Articles Tagués ‘Sahara Occidental’

le monde à l'ENVERS

Le Maroc est prêt à tout pour entraver le processus inexorable qui aboutira à la proclamation de l’indépendance du Sahara Occidental, comme résultat de l’exercice par le peuple sahraoui de son droit à l’autodétermination.

MAROC M AF ETRANGERE Le ministre marocain des Affaires étrangères avec des représentants de l’Union européenne. D. R.

Le Makhzen constate que cette perspective est confirmée par des indices qui s’accumulent jour après jour. Le dernier en date étant le rappel par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, dans un de ses récents rapports, que le Sahara Occidental est un territoire non autonome. Aucun pays ne reconnaît au Maroc un titre de propriété sur ce territoire riche en ressources naturelles.

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MAROC: complicité de l’armée marocaine avec le narcotrafic dénoncé dans un nouveau livre

Publié: 23 septembre 2014 dans 1 - Revue de presse - Journaux télévisés - Videos, 36, 4 - REGALIENNES, Administration pénitentiaire, Cannabis, Cocaïne, Corruption, DNRED, Douane, Gendarmerie, INTERPOL, Justice, Narcotrafic, OCRTIS, Police, Services de renseignement, Société
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Abdelaziz Bennani Bennani, général dénoncé par l’auteur

Un ancien officier de l’armée marocaine, Abdelila Issou, âgé de 49 ans, raconte dans ses mémoires le business obscur du Général Bennani, le chef de l’Etat Major des troupes marocaines opérant au Sahara Occidental. Selon lui il aurait ouvert les portes aux cartels colombiens pour qu’ils puissent introduire la cocaïne en Espagne.
Diplômé à l’Académie Royale militaire de Meknès, il a fini par travailler pour les services secrets espagnols, CNI, avant de s’exiler en Espagne en 2000.
Dans son livre « Mémoires d’un soldat marocain La Face cachée du royaume enchanté », Issou dénonce la corruption de la plus haute hiérarchie militaire marocaine en apportant des preuves accablantes de la complicité de l’armée marocaine avec le trafic de drogue.
Le lieutenant Abdelillah Issou commandait une unité qui patrouillait entre Cap Malabata, entre Tanger et Ceuta. Sa tournée commençait tous les jours à 21h02 heures et finissait à 02h00 du matin. « En maintenant le même horaire, les trafiquants savaient que jusqu’à 21h00 et à partir de 02h00, il n’y avait aucun risque d’être importunés dans leur activité », écrit Issou dans son livre.
Devant cette apparente complicité entre ceux qui ont fixé l’horaire des patrouilles de surveillance et les narcotrafiquants qui transportait le haschisch des montagnes du Rif jusqu’à la côte pour l’embarquer à bord des hors-bord direction l’Espagne, Abdelila Issou a transmis ses doutes au Capitaine Bana qui commandait sa compagnie.
Son patron l’a alors sommé de «ne pas plus parler de l’affaire ni avec lui ni avec quiconque parce que les horaires et le calendrier est décidée par l’état-major de la Zone Sud du Sahara occidental, à 1.190 km de là selon les instructions et directives données par le général Abdelaziz Bennani « .
Source : El Mundo, 21/09/2014
DIASPORA SAHARAUI, 21/09/2014
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