Articles Tagués ‘Thaïlande’

Le Monde.fr avec AFP, AP et Reuters | 18.08.2015 à 05h11 • Mis à jour le 18.08.2015 à 20h59

Des policiers sur le lieu de l'explosion, au temple Erawan, à Bangkok, en Thaïlande, le 18 août 2015.

Au lendemain de l’explosion qui a frappé le centre de Bangkok, en Thaïlande, tuant au moins vingt personnes et en blessant plus de cent quarante autres, un petit engin explosif a été lancé d’un pont sur des passants, mardi 18 août, sans faire de blessé, mais contribuant à l’atmosphère pesante qui règne dans la capitale. L’incident a eu lieu près du fleuve Chao Phraya et de grands hôtels, dans une zone touristique de la ville. La police a dévoilé en fin de journée que la bombe (de type artisanal, de la TNT dans un tube de métal) était du même type que celle responsable de l’attaque de la veille.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2015/08/18/bangkok-se-reveille-sous-les-decombres_4728548_3216.html#iT7cBQEtvlAHXXZm.99

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La monarchie thaïlandaise est entrée depuis la semaine dernière dans une phase de transition et d’incertitude, assombrie par un scandale financier qui touche l’épouse du prince héritier.

Avec un monarque malade qui n’est plus en mesure de quitter sa chambre d’hôpital le jour de son anniversaire, et un prince héritier obligé de se séparer de son épouse impliquée dans un scandale de corruption sans précédent : la fin de règne du roi Bhumibol s’annonce éprouvante pour la Thaïlande.

D’autant plus éprouvante qu’elle ne sera précédée d’aucun débat, puisque la loi sur le lèse-majesté interdit tout commentaire sur les questions qui touchent à la monarchie et à la personne du roi.

Elle protège également de la même manière la famille royale, donc le prince héritier, qui est en ce moment touché indirectement, par le biais de son épouse, par un énorme scandale de corruption.

En raison de la censure, la presse thaïlandaise s’est contentée de reproduire un communiqué officiel de trois lignes du palais, indiquant que la princesse avait renoncé à son titre royal.

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Un enjeu fondamental pour la Thaïlande

L’enjeu et pourtant de taille pour la Thaïlande, car la monarchie est souvent présentée comme un des piliers de la stabilité du pays. Au cours de son règne exceptionnellement long, le roi est intervenu à plusieurs reprises dans la vie politique thaïlandaise pour apaiser des conflits qui risquaient de dégénérer en batailles sanglantes.

L’année dernière, alors que Bangkok était paralysée par les manifestations et la crainte des affrontements, le 5 décembre (jour de l’anniversaire royal) avait été un jour de trêve  et de réconciliation.

Car l’actuel monarque, bien que très affaibli et de moins en moins présent dans la vie publique, reste toujours une personnalité adorée comme une sorte de demi-dieu, et très respectée par la très grande majorité des Thaïlandais.

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Un règne qui se confond avec l’histoire de la Thaïlande

La vie du roi Bhumibol se confond en grande  partie avec l’histoire de la Thaïlande moderne : intronisé en 1946, puis couronné en 1950, il s’est identifié au destin de son pays.

Sous son règne la Thaïlande s’est profondément transformée, passant d’un pays agrarien à une puissance industrielle moderne. La Thaïlande est souvent citée comme un modèle de développement économique dans les pays d’Asie du Sud-Est, et le roi Bhumibol a fortement contribué à la stabilité et au développement de son pays.

La Thaïlande, en choisissant de s’allier avec les États-Unis, a ainsi pu échapper au désastre communiste qui a ravagé ses voisins comme le Vietnam, le Laos ou encore le Cambodge.

Au Cambodge la monarchie s’est comportée comme un allié objectif de l’insurrection communiste, facilitant l’arrivée au pouvoir des Khmers rouges, et de la folie génocidaire qui s’ensuivit.

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Un mélange unique de tradition et de modernité

La monarchie thaïlandaise a su éviter cet écueil, sans pour autant tomber dans l’occidentalisation et la perte de substance d’autres pays alignés sur les Etats-Unis.

La Thaïlande a toujours su conserver une forme d’indépendance, conservant jalousement ses traditions et ses particularités, sans doute un héritage de son histoire de pays n’ayant jamais été colonisé.

Ce mélange atypique de tradition et de modernisme, elle le doit à la personnalité exceptionnelle du roi Bhumibol qui a passé une grande partie de son règne à parcourir son pays pour le moderniser, grâce à de nombreux projets subventionnés sur les fonds de la couronne.

Aujourd’hui, si la fin de son règne s’annonce difficile, c’est en grande partie parce que certains entendent utiliser le prestige de la monarchie à des fins politiques.

C’est le cas de la loi de lèse-majesté qui est devenu un outil de censure au service du pouvoir, loin de sa vocation originelle qui était de protéger le monarque des insultes et des calomnies.

En savoir plus sur http://www.thailande-fr.com/politique/31813-fin-de-regne-bangkok#qCqGCkJ8Bp2GJrfb.99

Lire aussi Fin de règne à Bangkok – Edito, Politique – thailande-fr
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La torture après le 11 Septembre était-elle justifiée ?

Dick Cheney en 2004.Les hommes au pouvoir sous la présidence de George W. Bush, notamment le vice-président Dick Cheney, et d’anciens chefs de la CIA disent assumer et ont multiplié les interventions ces derniers jours pour défendre leurs décisions.

Dick Cheney — Wikipédia

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Le Point – Publié le 09/12/2014 à 18:24 – Modifié le 09/12/2014 à 18:37

Un rapport accuse la CIA d’avoir menti à la Maison-Blanche et au Sénat et révèle des pratiques d’interrogatoire qui ont outrepassé la loi.

Un rapport du Sénat américain accuse la CIA de "tortures".
Un rapport du Sénat américain accuse la CIA de « tortures ». © BRENDAN SMIALOWSKI / AFP

L’usage de techniques d’interrogatoire « renforcées » par la CIA dans les années 2000, et dénoncées par Barack Obama comme de la torture, n’a pas permis de déjouer des menaces imminentes d’attentats, conclut un extraordinaire rapport du Sénat immédiatement contesté par l’agence d’espionnage. Dans 20 conclusions implacables pour la CIA, le rapport de 525 pages expurgé et publié par la commission du Renseignement du Sénat, contrôlée par les démocrates, accuse l’agence d’avoir soumis 39 détenus à des techniques brutales pendant plusieurs années, dont certaines n’étaient pas autorisées par l’exécutif américain et que le Sénat décrit en détail.

lire: http://www.lepoint.fr/monde/etats-unis-le-rapport-accablant-sur-les-tortures-de-la-cia-09-12-2014-1888297_24.php

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Guantanamo et les prisons secrètes

Les détenus dits de grande valeur ont été interrogés par la CIA dans des lieux secrets, des « sites noirs », avant d’être transférés dans la prison militaire de Guantanamo, sur l’île de Cuba, en 2006.

Un rapport parlementaire européen de 2007 accuse nommément la Pologne et la Roumanie d’avoir abrité, entre 2003 et 2005, des centres de détention secrets, respectivement à Kiejkuty, dans le nord-est de la Pologne, et à Bucarest.

Un site en Lituanie, visité par des parlementaires européens, est également soupçonné à Antaviliai, à 20 kilomètres de Vilnius.

La Thaïlande, ainsi que l’Afghanistan où l’armée américaine était en guerre, auraient aussi abrité des sites.

Les pays ne devraient pas être nommés dans le rapport sénatorial.

lire: http://www.ouest-france.fr/tortures-la-cia-ce-que-le-grand-public-savait-deja-3038692

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Solidarité Ouvrière

France TV Infos, 20 novembre 2014 :

Plusieurs entreprises européennes collaborent avec des sous-traitants à l’étranger qui asservissent, menacent et battent leurs travailleurs.

Un migrant cambodgien travaillant sur un bateau de pêche thaïlandais

35,8 millions : c’est le nombre de personnes réduites en esclavage dans le monde en 2014, d’après un rapport annuel de l’ONG Walk Free, publié lundi 17 novembre. Par « esclavage », l’étude entend principalement le trafic d’êtres humains et le travail forcé. Ce dernier est défini par l’Organisation internationale du travail comme « tout travail ou service exigé d’un individu sous la menace d’une peine quelconque et pour lequel ledit individu ne s’est pas offert de plein gré ».

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Coke en stock (LXXV) : la CIA, l’héroïne … et l’Australie (Part 3)

Publié: 18 novembre 2014 dans 36, Cannabis, Cocaïne, DCRI, DGSI, DNRED, Douane, Gendarmerie, Héroïne, Informations générales, INTERPOL, Justice, Narcotrafic, OCGRDF, OCRTIS, Police, Secret défense, Services de renseignement, Terrorisme, TRACFIN
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ciaSUITE de

Coke en stock (LXXIII) : la CIA, l’héroïne … et l’Australie (Part 1).

Coke en stock (LXXIV) : la CIA, l’héroïne … et l’Australie ( part 2).

Coke en stock (LXXV) : la CIA, l’héroïne … et l’Australie (3)
par morice
mardi 18 novembre 2014

Au sommet de la pyramide, il y a toujours quelqu’un. Et l’histoire est là pour nous remémorer des faits étonnants arrivés jadis à un magnat d’entreprise australien, lui-même héritier d’un empire de presse et qui s’était retrouvé un jour au milieu d’un énorme scandale de trafic d’héroïne entre l’Australie et les Etats-Unis, tout en réussissant à passer au travers des mailles du filet de la justice US. L’homme avait la désagréable habitude de mépriser tout le monde, de croire toutes les personnes puissent être soudoyées, et s’était promené des années entières au travers de douanes les sacs remplis de billets (il…

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