Articles Tagués ‘Obama’


Maitres du Monde
Les organisations du pouvoir planétaire

Le gouvernement mondial

Au pouvoir déclinant des gouvernements des états-nations s’est substitué un nouveau pouvoir, planétaire, global, et échappant au contrôle de la démocratie. Les citoyens continuent d’élire des institutions nationales alors que le pouvoir réel a été déplacé vers de nouveaux centres.La planète est aujourd’hui dirigée par une constellation d’organisations au rôle exécutif ou politique.Les organisations exécutives se répartissent en 3 sphères de pouvoir:
– la sphère du pouvoir économique et financier
– la sphère du pouvoir militaire et policier
– la sphère du pouvoir scientifiqueLe pouvoir politique du système est exercé par une quatrième catégorie d’organisations: les « clubs de réflexion », réseaux d’influence, ou réunions de « global leaders » comme le Groupe de Bilderberg ou le World Economic Forum de Davos.Toutes ces organisations ne sont pas concurrentes mais étroitement liées et complémentaires.Elles forment un ensemble dont la cohésion est assurée par l’appartenance simultanée de certaines personnalités à plusieurs organisations. Ces personnes-clé peuvent être considérées comme lesMaitres du Monde. Quelques uns sont des leaders politiques de premier plan, commeGeorge Bush (le père) ou HenryKissinger. Mais la plupart d’entre eux sont inconnus du grand public.En observant le diagramme de ces organisations, ceux qui connaissent la cybernétique verront à quel point ce système a été ingénieusement conçu. Structurées en réseau, plusieurs organisations se partagent la même fonction, et les centres ainsi que les « circuits de commande » ont été doublés ou triplés, afin d’assurer plus de sécurité et de stabilité à l’ensemble.Ainsi, au cas où une organisation ou un lien devient inopérant, le contrôle global n’est pas menacé. Exactement comme Internet: un système sans centre unique, dont les flux d’information peuvent « contourner » un centre local hors service.
Les instances exécutives


L’OCDE , l’organisation initiatrice de l’AMI, conçoit les règles du commerce mondial et influence de très près la politique économique des pays occidentaux. Elle rassemble 30 pays développés qui « partagent les principes de l’économie de marché » Le Fond Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale dessinent l’économie et l’environnement de la planète par le biais des prêts accordés aux états du Tiers-Monde à condition qu’ils appliquent une politique économique d’inspiration ultra-libérale, au mépris des réalités humaines et écologiques. L’Organisation Mondiale du Commerce (OMC, ou WTO en anglais) fixe les règles du commerce mondial, en réduisant considérablement la marge de décision des états dans le domaine de l’économie ou de l’environnement. La Commission Européenne (ou « Commission de Bruxelles ») est le gouvernement de l’Union Européenne. Ses membres ne sont pas élus, et le public n’est jamais informé de leurs décisions. Des parts croissantes du pouvoir des états sont transférés à cette Commission qui n’est soumise à aucun contrôle démocratique. (La législation européenne représente déjà 80% des lois appliquées par les états de l’Union.)Ces transferts de souveraineté ont été réalisés par des politiciens de droite et de gauche, dans le but de faire échapper au débat public l’essentiel des décisions économiques, sociales, et environnementales.De plus, la Commission Européenne est entièrement sous l’influence des lobbies industriels qui sont les grands inspirateurs de la réglementation européenne. La politique européenne est élaborée en étroite collaboration avec l’European Round Table qui rassemble les dirigeants des grandes multinationales européennes. L’European Round Table est associée à toutes les grandes décisions en matière économique, financière, sociale, ou environnementale. Enfin, beaucoup de Commissaires Européens sont très liés à des multinationales ou à des réseaux d’influences favorables au libéralisme et à la mondialisation.

Par ailleurs, de nombreux commissaires européens sont membres du très puissant « Groupe de Bilderberg »:

– Jose Manuel Barroso (actuel président de la Commission Européenne, ancien premier ministre du portugais)
– Frits Bolkestein (le commissaire européen auteur de la « directive Bolkestein« )
– Romano Prodi (ancien président de la Commission Européenne, premier ministre italien)
– Jacques Santer (ancien président de la Commission Européenne, ancien premier ministre du Luxembourg)
– Sir Leon Brittan (vice-président de la Commission, ardent promoteur des traites AMI et NTM, ancien négociateur européen pour le GATT)
– Pascal Lamy (fervent partisan de l’AMI, et responsable de la modification de l’article 133 du Traité d’Amsterdam afin que les états donnent définitivement les pleins pouvoirs à la Commission pour la négociation et la signature des traités économiques de type AMI)
– Edith Cresson (ancien membre de la Commission, ancien premier ministre français, ancien ministre du commerce, ancien membre de la direction de Schneider)
– Emma Bonino
– Mario Monti (ex Banca Commerciale Italiana)
– Hans Van Den Broeck
– Karel van Miert
– Erkki Liikanen
– Ritt Bjerregaard

A la BCE, la Banque Centrale Européenne, on retrouve encore d’autres participants au Groupe de Bilderberg:

– Jean-Claude Trichet (président de la BCE)
– Wim Duisenberg (ancien président du directoire la BCE, ancien président de la De Nederlandsche Bank)
– Otmar Issing (membre du directoire)
– Tommaso Padoa-Schioppa (membre du comité exécutif)

 

Les « clubs de réflexion »
Le Word Economic Forum est une organisation qui rassemble les hommes les plus puissants et les plus riches de la planète. Le critère d’admission au sein de ce réseau est le niveau de pouvoir, de richesse, et d’influence du candidat, dans le domaine de l’économie, de la politique internationale, de la technologie, ou des médias. La principale réunion du World Economic Forum a lieu chaque année à Davos, en Suisse, à la fin du mois de Janvier. Tout au long de l’année, les membres les plus importants de cette organisation sont reliés par un super-réseau de vidéo-conférence, « Wellcom », qui leur permet de se concerter à tout moment sur les décisions mondiales importantes. Exactement comme dans le film « Rollerball« , qui décrit un monde futur où les cartels économiques ont pris le pouvoir et où une élite planétaire prend ses décisions lors de vidéo-conférences similaires.  Site officiel
La Trilateral Commission est un organisme de réflexion international co-fondé en 1973 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski (ancien conseiller du président Jimmy Carter). Il réunit des dirigeants des 3 zones économiques principales: Amérique du Nord, Europe de l’Ouest, Japon.  Site officiel

 

Le CFR (Council on Foreign Relations) est une organisation américaine qui rassemble des leaders politiques ou économiques de haut niveau (comme George Bush père, Henry Kissinger, ou David Rockefeller, le président du CFR). Depuis le début du 20è siècle, presque tous les présidents américains sont des membres du CFR. Le Comité consultatif du CFR comprend des représentants étrangers, comme Michel Rocard (ancien premier ministre français), Otto Lamsdorf (ancien ministre des finances allemand), Brian Mulroney (ancien premier ministre canadien), ou Lord Conrad Black (président du groupe de presse Hollinger, et par ailleurs proche de l’administration Bush).  Site officiel
Le Groupe de Bilderberg , fondé en 1954, est sans doute le plus puissant des réseaux d’influence. Il rassemble des personnalités de tous les pays, leaders de la politique, de l’économie, de la finance, des médias, ainsi que quelques scientifiques et universitaires. Pour ceux qui enquêtent sur les réseaux de pouvoir, le Groupe de Bilderberg est le véritable gouvernement mondial. Le président et co-fondateur du Bilderberg Group est David Rockefeller.
Voici les listes par pays des membres du Groupe de Bilderberg: USA, Canada, Grande Bretagne, France, Belgique, Suisse, Hollande, Allemagne, Autriche, Italie, Espagne, Portugal, Norvège, Suède, Danemark, Finlande, Luxembourg, Irlande, autres pays
Le Siècle est un club de reflexion qui rassemble les membres les plus puissants et influents de la classe dirigeante française: responsables politiques, présidents de grandes entreprises, et journalistes des médias qui « font l’opinion ».
La Fondation Saint-Simon est une organisation très similaire au Siècle. Elle s’est dissoute en 1999 après avoir beaucoup contribué à la conversion idéologique de la gauche française au libéralisme.

L’IFRI (Institut Français des Relations Internationales) est une sorte de CFR à la française. On y retrouve des politiciens de droite et de gauche, des patrons de grandes entreprises, des journalistes, et quelques universitaires.

Le Club de Rome est un « club de réflexion » de leaders politiques et économiques, principalement européens.
Les sociétés secrètes

Le Bohemians Club
Une société secrète où les puissants de ce monde se retrouvent pour d’étranges cérémonies au parfum de satanisme.

Les Illuminati sont une « élite dans l’élite » qui se réunit au sein d’une organisation secrète fondée sous sa forme actuelle au 17è siècle. Originellement, leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des Etats-Unis auraient été des résultats de leur stratégie. Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir.Le terme « Illuminati » signifie littéralement « les Illuminés » (du latin « illuminare »: illuminer, connaître, savoir)Leur symbole est présent sur les billets de 1 dollar: une pyramide dont le sommet (l’Elite) est éclairé par l’oeil de la conscience et domine une base aveugle, faite de briques identiques (la population).Les deux mentions en latin sont très significatives. « NOVUS ORDO SECLORUM » signifie « nouvel ordre pour les siècles ». En d’autres termes: nouvel ordre mondial. Et « ANNUIT CŒPTIS » signifie: « notre projet sera couronné de succès ».Un projet aujourd’hui proche de sa réalisation finale.
pour plus d’infos, voir la page Illuminati…© Syti.net, 2001
Qui sont les Maitres du Monde?…Voici quelques participants aux organisations des Maitres du Monde.Sur leur visage se lisent des caractéristiques communes: grande intelligence, subtilité, cynisme, dureté, détermination, absence de scrupules (« la fin justifie les moyens »), sans oublier cet ineffable plaisir d’appartenir à une élite et pouvoir contempler le monde vu d’en-haut…

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De haut en bas, et de gauche à droite:1
Henry Kissinger (ministre des affaires étrangères de Nixon, président de Kissinger Associates Inc.)
George Bush (ancien président des Etats Unis, ancien directeur de la CIA de 1976 à 1977)
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Philippe Jaffré (ex président d’Elf Aquitaine, ex PDG du Crédit Agricole)
Giovanni Agnelli (président de Fiat)
Michel Camdessus (ancien président de la Banque Mondiale, ex gouverneur de la Banque de France)
Jean-Claude Trichet (gouverneur de la Banque de France, président de la BCE, la banque centrale européenne)
Etienne Davignon (président de la Société Générale de Belgique)
3
Giulio Andreotti (l’homme qui a dirigé l’Italie durant presque 30 ans; impliqué dans de multiples scandales en relation avec la mafia, la loge maçonnique P2, et les attentats d’extrême droite en Italie dans les années 70)
Leon Brittan (vice président de la Commission Européenne, négociateur européen pour le GATT, ardent promoteur des traités AMI et NTM)
Hillary Clinton (sénateur du Parti Démocrate, épouse de Bill Clinton)
Tony Blair (premier ministre de Grande Bretagne)
Ernest Antoine Seillière (président des holdings Wendel Investissement et CGIP, président du MEDEF, l’organisation des chefs d’entreprise de France)
4
James Wolfensohn (président de la Banque Mondiale)
David Rockefeller (président de la Chase Manhattan Bank)
Bill Gates (président de Microsoft)
5
Franz Vranitzky (ancien Chancellier d’Autriche)
Hilmar Kopper (président du directoire de la Deutsche Bank)
Vernon Jordans (directeur général de la Banque Lazard)
Zbigniew Brzezinski (membre du CFR, ancien conseiller du président Jimmy Carter)
6
Bertrand Collomb (président de Lafarge)
Andre Levy-Lang (ex président de la banque Paribas)
Thierry de Montbrial (directeur de l’Ecole Polytechnique, membre de la Trilatérale, directeur de l’IFRI)
7
Pascal Lamy (Commissaire Européen, et fervent partisan de l’AMI)
Giulio Tremonti (ministre italien des Finances, député de Forza Italia, le parti de Silvio Berlusconi)
Maurice Lippens (président de Fortis Bank) Source http://www.syti.net/Organisations.html

source:https://internationalinformant.wordpress.com/wp-admin/post-new.php

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Toutes les actualités
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Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie

L’Histoire retiendra qu’en septembre 2013 la Russie a évité une guerre mondiale en arrêtant deux missiles de l’OTAN et en offrant à Obama une sortie honorable à la crise des armes chimiques en Syrie. De la domination sans partage des Etats-Unis on a alors basculé dans un système multipolaire plus respectueux de l’équilibre des forces. Tout n’est pas réglé, loin s’en faut. L’Empire aux abois a reporté sa soif d’expansion sur la malheureuse Ukraine et l’agression contre le régime de Bachar-el-Assad s’est poursuivie avec une férocité redoublée au nom de la « guerre contre le terrorisme ». OD

Latuff_2013_Syria_Obama_Hollande_Arab_League[Un article de The Australian Voice traduit par Diane pour Arrêt sur Info]

Les raisons officielles

Nous savons tous que les gouvernements occidentaux, emmenés par les Etats-Unis et le Royaume-Uni, se sont retournés contre la Russie. Les raisons données par les médias sont nombreuses : la Russie a essayé d’empêcher l’Ukraine de rejoindre…

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L’invasion de l’Afghanistan : un acte démocratique en façade mais une réalité bien plus sombre

À l’heure où le dernier contingent de l’armée française quitte le territoire afghan, marquant par la même le terme de quelque 13 ans de présence, les motivations premières de l’intervention américaine dans la région restent l’objet de fortes controverses. 

Lorsque l’on se met à penser à la politique entreprise par les États-Unis à l’égard de l’Afghanistan, les paroles de Napoléon Bonaparte à l’égard de la diplomatie, « la diplomatie est la police en grand costume », résonne comme une vérité impitoyable. Les « gendarmes du monde libre » comme aiment à se nommer les États-Unis depuis la fin de la Guerre froide ont adopté une stratégie diplomatique extrêmement intelligente en Afghanistan. En effet, depuis l’élection du président américain Barack Obama très peu de gens ont remis en question l’engagement de Washington en Afghanistan. Sa raison ? Selon lui, c’est là que l’organisation Al-Qaïda est retranchée et c’est la « vraie » menace pour la sécurité nationale. Néanmoins, lorsque l’on s’intéresse aux véritables raisons de l’implication étasunienne en Afghanistan, la réalité semble bien différente.

L’or noir : la raison principale de la présence américaine en Afghanistan

Projet de constrution du pipeline(1)La guerre en Afghanistan cacherait-elle autre chose ? La réponse se trouverait en partie à Houston, au Texas. En effet, en 1997 alors que George W. Bush était gouverneur du Texas, une délégation de chefs talibans venue d’Afghanistan rencontra à Houston des dirigeants de UNOCAL – groupe pétrolier californien – pour discuter de la construction d’un pipeline qui traverserait l’Afghanistan et qui acheminerait du gaz naturel depuis la mer Caspienne vers la centrale électrique à gaz naturel d’Enron à Dabhol près de Mumbai (Inde). Le jour où UNOCAL a signé la construction du pipeline, c’est la compagnie Halliburton, dirigée par Dick Cheney – futur vice-président de George W. Bush – qui a obtenu le contrat de forage dans la mer Caspienne. Les États-Unis entendaient donc obtenir la maîtrise sur ce pipeline stratégique via l’entreprise UNOCAL, mais lorsque celle-ci n’y parvint pas, les États-Unis finirent par préparer une guerre. Au moment où les militaires étaient prêts à attaquer, et qu’il ne manquait plus qu’un prétexte pour l’invasion, les événements du 11 septembre 2001 tombèrent à pic. Toutes ces «coïncidences » montrent que depuis toujours, le pétrole constitue un enjeu primordial pour les États-Unis. L’invasion de l’Afghanistan par les États-Unis peut donc être expliquée en grande partie par la volonté de Washington de contrôler l’une des régions du monde les plus riches en ressources pétrolifères.

« Le pavot est l’opium du peuple »

L’armée américaine occupe l’Afghanistan pour deux raisons principales. Premièrement Washington a la volonté de rétablir et de contrôler la plus grande fourniture mondiale d’opium des marchés internationaux de l’héroïne et utiliser la drogue comme arme contre ses adversaires Evolution de la production d'opium en Afghanistansur le plan géopolitique, tout particulièrement, la Russie. En effet, désormais, plus de terres sont consacrées à l’opium en Afghanistan que pour la culture de la coca en Amérique latine. Selon le rapport annuel de l’ONU sur les drogues, en mars 2000, l’Afghanistan était le premier producteur d’opium avec 75% de la production mondiale. En 2007, l’Afghanistan détenait près de 93% de la production mondiale

 

L’impérialisme américain : l’Afghanistan au cœur de la stratégie hégémonique américaine

Pour les États-Unis, la raison des bases aériennes américaines implantées en Afghanistan, n’est pas tant de faire disparaître les cellules d’Al-Qaïda qui pourraient avoir survécu dans les grottes de Tora Bora que d’avoir dans leur ligne de mire les deux nations du monde qui, réunies, constituent encore aujourd’hui la seule menace à leur pouvoir suprême sur le monde: la Chine associée à la Russie.

La Chine est l’économie la plus robuste du monde. La Russie, dont l’économie ne s’est pas remise de la fin destructrice de l’ère soviétique et des grossiers pillages au cours de l’ère Eltsine, possède toujours des atouts essentiels pour l’association. La force de frappe nucléaire de la Russie et son armée représentent la seule menace dans le monde d’aujourd’hui à la domination militaire des États-Unis. La Russie détient également le plus grand trésor du monde en gaz naturel et d’immenses réserves pétrolières dont la Chine a impérieusement besoin. Ces deux puissances convergent de plus en plus à travers une nouvelle organisation créée par elles en 2001, connue sous le nom d’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS). L’Afghanistan constitue donc d’un point de vue géostratégique, le meilleur emplacement pour l’armée américaine afin de contrôler ses principaux concurrents. Pour exemple, Shindand, sa plus grande base afghane, est construite à seulement 100 kilomètres de la frontière iranienne, et à distance de frappe contre la Russie et la Chine.

Al-Qaida : « un méchant au pied d’argile » ?

La vérité, concernant toute cette tromperie autour du but réel en Afghanistan, devient claire si on examine de plus près la prétendue menace d’« Al Qaïda » là-bas. Selon l’auteur Erik Margolis, avant les attentats du 11 septembre 2001, le Renseignement étasunien accordait assistance et soutien à la fois aux talibans et à Al Qaïda. Margolis affirme que « la CIA projetait d’utiliser le Al Qaïda d’Oussama Ben Laden pour inciter à la révolte les Ouïghours musulmans contre la domination chinoise, et les talibans contre les alliés de la Russie en Asie centrale ». La plupart des médias américains choisissent d’oublier le fait qu’Al Qaïda était une création de la CIA dans les années 80. Elle recrutait et formait à la guerre des musulmans radicaux de la totalité du monde islamique contre les troupes russes en Afghanistan, dans le cadre d’une stratégie élaborée par Bill Casey, chef de la CIA sous Reagan. Face à toutes ces explications, la thèse constamment avancée par les gouvernements successifs américains à propos de la guerre contre le terrorisme apparaît quelque peu fragile. En effet, les arguments relatifs au pétrole, à l’opium ou encore à l’impérialisme américain semblent bien plus explicatifs que la seule volonté d’anéantir Al-Qaida.

« En politique rien n’arrive par hasard. Si cela se produit, vous pouvez être sûr que cela a été planifié de cette façon », les paroles de l’ancien président des Etats-Unis, Franklin D. Roosevelt, dépeignent extrêmement bien les raisons de l’invasion de l’Afghanistan. Il était donc temps de mettre en exergue les réelles intentions de la superpuissance américaine qui, loin de toute volonté démocratique, avait pour but de consolider son hégémonie et de maintenir ses adversaires à distance.

Quentin Grislain

sources:

http://aujourdhuilaturquie.com/fr/linvasion-de-lafghanistan-un-acte-democratique-en-facade-mais-une-realite-bien-plus-sombre/

https://enjeuxenergies.wordpress.com/2015/01/06/linvasion-de-lafghanistan-un-acte-democratique-en-facade-mais-une-realite-bien-plus-sombre-aujourdhui-la-turquieaujourdhui-la-turquie/

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Dans l’actualité

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«Si vous êtes aux Etats-Unis depuis plus de cinq ans, que vos enfants sont citoyens américains ou résidents avec une autorisation de séjour permanente, si vous n’avez pas de casier judiciaire et que vous payez vos impôts, vous allez pouvoir demander à rester, sans craindre l’expulsion. Vous pouvez sortir de l’ombre»,  a dit le président. «Vous pourrez obtenir un permis de travail pour trois ans. Ce n’est ni une garantie de citoyenneté, ni un droit à rester ici de manière permanente», a cependant souligné Obama.

Le président américain a assuré ses adversaires que, ces trois dernières années, les expulsions de clandestins criminels avaient augmenté de 80% et que l’administration fédérale allait poursuivre ses efforts, «contre les délinquants, pas les familles; contre les criminels, non les enfants; contre les mafieux, pas contre une mère de famille qui travaille dur pour élever ses enfants».

«Si vous remplissez les critères, vous pouvez sortir de l’ombre et vous mettre en accord avec la loi. Si vous êtes un criminel, vous serez expulsé. Si vous avez l’intention d’entrer illégalement aux Etats-Unis, vos chances d’être attrapé et renvoyé viennent juste d’augmenter» a résumé le chef de la Maison Blanche.

SOURCE et PLUS sur http://www.leparisien.fr/international/etats-unis-obama-regularise-provisoirement-cinq-millions-de-clandestins-21-11-2014-4310355.php

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Mikhail Gorbachev (Reuters / Jason Reed)

Mikhail Gorbatchev (Reuters / Jason Reed)
18nov
Ce qui est sûr est queGorbatchev est orfèvre en la matière quand il déplore l’attitude des politiciens occidentaux et deObama « canard boiteux » qui est en train de mal finir  son travail de président, il est en effet difficile de faire pire queGorbatchev dernier président et fossoyeur de l’URSS. Par excès de confiance envers les occidentaux, par incapacité à mesurer ce qu’il entreprenait…Eltsine lui au moins était un vendu à la mafia et au grand capital,Gorbatchev s’est contenté d’être une réclame pour les pizzasHut. Visiblement s’il avait espéré mieux d’Obama, c’est la preuve qu’il n’a toujours rien compris ; on peut l’aimer en tant qu’individu pour cette fraîcheur d’âme, mais c’est incontestablement le plus catastrophique des hommes d’Etat.Poutine, qui  vaut mieux que lui dans ce domaine a très bien compris le message. Il sait que l’Ukraine n’est qu’un prétexte, que les occidentaux,leur médias aux ordres, leurs politiciens serviles ont décidé de sa mort comme s’il était un vulgaireSaddamHussein, ou Kadhafi…  Pas assez docile et surtout il s’agit de l’hégémonie des Etats-Unis face à l’alliance Chine-Russie, le complexe militaro-industriel réclame la guerre. Il faut être l’innocent et légèrement stupideGorby pour ne pas mesurer que cette lutte à mort est entamée et quePoutine n’a pas une minute à perdre… Il doit faire face… Nous aussi mais pour empêcher la guerre et le fascisme … (DanielleBleitrach)

U.S. President Barack Obama listens to a question at a news conference at the end of the G20 summit in Brisbane November 16, 2014. (Reuters / Jason Reed )

Le Président américain Barack Obama à l’écoute d’une question lors d’une conférence de presse à la fin du sommet du G20 à Brisbane 16 novembre 2014. (Reuters / Jason Reed)

L’ex-Président soviétique Mikhail Gorbachev a appelé le Président américain un « canard boiteux ». Commentant le récent sommet du G20 en Australie, Gorbatchev a déclaré qu’il était déçu par Obama et qu’il « espérait mieux » du leader américain.

« Obama est un canard boiteux. On ne doit pas finir son travail de manière médiocre. Il vient de décider de lancer des accusations. cela ne lui sera pas profitable, malheureusement. J’avais espéré mieux de sa part,  » a déclaré l’ancien  dirigeant de l’URSS  à radio Rusnovosti.

Gorbatchev, qui est loué dans le monde entier comme un grand défenseur de la démocratie, a utilisé le terme américain –  qui signifie un élu s’approchant de la fin de son mandat – quand il a fait état des commentaires d’Obama au sommet du G20.

S’exprimant à Brisbane la semaine dernière, où les dirigeants mondiaux étaient réunis pour le sommet, Obama une fois de plus a mis la Russie sur la liste des plus grandes menaces pour le monde – aux côté des militants de l’État islamique (IS, anciennement ISIS/ISIL) et de l’épidémie d’Ebola. Ce n’est pas la première fois que le président des Etats-Unis met la Russie à égalité avec les terroristes islamistes et le virus mortel.

Gorbatchev avait précédemment espéré que le partage des défis, tels que l’épidémie d’Ebola et la lutte contre les fascistes de l’ IS, ainsi que face aux menaces environnementales et économiques, rapprocheraient la Russie et l’Occident . «Face à des défis communs, nous pouvons encore trouver un langage commun. cela ne sera pas facile, mais il n’y a pas d’autre moyen,  »  avait dit Gorbatchev à Rossiyskaya Gazeta avant l’anniversaire de la chute du mur de Berlin.

Il est devenu depuis moins optimiste, en disant que les politiques occidentales envers la Russie, soutenues par Washington, ont mené à la crise actuelle.

Au dernier sommet du groupe des 20, l’accent habituel sur l’économie mondiale a dérivé vers la politique, avec la crise en Ukraine, devenant une des questions les plus discutées.

En concluant les réunions lors d’une conférence de presse, Obama n’a pas annoncé de changement important dans l’approche de la Russie et il a décrit ses échanges avec Poutine en marge du sommet comme «pragmatiques et francs. » Poutine, qui n’était pas présent lors des rassemblements de dimanche, en prenant prétexte d’un long vol de retour et de la nécessité d’être de retour à Moscou pour le travail le lundi matin, a déclaré qu’il était satisfait des résultats et de l’ambiance du G20. Il est vrai que neuf heures pour rejoindre Vladivostok, puis neuf heures de plus pour rejoindre Moscou : le président russe avait tout bonnement de la route à faire, on dit les indécrottables optimistes pro-occidentaux…Il y a en Russie visiblement une réserve d’innocence gorbatchévienne inépuisable… Mais fort heureusement pour eux, la tendance à la suspicion après les années de troubles avec pillage et soumission à la CIA, ont créé quelques individus facilement alertés, les communistes et d’autres… Sans parler des Chinois qui ne sont font pas eux non plus d’illusion et n’ont pas la candeur gorbatchévienne…  Le vrai problème pour nous petits peuples est de contrer cette « guerre froide » qui risque d’avoir la chaleur d’une guerre thermonucléaire est d’obtenir la paix…

L’Étiquette de « canard boiteux » de Gorbatchev n’est pas le seul plumage de canard dont Obama a été gratifié après son discours au sommet. Le sénateur libéral américain Ian Macdonald l’a désigne comme « le président canard boiteux » à propos de sa  position sur le changement climatique.

L’ancien président américain Bill Clinton a encouragé récemment Obama à ignorer les commentaires sur le « canard boiteux » et à se mettre au travail ; ce qui est sûr c’est que Clinton sait qu’il ne pourra pas rire de Poutine comme il l’a fait d’Eltsine ce sac à vin… Sa mise à mort est donc décidée… L’impérialisme des Occidentaux poussera-t-il toujours les Russes à préférer Staline à Gorbatchev? Imaginez la Russie pendant la seconde guerre mondiale ayant à sa tête Gorbatchev? (NDLT)

http://rt.com/news/206207-gorbachev-obama-lame-duck/

http://histoireetsociete.wordpress.com/2014/11/18/obama-est-un-canard-boiteux-commentaire-de-gorbatchev-apres-le-g20/

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Albert Soued – Obama : Six ans de dégâts au Moyen-Orient
Obama a pris le parti d’installer la Confrérie des Frères Musulmans au pouvoir au Moyen Orient, partout où l’opportunité se présentait. Il s’est entouré d’une dizaine de conseillers musulmans plus ou moins affiliés à la Confrérie. Les émeutes du Caire de l’automne 2011 ne cherchaient qu’à démocratiser le pays. Sous l’impulsion d’Obama, Moubarak a démissionné en février 2012, laissant la rue aux salafistes de la Confrérie qui se sont vite emparés du pouvoir. Pendant un an, le président Morsi a fini de saigner le pays, tout en réprimant la minorité chrétienne copte, dont 200.000 membres ont quitté le pays. Au grand dam de l’équipe Obama, le peuple pacifique s’est révolté en masse contre les exactions de la Confrérie, plus de 30 millions d’Égyptiens étant descendus dans la rue, ce qui est exceptionnel. En opposition avec Obama, l’armée avec le général Abdel Fattah al Sissi a repris le pouvoir pour ramener le calme dans le pays.

« Combien d’argent, sur l’immense dette publique américaine de 17 000 milliards de dollars, se trouve aujourd’hui sur les comptes de quelques centaines de propriétaires des groupes militaro-industriels en Amérique?« 

Obama, débiteur insolvable

Barack Obama© REUTERS/ Jonathan Ernst/Files

15:36 16/10/2014
Par Valentin Zorine, commentateur politique

L’enfer est pavé de bonnes intentions. Barack Obama en était plein, lui aussi, quand il a décidé de devenir président des Etats-Unis. Dans son programme électoral, il avait promis d’améliorer significativement les relations russo-américaines, très détériorées par l’administration républicaine Bush-Cheney.

Obama et Joe Biden, devenu vice-président, sont à l’origine de la notion de « redémarrage » dans les relations entre les USA et la Russie. Mais Hillary Clinton, qui briguera certainement la succession d’Obama à la prochaine présidentielle, s’est trompée de bouton: elle a appuyé sur « surcharge », au lieu de « redémarrage ». C’est aujourd’hui un symbole sinistre.

Mais ni surcharge ni redémarrage n’ont eu lieu. Aujourd’hui, alors que le second mandat présidentiel de Barack Obama touche à sa fin, les relations russo-américaines sont probablement au plus bas depuis des décennies.

Pourquoi les bonnes intentions d’Obama (à supposer qu’elles aient été sincères) n’ont pas pu se réaliser?

Pour répondre à cette question, reportons-nous aux propos de Dwight Eisenhower, président américain et héros de la Seconde Guerre mondiale, prononcés en 1961 quand il quittait la Maison blanche dans son discours d’adieu. « Le complexe militaro-industriel est la conjonction d’un immense establishment militaire et d’une vaste industrie de l’armement, qui est une nouveauté dans l’histoire de l’Amérique. L’influence économique, politique et même spirituelle d’une telle conjonction se ressent dans chaque ville, dans chaque Etat, dans chaque département du gouvernement fédéral. Nous devons nous prémunir contre son influence illégitime », avait déclaré Eisenhower.

Les années qui ont suivi ont montré que les mises en garde de ce général et président expérimenté n’avaient pas été entendues. Le complexe militaro-industriel s’est transformé en principale force déterminant aujourd’hui la politique aussi bien nationale qu’étrangère de l’Amérique.

La promesse solennelle du président Obama de réduire considérablement les programmes militaires et la course aux armements, insurmontable pour l’économie américaine, s’est retrouvée dans les grandes archives des paroles non tenues par Washington après la forte opposition du congrès américain, contrôlé par les protégés des groupes militaro-industriels. Le résultat est éloquent: les dépenses militaires des USA dépassent aujourd’hui celles de tous les autres pays du monde réunis.

Pour le justifier il fallait inventer un ennemi: c’est la Russie qui s’est vu attribuer ce rôle. Alors inutile de parler de redémarrage, de bonnes intentions et d’engagements tenus.

Combien d’argent, sur l’immense dette publique américaine de 17 000 milliards de dollars, se trouve aujourd’hui sur les comptes de quelques centaines de propriétaires des groupes militaro-industriels en Amérique?

C’est l’un des secrets les mieux gardés du monde.

Mais ces gens-là ne sont certainement pas débiteurs. Alors que le 44e président des Etats-Unis d’Amérique, Barack Hussein Obama, si.

Il est même insolvable.

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Ras-le-bol russe, l’UE à la croisée des chemins

Un article d’Entrefilets.com.

Ras-le-bol russe, l'UE à la croisée des chemins

« Cette fois, les Russes en ont marre. L’interminable campagne d’agressions du Bloc atlantiste, jusqu’à la vulgarité des injures proférées ces derniers jours, ont convaincu Moscou qu’il n’y avait plus rien à espérer de l’Ouest. Le dégel n’est plus à l’ordre du jour. Pourtant connu pour sa pondération, le premier ministre Medvedev l’a signifié en s’interrogeant publiquement sur la «santé mentale» d’Obama après que celui-ci ait osé ranger la Russie dans la catégorie des «menaces contre l’humanité», avec Daesh et l’Ebola (1). Poutine himself a ensuite été jusqu’à lancé un avertissement, certes encore à fleuret moucheté mais néanmoins très clair, sur un risque de conflit nucléaire (2). Sourd et aveugle, le Bloc atlantiste n’a rien compris de ce revirement. La rupture entre les deux géants est pourtant consommée (3). Coincée entre les deux, l’Europe est à la croisée des plus importants chemins de son Histoire.

Trois grandes options

«Toutes les options sont sur la table», aiment à répéter à l’envi les va-t’en guerre de l’Empire. Nous, nous dirions que les options qui restent se réduisent désormais à peau de chagrin.

Constat préliminaire : Les Etats-Unis sont effrayés par leur déclin et la montée en puissance des pays du BRICs. A travers l’agression en cours de la Russie, c’est aussi la Chine qui est visée, une Chine qui vient d’ailleurs de devenir la première puissance économique mondiale (4).

L’agression de la Russie, planifiée bien avant l’Ukraine (5) (campagne de dénigrement dès 2011), n’a jamais eu pour seul objectif que d’empêcher la constitution d’un bloc concurrent Euro-Asiatique qui entraînerait instantanément l’effondrement de la puissance US. La stupidité et la compromission des élites européennes, ajoutées aux troubles calculs allemands (6), ont permis le succès du plan américain jusqu’ici.
Sauf qu’au lieu d’affaiblir la Russie, cette nouvelle donne l’a convaincu de se détourner définitivement de l’Ouest et d’accélérer comme jamais la réorientation de sa politique vers un partenariat complet avec la Chine (7) et les pays du BRICs en général.
Partant, trois grandes options restent sur la table.

Première option, la pire de toute, que nous évacuons d’entrée de jeu un peu par superstition : l’Occident poursuit dans son hystérie jusqu’au-boutiste et la conflagration survient. Les Etats-Unis s’imaginent peut-être que, comme avec la Seconde Guerre mondiale, ils vont pouvoir tirer leurs marrons du feu à moindre coût et emporter la mise en pilotant Trente nouvelles Glorieuses. Sauf que leurs marrons aussi risquent fort d’être irradiés et qu’en vérité, tout a de forte chance de s’arrêter dans un grand éclair blanc pour tout le monde. Fin de la partie.

Deuxième option, le plan US marche, la Russie, ratant sa réorientation vers l’Est, s’effondre à nouveau lamentablement ; la Chine apeurée se soumet d’instinct aux vertus occidentales après quelques coups de parapluie ; et le Bloc atlantiste renait comme un seul homme de ses cendres à la tête du meilleur des mondes avec, tout en haut, juste sous le soleil, un eurodollar qui flamboie pour mille ans.
Vous y croyez ?
Moi non plus.

Troisième option : le plan US échoue, l’Europe se ressaisit ou éclate et la Russie, avec le soutien des pays BRICs, réussit à faire mourir l’Empire dans son lit (8). C’est le basculement «en douceur» des centres de pouvoir de la planète et l’arrivée de l’Asie aux commandes. On peut compter sur le réalisme des Russes et des Chinois pour offrir ensuite une session de repêchage à l’Europe, mais plus l’Europe sera restée solidaire de son geôlier américain dans sa chute, plus l’addition sera salée.

Presque en post scriptum, ont pourrait aussi ajouter une quatrième option, sorte de cadeau Bonus de l’Empire du Chaos, avec un lent pourrissement de toutes les situations dans le plus complet désordre et, à terme, l’effondrement global du Système sans passation de pouvoir aucune.

Toutes les options sont en effet sur la table.
Toutes impliquent un gigantesque séisme ».

Entrefilets.com, le 17 octobre 2014

(1) Medvedev pose la question de la santé mentale d’Obama

(2) L’avertissement de Poutine : “We hope that our partners will realize the futility of attempts to blackmail Russia and remember what consequences discord between major nuclear powers could bring for strategic stability.”

(3) Niet à la coopération contre Daesh

(4) La Chine, désormais première puissance économique mondiale

(5) Enfumage ukrainien: contre-propagande

(6) Les troubles calculs allemands

(7) Vers la création d’un bouclier antimissiles russo-chinois ?

(8) L’empire, le docteur Kübler-Ross et la Syrie

SOURCE: http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2014/10/19/ras-le-bol-russe-lue-a-la-croisee-des-chemins/

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– Al-Moallem meets UN Secretary-General, Cuban, Ecuadorian FMs in New York
– Lavrov discontent over Obama’s stance of Syria
– Army achieves advance towards Douma, eliminates terrorists across country
– Damascus Jasmine Bazaar inaugurated at Luxury Palace Hall in Damascus

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Obama recevra Benjamin Nétanyahou le 1er octobre à la Maison Blanche

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avec Barack Obama à la Maison Blanche le 30 septembre 2013

Benjamin Nétanyahou est attendu à la Maison Blanche le 1er octobre.
Le président américain Barack Obama recevra le Premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou le 1er octobre à la Maison Blanche, a-t-on appris ce lundi, en pleines négociations entre Washington et Téhéran sur le programme nucléaire de l’Iran.
La rencontre, qui devrait porter sur ce contentieux entre Israël et les Etats-Unis, a été annoncée par Caitlin Hayden, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, le cabinet de politique étrangère de la présidence américaine. Benyamin Nétanyahou a mis en garde ce dimanche les pays occidentaux contre un allègement des sanctions contre l’Iran pour son programme nucléaire controversé, en contrepartie du soutien de la République islamique à la lutte contre le groupe Etat islamique (EI).

Lire l’article complet sur rtl.fr

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Israël: élimination des ravisseurs des 3 jeunes

Israël: élimination des ravisseurs des 3 jeunes
Les forces de sécurité israéliennes n’ont pas encore confirmé la mort de Kawasmeh et Abou Eisheh
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Premières frappes aériennes des Etats-Unis et ses alliés contre l’Etat islamique en Syrie
L’armée américaine et des forces de « nations partenaires » mènent une action militaire contre les terroristes de l’EIIL en Syrie, a indiqué le porte-parole du Pentagone. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme, le raid a fait plus de vingt victimes dans les rangs djihadistes.
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Le Danemark menace de sanctionner Israël
Copenhague et l’UE reconsidèreront leurs liens économiques si Jérusalem ne met pas du sien dans les négociations au Caire
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Danemark: un élu appelle à la dénonciation
Un responsable de la droite populiste au Danemark a défendu aujourd’hui sa décision de créer un site invitant les internautes à partager les « problèmes » qu’ils ont avec des Européens de l’Est, qu’il s’agisse de cambriolages ou de dumping salarial.
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Random Candidate

  • Helicopter Marine One made surprise stop on President’s trip from Newport
  • ‘How cool is this? Spectacular!’ he exclaimed as he walked among stones

Dwarfed by history: The President was given privileged access to wander among the stones themselves

Glad you enjoyed your ride on my helicopter, Mr. President.  You’re welcome.

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uncitoyenindigné

PEPERE

         L’un est cool,                           l’autre est un guerrier,         lui c’est pépère.

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Allain Jules

Barack Obama Barack Obama

WASHINGTON DC, Etats-Unis – Pour combattre le Gouvernement syrien, ils ont mis sur pied l’Etat islamique (EI), ex Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL). La bête a échappé à son maître. Ce dernier, face à ses échacs en Syrie a retourné ses canons vers l’Irak. Or, ici, les intérêts américains sont très nombreux. Du coup, avec la même hypocrisie et le même cynisme, alors qu’ils ont validé le carnage syrien par ces groupes terroristes, le président des Etats-Unis Barack Obama a annoncé jeudi qu’il avait autorisé des parachutages humanitaires en Irak et, si nécessaire, des frappes aériennes ciblées contre les jihadistes pour éviter un « génocide » des minorités menacées par l’Etat islamique. Si ces hypocrites avaient un tant soit peu suivi le président syrien Bachar al-Assad, on n’en serait pas là.

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Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie

usa guerre chaos tyrannie« L’Empire américain est doublement engagé, au plan économique et monétaire d’une part et au plan stratégique et géopolitique d’autre part, pour tenter de ralentir son déclin, dans une entreprise systématique de destruction de ses adversaires comme de ses supposés « alliés ».

Au plan économique et monétaire, les manipulations domestiques et internationales auxquelles se livrent les USA (via leur Federal Reserve et leurs grandes banques « too big to fail ») sur la plupart des paramètres (statistiques faussées) et des actifs (monnaie, taux d’intérêt, actions, obligations, etc. « dirigés ») ne sont plus à démontrer, de telle sorte qu’il n’y a plus un seul marché libre dans le monde entier dont on puisse connaitre précisément la situation réelle !

Quant au plan stratégique et géopolitique, les USA, visant à empêcher toute alliance entre l’Europe et la Russie (toujours leur obsession du contrôle du « heartland » eurasien !) comme à saboter l’émergence de toute solution pacifique au Moyen…

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histoireetsociete

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«La dernière décennie du XXe siècle a connu un changement tectonique dans les affaires mondiales. Pour la première fois, une puissance non-Eurasienne a émergé, non seulement comme un arbitre clé des relations de pouvoir en Eurasie, mais aussi comme pouvoir suprême dans le monde. » (p. xiii)

http://www.les-crises.fr/reprise-le-dilemme-de-poutine/

« Maintenant, une puissance non-Eurasienne est devenue prééminente en Eurasie. – Et la primauté mondiale de l’Amérique dépend directement de la durée et de l’efficacité de sa prépondérance maintenue sur le continent eurasiatique » (p.30)
Extraits du livre Le Grand Échiquier : la Primauté Américaine et ses Impératifs Géostratégiques, Zbigniew Brzezinski, Basic Books, 1997

« On nous avait promis à Munich, après la réunification de l’Allemagne, aucune expansion de l’OTAN n’aura lieu à l’Est. Ensuite, l’OTAN s’est élargie en ajoutant les anciens pays du Pacte de Varsovie, les anciens pays de l’URSS, et j’ai demandé: “Pourquoi faites-vous cela ? ” Et ils…

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http://civilwarineurope.com/2014/06/20/breaking-news-selon-des-sources-russes-la-russie-serait-prete-a-envoyer-10-000-hommes-en-ukraine-pour-separer-les-belligerants/

http://civilwarineurope.com/2014/06/20/le-gouvernement-de-kiev-annonce-a-linstant-un-cessez-le-feu-unilateral/
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RIA NovostiUkraine: plusieurs milliers de militaires russes à la frontière (Otan)Ukraine: plusieurs milliers de militaires russes à la frontière (Otan)

17:45 19/06/2014 L’Otan constate que plusieurs milliers de soldats russes sont déployés le long de la frontière avec l’Ukraine, a déclaré jeudi à Londres le secrétaire général de l’Alliance Anders Fogh Rasmussen.>>

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RIA NovostiUkraine: Moscou doit exclure tout envoi de troupes (Kiev)Ukraine: Moscou doit exclure tout envoi de troupes (Kiev)

19:49 20/06/2014 Toute démarche visant à relancer le dialogue entre l’Ukraine et la Russie ne sera possible que lorsque le Conseil de la Fédération (sénat russe) aura retiré au président Vladimir Poutine l’autorisation d’envoyer des troupes en Ukraine, estime le chef adjoint de l’administration du président ukrainien, Valeri Tchaly.>>

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A quoi ça sert d’acheter des villas à Marbella ou à Saint-Tropez alors que la Palestine croule sous la misère ?

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Ce sont des imposteurs qui servent les extrémistes et les Etats-Unis…

Allain Jules

Barack Obama Barack Obama dans le Dakota du Nord

WASHINGTON – Face à l’avancée fulgurante des djihadistes, l’armée régulière irakienne s’est dite prête à mener une action d’envergure au nord de Bagdad. Alors même que l’Irak est asphyxiée par les terroristes -ces alliés américains qui ont trahi leur pays, Saddam Hussein aussi, voilà le résultat. Pire, les autorités actuelles, achetées par les Etats-Unis, faisaient partie du complot contre leur propre pays. Sans surprise, hier, le président Obama a déclaré qu’il envisage une nouvelle aide militaire pour aider les forces de sécurité débordés de l’Irak, mais, à une seule condition. Selon Obama il faut que le « gouvernement chiite de l’Irak » -voyez bien la précision de l’obédience religieuse-, s’engage à mener des réformes politiques importantes. 

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