais 300 manifestants particulièrement déterminés en face d’eux », a déclaré le préfet d’Ille-et-Vilaine et de Bretagne, Christophe Mirmand, lors d’un point de presse, en fin de journée.
Il a rappelé que les policiers avaient pour mission d’interdire l’accès des manifestants à la rocade. « Raison pour laquelle, a poursuivi le préfet, ils ont été obligés de déborder les manifestants dans des conditions de rapidité qui ont pu apparaître à certains comme un signal d’agressivité à leur égard. Ça n’était pas le cas ».
« S’il y a eu des violences, je les déplore, je les regrette, naturellement », a assuré le préfet, qui verra « si matière il y a le cas échéant à demander à ce qu’une enquête administrative puisse être mise en œuvre ». Mais il a aussi souligné les « conditions extrêmement difficiles » des interventions des forces de l’ordre, sollicitées à Rennes depuis plusieurs mois pour des manifestations très tendues.
Depuis lundi soir, les rues des quartiers ouest de Baltimore, réputés les moins sûrs de cette ville du Maryland touchée par la criminalité, ont été le théâtre de scènes de guérilla urbaine. Des manifestants en colère, noyautés par des membres de gangs, ont affronté les forces de l’ordre toute la journée. Le bilan est lourd côté policier, avec pas moins de 15 agents blessés par les jets de projectiles, tandis que 27 arrestations ont été menées. Les manifestants ont mis le feu à certains bâtiments, détruisant les voitures de police et pillant plusieurs boutiques.
LES TROIS INFOS A RETENIR
· Freddy Gray, jeune Noir décédé alors qu’il était en détention au commissariat, a été enterré lundi.
· Des manifestations en soutien de Freddy Gray, noyautées par les gangs, ont dégénéré.
· 5.500 gardes nationaux sont mobilisés, l’état d’urgence et un couvre-feu ont été décrétés jusqu’à nouvel ordre.
• Quelle est la raison de cette flambée de colère et de violence ?
Les amateurs de séries-télé connaissent Baltimore à travers la saga The Wire, oeuvre ultra-réaliste plongeant le spectateur dans les arcanes des réseaux de trafic des quartiers populaires de la ville. Outre les affaires de drogue, la série illustre aussi parfaitement la tension raciale qui règne dans cette ville du Maryland touchée par la pauvreté et la ségrégation sociale et géographique.
Une voiture de police brûle, le 27 avril 2015, lors des émeutes à Baltimore – SIPANY/SIPA
Après l’état d’urgence et le déploiement massif de la garde nationale, la situation s’apaise. Le calme est revenu progressivement à Baltimore dans la nuit de lundi à mardi.
Il y a deux nuits, six fourgons de CRS entourent le squat des Égyptiens, où habitent une cinquantaine de personnes, dont une quinzaine de mineurs.
La même nuit, trois fourgons de CRS dans l’impasse des Salines, qui conduit au squat Galou. Des exilés doivent rester une heure et demie alignés contre le mur, sous prétexte de « contrôle d’identité ».
Les contrôles au faciès se multiplient dans les trains en gare, conduisant ou non à des arrestations. S’accompagnant ou non de fouilles, ou de situation surprenantes, comme obliger une personne à enlever ses chaussures et ses chaussettes dans le hall de la gare. Les policiers sont agressifs avec les personnes qui leur demandent pourquoi ils contrôlent certaines catégories de personnes et pas d’autres, ou qui prennent des photos.
Quand à la situation aux approches du port, déjà particulièrement violente, elle empire de manière alarmante, comme le montre ce témoignage d’une bénévole, datant…
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté le 27 décembre dans les quartiers Fairfax et Miracle Mile à Los Angeles contre les violences policières. Les manifestants ont notamment scandé des slogans comme “Hands up, don’t shoot, can’t breathe,” (« Mains levées, ne tirez pas, je ne peux pas respirer ») en référence aux derniers mots de victimes afro-américaines de violences policières. Autre slogan populaire « No justice, no peace » (« Pas de justice, pas de paix »).
Des dizaine de milliers de participants ont convergé, samedi 13 décembre, à Washington, New York et dans d’autres villes américaines (également à suivre en ligne avec le #MarchForJustice) pour manifester contre les violences policières, à la suite de la mort de plusieurs Noirs non armés, tués par des agents blancs qui n’ont pas été inculpés.
Organisée à l’initiative du pasteur Al Sharpton, figure des droits civiques aux Etats-Unis, la manifestation de Washington appelle à la « Justice pour tous » (« Justice for all ») et rassemble notamment des membres des familles d’Eric Garner et d’Akai Gurley, qui ont été tués par des policiers new-yorkais, de Tamir Rice, un garçon de 12 ans tué alors qu’il avait une arme factice, de Trayvon Martin, abattu en 2012 en Floride par un homme armé, ainsi que de Michael Brown, tué par un agent à Ferguson…
COMMUNIQUÉ DU SCPN(Syndicat des Commissaires de la Police Nationale)
Cher(e)s collègues,
Les événements de ces derniers jours à Albi, Gaillac, Nantes, Rouen, Paris ou encore Rennes notamment, sans prétendre ici être exhaustif, nous imposent de rappeler un certain nombre de faits et réalités.
Sous ce qui n’est désormais plus qu’un prétexte (le tragique décès de Rémi Fraisse à Sivens), de graves violences ont été commises par des individus dont nous souhaitons rappeler avec force les véritables motivations et le vrai visage.
Depuis plusieurs mois, des activistes de la mouvance d’ultra-gauche viennent s’agréger à des mouvements de mécontentement écologistes. Prenant pour prétexte, les « Grands Projets Inutiles et Imposés », ces derniers exercent des violences extrêmement graves à l’égard des forces de l’ordre avec la volonté revendiquée de porter atteinte à leur intégrité physique (jets de cocktail Molotov, d’engins explosifs, slogan transparent sur leurs intentions « un flic, une balle », sites piégés pour blesser les forces de l’ordre…).
Cette mouvance de type « black-block », exploitant à l’envi son thème fétiche des violences policières et de la répression, multiplie les manifestations et se greffe à tout rassemblement contestataire dans le but affiché de les faire dégénérer et de créer un climat insurrectionnel. À titre d’exemple, à Rennes, hier soir encore, une partie des manifestants a distribué un tract dénonçant la « terreur policière » qui ne « saurait survivre à la mort d’un camarade » appelant également à bloquer lycées, universités, gares, villes, et à occuper la rue.
Face à ces situations particulièrement graves, porteuses de menaces sérieuses dans le climat actuel, le Syndicat des Commissaires de la Police Nationale appelle chacun à mesurer avec précision sa responsabilité, en particulier ceux qui s’improvisent en donneurs de leçons, en déplaçant le débat sur l’utilisation des armes intermédiaires par les forces de l’ordre ou en questionnant la légitimité des forces de sécurité en France.
Nous restons convaincus, même si peuvent être interrogées ou réactualisées la nature des matériels employés comme leurs procédures de mise en œuvre, que LES POLICIERS DOIVENT DISPOSER DES MOYENS INDISPENSABLES ET GRADUÉS POUR ASSURER LEURS MISSIONS ET LEUR PROPRE SÉCURITÉ.
Retirer durablement des moyens de riposte intermédiaires porte à terme le germe d’un choix, nous semble-t-il dangereux, s’il n’est pas mûrement réfléchi.
En effet, soit les policiers n’auront plus les moyens de remplir leurs missions, et la question devra se poser de laisser la place à des troubles importants (ce qui est d’ailleurs un des objectifs affichés par la mouvance anarchiste) soit s’imposera l’application stricte des textes sur la légitime défense qui ne laissera au policier que l’option du recours à l’arme individuelle dans les situations les plus critiques, avec son lot de conséquences.
C’est aujourd’hui en ces termes que se pose le délicat équilibre entre le droit de manifester pour la population (avec ce qui relève d’un « désordre acceptable ») et « l’ordre républicain indispensable ».
Alors que des rassemblements s’annoncent dans les jours qui viennent, avec des risques sérieux en termes d’ordre public, le Syndicat des Commissaires de la Police Nationale sera particulièrement attentif et vigilant à ce que les orientations d’aujourd’hui, dans un contexte certes difficile, ne dessinent pas la police impuissante de demain.
C’est une simple manifestation qui a dégénéré en affrontements sanglants dans la ville de Touggourt, à 600 kilomètres au sud d’Alger. Deux manifestants sont morts et une vingtaine de personnes ont été blessées vendredi soir dans de violentes échauffourées avec la police, rapportent différents médias locaux. Les incidents se seraient produits à la suite d’une vague de protestation contre le retard pris par les autorités «dans l’attribution de lots de terrains, de construction et le raccordement à l’eau potable» dans un quartier de la commune de Nezla.
Deux jeunes manifestants, des hommes âgés de 20 et 24 ans, ont été tués dans ces heurts, a précisé le quotidien Nahar. Les affrontements ont également fait une vingtaine de blessés, des manifestants mais aussi des membres des forces de l’ordre, selon une source hospitalière citée par APS. Plusieurs blessés auraient été évacués vers des hôpitaux d’Ouargla…
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté à Nantes samedi 1 novembre contre les violences policières et la mort de Rémi Fraisse, jeune manifestant de 21 ans, tué par les forces de répression dans le Tarn. Suite aux provocation des forces de répression, des affrontements ont éclaté entre manifestants et forces répressives. On rapporte au moins une vingtaine d’arrestations et que des membres de l’organisation d’extrême-droite « Jeunesses Identitaires » auraient tabassé des manifestants.
Il y a vraiment des coups de pied au cul qui se perdent dans notre pays et ils ne sont pas tous nécessairement destinés à nos hommes politiques.
Violences policières, entend-on ici et là. Ben voyons! C’est tellement facile de cracher sur les forces de l’ordre quand on veut se dédouaner de ses propres responsabilités. Détourner la vérité pour l’arranger à sa façon est un procédé vieux comme le monde et les exemples historiques ne manquent pas. Ce qui me navre dans cette affaire, en dehors de la mort d’un jeune homme, est que le bouc émissaire de service soit repris en choeur par les médias et certains milieux politiques qui ont un peu de mal aux entournures à condamner toutes ces violences quand elles ne proviennent pas des amis supposés du FN.
Ces groupes ultras, ou radicaux, ou anarchistes comme on les appelle sans connaître très bien d’ailleurs leur véritable origine ont montré ce dont ils étaient capables à Nantes ou à Toulouse en prenant prétexte d’une victime dont ils se soucient comme d’une guigne pour aller se battre contre les méchants, j’entends par là les forces de l’ordre, et en utilisant les mêmes méthodes.
« On » parle de bavure policière, d’assassinat, de crime, d’affaire d’Etat alors que les causes sont pourtant simples à comprendre, mais qui n’entrent malheureusement pas dans le moule idéologique qui arrangerait beaucoup de monde. Subissant pendant de longs moments les jets de pierre, de cocktails Molotov et de boulons par une bande de « sympathiques » excités dont l’écologie n’est pas leur préoccupation première, les gendarmes, passifs EN ATTENDANT LES ORDRES POUR INTERVENIR, chargèrent ces « malheureux » assaillants, lesquels n’attendaient que cela pour se défouler. Comme il est prouvé que le jeune militant écologiste était présent sur les lieux sans participation active, semble-t-il, au lieu de fuir ce champ de bataille, la violence des affrontements ne pouvait malheureusement que se terminer par un drame.
J’accuse donc ces groupes radicaux d’être à l’origine de la mort du militant écologiste, un vrai celui-là, et LEUR RESPONSABILITE EST TOTALE. Et toutes celles et ceux qui, POUR UNE RAISON OU POUR UNE AUTRE, veulent fermer les yeux sur la réalité des faits ne valent guère mieux que les véritables responsables. On critique les méthodes d’intervention de la police, et sans doute y a-t-il certainement des choses à revoir et quelques abus à dénoncer, mais quand on est bien au chaud chez soi, il est toujours facile d’accuser à tort et à travers en oubliant un peu vite que la nature humaine n’est pas exclusivement constituée de doux agneaux. Regardez donc autour de vous pour en être convaincu.
PATRICK SOUILLE
PS: CERTAINS SEMBLENT CHOQUES PAR LA VIOLENCE DE CE COMMENTAIRE. IL A AU MOINS LE MERITE DE NE PAS EGALER CELLE QUI A TUE UN JEUNE MILITANT.
Des heurts ont éclaté, samedi 1er novembre à Nantes et Toulouse, entre manifestants et forces de l’ordre, à l’occasion de défilés « contre les violences policières » qui ont rassemblé plusieurs centaines de personnes, six jours après la mort de Rémi Fraisse. Ce dernier avait été tué par une grenade alors qu’il s’opposait à la construction du barrage de Sivens, dans le Tarn.
Des scènes de guérilla urbaines, au moins 5 personnes blessées à Nantes et de nombreuses dégradations dans les deux villes, autant d’éléments qui ont provoqué de vives réactions de la classe politique, samedi en début de soirée.
De violents incidents ont éclaté lors ce rassemblement en hommage au manifestant tué sur le barrage de Sivens (Tarn) et contre les violences policières.
Des manifestants dénoncent la violence policière, le 27 octobre 2014 à Nantes (Loire-Atlantique), après la mort d’un jeune homme sur le barrage de Sivens (Tarn). (MAXPPP)
Mis à jour le 01/11/2014 | 16:45 , publié le 01/11/2014 | 16:37
Elles souhaitent dénoncer « les violences policières ». Environ 800 personnes ont commencé à manifester, samedi 1er novembre, à Nantes, à l’appel de mouvances radicales anticapitalistes, six jours après la mort de Rémi Fraisse, un militant écologiste opposé au barrage de Sivens, dans le Tarn. Le défilé a rapidement dégénéré, blessant au moins trois manifestants.
Par LEXPRESS.fr, publié le 28/10/2014 à 08:54, mis à jour à 09:15
L’ex-ministre du Logement a estimé ce mardi que cette affaire est « une tache indélébile sur l’action du gouvernement », sur France Info, deux jours après la mort de Rémi Fraisse sur le site du barrage de Sivens. La députée écologiste Cécile Duflot dénonce également « la manière dont le dossier a été géré localement ».
afp.com
Une « tache indélébile sur l’action du gouvernement ». Cécile Duflot ne décolère pas ce mardi, deux jours après la mort de Rémi Fraisse, 21 ans, sur le site du barrage contesté de Sivens. Invitée de France Info, l’ex-ministre du Logement a critiqué la gestion du dossier par ses ex-collègues.
Un peu partout en France, plus d’une dizaine de manifestations ont eu lieu lundi 27 octobre pour dénoncer les « violences policières » après le décès dimanche de Rémi Fraisse, un jeune manifestant de 21 ans sur le site du barrage contesté de Sivens dans le Tarn lors d’affrontements avec les forces de l’ordre. À Nantes, où les opposants à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes se sont plusieurs fois violemment opposés aux forces de l’ordre depuis 2012, plus de 600 personnes se sont rassemblées en fin de journée près de la préfecture pour « exprimer leur colère face à la violence d’État ».
Ils ont allumé des bougies et déployé des banderoles, proclamant « Vos armes non létales tuent. On n’oubliera pas. Résistance », ou « Nantes-Toulouse-Montreuil. Solidarité contre les violences policières ». Les manifestants ont ensuite défilé dans les rues derrière la banderole : « Barrage Testet. Mort de Rémi. Ni oubli ni pardon…
Barrage deSivens: après la mort de Rémi, les écologistes dénoncent des « violences policières »
Par LEXPRESS.fr, publié le 27/10/2014 à 07:55, mis à jour à 07:57
Les circonstances de la mort d’un jeune homme de 21 ans retrouvé mort dimanche sur le site du barrage contesté à Sivens restent à éclaircir, a indiqué la préfecture dimanche. Les écologistes critiquent la gestion des événements par les autorités.
Une tache de sang (en bas à gauche) sur le site du barrage de Sivens, où un jeune opposant a été retrouvé mort, le 26 octobre 2014.
afp.com/Pascal Pavani
Indignation et colère après le décès de Rémi, 21 ans, à Sivens, sur le site du barrage contesté. Les causes exactes de la mort du jeune homme sont encore indéterminées, a expliqué à la presse le procureur d’Albi Claude Dérens, et les premiers résultats de l’autopsie prévue lundi à la mi-journée. Les écologistes, eux, attendent des explications.