AFP, 6 janvier 2015 :
Cumulant des journées de 12 heures dans une usine électronique en Malaisie dans des conditions déplorables, Manu rêve de retourner dans son village pauvre au Népal, mais comme bien d’autres étrangers, ce « travailleur forcé » n’a pas d’échappatoire.
Son passeport a été illégalement confisqué par ses employeurs dans une usine japonaise de la banlieue de Kuala Lumpur, et il a du mal à rembourser la somme élevée qu’il a dû leur verser pour être recruté, dans l’espoir d’une vie meilleure.
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