Articles Tagués ‘armes à feu’

Le constat est sans appel. Au Maroc comme en Europe, la plupart des armes à feu utilisées dans des opérations de terrorisme ou de grand banditisme proviennent de Belgique.

Quand la Belgique se transforme en plaque tournante du trafic d’armesC’est en tout cas ce que rapporte Le360 ce lundi 24 août 2015, avec un récapitulatif des principales affaires qui démontrent que la Belgique devient une plaque tournante du trafic d’armes.

Fusil à pompe « browning » de calibre 12mm, 33 cartouches de chevrotine, mitraillette de marque « FAB » avec 4 chargeurs et 304 cartouches de calibre 7.62 mm, cinq bombes fumigènes… Voici la liste des armes saisies par les services de police chez la bande criminelle qui a tenté, le 13 août à Tanger, de braquer un fourgon de transport de fonds. Cet arsenal de guerre a été introduit au royaume par des Belgo-Marocains qui ont fait leurs emplettes en Belgique.

«Cela conforte l’amplitude de la menace provenant de la Belgique, notamment de la part d’une nouvelle génération de bi-nationaux, dont des repris de justice, pour des faits liés au grand banditisme, au narcotrafic international et au terrorisme», confie une source sécuritaire. Et d’ajouter: «C’est la preuve d’un risque patent, émanant de la Belgique, sachant que ce pays européen est apparu de manière récurrente, lors du traitement précédent d’affaires liées au terrorisme, comme une plaque tournante du trafic d’armes».

Et le journal électronique d’énumérer les affaires liées à des trafics d’armes en Belgique, où il ne serait pas compliqué de se procurer un pistolet mitrailleur avec silencieux à 1000 euros ou un automatique 9mm à 600 euros.

Cette accessibilité aux armes de guerre donne parfois lieu à des affaires dramatiques. La fusillade du musée juif de Bruxelles, perpétrée en mai 2014, qui a coûté la vie à quatre personnes en est un exemple. Encore plus proche, l’auteur du massacre  de la fusillade dans un train Thalys, vendredi 21 août, est non seulement un de ces autres Marocains extrémistes résidant en Belgique, mais en plus, il n’est pas exclu que l’arme qu’il a brandie dans le train reliant Paris à Amsterdam serait en provenance de Bruxelles.

En Belgique, ajoute le journal, le trafic d’armes prend, parfois, des proportions industrielles. En mars dernier, la presse belge avait fait état du démantèlement à Charleroi d’un réseau qui falsifiait la signature du ministre-président Wallon pour importer de grandes quantités d’armes. L’affaire de ce gang qui a agi pendant de longs mois sans être inquiété démontre un certain laxisme de la part des autorités belges dans la lutte contre ce type de trafic. Un laisser-aller dont les répercussions se ressentent souvent dans d’autres pays dont les services sécuritaires sont forcés de redoubler de vigilance.

SOURCE: http://www.tuniscope.com/article/76690/actualites/international/belgique-375223

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Près de 400 policiers ont lancé plusieurs raids dans la capitale et d’autres régions du pays, au cours desquels 600 kilos de drogue et des armes à feu ont été saisis, selon la police.

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L’opération a été ordonnée par les procureurs du Directoire du district anti-mafia (DDA) à Rome. Elle a visé les individus appartenant à la ‘Ndrangheta, un groupe criminel basé en Calabre (sud) et considéré actuellement comme la plus puissante des trois grandes organisations italiennes.

La police italienne a également retrouvé un document rare contenant les pratiques d’affiliation à la ‘Ndrangheta, ont rapporté les médias.

Selon la police, ce document secret contient toutes les procédures détaillées de l’initiation que les membres de la mafia calabraise doivent suivre pour entrer dans l’organisation, a rapporté le journal Il Messagero.

Tous les individus arrêtés devront faire face à des accusations d’affiliation à la mafia, de trafique de drogue, d’extorsion et d’utilisation d’armes à feu.

Ils sont également soupçonnés d’être impliqués dans le meurtre de Vincenzo Femia, membre important présumé de la ‘Ndrangheta tué en 2013 à Rome.

La police avait déjà arrêté trois hommes soupçonnés d’être liés au meurtre de Femia le 8 janvier.

Après les arrestations des meurtriers présumés au début du mois de janvier, un procureur spécialisé dans la lutte contre la mafia à Rome, Michele Pristipino, avait déclaré que le meurtre de Femia représentait « un avertissement pertinent concernant la présence de la ‘Ndrangheta à Rome ».

source: http://french.cri.cn/621/2015/01/20/641s418526.htm

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