Articles Tagués ‘Sergueï Lavrov’

Les Etats-Unis ne voient pas le trafic pétrolier entre Daech et les Turcs alors que ce pays avait vu en son temps des armes de destruction massive inexistantes en Irak… Cela serait grotesque si ce n’était tragique… (note de Danielle Bleitrach)

 "Mientras Assad permanezca en el poder será imposible detener la guerra".

« Si Assad reste au pouvoir il sera impossible d’arrêter la guerre ». | Photo : Reuters

Le Secrétaire d’Etat des Etats-Unis, John Kerry, a dit  que le fait que la Russie et l’Iran « soutiennent le gouvernement d’Al-Assad » représente une menace pour la sécurité de leur nation.

Le Secrétaire d’Etat des Etats-Unis, John Kerry, a déclaré que son pays prendra des mesures dures contre la Russie et l’Iran, si elles empêchent un changement de gouvernement en Syrie et apportent leur  soutien au Président Bashar Al-Assad.

« Si la Russie et l’Iran forment une coalition et permettent à Al-Assad  de faire échouer le processus de (…) Nous devrons prendre des mesures sévères », a dit Kerry ce samedi lors d’une conférence tenue samedi à Washington.

À cet égard, le responsable américain a déclaré que son pays ne peut autoriser que les événements se  développernt « de cette façon parce que cela  représente une menace pour la sécurité des Etats-Unis et de tous les pays d’Europe «  .

De même, il a insisté sur le fait qu’il ne peut  être mis fin au conflit en Syrie si Assad ne quitte pas le pouvoir.

« Tant que Assad restera au pouvoir il sera impossible d’arrêter la guerre », a-t-il déclaré.

Kerry a ajouté que Washington et ses partenaires cherchent à faciliter la transition en Syrie sous la supervision de l’Organisation des Nations Unies (ONU).

À la fin  novembre, le président syrien a souligné qu’al – Assad a déclaré qu’il n’y aura aucun plan de transition ou d’élections, tant que des groupes terroristes comme l’État islamique autoproclamé (AE) et le front al – Nusra,  contrôle de vastes régions du territoire syrien.

Alors que le ministre des affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a qualifié d’inacceptable d’exiger le départ du pouvoir du président syrien, Bachar al – Assad, au lieu de s’unir contre les terroristes.

DANS LE CONTEXTE

Depuis le 30 septembre, l’Aviation russe lance des attaques contre les positions des groupes terroristes en Syrie, suite à une demande du Président du pays.

Les cibles des attaques sont désignés par  les renseignements recueillis par la Russie, la Syrie, l’Irak et l’Iran.

Moscou insiste sur le fait que l’opération militaire n’est pas faite en défense du gouvernement syrien, mais contre les terroristes, alors que les Etats-Unis et ses alliés accusent la Russie de « s’efforcer de maintenir Al-Assad au pouvoir ».

Depuis mars 2011, la Syrie vit un conflit armé qui a fait plus de 250 000 morts, selon les estimations par l’Organisation des Nations Unies (ONU).

https://histoireetsociete.wordpress.com/2015/12/06/42893/

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Syrie: la France ne fait plus du départ de Bachar un préalable à une transition politique

Syrie: la France ne fait plus du départ de Bachar un préalable à une transition politique

Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius et le président de la république François Hollande à La Valette à Malte, le 11 novembre 2015 Matthew Mirabelli

A la recherche d’une entente internationale la plus large possible contre l’Etat islamique (EI), la France ne fait plus du départ du président Bachar al-Assad un préalable au démarrage d’une transition politique en Syrie.

lire: http://www.rtl.be/info/monde/international/syrie-la-france-ne-fait-plus-du-depart-de-bachar-un-prealable-a-une-transition-politique-776554.aspx

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Le 01/04 à 06:44, mis à jour à 15:53
  • Les négociations Lausanne nucléaire iranien franchi date-butoir 31 mars poursuivent qu’il possible d’en préjuger résultat

    Les négociations de Lausanne sur le nucléaire iranien ont franchi la date-butoir du 31 mars et se poursuivent sans qu’il soit possible d’en préjuger le résultat – Brendan Smialowski/AP/SIPA

    Les négociations de Lausanne sur le nucléaire iranien ont franchi la date-butoir du 31 mars, et se poursuivent aujourd’hui.

    Les négociations de Lausanne sur le nucléaire iranien ont franchi la date-butoir du 31 mars et sont entrées ce matin dans leur septième jour consécutif sans qu’il soit possible d’en préjuger le résultat, seuls Téhéran, Pékin et Moscou affichant un certain optimisme. Les discussions se poursuivent donc entre l’Iran et les six grandes puissances impliquées dans les pourparlers (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Allemagne, Royaume-Uni) pour trouver un accord encadrant les activités nucléaires de Téhéran de manière à l’empêcher de se doter de l’arme atomique, en échange d’une levée des sanctions qui lui sont imposées.

    Les pourparlers ont été suspendus durant la nuit et reprendront dans la journée. Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a fait état d’un accord de principe sur toutes les questions clés et ajouté que les négociateurs allaient commencer à rédiger un projet de texte, mais l’information a été démentie par un diplomate proche des pourparlers. Le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif a évoqué de bons progrès dans les discussions et il a dit espérer également que les délégations entreraient, mercredi, dans la phase de rédaction d’un projet d’accord. « Je pense que nous avons un large cadre d’entente, mais il reste des points à résoudre », « certains sont assez précis et techniques, et il reste pas mal de travail à faire, mais nous y travaillons et allons continuer de le faire », a résumé, mercredi matin, le secrétaire au Foreign Office Philip Hammond.
    En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/0204271120856-iran-les-negociations-se-poursuivent-sans-fabius-1107422.php?mER6o6i1HtpZc2XF.99

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  • Ministro de Asuntos Exteriores y de Cooperación de España, José Manuel García-Margallo llega por un consejo de ministro de asuntos exteriores de la UE en Bruselas, 12 de mayo 2014

    El ministro de Asuntos Exteriores y de Cooperación español, José Manuel García-Margallo, llega este domingo a Moscú.

    Durante su visita de trabajo, que se prolongará hasta el 10 de marzo, Margallo sostendrá conversaciones con su homólogo ruso, Serguéi Lavrov, el ministro de Energía Alexandr Nóvak, quien es copresidente de la Comisión Intergubernamental de Cooperación Económica e Industrial Ruso-Española, así como con empresarios españoles que operan en Rusia y representantes del exilio histórico español, los llamados niños de la guerra que abandonaron España durante la contienda civil de 1936 a 1939.

    Ucrania, uno de los temas clave

    Uno de los temas que Margallo debatirá en Moscú será la situación en Ucrania. La parte española ha destacado en repetidas ocasiones la necesidad de buscar una solución pacífica al conflicto e implementar los acuerdos de Minsk. En los últimos meses ha señalado también que es inoportuno enviar armas y medios de protección a Ucrania.

    Durante su reciente estancia en Riga, el jefe de la diplomacia española insistió en « dar una oportunidad a la paz y al diálogo, porque la única solución en Ucrania es una solución política » y « en ningún caso es una solución militar ».

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    Le président du Sénat français va rencontrer Poutine

    Gérard Larcher Feb. 25, 2015
    © Sputnik. Sergei Guneev

    Après s’être entretenu cette semaine avec des députés et des sénateurs russes, ainsi qu’avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, le président du Sénat français Gérard Larcher sera reçu par le président russe Vladimir Poutine, écrit mercredi le quotidien Izvestia. Leur entretien est prévu pour le 26 février.

    Le président du Sénat est accompagné par le représentant spécial du gouvernement français pour la Russie, Jean-Pierre Chevènement, qui pense que l’Union européenne ne doit pas provoquer les sentiments pro-européens en Ukraine.

    Alexeï Pouchkov, président de la commission des affaires internationales de la Douma (chambre basse du parlement russe), voit dans la rencontre de Gérard Larcher avec le président russe la preuve d’un manque d’unité en Europe sur la politique à mener par les gouvernements proaméricains vis-à-vis de la Russie. Pouchkov relève que le président du Sénat français représente l’opposition gouvernementale — l’UMP — et est ainsi « le deuxième homme de l’État ».

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    Une attaque terroriste s’est produite en Afghanistan

    Une attaque terroriste s’est produite en Afghanistan

    Au moins 45 personnes ont été tuées et 50 blessées dans une attaque terroriste, réalisée par un kamikaze en Afghanistan. Aujourd’hui, 21:18

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    Lavrov est arrivé à Vienne

    Lavrov est arrivé à Vienne

    Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov est arrivé à Vienne, où se déroulent les négociations entre les Six médiateurs internationaux et l’Iran sur son programme nucléaire, a rapporté RIA Novosti. Aujourd’hui, 21:15

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    Kiev retard délibérément le processus de négociation (RPD)

    Kiev retard délibérément le processus de négociation (RPD)

    La partie ukrainienne retard délibérément le processus de négociation de Minsk. Cela a été déclaré par le vice-président du Conseil populaire de la République populaire auto-proclamée de Donetsk (RPD) Dennis Pouchiline.   Aujourd’hui, 20:09

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    L’Allemagne insiste sur un changement des dirigeants du Dialogue de Saint-Pétersbourg

    L’Allemagne insiste sur un changement des dirigeants du Dialogue de Saint-Pétersbourg

    La chancelière allemande Angela Merkel insiste sur le changement des dirigeants du forum russo-allemand Dialogue de Saint-Pétersbourg, ont rapporté les médias allemands.  Aujourd’hui, 19:47

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    Des militaires israéliens ont tué un Palestinien à Gaza

    Des militaires israéliens ont tué un Palestinien à Gaza

    Des gardes-frontières israéliens ont tué un Palestinien à la périphérie septentrional de la bande de Gaza. Selon les médias locaux, il s’agit du premier cas depuis la conclusion en août de l’accord sur le cessez-le-feu indéterminé dans l’enclave.Aujourd’hui, 19:19

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    L’Allemagne est contre l’adhésion de l'Ukraine à l'OTAN et à l'UE

    L’Allemagne est contre l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN et à l’UE

    Le ministre allemand des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier s’est prononcé contre l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN et à l’UE. C’est ce qu’il a déclaré dans une interview accordée au Spiegel.  Aujourd’hui, 18:55

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    Cinq personnes victimes d'un séisme en Chine

    Cinq personnes victimes d’un séisme en Chine

    Un séisme de magnitude 6,3 qui s’est produit dans les provinces du Sud-ouest en Chine a été suivi par 95 secousses sismiques d’intensité plus faible.  Aujourd’hui, 18:24

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    Le film Leviathan a remporté le premier prix au festival de la cinématographie

    Le film Leviathan a remporté le premier prix au festival de la cinématographie

    Le film Leviathan du réalisateur russe Andreï Zviaguintsev, et son cameraman Mikhaïl Kritchman ont remporté la grenouille d’Or, le premier prix du Festival International de cinéma Camerimage. Aujourd’hui, 18:12

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    La France a déployé des chasseurs en Jordanie pour la lutte contre l’EI

    La France a déployé des chasseurs en Jordanie pour la lutte contre l’EI

    Les militaires français ont déployé ce dimanche en Jordanie six avions de chasse Mirage dans le but de lutter contre le groupe islamiste radical Etat islamique (EI) sur le territoire de l’Irak.  Aujourd’hui, 17:41

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    L'ONU a élaboré un plan de règlement de la crise en Ukraine

    L’ONU a élaboré un plan de règlement de la crise en Ukraine

    L’ONU a élaboré un plan stratégique visant à répondre à la crise ukrainienne pour les trois prochaines années. Cela a été annoncé par le chef de l’UNICEF en Ukraine, Giovanna Barberis.  Aujourd’hui, 17:09

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    Lavrov participera aux négociations entre l'Iran et les médiateurs internationaux

    Lavrov participera aux négociations entre l’Iran et les médiateurs internationaux

    Une source au sein de la délégation russe a déclaré que le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov arriverait à Vienne pour participer aux pourparlers entre l’Iran et les Six dimanche soir. Aujourd’hui, 16:43

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    Les Américains ont détruit environ 5000 obus et bombes en Irak

    Les Américains ont détruit environ 5000 obus et bombes en Irak

    L’armée américaine a détruit 4996 obus et bombes depuis l’invasion en 2004 jusqu’en 2011, rapporte le New York Times en référence à un rapport de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques.  Aujourd’hui, 16:23

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    Les USA équiperont les sunnites irakiens pour combattre contre l’EI

    Les USA équiperont les sunnites irakiens pour combattre contre l’EI

    Les Etats-Unis prévoient d’armer et de former en Irak non seulement l’armée régulière et les miliciens kurdes, mais aussi les groupes tribaux sunnites pour combattre contre le groupe terroriste Etat islamique (EI), selon le site du Pentagone.  Aujourd’hui, 15:53

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    L'Iran et les Six peuvent prolonger les discussions sur son programme nucléaire pour une année

    L’Iran et les Six peuvent prolonger les discussions sur son programme nucléaire pour une année

    Téhéran a annoncé lors des négociations avec les Six sur le programme nucléaire de l’Iran son intention de les proroger pour une autre année.  Aujourd’hui, 15:34

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    Un bus touristique de Pologne s’est renversé en Allemagne

    Un bus touristique de Pologne s’est renversé en Allemagne

    Un bus touristique de Pologne s’est renversé sur une route en Allemagne, au moins 11 personnes ont été grièvement blessées.  Aujourd’hui, 14:59

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    Le parti de Marine Le Pen a obtenu un prêt dans une banque russe

    Le parti de Marine Le Pen a obtenu un prêt dans une banque russe

    Le parti français Front National (FN) a obtenu un prêt de 9 millions d’euros à la Première Banque tchéco-russe. Les deux premiers millions d’euros ont été transférés récemment.  Aujourd’hui, 14:26

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    Un appel pour l'indépendance écossaise se fera à travers un quotidien

    Un appel pour l’indépendance écossaise se fera à travers un quotidien

    Un nouveau quotidien – The National – s’apprête à sortir en Ecosse, il sera axé sur le soutien à l’indépendance de cette partie du Royaume-Uni.  Aujourd’hui, 14:21

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    Le train transportant des fragments de Boeing se dirige vers Kharkov

    Le train transportant des fragments de Boeing se dirige vers Kharkov

    Le train transportant des fragments de l’avion de ligne Boeing malaisien qui s’était écrasé en juillet est parti de la station de Pelageïevka dans les environs de la ville ukrainienne de Torez (région de Donetsk) et se dirige vers Kharkov, d’où il ira aux Pays-Bas.Aujourd’hui, 13:36

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    Donetsk : des incendies s’étaient déclenchés à la suite des bombardements

    Donetsk : des incendies s’étaient déclenchés à la suite des bombardements

    Des incendies se sont déclenchés sur les 5 sites dans le district de Kouïbychevsky de Donetsk à la suite des tirs d’artillerie, a rapporté le service de presse du ministère des Situations d’urgence de la République populaire auto-proclamée de Donetsk (RPD).Aujourd’hui, 13:27

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    Kenya : des hommes armés ont fusillé les passagers d’un bus

    Kenya : des hommes armés ont fusillé les passagers d’un bus

    Au moins 28 personnes ont été tuées dans une attaque réalisée par des guerriers contre un bus de passagers à destination de Nairobi, rapportent les forces de l’ordre locales.

    Aujourd’hui, 11:53
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    L’Equateur a prolongé la durée de l’asile politique pour Assange

    L’Equateur a prolongé la durée de l’asile politique pour Assange

    Les autorités équatoriennes ont confirmé la prorogation de l’asile politique accordé à Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks. Il se cache à l’ambassade équatorienne à Londres depuis environ 2,5 ans.

    Aujourd’hui, 11:31
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    Les islamistes publient une nouvelle vidéo avec un otage britannique

    Les islamistes publient une nouvelle vidéo avec un otage britannique

    Les militants du groupe radical Etat islamique (EI) ont publié une nouvelle vidéo avec un otage britannique John Cantlie, dans laquelle il parle d’une opération échouée visant à sauver des prisonniers, selon les médias.

    Aujourd’hui, 11:09
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    Résolution russe sur la lutte contre la glorification du nazisme : USA, Canada et Ukraine sont contre

    Résolution russe sur la lutte contre la glorification du nazisme : USA, Canada et Ukraine sont contre

    Une résolution sur la lutte contre la glorification du nazisme a été adoptée par la Troisième Commission de l’Assemblée générale de l’ONU à l’initiative de la Russie. Seuls trois États ont été contre : les États-Unis, le Canada et l’Ukraine.

    Aujourd’hui, 10:24
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    Nucléaire iranien : Moscou juge inacceptable de faire pression sur les négociateurs

    Nucléaire iranien : Moscou juge inacceptable de faire pression sur les négociateurs

    La Russie estime inacceptable de faire pression sur les négociateurs du dossier nucléaire iranien par le biais de médias, a annoncé aux journalistes le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Riabkov.

    Aujourd’hui, 09:27
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    Sergueï Lavrov : « On ne peut pas considérer comme mauvais seulement ceux des terroristes qui assassinent des Américains »

    Sergueï Lavrov

    Sergueï Lavrov. Crédits : MID Russie

    Sergueï Lavrov revient sur les raisons profondes de l’actuelle confrontation entre la Russie et le monde occidental.

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    Piatïi Kanal : Lors du forum Seliger-2014, vous avez déclaré que les attaques de l’Occident contre la Russie avaient commencé bien avant que ne surgisse la « question ukrainienne »…

    S.V. Lavrov : Effectivement. Nous avons connu des périodes de discussions extrêmement vives, lors desquelles nos partenaires occidentaux ont tenté d’obtenir certains arrangements non sur une base d’égalité et de prise en compte des intérêts mutuels, mais à leur seul avantage unilatéral. Il y a eu également des attaques concrètes : souvenez-vous de l’« affaire Magnitski », quand nous avons été accusés de tous les « péchés mortels » et que des sanctions ont été introduites avec la plus grande arrogance contre une série de hauts fonctionnaires russes.

    Ensuite, à propos de la crise syrienne, on a accusé la Russie d’être l’unique et entière responsable du problème, pour avoir refusé de donner sa « bénédiction » au Conseil de sécurité de l’ONU afin de renverser le régime légitime. Puis, sans crier gare, ce fut le tour d’Edward Snowden de se retrouver en Russie, comme une « patate chaude », et nous ne savions que faire de cet homme parce que les Américains avaient annulé son passeport. Nous ne pouvions même pas le laisser quitter le pays sur une base légale.

    Enfin, il y a eu les Jeux olympiques de Sotchi, que nos partenaires ont tenté par tous les moyens possibles et imaginables de présenter comme l’apothéose des tentatives d’un certain « régime dictatorial autoritaire » de renforcer ses positions. Nous avons été accusés de corruption sans précédent et d’avoir dilapidé toutes nos ressources dans cet événement au détriment du développement normal de l’économie et du secteur social. Je suis absolument convaincu que, s’il n’y avait pas eu l’Ukraine, quelque chose d’autre aurait été inventé.

    Malheureusement, la vérité est que nos partenaires occidentaux ne sont toujours pas parvenus à dépasser un raisonnement de « guerre froide ». Nous nous efforçons depuis plusieurs années – et nous continuerons – de tenter de convaincre l’Occident de l’absolue nécessité de respecter les accords que nous avons obtenus au début des années 1990, puis 2000 : au moment où, dans le cadre de l’OSCE et du Conseil Russie-OTAN, a été proclamé le principe de l’indivisibilité de la sécurité. À l’époque, il avait été déclaré au plus haut niveau que la sécurité doit être égale et indivisible, et qu’aucun État ne doit renforcer sa propre sécurité sur le compte de la sécurité des autres.

    Toutefois, ce principe n’a pas été appliqué : l’OTAN a commencé de s’élargir au mépris des promesses données, on a vu le début de la création du système de « bouclier antimissile », et l’infrastructure militaire de l’Alliance s’est mise à s’approcher de nos frontières. Nous avons alors proposé de traduire ces déclarations politiques dans la langue juridique d’un accord. Mais cela nous a été refusé. On nous a expliqué que des garanties de sécurité portant obligation juridique ne pouvaient être fournies qu’aux pays-membres de l’OTAN. Et puis c’est tout – c’est-à-dire que nos partenaires occidentaux n’ont jamais voulu parler sérieusement de la moindre « sécurité égale et indivisible ». Ils voulaient seulement maintenir les lignes de séparation et les rapprocher de plus en plus de nos frontières, en appâtant par là-même les pays de l’espace post-soviétique (comme ils avaient appâté à l’époque les pays d’Europe orientale) avec des promesses de possible entrée dans l’OTAN.

    Les « têtes brûlées » dans divers pays ont compris cela comme le signal que tout était désormais permis. Ainsi, lors du sommet de l’OTAN de 2008 à Bucarest, il a été annoncé que l’Ukraine et la Géorgie allaient rejoindre l’Alliance – et quelques mois plus tard, M. Saakachvili décidait de conquérir par la force l’Ossétie du Sud, qui était une région géorgienne en état de conflit. Il y avait sur place des forces de maintien de la paix russes, géorgiennes et ossètes du Sud, ainsi que des observateurs de l’OSCE. Saakachvili a décidé d’agir de cette façon parce que l’OTAN avait promis de faire entrer la Géorgie dans ses rangs.

    Ensuite, notre partenaire l’Union européenne a tenté d’obtenir de façon unilatérale des avantages économiques grâce à la conclusion avec l’Ukraine de l’accord d’association et de libre échange, qui contredisait pour une part significative les obligations prises par ce pays dans le cadre de l’accord sur la zone de libre échange en CEI. Cette zone de libre échange fonctionnait et continue de fonctionner – et s’entendre avec l’UE sur un régime de commerce qui va à l’encontre des obligations de l’Ukraine face à nous tous était, probablement, une décision incorrecte. Le président russe V.V. Poutine l’a souligné à plusieurs reprises. Et quand l’ex-président ukrainien V.F. Ianoukovitch a déclaré qu’il voulait réfléchir encore un peu avant de signer cet accord, « Maïdan » a été organisé, et vous connaissez la suite…

    Si je reviens là-dessus, c’est pour dire que les difficultés ont commencé il y a assez longtemps ; et l’Ukraine n’est probablement que la manifestation la plus éclatante – et la plus tragique – de problèmes qui se sont créés de façon systématique sur l’étendue de nombreuses années.

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                Vous savez combien nous possédons de richesses naturelles et d’esprits brillants

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    Piatïi Kanal : On ne peut s’empêcher de se poser la question, naïve mais sincère : qu’est-ce qu’ils veulent de nous ?

    S.V. Lavrov : C’est une bonne question. Je pense que les agissements de l’Occident sont animés pour beaucoup par la nostalgie de la période qui a immédiatement suivi l’effondrement de l’URSS, de ce moment où l’on a proclamé des slogans d’amitié éternelle sur le fait que la Russie avait désormais rejoint le système des États civilisés…

    Piatïi Kanal : C’est-à-dire qu’ils avaient besoin de la Russie dans le système des États civilisés ?

    S.V. Lavrov : Évidemment – vous savez combien nous possédons de richesses naturelles, d’esprits brillants, de gens qui créent des produits, font des découvertes intéressantes… Malheureusement, beaucoup d’entre eux travaillent aujourd’hui en Occident, contribuent au bond technologique aussi bien des USA que de nombreux pays d’Europe occidentale. Mais je suis certain qu’à mesure que nous récupérons nos positions sur l’arène mondiale, à mesure du développement de notre économie, ces gens vont revenir – nous en avons déjà des exemples.

    Pour revenir à votre question, je disais qu’à l’époque, nous étions déjà considérés comme faisant partie de l’Occident, comme une chose allant de soi. Et puis, la Russie a commencé de sortir de la lourde crise financière qu’elle avait traversée, de reprendre des forces sur le plan économique, de résoudre ses questions sociales et, sur l’arène mondiale, de parler d’une voix indépendante et non plus seulement de suivre les recettes dictées depuis les capitales occidentales, et en premier lieu depuis Washington. Et vraisemblablement, cela a déplu à certains. Mais si c’est effectivement la perception d’une Russie nouvelle, sûre d’elle-même, qui a déclenché les agissements que nous observons aujourd’hui, c’est que, vraisemblablement, l’Occident n’a plus de spécialistes de notre pays dignes de ce nom.

    C’est certainement la conséquence de l’affaiblissement de la pensée qui a suivi la débâcle de l’URSS, quand on a dit que la « fin de l’Histoire » avait sonné, que l’histoire ne se développerait plus dans aucune direction et que le monde entier allait désormais vivre selon les « calibres » occidentaux. Quand ces prévisions se sont avérées illusoires, cela en a chagriné beaucoup, et ils ont commencé de rejeter sur nous leur mauvaise humeur et leurs négligences.

    Piatïi Kanal : Pourquoi, à votre avis, nous parle-t-on aujourd’hui d’un ton si hautain ?

    S.V. Lavrov : On voit se glisser ici, de plus en plus évidemment et fortement, une chose parfaitement inadmissible pour des politiciens dignes de ce nom : l’agacement personnel. Les déclarations personnifiées à l’adresse de la Russie et de ses dirigeants ne sont pas à l’honneur de ceux qui les prononcent.

    Piatïi Kanal : Le quotidien The Times a récemment publié un article qui mentionne les « ennemis de l’Occident » : l’« État islamique » et, après une virgule, la Russie. Comment devons-nous réagir à cela ?

    S.V. Lavrov : Il me semble même que nous sommes mentionnés en premier. Cela ne rentre dans aucun cadre, cela se situe tout simplement « au-delà du bien et du mal ». Au moment précis où cet article, signé B. Obama et D. Cameron, a été écrit et publié, les Américains se sont adressés à nous en nous proposant de réfléchir à la meilleure façon de collaborer dans la lutte contre le terrorisme, notamment contre ce fameux « État islamique ».

    °°°°

     Si l’on combat le terrorisme, il faut le faire en tout temps et en tous lieux

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    Piatïi Kanal : Y a-t-il en fonctionnement, à l’heure actuelle, des programmes russo-américains de lutte contre le terrorisme, le trafic de stupéfiants, la piraterie… ?

    S.V. Lavrov : Tous ces programmes ont été gelés sur l’initiative du côté américain. Mais quand l’« État islamique » est aujourd’hui déclaré « ennemi numéro un » des États-Unis, on est tenté de rappeler qu’il est constitué précisément de ces gens qui ont reçu un puissant financement de l’étranger au moment de la mise en œuvre du changement de régime en Libye et des tentatives de faire de même en Syrie. À l’époque, les Américains aussi bien que les Européens ont annoncé qu’ils soutenaient la lutte contre ce qu’ils appelaient les régimes « antipopulaires » de Libye et de Syrie. Et quand nous avons, de notre côté, attiré leur attention sur le fait que le camp des adversaires des régimes dans ces pays abritait une grande quantité de combattants extrémistes et terroristes, on nous a répondu : « Ça passera. Commençons par renverser le régime, et nous nous occuperons des terroristes ensuite. »

    Mais tout s’est enchaîné très différemment, en réalité. Les terroristes ont renversé Kadhafi en Libye puis sont passés au Mali, où ce sont les Français – qui les avaient eux-mêmes armés – qui ont dû les combattre. Les Français ne s’en sont pas cachés, ils en ont parlé publiquement.

    Mais si l’on combat le terrorisme, il faut le faire en tout temps et en tous lieux. On ne peut pas considérer des terroristes comme « bons » simplement parce qu’ils aident à renverser un leader qui ne vous plaît pas, bien qu’il ait été élu, qu’il soit légitime et qu’il dirige un État-membre de l’ONU. Et on ne peut pas considérer comme « mauvais » seulement ceux des terroristes qui assassinent des Américains.

    Je veux rappeler que les Américains n’ont commencé de réagir qu’après que la télévision a montré des images abominables de châtiments de journalistes américains. C’est une chose inadmissible et inhumaine. Ce genre d’individus, il faut les combattre de toutes ses forces. Mais pourquoi est-ce que les Américains n’ont pas vu cette menace plus tôt ? C’est parce qu’ils ont pratiqué, quant à la lutte contre le terrorisme, une approche basée sur des doubles standards. Et qu’ils ne nous ont pas écoutés quand nous avons appelé à unir nos efforts pour aider ce même gouvernement syrien à créer, en collaboration avec l’opposition patriotique modérée, un front commun contre les terroristes qui ont, au sens littéral du terme, submergé la République arabe syrienne.

    On ne nous a pas écoutés. Nous assistons aujourd’hui à la création d’une coalition de lutte contre le terrorisme. Mais je vais vous dire : nous n’avons, ici, absolument rien à nous reprocher. Depuis longtemps et sans la moindre coalition, nous aidons l’Irak, la Syrie et d’autres pays de la région à renforcer leur potentiel dans la lutte contre ce mal. Nous fournissons un armement contemporain et efficace à l’Irak, la Syrie, l’Égypte et le Yémen, un armement qui renforce, en pratique, leur capacité de résister à la terreur.

    Mieux vaut tard que jamais. Si les autres pays occidentaux sont aujourd’hui prêts à aider le gouvernement légal irakien, nous ne pouvons que le saluer. Et s’ils veulent lutter contre le terrorisme sur le territoire d’autres États, notamment la Syrie, ils devront évidemment obtenir l’accord des gouvernements correspondants. Pour parler de la Syrie, les dirigeants de ce pays ont déclaré à plusieurs reprises qu’ils étaient prêts à collaborer avec les partenaires étrangers dans la mise en œuvre de l’objectif d’éradication du terrorisme sur leur terre.

    http://www.lecourrierderussie.com/2014/10/serguei-lavrov-terroristes-americains/

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    Dossier: Règlement de la situation en Ukraine

    Soldats de la paix en Ukraine: Kiev rejette l'initiative de Moscou

    KIEV, 30 juillet – RIA Novosti

    L’Ukraine n’est pas en proie à un conflit qui exigerait le déploiement de forces de la paix, qui plus est russes, considère Valeri Tchaliy, vice-chef de l’administration de la présidence ukrainienne.

    « L’Ukraine ne traverse pas un conflit qui nécessiterait du point de vue du droit international le déploiement de soldats de la paix, qui plus est russes », a indiqué le responsable uranien, cité par le site Web officiel de la présidence.

    Plus tôt dans la journée de mercredi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a proposé au Conseil de sécurité de l’Onu d’adopter une résolution sur le déploiement de soldats de la paix russes dans la zone où un Boeing 777 malaisien s’est écrasé le 17 juillet en Ukraine.

    Crash d’un Boeing malaisien en Ukraine >>

    Le ministre russe a souligné que cette proposition était fondée sur les appels invitant la Russie à assurer l’accès des experts internationaux aux lieux de la catastrophe.

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