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09:24 25.05.2015(mis à jour 10:06 25.05.2015) 
L’Europe doit cesser de soutenir les autorités ukrainiennes suite à la publication du rapport d’Amnesty International révélant que les troupes ukrainiennes sont coupables d’exactions sur des prisonniers, estime une responsable de l’ONG.

« Cela serait désastreux si l’Europe soutenait Kiev tout en ayant connaissance de ces faits. Les médias occidentaux ont longtemps porté leur attention sur les violences commises par les séparatistes prorusses, le contenu du rapport devrait servir d’électrochoc », a indiqué Joanne Mariner, conseillère sur les crises à Amnesty International, dans une interview accordée au journal Libération.

« Il est très peu probable que les exactions des soldats ukrainiens soient commises sans que leurs supérieurs en aient vent. Notre rapport met en lumière que tous les prisonniers tombés aux mains des Ukrainiens que nousavons rencontrés ont laissé une trace à un moment ou un autre dans le système judiciaire: ces détenus ont eu droit à des avocats et ont été présentés à un juge mais dans certains cas, bien plus tard qu’à l’habitude. Et il semble que rien n’a été fait par les gradés de l’armée pour empêcher ces séances de tortures physiques (passages à tabac) et psychologiques (simulacres d’exécution, actions pour empêcher les prisonniers de dormir) et les exécutions sommaires », a-t-elle indiqué.Selon la responsable, « le contrôle des autorités ukrainiennes sur leurs troupes n’est pas aussi fort qu’on peut le penser. Pour combattre les rebelles de l’Est, l’Ukraine a fait appel à ses propres hommes, des militaires, ainsi que des agents paramilitaires, tels que des gardes-frontières ou des services de sécurité ».

Dans son rapport publié mercredi dernier, l’ONG cite un témoignage « particulièrement dur » d’un……

Augmentation de 400 % des crimes antisémites pendant la guerre de Gaza ; la plupart des auteurs sont des islamistes radicaux

Un homme portant une kippa, regarde les gens prendre part à une manifestation appelée par le Conseil représentatif des institutions juives de France le 31 Juillet 2014 devant la synagogue de Lyon (Crédit : AFP / ROMAIN Lafabregue)

La France a été en 2014 le pays le plus dangereux pour les Juifs, avec le plus fort taux d’antisémitisme, selon un rapport israélien officiel annuel publié dimanche.

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Le rapport, qui devait être présenté dimanche à la Knesset par le ministre des Affaires de la Diaspora Naftali Bennett, a également enregistré une augmentation spectaculaire des attaques antisémites pendant le conflit de Gaza de l’été, et maintient que la plupart des attaques ont été menées par des extrémistes musulmans.

« La France y est présentée comme le pays le plus dangereux pour les Juifs actuellement », a déclaré un communiqué.

Le nombre de crimes antisémites a doublé en France en 2014.

LIRE:La France est le pays le plus dangereux pour les Juifs – selon un rapport

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Les lutins statisticiens de WordPress.com ont préparé le rapport annuel 2014 de ce blog.

En voici un extrait :

Le Concert Hall de l’Opéra de Sydney peut contenir 2 700 personnes. Ce blog a été vu 45 000 fois en 2014. S’il était un concert à l’Opéra de Sydney, il faudrait environ 17 spectacles pour accueillir tout le monde.

Cliquez ici pour voir le rapport complet.

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La torture après le 11 Septembre était-elle justifiée ?

Dick Cheney en 2004.Les hommes au pouvoir sous la présidence de George W. Bush, notamment le vice-président Dick Cheney, et d’anciens chefs de la CIA disent assumer et ont multiplié les interventions ces derniers jours pour défendre leurs décisions.

Dick Cheney — Wikipédia

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Le Point – Publié le 09/12/2014 à 18:24 – Modifié le 09/12/2014 à 18:37

Un rapport accuse la CIA d’avoir menti à la Maison-Blanche et au Sénat et révèle des pratiques d’interrogatoire qui ont outrepassé la loi.

Un rapport du Sénat américain accuse la CIA de "tortures".
Un rapport du Sénat américain accuse la CIA de « tortures ». © BRENDAN SMIALOWSKI / AFP

L’usage de techniques d’interrogatoire « renforcées » par la CIA dans les années 2000, et dénoncées par Barack Obama comme de la torture, n’a pas permis de déjouer des menaces imminentes d’attentats, conclut un extraordinaire rapport du Sénat immédiatement contesté par l’agence d’espionnage. Dans 20 conclusions implacables pour la CIA, le rapport de 525 pages expurgé et publié par la commission du Renseignement du Sénat, contrôlée par les démocrates, accuse l’agence d’avoir soumis 39 détenus à des techniques brutales pendant plusieurs années, dont certaines n’étaient pas autorisées par l’exécutif américain et que le Sénat décrit en détail.

lire: http://www.lepoint.fr/monde/etats-unis-le-rapport-accablant-sur-les-tortures-de-la-cia-09-12-2014-1888297_24.php

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Guantanamo et les prisons secrètes

Les détenus dits de grande valeur ont été interrogés par la CIA dans des lieux secrets, des « sites noirs », avant d’être transférés dans la prison militaire de Guantanamo, sur l’île de Cuba, en 2006.

Un rapport parlementaire européen de 2007 accuse nommément la Pologne et la Roumanie d’avoir abrité, entre 2003 et 2005, des centres de détention secrets, respectivement à Kiejkuty, dans le nord-est de la Pologne, et à Bucarest.

Un site en Lituanie, visité par des parlementaires européens, est également soupçonné à Antaviliai, à 20 kilomètres de Vilnius.

La Thaïlande, ainsi que l’Afghanistan où l’armée américaine était en guerre, auraient aussi abrité des sites.

Les pays ne devraient pas être nommés dans le rapport sénatorial.

lire: http://www.ouest-france.fr/tortures-la-cia-ce-que-le-grand-public-savait-deja-3038692

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Les autorités américaines ont pris des mesures de précaution pour assurer la sécurité de leurs installations à travers le monde avant la publication attendue mardi d’un rapport du Congrès dénonçant les méthodes d’interrogatoire pratiquées par la CIA.Ce rapport recense les activités conduites par l’agence fédérale dans le cadre d’un programme lancé par l’administration de George W. Bush après les attaques du 11 septembre 2001 contre le World Trade Centre à New York et le Pentagone à Washington.Le porte-parole de la Maison blanche, Josh Earnest, a reconnu que la publication de ce rapport présentait un risque pour la sécurité des ressortissants américains et des infrastructures des Etats-Unis.Les agences américaines du renseignement ont diffusé un bulletin secret mettant en garde contre de possibles réactions violentes à l’étranger.Les agences de renseignement ont « une obligation de mettre en garde contre l’éventualité accrue d’une réaction violente suscitée par la publication (du rapport) », a déclaré à Reuters un haut responsable.
(Jeff Mason, Roberta Hampton et Mark Hosenball; Pierre Sérisier pour le service français) ;))
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9 décembre 2014 | Jérôme Cartillier – Agence France-Presse à Washington | États-Unis
Les conclusions du rapport sont « choquantes », selon Dianne Feinstein, présidente de la commission du Renseignement du Sénat. 
Photo: Saul Loeb Agence France-Presse
Les conclusions du rapport sont « choquantes », selon Dianne Feinstein, présidente de la commission du Renseignement du Sénat. 

Attendu depuis des mois, le rapport parlementaire sur les méthodes de torture utilisées par la CIA après les attentats du 11-septembre 2001 sera rendu public mardi, entraînant un renforcement des mesures de sécurité autour des installations diplomatiques américaines à travers le monde.

La Maison-Blanche, qui a annoncé lundi la publication imminente de ce document par le Sénat, a jugé que la démarche était utile « pour permettre aux gens aux États-Unis et à travers le monde de comprendre exactement ce qui s’est passé ».

Le rapport de la commission est le fruit de plus de trois ans d’une enquête méticuleuse (2009-2012) visant à faire la lumière sur le programme créé en secret par la CIA pour interroger des détenus soupçonnés de liens avec al-Qaïda, notamment par la simulation de noyade ou la privation de sommeil.

Évoquant, début août, cette page de l’histoire américaine, le président Barack Obama, qui a officiellement mis fin à ce programme dès son arrivée à la Maison-Blanche en janvier 2009, avait estimé que les États-Unis avaient fait des choses « contraires » à leurs valeurs.

« Lorsque nous avons utilisé certaines techniques d’interrogatoire poussé, des techniques que je considère et que toute personne honnête devrait considérer comme de la torture, nous avons franchi une ligne », avait-il déclaré, tout en appelant à se tenir à l’écart des jugements moralisateurs.

Le porte-parole de l’exécutif américain, Josh Earnest, a précisé lundi que l’administration s’était préparée depuis « des mois » à la publication de ce document et avait pris des mesures de précaution face à de possibles réactions violentes dans certains pays, tout en se refusant à entrer dans les détails du dispositif.

Confidentiel, le rapport d’enquête a été approuvé à huis clos par la commission du Renseignement du Sénat en décembre 2012, et ses sénateurs ont voté en avril dernier pour rendre publics 20 conclusions et un résumé d’environ 500 pages, expurgées des informations les plus sensibles.

Les conclusions du rapport sont « choquantes », avait alors affirmé Dianne Feinstein, présidente de la commission. « La création de sites noirs clandestins sur le long terme et l’utilisation de techniques d’interrogatoire musclé ont été de terribles erreurs », avait-elle affirmé. Selon elle, le rapport montre que les méthodes utilisées n’ont pas produit des renseignements ayant permis de localiser Oussama ben Laden.

Bien que Barack Obama ait promis une déclassification rapide, la procédure s’est cependant prolongée pendant huit mois. Les sénateurs et la Maison-Blanche étaient en désaccord sur le volume d’informations à expurger, comme les noms de codes des agents de la CIA, ou les pays ayant coopéré avec le programme secret.

De nombreux républicains, au premier rang desquels l’ancien président George W. Bush, au pouvoir lorsque ces méthodes ont été utilisées, ont dénoncé par avance la publication du document.

« Nous avons la chance d’avoir des hommes et des femmes qui travaillent dur à la CIA […] ce sont des patriotes », a déclaré M. Bush dans un entretien diffusé dimanche sur CNN, mettant en garde contre un rapport « hors sujet ».

De son côté, le républicain Mike Rogers, président de la commission du Renseignement de la Chambre des représentants, a jugé que publier ce rapport était « une très mauvaise idée ». « Nos services de renseignement ont estimé que cela allait entraîner des violences et des morts », a-t-il mis en garde.

Dans une tribune publiée en fin de semaine dernière dans le Washinston Post, Jose Rodriguez, ancien responsable de ce programme au sein de la CIA, a pour sa part dénoncé la « grande hypocrisie » des politiques sur ce dossier.

« Nous avons fait ce qui nous a été demandé […] et nous savons que cela a été efficace », a-t-il plaidé. « Une décennie plus tard, en guise de récompense nous entendons certains de ces mêmes politiques faire part de leur indignation et — pire — déformer les faits et minimiser les succès obtenus ».

http://www.ledevoir.com/international/etats-unis/426161/le-senat-publie-le-rapport-sur-la-torture-pratiquee-par-la-cia

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Le Monde.fr | 24.11.2014 à 11h21 • Mis à jour le 24.11.2014 à 12h23 | Par Anne Eveno

Henrik Enderlein, coauteur avec Jean Pisani-Ferry,  du rapport sur la croissance commandé par les gouvernements français et allemand.

Les hiérarques socialistes montent au créneau. Bruno Le Roux, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, a assuré, lundi 24 novembre, qu’il n’y aurait pas en France de remise en cause des trente-cinq heures. Une réaction à des informations parues dans le magazine allemand Der Spiegel assurant qu’un assouplissement des trente-cinq heures et un gel des salaires sur trois ans en France figuraient parmi les propositions d’un rapport sur la croissance commandé par Paris et Berlin.

Le premier secrétaire du Parti socialiste (PS), Jean-Christophe Cambadélis, s’est aussi démarqué du contenu supposé du rapport Pisani-Ferry – Enderlein. « Il vaut mieux se concentrer sur la relance européenne plutôt que de rogner les acquis en France » a-t-il déclaré, lundi 24 novembre, sur i-Télé.

LIRE sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/11/24/assouplissement-des-35-heures-les-socialistes-font-barrage_4528314_3234.html

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image: http://i-cms.journaldunet.com/image_cms/original/1060625-le-logo-sncf.jpg

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«Dysfonctionnement organisationnel»

En clair, cela veut dire que la catastrophe est due à des « j’en foutres » et autres « branleurs institutionnels » de la SNCF!

Les mots diffèrent mais la conclusion est la même : la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge, dans l’Essonne, du 12 juillet 2013 résulte avant tout d’un «dysfonctionnement organisationnel», selon un rapport réalisé à la demande du CHSCT de Infrapôle sud-ouest francilien, l’établissement d’infrastructure dont dépend cette gare de la banlieue parisienne.

L’Agence Presse a pu consulter ce rapport indépendant, confirmant une information de la lettre spécialisée Mobilettre. Le cabinet Aptéis, qui a remis le rapport vendredi aux élus du CHSCT d’Infrapôle sud-ouest francilien, estime que l’accident «a brutalement concrétisé des insuffisances en matière de prévention des risques qui résultaient de dérives et de désordres plus anciens dans l’organisation du travail, dans ses modes d’encadrement, de pilotage autant que dans les moyens mis en œuvre. Ces dérives et ces désordres se sont amplifiés dans le temps sans que des mesures correctives à la hauteur des enjeux aient été prises», ajoute le rapport.

PLUS sur http://www.leparisien.fr/transports/catastrophe-de-bretigny-un-nouveau-rapport-pointe-les-dysfonctionnements-25-10-2014-4241239.php

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