Archives de la catégorie ‘Arabie saoudite’

Disclose a remonté la piste d’une livraison secrète de canons « Caesar » fabriqués par l’entreprise Nexter et expédiés en septembre 2018. Grâce à l’analyse d’images satellites et d’informations obtenues en sources ouvertes, nous avons reconstitué en vidéo l’itinéraire des canons entre le port du Havre en France et Jeddah en Arabie saoudite.

Enquête – Team Disclose et Aliaume Leroy (Bellingcat) Réalisation et motion design – Tom Flannery

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Les munitions à destination de l’Arabie saoudite ne seront pas chargées au port de Marseille-Fos. Selon nos informations, les charges modulaires parties en containers depuis l’usine d’Eurenco, à Bergerac, ont été redirigées vers une destination inconnue.

Alors que le Bahri Tabuk est à quai, le syndicat CGT des dockers du port de Marseille-Fos a déclaré dans un communiqué que « fidèle à leur histoire et valeurs de paix (…) ils ne chargeront aucune arme, aucune munition pour quelle guerre que ce soit ».

Du matériel uniquement civil sera donc embarqué demain matin.

Cette après-midi à l’Assemblée nationale, l’Etat a réaffirmé par la voix de la ministre des Armées que ces livraisons d’armes se faisaient dans le cadre « d’un partenariat avec l’Arabie saoudite ».

Après les canons Caesar qui n’ont pas été embarqués au Havre le 7 mai dernier, la question se pose de savoir comment et quand seront livrés ces canons et leur munition. « Il devient évident que l’opinion publique met le gouvernement sous pression, explique un salarié de Nexter. Il faut maintenant savoir comment ces armes seront envoyées en Arabie saoudite ».

La mobilisation des ONG depuis le précédent du port du Havre semble avoir entraîné un changement de stratégie au sommet de l’Etat.

Source

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Pourtant des informations divulguées qui s’appuient sur la fuite d’un document portant la classification «Confidentiel Défense», rédigé le 25 septembre 2018 par des officiers de la Direction du renseignement militaire, où figure notamment «la liste détaillée des armes françaises impliquées dans la guerre au Yémen».

La ministre française des Armées Florence Parly persiste et signe ce 18 avril, en affirmant, une nouvelle fois, que les armes vendues par la France à l’Arabie saoudite «ne sont pas utilisées de façon offensive au Yémen».

Malgré les récentes révélations de l’ONG Disclose concernant l’utilisation d’armes françaises dans le conflit au Yémen qui contredisent la position officielle de Paris la ministre française des Armées Florence Parly a répété, ce 18 avril, ne pas avoir «connaissance du fait que des armes [françaises] soient utilisées directement dans ce conflit». Interrogée sur Radio classique, la ministre a martelé ne pas avoir «d’éléments de preuve permettant de dire cela, que des armes françaises sont à l’origine de victimes civiles au Yémen». «A ma connaissance, ces armes ne sont pas utilisées de façon offensive dans cette guerre au Yémen», a-t-elle également déclaré.

LIRE

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Les familles de 850 victimes et les 1 500 blessés poursuivent l’Arabie saoudite , l’accusant d’avoir apporté une aide matérielle et financière à Al-Qaïda dans les années qui ont précédé la pire attaque terroriste sur le sol américain.

Sur les 19 pirates de l’air qui ont pris le contrôle des avions pendant l’attaque, 15 venaient d’Arabie Saoudite.

La plainte accuse les responsables saoudiens d’être conscients que l’argent a été redirigé vers Al-Qaïda par des organisations caritatives du pays, afin qu’ils puissent financer leurs attaques. Cette plainte a été rendue possible par une nouvelle loi, la JASTA (Justice Against Sponsors of Terrorism Act), autorisant désormais les justiciables à poursuivre des États dans des affaires de terrorisme. Dans ce domaine, l’immunité diplomatique accordée aux gouvernements étrangers ne joue plus aux USA. Passé l’année dernière, Cette loi permet des procédures au civil et des recours collectifs contre des personnes, des entités et des pays étrangers ayant fourni un soutien matériel, direct ou indirect, à des organisations étrangères ou à des personnes engagées dans des activités terroristes contre les États-Unis.« Loi « Jasta » : vent de tempête entre Riyad et Washington »

Expliquant le raisonnement du procès, le coprésident du comité des plaignants, Jim Kreindler, a déclaré à CNN: « Le 11 septembre n’aurait pas pu se produire sans le soutien de l’Arabie Saoudite à Al-Qaïda ».

La plainte cite à la fois les rapports de la CIA et du FBI, y compris les «28 pages» d’une section de l’Enquête conjointe de 2002 sur les activités communautaires du renseignement avant et après les attentats terroristes du 11 septembre 2001, déclassifiée en 2016.

Cela suggère que les pirates de l’air ont reçu une assistance et un soutien financier de la part de personnes liées au gouvernement saoudien, impliquant des officiers du renseignement, du personnel de l’ambassade et des membres de la famille royale du pays.

Le gouvernement saoudien a nié toute implication dans les attaques et a refusé de commenter le dernier cas aux médias.

source: Reuters

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16:27 14.10.2015(mis à jour 16:31 14.10.2015)

La signature éventuelle d’un contrat entre Riyad d’un côté et Thales et Airbus de l’autre pourrait rapporter « plusieurs milliards », estime Matignon.

Les deux constructeurs de satellites français lanceront des négociations sur la fourniture de quatre satellites (deux d’observation et deux de télécoms) à Riyad.

Il s’agit d’un des contrats négociés lors de la visite de la délégation française en Arabie saoudite.

Le montant total du contrat éventuel s’élèvera à « plusieurs milliards », estime Matignon. Pour le moment, personne ne peut donner le chiffre exact. Pourtant, il semblerait que Thales et Airbus pourraient gagner entre 2,5 et 3 milliards d’euros si les parties prenantes concluent le contrat en question dont la signature est prévue pour 2016.

Pour le moment, les deux géants, qui ont réussi à se mettre d’accord sur le partage du programme, restent des négociateurs exclusifs de l’Arabie saoudite dans le cadre d’un programme concernant deux satellites d’observation et deux satellites de télécoms militaires sous le pilotage du gouvernement français. Selon l’accord atteint auparavant entre les deux groupes, Airbus se chargera du programme d’observation et Thales se concentrera sur les télécoms militaires.Lors de sa visite en Arabie saoudite, la délégation française a décroché des contrats d’un montant total de dix milliards d’euros.

Paris et Ryad ont conclu des contrats concernant un grand nombre de secteurs, dont l’énergie, les infrastructures, la santé, l’agroalimentaire, l’aéronautique, les télécommunications et l’armement.

Pour le moment, les contrats ne sont pas encore finalisés, pourtant la délégation française semble satisfaite des résultats déjà obtenus et des perspectives économiques s’ouvrant devant la France et l’Arabie saoudite.L’Arabie saoudite est considérée comme la première économie du monde arabe. Il est pourtant à noter que l’application étendue de la peine de mort dans le pays suscite l’inquiétude de nombreuses organisations, qui reprochent au gouvernement français de fermer les yeux sur ces dérives en matière de droits de l’homme.

Le gouvernement saoudien est notamment critiqué pour le non-respect des droits des femmes et des minorités.

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Roi Salmane d’Arabie Saoudite© AFP 2015. Files / Karim Sahib

12:57 24.09.2015(mis à jour 13:08 24.09.2015) Russia today
Pendant que l’Arabie saoudite bombarde le Yémen afin d’éliminer les rebelles Houthis, des intrigues se nouent au sein de la famille royale.

Une lettre écrite par le petit-fils du roi Salmane d’Arabie saoudite circule actuellement, où il condamne l’opération militaire au Yémen, accuse le monarque au pouvoir de la détérioration de la situation économique et de la chute des cours pétroliers. L’auteur appelle à destituer le roi, le prince héritier et le successeur du prince héritier, et à organiser une réunion extraordinaire de la maison royale. Selon le politologue Colin Cavell, ces divergences au sein de la famille royale sont avant tout une question d’avidité.

« Comment a-t-on pu accepter de participer à des opérations militaires dont les dangereuses conséquences ont été complètement sous-estimées — comme l’invasion de l’Irak, la guerre en Syrie ou au Yémen? » indique la lettre.

Barack Obama et le roi Salmane d’Arabie saoudite© REUTERS/ Jim Bourg

Le roi saoudien aux Etats-Unis: une visite en terrain miné

On y mentionne le roi d’Arabie saoudite, qui dirige le pays depuis janvier 2015 et la mort de son frère Abdallah, ainsi que son neveu Mohamed ben Naïf et le fils du roi. Tous deux occupent des postes importants au gouvernement et sont responsables des décisions qui ont entraîné la chute des cours pétroliers et la guerre au Yémen.

Selon Colin Cavell, auteur du livre L’exportation de la démocratie made in America, les divergences au sein de la maison royale ont plusieurs causes. « Il s’agit en premier lieu de la réduction des revenus du Trésor public. En effet, ils disposent d’immenses fonds de réserve mais ont dû dépenser près de 10% de ces réserves au cours des six derniers mois. Cet argent a servi à financer les guerres coûteuses, l’achat d’équipements, de munitions et de matériel aux USA, au Royaume-Uni et à d’autres pays. Le prix du baril a chuté de 120 dollars à moins de 50 dollars. Les membres de la famille royale pensent que cela déstabilise l’économie du pays », déclare-t-il.
SOURCE: http://fr.sputniknews.com/presse/20150924/1018372551/roi-Salmane-Ymen-petrole-economie.html#ixzz3nKdZ7jGR

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Faisal bin Hassan Trad, l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite au Conseil des droits de l’homme, a été officialisé ce lundi à la tête de son panel. Un poste stratégique qui, selon les ONG, ne devrait pas revenir à une monarchie qui bafoue régulièrement la liberté d’expression et où les exécutions sont fréquentes.

Faisal bin Hassan Trad, l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite à Genève,  s’apprête à prendre la tête du panel du Conseil.

Faisal bin Hassan Trad, l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite à Genève,  s’apprête à prendre la tête du panel du Conseil.

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Wikileaks arabie saoudite islamisme

Selon le quotidien américain The New York Times, qui trié et étudié des dizaines de milliers de documents diplomatiques saoudiens révélés par le site WikiLeaks, l’Arabie Saoudite investit « des milliards de pétrodollars dans des organisations islamiques à travers le monde, pratiquant une diplomatie du chéquier ». Le New York Times s’est intéressé à 60 000 documents, en attendant les 400 000 supplémentaires qui sont en attente de publication selon WikiLeaks. Ces fuites diplomatiques révèlent notamment que l’Arabie Saoudite dépense des sommes colossales pour combattre l’Iran chiite.

LIRE: https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2015/07/28/wikileaks-revele-les-dessous-de-la-strategie-saoudienne-pour-exporter-lislamisme-partout-sur-la-planete/#comment-24600

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blogradiofranceirib

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IRIB- L’ambassadeur de la RII auprès de l’ONU a mis en garde contre les impacts des raids aériens saoudiens à proximité de l’ambassade de Téhéran à Sanaa……………….Lire la suite http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/372212-l-iran-met-en-garde-l-arabie

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Le Blog de Nathalie MP

Avant-hier, sortait sur papier et en e-book un petit livre (*) intitulé « 1 000 coups de fouet parce que j’ai osé parler librement » regroupant les quatorze articles qui ont valu au blogueur saoudien Raif Badawi sa condamnation à dix ans de prison, 1 000 coups de fouet et une amende de un million de Ryals (soit environ 226 000 €). C’est grâce au soutien et aux efforts conjugués de sa femme, de son avocat et de l’ONG Amnesty International qu’il nous est possible d’en prendre connaissance. Du fond de sa cellule collective à Djeddah, Raif a même rédigé une préface, patiemment dictée à sa femme, qui nous parle de son rêve de liberté qui s’est fracassé sur la loi islamique extrêmement rigide en vigueur en Arabie saoudite. 

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CANAL DUTCH

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L’idée a de quoi surprendre dans un pays connu pour pratiquer un islam très conservateur, particulièrement dans la ville sainte où s’applique la loi coranique. Selon le site d’informations marocain « Alayoum24 » qui révèle l’information, la marque hollandaise El Asira, spécialisée dans la « vente de produits sensuels arabes », va ouvrir un magasin dans la ville la plus sacrée de l’Islam.

Des produits « charia compatibles »

Les autorités religieuses d’Arabie saoudite auraient validé la conformité des produits avec la loi islamique. Dans un pays où les droits des femmes sont restreints et la Charia appliquée à la lettre, El Asira entend «favoriser l’admiration et l’amour des femmes» en améliorant les relations maritales. 
Dans le futur magasin que l’entrepreneur Abdelaziz Aouragh compte ouvrir, pas de films pornographiques et encore moins de sextoys, mais des sous-vêtements, huiles de massage, bougies ( sans alcool et sans gélatine ) et autres produits sensuels « halal », que les couples pourront se procurer librement. En…

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Combatientes del grupo yihadista Estado Islámico (EI)

Oriente Medio

13:28 23.05.2015(actualizada a las 13:38 23.05.2015) 
Atrocidades del Estado Islámico
 

El grupo yihadista Estado Islámico (EI) podría obtener armas nucleares dentro de 12 meses, según la última edición de la revista propagandista del EI, Dabiq.

Se indica que el EI se propone transportar el armamento nuclear a Occidente a través de Libia y Nigeria.

Según escribe el diario The Independent citando al supuesto autor del artículo, periodista británico John Cantlie, secuestrado por islamistas hace dos años, el EI « cuenta con miles de millones de dólares en los bancos por lo que llama a sus aliados en Pakistán a venderle bombas nucleares a través de traficantes de armas vinculados con políticos corruptos » del país asiático.

El diario agrega que según Cantlie, el EI planea cometer « algo realmente impresionante » en EEUU.

« Cuantos más grupos juren la lealtad (al EI), más posible será que (el grupo) decida cometer algo verdaderamente épico », agregó.

LaexpansióndelEstadoIslámico (EI), que sehaapoderado deuna parteconsiderable delosterritorios de Irak ySiria, seconvirtió enuno delosmayoresproblemas globalesdesdejunio de 2014.El movimiento proclamó un califato en las áreas tomadas y pretende ampliar su zona de influencia con células que actúan en Libia, Yemen y otras naciones de Oriente Medio y África del Norte.

De momento no existe un frente único de lucha contra el EI, por un lado hay una coalición internacional con EEUU a la cabeza, que se limita a bombardear desde el aire las posiciones del grupo, y por el otro, las tropas gubernamentales de Siria e Irak y los kurdos de estos dos países.

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IRIB-Au onzième jour des bombardements sauvages contre Sanaa, les chasseurs saoudiens ont été contraints à quitter le ciel de la capitale tant était nourri le feu de la DCA yéménite………….Lire la suite http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/364793-l-aviation-saoudienne-repouss%C3%A9e-par-la-dca-y%C3%A9m%C3%A9nite

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Margot Wallström’s principled stand deserves wide support. Betrayal seems more likely
 28 March 2015  
Special Representative of the Secretary-

If the cries of ‘Je suis Charlie’ were sincere, the western world would be convulsed with worry and anger about the Wallström affair. It has all the ingredients for a clash-of-civilisations confrontation.

A few weeks ago Margot Wallström, the Swedish foreign minister, denounced the subjugation of women in Saudi Arabia. As the theocratic kingdom prevents women from travelling, conducting official business or marrying without the permission of male guardians, and as girls can be forced into child marriages where they are effectively raped by old men, she was telling no more than the truth. Wallström went on to condemn the Saudi courts for ordering that Raif Badawi receive ten years in prison and 1,000 lashes for setting up a website that championed secularism and free speech. These were ‘mediaeval methods’, she said, and a ‘cruel attempt to silence modern forms of expression’. And once again, who can argue with that?

The backlash followed the pattern set by Rushdie, the Danish cartoons and Hebdo. Saudi Arabia withdrew its ambassador and stopped issuing visas to Swedish businessmen. The United Arab Emirates joined it. The Organisation of Islamic Co-operation, which represents 56 Muslim-majority states, accused Sweden of failing to respect the world’s ‘rich and varied ethical standards’ — standards so rich and varied, apparently, they include the flogging of bloggers and encouragement of paedophiles. Meanwhile, the Gulf Co-operation Council condemned her ‘unaccept-able interference in the internal affairs of the Kingdom of Saudi Arabia’, and I wouldn’t bet against anti-Swedish riots following soon.

Yet there is no ‘Wallström affair’. Outside Sweden, the western media has barely covered the story, and Sweden’s EU allies have shown no inclination whatsoever to support her. A small Scandinavian nation faces sanctions, accusations of Islamophobia and maybe worse to come, and everyone stays silent. As so often, the scandal is that there isn’t a scandal.

It is a sign of how upside-down modern politics has become that one assumes that a politician who defends freedom of speech and women’s rights in the Arab world must be some kind of muscular liberal, or neocon, or perhaps a supporter of one of Scandinavia’s new populist right-wing parties whose commitment to human rights is merely a cover for anti-Muslim hatred. But Margot Wallström is that modern rarity: a left-wing politician who goes where her principles take her.

She is foreign minister in Sweden’s weak coalition of Social Democrats and Greens, and took office promising a feminist foreign policy. She recognised Palestine in October last year — and, no, the Arab League and Organisation of Islamic Co-operation and Gulf Co-operation Council did not condemn her ‘unacceptable interference in the internal affairs of Israel’. I confess that her gesture struck me as counterproductive at the time. But after Benjamin Netanyahu ruled out a Palestinian state as he used every dirty trick he could think of to secure his re-election, she can claim with justice that history has vindicated her.

She moved on to the Saudi version of sharia law. Her criticism was not just rhetorical. She said that it was unethical for Sweden to continue with its military co-operation agreement with Saudi Arabia. In other words, she threatened Swedish arms companies’ ability to make money. Saudi Arabia’s denial of business visas to Swedes threatened to hurt other companies’ profits too. You might think of Swedes as upright social democrats, who have never let worries of appearing tedious stand in the way of their righteousness. But that has never been wholly true, and is certainly not true when there is money at stake.

Sweden is the world’s 12th largest arms exporter — quite an achievement for a country of just nine million people. Its exports to Saudi Arabia total $1.3 billion. Business leaders and civil servants are also aware that other Muslim-majority countries may follow Saudi Arabia’s lead. During the ‘cartoon crisis’ — a phrase I still can’t write without snorting with incredulity — Danish companies faced global attacks and the French supermarket chain Carrefour took Danish goods off the shelves to appease Muslim customers. A co-ordinated campaign by Muslim nations against Sweden is not a fanciful notion. There is talk that Sweden may lose its chance to gain a seat on the UN Security Council in 2017 because of Wallström.

To put it as mildly as I can, the Swedish establishment has gone wild. Thirty chief executives signed a letter saying that breaking the arms trade agreement ‘would jeopardise Sweden’s reputation as a trade and co-operation partner’. No less a figure than His Majesty King Carl XVI Gustaf himself hauled Wallström in at the weekend to tell her that he wanted a compromise. Saudi Arabia has successfully turned criticism of its brutal version of Islam into an attack on all Muslims, regardless of whether they are Wahhabis or not, and Wallström and her colleagues are clearly unnerved by accusations of Islamophobia. The signs are that she will fold under the pressure, particularly when the rest of liberal Europe shows no interest in supporting her.

Sins of omission are as telling as sins of commission. The Wallström non-affair tells us three things. It is easier to instruct small countries such as Sweden and Israel on what they can and cannot do than America, China or a Saudi Arabia that can call on global Muslim support when criticised. Second, a Europe that is getting older and poorer is starting to find that moral stands in foreign policy are luxuries it can no longer afford. Saudi Arabia has been confident throughout that Sweden needs its money more than it needs Swedish imports.

Finally, and most revealingly in my opinion, the non-affair shows us that the rights of women always come last. To be sure, there are Twitter storms about sexist men and media feeding frenzies whenever a public figure uses ‘inappropriate language’. But when a politician tries to campaign for the rights of women suffering under a brutally misogynistic clerical culture she isn’t cheered on but met with an embarrassed and hugely revealing silence.

This article first appeared in the print edition of The Spectator magazine, dated

http://www.spectator.co.uk/features/9481542/swedens-feminist-foreign-minister-has-dared-to-tell-the-truth-about-saudi-arabia-what-happens-now-concerns-us-all/

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Le commandant du Basij menace aussi les Saoudiens et déclare qu’ils connaîtront le même destin que Saddam Hussein

Mohammad Reza Naqdi, le commandant de la force Basij de l'Iran (Crédit : capture d'écran YouTube / PresTVGlobalNews)Mohammad Reza Naqdi, le commandant de la force Basij de l’Iran (Crédit : capture d’écran YouTube / PresTVGlobalNews)

Le commandant de la milice Basij des Gardiens de la Révolution de l’Iran a déclaré qu’ « effacer Israël de la carte » est « non négociable », a rapporté mardi, Radio Israel.

Mohammad Reza Naqdi a également menacé l’Arabie saoudite, en affirmant que l’offensive menée au Yémen « aura le même destin que celui de Saddam Hussein ».

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Financement d’al-Qaida : un témoignage accable l’Arabie saoudite

Zacarias Moussaoui, actuellement en prison dans le Colorado pour avoir participé au 11 Septembre met en cause des officiels saoudiens dans le financement de l’organisation terroriste.

Un témoignage d’une centaine de pages, qui vient d’arriver sur le bureau d’un juge fédéral à New York, pourrait être une pièce de plus au dossier accusant l’Arabie saoudite d’avoir financé al-Qaida. Selon une information révélée par le New York Times, Zacarias Moussaoui, terroriste qui purge une peine de prison à vie pour avoir participé au 11 Septembre, a, depuis sa prison de haute sécurité du Colorado, livré un récit accusateur qui met en cause directement des hauts dignitaires de la pétromonarchie dans le financement du terrorisme international.

Dans ce témoignage datant d’octobre dernier et rendu public cette semaine, il a déclaré sous serment qu’al-Qaida recevait des dons de la part de membres de la famille royale saoudienne, et ce même après qu’Oussama Ben Laden ait déclaré la guerre aux États-Unis en 1998. «Sans l’argent des Saoudiens, on n’aurait rien», déclare-t-il dans ce témoignage recueilli par ses avocats.

Celui qui se présente comme le messager particulier du chef terroriste dans les années 1990 affirme avoir remis des lettres de Ben Laden en personne à de hauts dignitaires, dont le prince Salman, devenu roi d’Arabie saoudite il y a quinze jours.

Un missile sur «Air Force One»

L’islamiste a aussi avoué qu’il avait rencontré un diplomate saoudien en vue de préparer une attaque contre le président des États-Unis: il projetait d’envoyer un missile sur l’avion Air force One du président. Il a également conspiré pour mettre une bombe à l’ambassade des États-Unis à Londres en 1999. Un scénario crédible qui s’inscrivait dans la logique d’attaques similaires en Tanzanie et au Kenya en 1998.

Moussaoui, aujourd’hui âgé de 46 ans, qui est né et à vécu en France jusqu’au début des années 1990, avait été engagé à la dernière minute par al-Qaida comme remplaçant potentiel des terroristes du 11 Septembre, au cas où l’un d’entre eux ne pourrait accomplir sa mission. Il avait pris des cours de pilotage aux États-Unis, payés en cash avec de l’argent venu d’une cellule d’al-Qaida en Allemagne. Arrêté en 2001, il était derrière les barreaux pendant les attentats.

Il affirme qu’il a été engagé par le chef d’al-Qaida pour créer une base de données recensant les donateurs à la cause. «Cheikh Oussama voulait garder une trace de qui donnait de l’argent… de qui on devait écouter ou qui avait contribué au djihad», ajoute-t-il. Parmi les noms qu’il a donnés: le prince Turki al-Fayçal, le chef des services secrets saoudiens, le prince Bandar Ben Sultan, l’ambassadeur saoudien aux États-Unis, le prince al-Walid Ben Talal, un milliardaire appartenant à la dynastie des Saoud pourtant connu pour ses prises de position progressistes.

L’Arabie saoudite dément

Il a affirmé avoir rencontré Ben Laden en 1999 dès son entrée en Afghanistan, depuis la Tchétchénie. Mais, comme le souligne The Guardian, il paraît peu probable qu’un jeune apprenti terroriste puisse rencontrer le leader incontesté moins de 36 heures après son arrivée, ce qui fragilise son témoignage.

L’ambassade saoudienne aux États-Unis a fermement démenti des «propos [sans] aucune crédibilité», rappelant dans un communiqué que Moussaoui avait été «jugé mentalement inapte par un psychiatre mandaté par ses propres avocats». Moussaoui a en effet été diagnostiqué victime d’une maladie mentale par un psychiatre, mais a cependant été déclaré assez responsable pour être jugé pour terrorisme.

Le soutien matériel et financier de la pétromonarchie du Golfe, dont était originaire Oussama Ben Laden, au terrorisme international est un secret de polichinelle. Ce témoignage vient ajouter du grain à moudre aux tensions entre Riyad et Washington qui ont été haussées d’un cran après la révélation d’un rapport classifié mettant en cause directement l’Arabie saoudite dans la planification des attentats du World Trade Center.

LIRE AUSSI:

» 11 Septembre: ces 28 pages qui menacent l’axe Washington-Riyad

source: http://www.lefigaro.fr/international/2015/02/05/01003-20150205ARTFIG00108-financement-d-al-qaida-un-temoignage-accable-l-arabie-saoudite.php

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Le Roi Abdallah Ben Abdel Aziz
Le Roi Abdallah Ben Abdel Aziz

René Naba

Sur fond de désarroi et de désespérance, en pleine convulsion

Sixième Roi d’Arabie, Abdallah Ben Abdel Aziz, décédé jeudi à 90 ans des suites d’une lourde pathologie, laisse un Royaume en plein désarroi, en pleine convulsion, sur fond d’une guerre de succession entre les deux principaux clans de la dynastie wahhabite (le clan Sideiry et le clan Al shammar), sur fond d’une désespérance de sa jeunesse face aux taux élevé d’un  chômage persistant, à l’arrière plan d’un bras de fer énergétique avec les États Unis visant à assécher les petits producteurs de pétrole de schiste, alors que les deux pays qui ont longtemps fait office de sas de sécurité du royaume, le Yémen, dans la décennie 1960 contre Nasser et l’Irak, dans la décennie 1980 contre Saddam Hussein, échappe désormais au contrôle sunnite au bénéfice des chiites, les rivaux historiques des sunnites dont la dynastie se veut le fer de lance au niveau du Monde arabo-musulman.

Sans doute l’effet du hasard,  qui n’en est pas moins révélateur, l’annonce du décès du Roi a été annoncée, alors que le Yémen plongeait dans le chaos à la suite de la démission collective du président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi de son gouvernement, sous les coups de butoir de la milice chiite Ansar Allah et que Riyad se hâtait de dresser un mur de 900 kilomètres à sa frontière avec l’Irak pour se protéger d’une invasion par les djihadistes de l’état islamique autoproclamé.

Abdallah est le monarque qui aura exercé le plus long règne au sein de la dynastie, d’abord en tant que prince héritier et chef de la garde nationale, régentant le royaume en suppléance de son frère Fahd atteint d’une lourde pathologie, (1995-12005), puis en tant que souverain (2005-2015), soit vingt ans. A l’instar de son prédécesseur, l’homme aura présidé aux destinées du Royaume, lourdement handicapé par la maladie (une double pontage coronarien, doublé de troubles dorsaux et d’un cancer au larynx), à une période charnière de l’histoire du Moyen Orient, marquée notamment par l’invasion américaine de l’Irak (2003) et la guerre de Syrie (2011), dix ans plus tard, deux pays se réclamant de l’idéologie laïque baasiste, dont la destruction, le premier l’Irak, a servi de matrice à  l’ossature militaire de l’état islamique et le second, la Syrie, à la prolifération du djihadisme dégénératif erratique.

mur du monde

La construction de la «Grande Muraille» saoudienne a été décidée pour se prémunir précisément du chaos que le Royaume, en partenariat avec les autres pétromonarchies et leurs alliés occidentaux du pacte atlantiste ont infligé aux deux pays se réclamant de l’idéologie laïque baasiste. Le mur se composerait d’un mur et d’un fossé destinés à protéger le royaume wahhabite des rebelles de l’organisation État islamique qui contrôlent «une grande partie de la zone du côté irakien de la frontière» et lorgnent «la conquête ultime de l’Arabie Saoudite, qui renferme les deux mosquées saintes de La Mecque et Médine, leur objectif essentiel.

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Salman, nouveau représentant du clan Sideiry au sein du pouvoir

En application des prescriptions du Roi, Salman, représentant du clan Sideiry, lui a succédé à la tête du Royaume. Agé de 79 ans, prince héritier qu’il cumulait avec celui de ministre de la Défense, cet ancien gouverneur de la province de Riyad pendant 48 ans, un faucon dans la pure tradition wahhabite passe pour avoir supervisé la ventilation des «dons» privés versés tant aux moudjahidines afghans lors de la guerre anti soviétique d’Afghanistan, dans la décennie 1980, qu’aux prédicateurs salafistes lors de la guerre de Syrie, dans la décennie 2010.

Souffrant de déficience mémorielle, le terme d’Alzheimer a été prononcé, Salman sera secondé par le prince Moqren, ancien gouverneur de la province de Médine.

Ancien chef du renseignement saoudien et proche d’Abdallah, Moqren, le nouveau prince héritier, semble avoir pour tâche de déblayer la voie à la venue au pouvoir du premier roi de la troisième génération en la personne de Mout’eab Ibn Abdallah, 62 ans, le propre fils du roi défunt, déjà en place en sa qualité de chef de la garde nationale saoudienne, la garde prétorienne du régime composée de guerriers recrutés dans les tribus du Royaume.

Acteur-clé au Moyen-Orient et premier exportateur mondial de pétrole brut, le Roi Abdallah, prudent et prévoyant, a ainsi placé son fils aîné, Mout’eb au poste stratégique de deuxième vice-président du conseil, scellant l’ordre de succession au bénéfice de son fils, sans possibilité d’en modifier l‘ordre de succession. Son deuxième fils, Mecha’al, a été nommé gouverneur de la région de la Mecque, la capitale religieuse du royaume et son 3eme fils, Turki, gouverneur de Riyad, sa capitale politique et financière. La fratrie Abdallah conserve dans son giron la «Garde Nationale», traditionnelle contrepoids aux forces régulières.

Ultime cadeau d’un roi octogénaire en phase crépusculaire de son règne, le Roi Abdallah (88 ans) a couplé cette démarche en impulsant une refonte de l’archaïque système éducatif saoudien, si préjudiciable à l’image du Royaume, à l’image de l’Islam et à la stratégie de ses alliés du bloc atlantiste. Fait sans précédent dans les annales du Royaume, une dame, Haya Al Sahmary, a été nommée à une fonction d’autorité au sein de la haute administration saoudienne, à la direction de la formation, en tandem avec le Prince Khaled Ben Fayçal, le fils du défunt Roi Fayçal, au poste de ministre de l’éducation, avec à la clé un budget de plusieurs milliards de dollars pour mener à bien cette opération.

Dans la foulée, Abdallah a discrètement évacué de la scène publique, le Mufti As Cheikh, un authentique représentant de la fratrie de Mohamad Abdel Wahhab, le fondateur du Wahhabisme, au profit d’un dignitaire moins rigide.

Sous couvert de guerre contre le terrorisme, l’Arabie saoudite a par ailleurs opéré un rapprochement tangible avec Israël, criminalisant la confrérie des Frères Musulmans, renouant avec Mahmoud Abbas, dans une tentative de renflouement de la question palestinienne, la grande oubliée du «printemps arabe», en vue d’accompagner le règlement du conflit israélo-arabe selon un schéma américain conférant un statut minoré au futur état palestinien.

Au-delà des rivalités de voisinage et des conflits de préséance, la diabolisation des Frères Musulmans, la matrice originelle d’Al Qaida et de ses organisations dérivées, apparaît ainsi comme une grande opération de blanchissement des turpitudes saoudiennes et de dédouanement de la dynastie à son soutien à la nébuleuse du djihadisme erratique depuis son apparition dans la décennie 1980 lors de la guerre anti soviétique d’Afghanistan. Un parrainage qui a valu à l’Irak d’assumer, par substitution, la fonction de victime sacrificielle d’un jeu de billard à trois bandes, en 2003, en compensation au châtiment de l’Arabe saoudite pour sa responsabilité dans les attentats du 11 septembre 2001 contre les symboles de l’hyperpuissance américaine.

Soldant sans état d’âme l’ère Bandar, l’ancien patron de la nébuleuse islamiste, la dynastie wahhabite pense avoir signifier aux rivaux du Royaume, dans l’ordre subliminal, sur fond de  négociations irano américaines sur le nucléaire iranien, la permanence et la solidité du Pacte de Quincy, en dépit des fritures dans les relations entre le meilleur allié des États Unis dans le Monde arabe et le protecteur d’Israël; en dépit des tentatives de rapprochement des États-Unis avec l’Iran, l’ancien super gendarme du Golfe du temps de Chah et désormais la bête noire de la dynastie wahhabite.

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Solidarité Ouvrière

La directrice du FMI a fait du monarque de l’un des pires pays du monde en matière de droits des femmes, décédé vendredi, un féministe à titre posthume. Hollande est allé présenté ses condoléances à Ryad après la mort du roi d’un des régimes les plus obscurantistes au monde… quelques jours avant, la nouvelle circulait de toute la barbarie de ce régime avec la décapitation publique d’une femme à La Mecque.

Femmes du Maroc, 19 janvier 2015 :

Lundi, dans les rues de la Mecque, une femme a été décapitée en plein jour. La vidéo de la scène filmée discrètement a été retirée de Youtube, mais continue tout de même de circuler sur le web.

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Le roi Salman, successeur depuis vendredi 23 janvier 2015, d'Abdallah, décédé la veille, à Riyad.

Entretien. Chercheuse à l’Institut de recherche stratégique de l’école militaire, Fatiha Dazi-Héni est spécialiste des monarchies du golfe Arabo-Persique. Elle décrypte pour Le Monde les enjeux de la transition en Arabie saoudite, suite au décès du roi Abdallah, dans la nuit de jeudi 22 à vendredi 23 janvier, auquel succède le prince héritier Salmane.

En l’espace de quelques heures, le pouvoir a changé de main en Arabie saoudite. Non seulement un nouveau roi a été nommé, mais également un prince héritier (Muqrin Ben Abdelaziz) et un vice-prince héritier (Mohamed Ben Nayef). Peut-on parler de transition en douceur ?

Fatiha Dazi-Héni

Effectivement, tout se déroule dans les règles. Il y avait des supputations, ici et là, comme à la mort du roi Fahd (le prédécesseur d’Abdallah), en raison d’inévitables tiraillements entre lignées. Mais c’était un vrai-faux suspense. Le roi avait verrouillé sa succession, en nommant Muqrin, en mars, au poste de vice-prince héritier. Beaucoup d’observateurs n’y croyaient pas, car il est le fils d’une esclave yéménite. Mais, en définitive, le scénario planifié par Abdallah a été respecté à la lettre.

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Salman bin Abdulaziz 6 janvier 2015
Salman bin Abdulaziz le 6 janvier 2015 – Saudi Press Agency/XINHUA-REA
Le nouveau roi d’Arabie saoudite a une réputation de probité et est considéré comme un arbitre respecté au sein de la famille royale. Mais à 79 ans, il est doté d’une santé fragile.

Le nouveau roi saoudien n’est pas un inconnu. Salmane avait été désigné prince héritier en 2012 et tenait depuis cette date les rênes du ministère de la Défense. 25e fils du roi Abdel Aziz, le fondateur du royaume, il fait partie du clan des Soudaïri_ l’un des deux grands clans de dynastie wahhabite avec son rival, le clan Al shammar. Tout comme le « futur prince héritier » Mohammed ben Nayef.

Pour en savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/0204104006119-arabie-saoudite-qui-est-le-nouveau-roi-salman-1086314.php?r708Ggg4T3pwTzz7.99

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Arabie Saoudite : 5 choses à savoir sur le roi Salmane Ben Abdel Aziz, successeur d’Abdallah

23/01/2015 à 12:07 Par Jeune Afrique
Salmane Ben Abdel Aziz au sommet de l'Organisation de la coopération islamique en août 2012. Salmane Ben Abdel Aziz au sommet de l’Organisation de la coopération islamique en août 2012. © FAYEZ NURELDINE/AFP

Qui est Salmane Ben Abdel Aziz, l’ancien numéro 2 du royaume d’Arabie Saoudite, devenu roi vendredi 23 janvier ?

Réponse en 5 points.

Il est déjà devenu @KingSalman sur Twitter. À 79 ans, Salmane Ben Abdel Aziz succède à son demi-frère Abdallah, décédé à 90 ans, après une décennie de règne. Salmane est le cinquième roi issu de la dynastie des Al-Saoud, les fondateurs du royaume

Au coeur du pouvoir politique

Prince héritier depuis juin 2012, Salmane s’est progressivement rapproché du devant de la scène ces dernières années. On l’a souvent vu présider le Conseil des ministres et représenter à l’étranger le roi Abdallah, qui avait considérablement réduit ses activités publiques du fait de ses problèmes de santé.

 

Voir l'image sur TwitterAvec le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian

Ses visites en Occident et en Asie ont ainsi ajouté une stature internationale à sa carrière, focalisée jusqu’en 2012 sur les affaires intérieures du royaume.

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civilwarineurope

Al-Qaida dans la péninsule arabique (Aqpa), basée au Yémen, a revendiqué auprès de l’Associated Press l’attaque meurtrière qui a visé mercredi les locaux de Charlie Hebdo. L’organisation explique qu’elle venge ainsi l’honneur du Prophète. Selon le texte transmis à l’agence, les responsables d’Aqpa aurait coordonné les opérations et méticuleusement choisi leurs cibles.

Source : Le Figaro

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