Par RFI
Un Chinois a été élu ce jeudi 10 novembre à la présidence d’Interpol. Meng Hongwei succède à la française Mireille Ballestrazzi. Mais cette nomination officialisée lors de la 85ème assemblée générale organisée cette année à Bali suscite déjà des inquiétudes de certaines ONG, qui craignent qu’Interpol ne soit utilisé par la Chine pour arrêter des dissidents et des réfugiés à l’étranger.
L’élection du nouveau chef d’Interpol Meng Hongwei, inquiète les ONG, car la Chine pourrait sous couvert d’une campagne anti-corruption, exploiter l’agence de police internationale pour traquer et arrêter des dissidents ou des réfugiés à l’étranger, qui n’ont commis aucun crime selon le droit international.
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