Articles Tagués ‘Mariano Rajoy’

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François MUSSEAU (MADRID, de notre correspondant)

25 mai 2015 à 07:27 (Mis à jour : 25 mai 2015 à 09:58)
 Les partisans de Ada Colau à Barcelone le 24 mai 2015
Les partisans de Ada Colau à Barcelone le 24 mai 2015 (Photo Quique Garcia.AFP)
Les élections municipales et régionales dimanche en Espagne ont été marquées par la très forte poussée des listes Podemos et un net recul du Parti populaire au pouvoir.

«L’effet Cameron» n’a pas fonctionné en Espagne. Si, au Royaume-Uni, la bonne conjoncture économique a récemment permis au parti au pouvoir de se maintenir, le chef du gouvernement Mariano Rajoy, qui avait tout misé sur la «lente récupération» et de «bons indicateurs» (croissance à 2,8%, baisse sensible du chômage…), n’a pas récolté les marrons du feu. Certes, le Parti populaire, au pouvoir depuis 2011, est en tête du scrutin, mais il avec 10 points et 2,5 millions de voix en moins par rapport aux dernières élections. Il perd la majorité absolue dans toutes les régions et…

Lire la suite: http://www.liberation.fr/monde/2015/05/25/ada-colau-une-indignee-qui-pourrait-diriger-barcelone_1316098

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A la Une de « l’heure du crime » de Jacques Pradel, les révélations d’un journaliste d’investigation sur un des plus grands secrets de la République…

Comme le secret est en train d’être éventé, on peut dire aussi qu’il s’agit d’un des grands tabous de la cinquième République : l’existence d’un groupe ultra secret de tueurs professionnels qui exerceraient, au nom de la France une sorte de droit de représailles de l’Etat, face à ses ennemis, par exemple les terroristes qui menacent depuis de longues années nos institutions…La décision de créer ce groupe au sein du service action de la DGSE aurait été prise après l’affaire du Rainbow Warrior, au milieu des années 80. Les Présidents de la République qui ont succédé à François Mitterrand ont toujours nié officiellement l’existence de ce groupe, baptisé « Alpha » dont certains membres ont accepté de parler à mon invité, Vincent Nouzille qui publie son enquête dans un livre qui vient de paraître aux éditions Fayard.

Avec lui, nous allons revenir sur cette guerre de l’ombre dont les échecs ou les victoires ne sont jamais officiellement revendiqués..

Vincent Nouzille a passé trois ans à recueillir les témoignages d’anciens ou d’actuels membres des services de renseignements français. Il en sort un ouvrage époustouflant, où la réalité semble parfois dépasser la fiction.

C’est en 2002 qu’un événement lui met la puce à l’oreille : deux agents de la DGSE sont arrêtés en Espagne, alors qu’ils transportaient des faux passeports et un vrai arsenal de guerre… Ces agents, bien plus secrets que des agents secrets, faisaient partie de la « Cellule alpha »… Une appellation que le journaliste a tenté de comprendre, et de mettre à jour. Une cellule constituée d’une dizaine d’électrons libres, capables de mener des doubles vies sans éveiller l’attention, et de tuer sans poser de questions. Ce dispositif, créé sous Mitterrand, a été utilisé par tous les présidents depuis.

A commencer par François Hollande…

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Philippe Rondot à son arrivée le 11 décembre 2007 au pôle financier du palais de justice de Paris.

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L’ex-numéro un du FMI, Rodrigo Rato,  est aussi mis en cause dans un autre volet judiciaire touchant à Bankia. Il est poursuivi pour escroquerie, détournement de fonds et falsification des comptes lors de l’entrée en Bourse de la banque en juillet 2011.

Cartes bancaires occultes en Espagne: Rodrigo Rato, ex-patron du FMI, inculpé

Libération.fr – 16/10/2014 – AFP

L'ex-patron du FMI, Rodrigo Rato, quitte le 16 octobre 2014 le tribunal à Madrid, dans le cadre d'un scandale de cartes bancaires L’ex-patron du FMI, Rodrigo Rato, quitte le 16 octobre 2014 le tribunal à Madrid, dans le cadre d’un scandale de cartes bancaires (Photo Dani Pozo. AFP)

Safaris, objets d’art, bijoux, maroquinerie de luxe et restaurants payés avec des cartes bancaires professionnelles: le dernier scandale judiciaire en date en Espagne touche quelque 80 personnalités de la classe dirigeante, y compris l’ex-patron du FMI Rodrigo Rato dont l’inculpation a été confirmée jeudi.
L’ex-directeur général du Fonds monétaire international (2004-2007) a été auditionné pendant environ deux heures jeudi après-midi par le juge Fernando Andreu de l’Audience nationale, la juridiction chargé des affaires financières à Madrid. Il a été accueilli à son arrivée par des manifestations qui l’ont traité de «voleur».

Le juge, après avoir confirmé son inculpation pour infraction au droit des sociétés, lui a donné trois jours pour verser une caution de trois millions d’euros, faute de quoi ses biens pourraient être saisis, a indiqué une source judiciaire.

Fernando Andreu a aussi entendu l’ex-directeur financier de Caja Madrid, Ildefonso Sanchez Barcoj, et l’ex-directeur de Caja Madrid de 1996 à 2009, Miguel Blesa. Rodrigo Rato lui avait succédé au moment où Caja Madrid fusionnait avec six autres caisses d’épargne pour donner naissance à Bankia en 2010.

M. Barcoj s’est défendu d’avoir mis en place ce système de cartes bancaires occultes et a expliqué au juge que l’argent dépensé l’a été uniquement pour des frais de représentation, selon une source judiciaire. M. Rato, qui aurait dépensé 99.000 euros, a lui déclaré qu’il considérait que l’usage de ces cartes faisait partie de sa rémunération et que les sommes tirées étaient déduites de son salaire, selon une source judiciaire.

Miguel Blesa, lui, doit régler une caution de 16 millions d’euros.

Le scandale éclabousse aussi bien la classe politique que des responsables syndicaux et du monde économique, mettant notamment en difficulté le Parti populaire (PP) au pouvoir (conservateurs), dont est issu Rodrigo Rato.

Il suscite aussi l’indignation dans un pays où un quart de la population active est au chômage et tombe mal pour le gouvernement près d’un an avant les prochaines élections générales.

Le chef du gouvernement, Mariano Rajoy a assuré mercredi avoir fait «tout ce qu’un gouvernement doit faire» dans cette enquête, qualifiée par le petit parti Izquierda plural (Gauche plurielle) de la plus grande faute de la démocratie».

– De grosses sommes d’argent retirés en liquide –

Quatre-vingt-six dirigeants et membres du conseil d’administration ont reçu entre 1999 et 2012 des cartes de crédits de Caja Madrid puis de Bankia et 83 d’entre eux les ont utilisé pour des achats d’un total de 15,5 millions d’euros.

Dans le cas des dirigeants, ces cartes «B», le nom donné par la presse, venaient s’ajouter à leur carte de crédit professionnelle officielle. Les membres du conseil d’administration, eux, ne disposaient que de cette carte pour payer leurs frais de représentation, selon une source proche du dossier.

Mais dans certains cas, leurs bénéficiaires s’en sont servis pour bien d’autres choses. Miguel Blesa, avec un salaire annuel d’environ trois millions d’euros, s’est offert des safaris en Afrique pour 9.000 euros et a dépensé 10.000 euros en vin, rapporte la presse.

D’autres ont retiré des centaines de milliers d’euros en liquide, acheté des bijoux, des vêtements de luxe, de l’électro-ménager, réglé restaurants et hôtels avec ces fonds dont l’origine reste inconnue, détaillent les journaux.

Certains ont remboursé les sommes dépensées. Les démissions se sont multipliées.

Rodrigo Rato a, lui, rendu près de 55.000 euros, sur 99.000 euros, selon un audit interne mené par Bankia. Cet audit a été transmis au parquet, entraînant l’ouverture d’une information judiciaire.

L’affaire pourrait coûter à l’ancien ministre de l’Économie ses postes actuels de conseiller dans plusieurs grandes entreprises. Il n’a cependant pas pour l’instant été écarté du PP, qui a créé une commission interne pour décider de l’avenir de ses 16 membres mis en cause. Le parti socialiste PSOE a fait le ménage en expulsant dix de ses membres.

L’ex-numéro un du FMI est aussi mis en cause dans un autre volet judiciaire touchant à Bankia. Il est poursuivi pour escroquerie, détournement de fonds et falsification des comptes lors de l’entrée en Bourse de la banque en juillet 2011.

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Jamais deux sans trois… indécents financiers, empêtrés dans des malversations financières, et donneurs de leçons aux gouvernants de la planète…

sources:

http://resistanceinventerre.wordpress.com/2014/10/20/cartes-bancaires-occultes-en-espagne-rodrigo-rato-ex-patron-du-fmi-inculpe/

http://www.liberation.fr/monde/2014/10/16/espagne-rodrigo-rato-ex-patron-du-fmi-convoque-dans-un-scandale-aux-cartes-bancaires_1123385

Sus Majestades los Reyes han presidido esta mañana el desfile militar que, con motivo del Día de la Fiesta Nacional, ha reunido a 3.000 militares, una cincuentena de aviones y 42 vehículos motorizados en el madrileño eje Prado-Recoletos.

Sobre las 11:10 h ha comenzado el acto, primero de estas características con Don Felipe como Rey, cuando Su Majestad pasó revista a las fuerzas. Felipe VI vestía su uniforme de capitán general del Ejército del Aire, que el pasado martes cumplió su 75 aniversario.

Doña Letizia, con vestido de color verde-olivo, la Princesa de Asturias y la Infanta Sofía -que han asistido por vez primera a este acto castrense- han acompañado al Rey en un acto que ha contado con una tregua meteorológica tras las intensas lluvias de la noche anterior en la capital.

Tras el izado de la Bandera y el homenaje a los que dieron su vida por España ha comenzado el desfile aéreo, que se recuperó tras dos años de ausencia por los recortes presupuestarios.

El propio Felipe VI ha sido el encargado de depositar la corona de laurel en homenaje a los fallecidos, estando acompañado por el jefe de Estado Mayor de la Defensa, almirante general Fernando García Sánchez. El pasado año Don Felipe presidió este mismo acto pero entonces como Príncipe.

Al desfile ha asistido el Gobierno con Mariano Rajoy a la cabeza y todos sus ministros excepto el de Economía, Luis de Guindos, de viaje oficial en Washington. Todos los presidentes autonómicos han asistido excepto Artur Mas (Cataluña), Iñigo Urkullu (País Vasco) y Javier Fernández (Asturias).

La exhibición aérea se inició con la pasada de dos aviones de combate F-18 del Ala 12. A continuación una representación de unidades de caza ha sobrevolado la zona de la parada con un Eurofighter del Ala 11, un F-18 del Ala 15 y un F-5 del Ala 23.

A continuación desfilaron patrullas acrobáticas de la Fuerza italiana, las españolas Águila y Aspa y otros aparatos del Ejército del Aire español como el Hércules C-130, el apagafuegos Canadair o helicópteros Súper Puma.

Al paso de los aviones se ha podido ver cómo los Reyes explicaban a la Princesa y la Infanta algunas características de los aparatos. Todos ellos, arropados por los cientos de asistentes que, con banderas españolas, han asistido atentos a este desfile.

El desfile terrestre, mandado por la Brigada Acorazada «Guadarrama» XII, ha sido presidido por Felipe VI en todo momento de pie al paso de las distintas unidades. Entre ellas, veteranos, reservistas, alumnos de academias, Legión, Regulares, Paracaidistas, Inmemorial del Rey, Infantería de Marina, Cazadores de Montaña, unidades del Ejército del Aire y Guardia Civil, entre otras.

El desfile terrestre ha concluído pasado el mediodía. Los Reyes se han dirigido al Palacio Real donde han ofrecido la tradicional recepción a la que este año están invitados 1.500 personas.

Fuente: http://www.abc.es/espana/20141012/abci-fiesta-nacional-desfile-201410121206.html

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Résistance Inventerre

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Dans son combat contre le séparatisme catalan, Mariano Rajoy, le président du gouvernement espagnol, s’est trouvé un allié en la personne de… Pedro Sanchez, le nouveau chef de file du PSOE (Parti socialiste, opposition).
A l’issue d’une réunion « cordiale » de plus de deux heures, lundi au palais de la Moncloa, les deux dirigeants ont fait part de leur identité de vues sur cet épineux dossier. Pour eux, pas question d’avaliser le référendum d’autodétermination voulu par Artur Mas – leader indépendantiste, avec lequel M. Rajoy doit s’entretenir ce mercredi – dans la mesure où celui-ci, prévu le 9 novembre, est « illégal ».
Avant même cette première prise de contact, M. Rajoy avait réaffirmé que la souveraineté nationale était « indivisible et inaliénable » (Publico) ; une ligne rouge fixée, selon lui, par la Constitution de 1978, qui garantit l’unité de l’Etat tout en accordant une large autonomie aux…

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