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THE INFORMANT
Dans ce "blog-info" de Marc Fievet AKA "NS 55 DNRED", les articles sont reblogués dans le seul but d'informer!
Deux hommes ont été tués par balles mardi soir dans un quartier populaire de Rennes, dans ce qui pourrait être un règlement de comptes lié à un trafic de drogue. Lire 0000
La police norvégienne a annoncé jeudi la saisie d’environ 800 kg de cocaïne cette semaine à Oslo dans une cargaison de fruits, a priori un record dans le pays scandinave. Lire 0000
Les autorités colombiennes ont arrêté 52 personnes liées au trafic international de stupéfiants lors d’une vaste opération soutenue par plusieurs pays dont les États-Unis, la France et l’Espagne, a annoncé mercredi 29 mars le ministère de la Défense. Parmi les personnes arrêtées, 34 font l’objet d’«ordres d’extradition valides», a déclaré le ministre de la Défense […]
Le commissaire européen aux Affaires économiques, en charge de la Fiscalité, Pierre Moscovici, le 18 mai 2015, à Berlin.
afp.com/TOBIAS SCHWARZ
Des documents rendus publics par Wikileaks, Libération et Mediapart révèlent que la NSA a placé sur écoutes des ministres du gouvernement français avec des objectifs purement économiques.Quelques jours après avoir révélé les écoutes des présidents Nicolas Sarkozy puis François Hollande, Wikileaks, en association avec Libération et Mediapart, dévoile de nouveaux faits d’espionnage de la NSA. Les grandes oreilles des Etats-Unis ne se sont pas cantonnées à des objectifs purement politiques. Elles se sont mis au service d’objectifs économiques, comme le montre la teneur des rapports sur les écoutes visant le ministres de l’Economie François Baroin et son successeur Pierre Moscovici en 2012.
Le rapport de la NSA dévoilé par Wikileaks révèle que Moscovici, lorsqu’il se trouvait au gouvernement, se montrait bien plus pessimiste en coulisses que face à l’opinion que la situation économique et budgétaire de la France. « Personne ne prend la mesure de la gravité de la situation économique française, et des mesures drastiques vont devoir être prises au cours des 2 prochaines années selon Pierre Moscovici », écrit la NSA, dixit Libération. Moscovici, actuellement engagé dans la crise grec pour Bruxelles, avait vivement réagi sur son compte Twitter la semaine dernière.
Le Monde.fr | 20.05.2015 à 13h49 • Mis à jour le 20.05.2015 à 16h39 | Par Martin Untersinger
Où se cachent donc les IMSI-catchers français et comment sont-ils utilisés ? Ces appareils sophistiqués destinés notamment à intercepter les appels entre téléphones mobiles pourront être utilisés par les services secrets lorsque la loi sur le renseignement, récemment votée à l’Assemblée nationale, entrera en vigueur.
Malgré la discrétion des autorités à leur sujet, l’existence des IMSI-catchers et leur utilisation illégale par les services de renseignement est un secret de Polichinelle. Jean-Jacques Urvoas, le rapporteur à l’Assemblée nationale de la loi sur le renseignement, estimait dans les colonnes de Libération le nombre d’IMSI-catchers en circulation à « moins d’une dizaine ». Lors des travaux au Sénat sur la loi sur le renseignement, le sénateur Michel Boutant, membre de la délégation parlementaire au renseignement, avait expliqué que l’un de ces outils avait été utilisé dans la traque des frères Kouachi.
Pour la première fois, Le Monde a trouvé trace de l’achat récent, par les pouvoirs publics, d’au moins deux de ces appareils.
Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique puis ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’État
Ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’État
Jérôme Fournel et François Barouin
Jérôme Fournel, le DG de la Douane française a donc donné son accord pour acheter ces matériels et … Eric Woerth ou François Barouin ont-ils été informés?
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Ils ont été commandés par la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED), le service de renseignement des douanes, l’un des six services français. Les preuves de ces achats remontent à 2010, soit bien longtemps avant que l’on évoque la légalisation de leur usage administratif par les services de renseignement sur le territoire français.
Le document recensant les marchés attribués par la DNRED en 2014 mentionne l’« acquisition d’un IMSI-catcher miniaturisé ». Le marché a été bouclé il y a quelques mois, le 27 novembre 2014, pour un montant de 30 000 euros avec l’entreprise française Amesys, filiale du groupe Bull.
Cette société n’est pas une inconnue : accusée d’avoir vendu au régime Kadhafi des outils de surveillance de sa population, elle est sous le coup d’une enquête ouverte par la justice française pour complicité d’acte de torture.
Ce n’est pas le premier IMSI-catcher qu’a acheté la DNRED. Un document similaire, listant les marchés noués par ce service en 2012, mentionne la « transformation de l’IMSI-catcher en système autonome avec son amplificateur de puissance » pour laquelle l’administration a déboursé 187 947 euros, au mois de juillet.
Cette prestation a été fournie par l’entreprise Nethawk, avec qui la douane a ses habitudes. En 2010, elle a conclu avec cette même société, pour 51 000 euros, un « marché d’acquisition d’un amplificateur tribandes » et en 2011, a déboursé plus de 100 000 euros pour « étendre les capacités de récupération à distance des identifiants de téléphonie mobile ». Si le terme IMSI-catcher n’apparaît pas, ces deux services correspondent parfaitement au mode de fonctionnement de ces appareils, qui doivent se faire passer pour des antennes-relais de téléphonie mobile et identifier les numéros des téléphones avoisinants. En 2014, enfin, Nethawk a conclu avec la DNRED un contrat de « maintenance logicielle » portant sur un IMSI-catcher, pour 32 350 euros.
Alors que les services de l’Etat ne semblent pas avoir voulu cacher ces marchés publics – les documents les recensant sont librement accessibles sur Internet – la direction des douanes n’a pas été en mesure d’expliquer leur achat alors que la loi interdit, jusqu’à présent, leur utilisation.
Selon les bilans comptables de l’entreprise, la vente de l’IMSI-catcher n’a représenté que 13 % du chiffre d’affaires réalisé en France en 2012 : a-t-elle vendu d’autres IMSI-catchers aux services de l’Etat ? Etait-elle au courant de la légèreté, voire de l’inexistence, du cadre juridique de l’utilisation de ces appareils ? Chez Nethawk, on refuse de commenter les informations du Monde, citant la nature « confidentielle et sensible » de ces transactions. Même refus du côté d’Amesys, également sollicitée.
Comme nous l’écrivions récemment, les entreprises qui vendent des IMSI-catchers sont en effet très discrètes sur cette partie de leur catalogue. Nethawk ne fait pas exception à la règle, mais de nombreux éléments montrent que la fourniture d’IMSI-catcher est une partie cruciale de l’activité française de l’entreprise depuis plusieurs années.
Une brochure commerciale, fournie au Monde par l’organisation non gouvernementale Privacy International, qui milite pour un encadrement plus strict des technologies de surveillance, montre qu’Exfo vend bien des IMSI-catchers.
De plus, des salariés français de l’entreprise se sont rendus à plusieurs reprises à des colloques spécialisés, organisés à guichets fermés et réservés à des entreprises et des personnels des forces de l’ordre triés sur le volet. Lors de l’un de ces colloques, le 14 février 2013 à Dubaï, l’un des cadres français de Nethawk avait ainsi réalisé une présentation, « ouverte uniquement aux forces de l’ordre et aux fonctionnaires d’Etat » intitulée « Solution unique d’IMSI-catching pour opérations mobiles (pédestres, véhicule, aéronefs) et fixes (prisons) ». Quelques mois plus tard, le 7 juin à Prague, il redonnait une conférence identique. En octobre, à Brasilia, Nethawk sera à nouveau sur scène, pour tenter de convaincre de potentiels clients des avantages de « l’IMSI-catching ».
Un document publié par WikiLeaks montre que les autorités françaises sont coutumières de ce type de rassemblement : en 2012, le ministère de l’intérieur et celui de la défense faisaient partie des participants.
Si on en croit son profil LinkedIn, ce cadre de Nethawk basé en France est notamment chargé depuis mai 2010 de la « vente des solutions Exfo Nethawk aux agences de sécurité gouvernementales (civiles et militaires) » et se vante de « dix ans d’expérience dans les ventes auprès de fabricants d’équipements de réseaux, d’opérateurs sans fil et d’agences de sécurité-forces de l’ordre en Europe et au Moyen-Orient ».
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Cadre légal
L’utilisation des IMSI-catchers par les services dans le cadre d’écoutes et d’enquêtes administratives, c’est-à-dire sans l’intervention du juge, est prohibée jusqu’à l’entrée en vigueur de la loi sur le renseignement. Mais dans la sphère judiciaire, où les services de renseignement sont parfois amenés à intervenir, le cadre légal est plus flou et rien n’empêche, en théorie, de les utiliser. Une source au sein de l’antiterrorisme précise n’avoir jamais vu d’IMSI-catcher à l’œuvre dans son domaine.
Le code pénal précise qu’il est interdit de commercialiser ou de fabriquer un appareil qui permettrait de porter atteinte au secret des correspondances ou d’enregistrer quelqu’un à son insu, sauf autorisation ministérielle. Cette dernière est donnée après avis d’une commission consultative chapeauté par le secrétariat général de la défense nationale. Ces dispositions s’appliquent-elles aux IMSI-catchers, y compris ceux destinés aux forces de l’ordre ? La commission a-t-elle eu à se prononcer sur l’achat de ce matériel par les douanes ? Contactée, l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information, qui assure le secrétariat de cette commission, s’est refusée à tout commentaire.
Souvent, l’épluchage de la documentation sur les marchés publics permet de découvrir des choses croustillantes – et ce malgré l’aridité de la tâche. On peut par exemple découvrir ce que font les espions de la DGSE. Ou, et c’est le cas cette fois, les activités …
Cette affaire « est le reflet du passé (…) je souhaite qu’on regarde l’avenir, on est en train de travailler à grande vitesse » sur la lutte contre l’optimisation fiscale, qui « n’est plus acceptable pour personne« , a déclaré à Bruxelles le ministre français des Finances, Michel Sapin. Mais elle doit être « mondiale« , a-t-il ajouté soulignant que le Luxembourg n’était pas le seul paradis fiscal.
Et ben voyons!
Mais qui sont-ils ces grands services et serviteurs en charge
de lutter contre « l’optimisation fiscale » ?
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Que savait donc la Direction générale de la Douane française?
DG Jean Dominique Comolli
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DG Jean-Luc Vialla
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DG Pierre Mathieu Duhamel
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DG François Auvigne
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DG François Mongin
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DG Jérôme Fournel
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DG Hélène Crocquevieille
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Que savait donc le TRACFIN?
Un EX du TRACFIN: François Werner, inspecteur général des Finances, directeur du FGAO répond aux questions de l’institut Jean Lecanuet à l’occasion du colloque
Evolution des dangers et des menaces : ouvrons les yeux !
18 mai 2007 – 19 juin 2007 : Jean-Louis Borloo (Rad) (Fillon I) (Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Emploi)
19 juin 2007 – 22 mars 2010 : Christine Lagarde (UMP) (Fillon II) (Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Emploi, puis le 18 mars 2008 Ministre de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi; plus de ministre des Finances pendant cette période)
22 mars 2010 – 29 juin 2011: Christine Lagarde (Ministre de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi (Fillon II) puis le 14 novembre 2010 Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie(Fillon III))
Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget et de la Réforme de l’État, Porte-Parole du Gouvernement
Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique puis ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’État
Secrétaire d’État auprès du ministre des Finances et des Comptes publics, chargé du Budget
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Etque savait les dirigeants de l’OMD?
Le Président du Conseil de l’OMD s’adresse à l’Assemblée générale d’INTERPOL
Le mercredi 5 novembre, M. Zouhair Chorfi, Président du Conseil de l’OMD et Directeur général de la Douane du Maroc, s’est adressé aux chefs de police et autres hauts responsables des services chargés de l’application de la loi réunis à Monaco, du 3 au 7 novembre 2014, à l’occasion de la 83ème Assemblée générale d’INTERPOL.
La rencontre était organisée autour du thème « Agir contre le crime : 100 ans de coopération policière internationale », un siècle après la naissance du concept d’INTERPOL en 1914, lors du premier Congrès de police judiciaire international qui s’était tenu également à Monaco.
L’Assemblée générale, instance dirigeante suprême d’INTERPOL, se réunit une fois par an et prend toutes les décisions importantes touchant à la politique générale, aux ressources nécessaires à la coopération internationale, aux méthodes de travail, aux finances et aux activités.
Les débats ont porté cette année sur les menaces criminelles internationales contemporaines telles que les combattants étrangers, la cybercriminalité, la sécurité des frontières et la sécurité environnementale. Différentes campagnes d’information visant à promouvoir une alliance mondiale contre le crime, telles que la campagne “Turn Back Crime” (Agir contre le crime) lancée par INTERPOL, ont également été présentées. En outre, les efforts en matière de coopération au niveau régional et mondial ont fait l’objet de discussions entre représentants d’AFRIPOL, d’AMERIPOL, d’ASEANAPOL et d’EUROPOL.
Durant une session portant sur “les flux transnationaux et la mobilité” où il était invité à délivrer un discours d’introduction, M. Chorfi a félicité INTERPOL et ses Membres pour leur 100ème anniversaire, au nom de la Communauté douanière internationale. “Si nos prédécesseurs nous voyaient aujourd’hui, je ne doute pas qu’ils seraient fiers des progrès accomplis. Leurs objectifs, aussi inaccessibles paraissaient-ils à l’époque, ont pourtant été atteints”, a déclaré le Président du Conseil de l’OMD.
Poursuivant, il a souligné les défis auxquels sont confrontées les autorités de lutte contre la fraude et de protection des frontières du monde entier, et a rappelé les capacités complémentaires et les connaissances spécifiques de la douane d’un côté, et de la police de l’autre, ainsi que les bénéfices qu’une coopération réelle entre les deux services peut générer.
“Différentes formes de coopération entre la douane et la police sont apparues au cours des vingt dernières années telles que les centres de coopération douane-police, les centres nationaux de ciblage et d’analyse des risques, les patrouilles frontalières et autres équipes d’investigation mixtes, ainsi que la coopération entre les services au cas par cas, et il ne s’agit là que de quelques exemples. Ces formes de coopération doivent être entretenues et appuyées pour le plus grand bien de tous, et de nouvelles formes de coopération prenant appui sur le recours à des technologies novatrices doivent être développées, encouragées et effectivement mises en œuvre”, a ajouté M. Chorfi.
Des exemples concrets de coopération entre l’OMD et INTERPOL ont été mentionnés, le Projet Aircop notamment, entreprise conjointe ONUDC-OMD-INTERPOL de lutte contre le trafic de drogues par la voie aérienne au départ de l’Amérique du Sud via l’Afrique de l’Ouest à destination de l’Europe, ainsi que des opérations internationales conjointes de lutte contre la fraude telles que l’Opération Cocair IV menée sous la conduite de l’OMD ou encore l’Opération Lionfish menée sous la conduite d’INTERPOL.
M. Chorfi a également expliqué aux participants que les deux organisations avaient mis en place des réunions régulières entre cadres supérieurs, réunions qui sont désormais fermement inscrites dans leurs agendas respectifs et qui aident les deux organisations à rationaliser leurs programmes, à suivre leurs travaux respectifs et à développer de nouveaux projets.
“Nous avons tout ce qu’il faut pour faire du monde un lieu plus sûr : le talent, l’intelligence, les connaissances, l’ambition, la bonne volonté et la persévérance. Tout comme nos prédécesseurs, les défis ne nous font pas peur. Faisons en sorte que notre vision devienne une réalité afin que, lorsque les futures générations de fonctionnaires des autorités chargées de l’application de la loi se rencontreront pour célébrer le prochain anniversaire, ils pourront regarder en arrière et être fiers de l’héritage que nous leur aurons laissé”, a conclu M. Chorfi.
Que savait la Direction générale de la Douane française?
DG Jean Dominique Comolli
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DG Jean-Luc Vialla
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DG Pierre Mathieu Duhamel
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DG François Auvigne
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DG François Mongin
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DG Jérôme Fournel
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DG Hélène Crocquevieille
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Que savait le TRACFIN?
Un EX du TRACFIN: François Werner, inspecteur général des Finances, directeur du FGAO répond aux questions de l’institut Jean Lecanuet à l’occasion du colloque
Evolution des dangers et des menaces : ouvrons les yeux !
Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Budget et de la Réforme de l’État, Porte-Parole du Gouvernement
Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique puis ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’État
Marine Le Pen réclame la démission du président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker après les révélations sur le système d’évasion fiscale à grande échelle mis en place par l’ancien premier ministre du Luxembourg au profit de nombreuses multinationales:
Dans un communiqué de presse du 6 novembre, Marine Le Pen, réclame la démission de M. Juncker élu de fraîche date à la tête de l’Union Européenne:
La parution dans la presse d’une enquête internationale sur les pratiques « d’optimisation fiscale », autrement dit d’évasion fiscale, transitant par le Luxembourg, de plusieurs centaines de grands groupes, met en lumière les pratiques détestables de ce paradis fiscal au cœur de l’Europe et à la tête duquel s’est trouvé pendant 18 ans l’actuel président de la Commission européenne : Jean-Claude Juncker.