Articles Tagués ‘démocratie’


Maitres du Monde
Les organisations du pouvoir planétaire

Le gouvernement mondial

Au pouvoir déclinant des gouvernements des états-nations s’est substitué un nouveau pouvoir, planétaire, global, et échappant au contrôle de la démocratie. Les citoyens continuent d’élire des institutions nationales alors que le pouvoir réel a été déplacé vers de nouveaux centres.La planète est aujourd’hui dirigée par une constellation d’organisations au rôle exécutif ou politique.Les organisations exécutives se répartissent en 3 sphères de pouvoir:
– la sphère du pouvoir économique et financier
– la sphère du pouvoir militaire et policier
– la sphère du pouvoir scientifiqueLe pouvoir politique du système est exercé par une quatrième catégorie d’organisations: les « clubs de réflexion », réseaux d’influence, ou réunions de « global leaders » comme le Groupe de Bilderberg ou le World Economic Forum de Davos.Toutes ces organisations ne sont pas concurrentes mais étroitement liées et complémentaires.Elles forment un ensemble dont la cohésion est assurée par l’appartenance simultanée de certaines personnalités à plusieurs organisations. Ces personnes-clé peuvent être considérées comme lesMaitres du Monde. Quelques uns sont des leaders politiques de premier plan, commeGeorge Bush (le père) ou HenryKissinger. Mais la plupart d’entre eux sont inconnus du grand public.En observant le diagramme de ces organisations, ceux qui connaissent la cybernétique verront à quel point ce système a été ingénieusement conçu. Structurées en réseau, plusieurs organisations se partagent la même fonction, et les centres ainsi que les « circuits de commande » ont été doublés ou triplés, afin d’assurer plus de sécurité et de stabilité à l’ensemble.Ainsi, au cas où une organisation ou un lien devient inopérant, le contrôle global n’est pas menacé. Exactement comme Internet: un système sans centre unique, dont les flux d’information peuvent « contourner » un centre local hors service.
Les instances exécutives


L’OCDE , l’organisation initiatrice de l’AMI, conçoit les règles du commerce mondial et influence de très près la politique économique des pays occidentaux. Elle rassemble 30 pays développés qui « partagent les principes de l’économie de marché » Le Fond Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale dessinent l’économie et l’environnement de la planète par le biais des prêts accordés aux états du Tiers-Monde à condition qu’ils appliquent une politique économique d’inspiration ultra-libérale, au mépris des réalités humaines et écologiques. L’Organisation Mondiale du Commerce (OMC, ou WTO en anglais) fixe les règles du commerce mondial, en réduisant considérablement la marge de décision des états dans le domaine de l’économie ou de l’environnement. La Commission Européenne (ou « Commission de Bruxelles ») est le gouvernement de l’Union Européenne. Ses membres ne sont pas élus, et le public n’est jamais informé de leurs décisions. Des parts croissantes du pouvoir des états sont transférés à cette Commission qui n’est soumise à aucun contrôle démocratique. (La législation européenne représente déjà 80% des lois appliquées par les états de l’Union.)Ces transferts de souveraineté ont été réalisés par des politiciens de droite et de gauche, dans le but de faire échapper au débat public l’essentiel des décisions économiques, sociales, et environnementales.De plus, la Commission Européenne est entièrement sous l’influence des lobbies industriels qui sont les grands inspirateurs de la réglementation européenne. La politique européenne est élaborée en étroite collaboration avec l’European Round Table qui rassemble les dirigeants des grandes multinationales européennes. L’European Round Table est associée à toutes les grandes décisions en matière économique, financière, sociale, ou environnementale. Enfin, beaucoup de Commissaires Européens sont très liés à des multinationales ou à des réseaux d’influences favorables au libéralisme et à la mondialisation.

Par ailleurs, de nombreux commissaires européens sont membres du très puissant « Groupe de Bilderberg »:

– Jose Manuel Barroso (actuel président de la Commission Européenne, ancien premier ministre du portugais)
– Frits Bolkestein (le commissaire européen auteur de la « directive Bolkestein« )
– Romano Prodi (ancien président de la Commission Européenne, premier ministre italien)
– Jacques Santer (ancien président de la Commission Européenne, ancien premier ministre du Luxembourg)
– Sir Leon Brittan (vice-président de la Commission, ardent promoteur des traites AMI et NTM, ancien négociateur européen pour le GATT)
– Pascal Lamy (fervent partisan de l’AMI, et responsable de la modification de l’article 133 du Traité d’Amsterdam afin que les états donnent définitivement les pleins pouvoirs à la Commission pour la négociation et la signature des traités économiques de type AMI)
– Edith Cresson (ancien membre de la Commission, ancien premier ministre français, ancien ministre du commerce, ancien membre de la direction de Schneider)
– Emma Bonino
– Mario Monti (ex Banca Commerciale Italiana)
– Hans Van Den Broeck
– Karel van Miert
– Erkki Liikanen
– Ritt Bjerregaard

A la BCE, la Banque Centrale Européenne, on retrouve encore d’autres participants au Groupe de Bilderberg:

– Jean-Claude Trichet (président de la BCE)
– Wim Duisenberg (ancien président du directoire la BCE, ancien président de la De Nederlandsche Bank)
– Otmar Issing (membre du directoire)
– Tommaso Padoa-Schioppa (membre du comité exécutif)

 

Les « clubs de réflexion »
Le Word Economic Forum est une organisation qui rassemble les hommes les plus puissants et les plus riches de la planète. Le critère d’admission au sein de ce réseau est le niveau de pouvoir, de richesse, et d’influence du candidat, dans le domaine de l’économie, de la politique internationale, de la technologie, ou des médias. La principale réunion du World Economic Forum a lieu chaque année à Davos, en Suisse, à la fin du mois de Janvier. Tout au long de l’année, les membres les plus importants de cette organisation sont reliés par un super-réseau de vidéo-conférence, « Wellcom », qui leur permet de se concerter à tout moment sur les décisions mondiales importantes. Exactement comme dans le film « Rollerball« , qui décrit un monde futur où les cartels économiques ont pris le pouvoir et où une élite planétaire prend ses décisions lors de vidéo-conférences similaires.  Site officiel
La Trilateral Commission est un organisme de réflexion international co-fondé en 1973 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski (ancien conseiller du président Jimmy Carter). Il réunit des dirigeants des 3 zones économiques principales: Amérique du Nord, Europe de l’Ouest, Japon.  Site officiel

 

Le CFR (Council on Foreign Relations) est une organisation américaine qui rassemble des leaders politiques ou économiques de haut niveau (comme George Bush père, Henry Kissinger, ou David Rockefeller, le président du CFR). Depuis le début du 20è siècle, presque tous les présidents américains sont des membres du CFR. Le Comité consultatif du CFR comprend des représentants étrangers, comme Michel Rocard (ancien premier ministre français), Otto Lamsdorf (ancien ministre des finances allemand), Brian Mulroney (ancien premier ministre canadien), ou Lord Conrad Black (président du groupe de presse Hollinger, et par ailleurs proche de l’administration Bush).  Site officiel
Le Groupe de Bilderberg , fondé en 1954, est sans doute le plus puissant des réseaux d’influence. Il rassemble des personnalités de tous les pays, leaders de la politique, de l’économie, de la finance, des médias, ainsi que quelques scientifiques et universitaires. Pour ceux qui enquêtent sur les réseaux de pouvoir, le Groupe de Bilderberg est le véritable gouvernement mondial. Le président et co-fondateur du Bilderberg Group est David Rockefeller.
Voici les listes par pays des membres du Groupe de Bilderberg: USA, Canada, Grande Bretagne, France, Belgique, Suisse, Hollande, Allemagne, Autriche, Italie, Espagne, Portugal, Norvège, Suède, Danemark, Finlande, Luxembourg, Irlande, autres pays
Le Siècle est un club de reflexion qui rassemble les membres les plus puissants et influents de la classe dirigeante française: responsables politiques, présidents de grandes entreprises, et journalistes des médias qui « font l’opinion ».
La Fondation Saint-Simon est une organisation très similaire au Siècle. Elle s’est dissoute en 1999 après avoir beaucoup contribué à la conversion idéologique de la gauche française au libéralisme.

L’IFRI (Institut Français des Relations Internationales) est une sorte de CFR à la française. On y retrouve des politiciens de droite et de gauche, des patrons de grandes entreprises, des journalistes, et quelques universitaires.

Le Club de Rome est un « club de réflexion » de leaders politiques et économiques, principalement européens.
Les sociétés secrètes

Le Bohemians Club
Une société secrète où les puissants de ce monde se retrouvent pour d’étranges cérémonies au parfum de satanisme.

Les Illuminati sont une « élite dans l’élite » qui se réunit au sein d’une organisation secrète fondée sous sa forme actuelle au 17è siècle. Originellement, leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des Etats-Unis auraient été des résultats de leur stratégie. Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir.Le terme « Illuminati » signifie littéralement « les Illuminés » (du latin « illuminare »: illuminer, connaître, savoir)Leur symbole est présent sur les billets de 1 dollar: une pyramide dont le sommet (l’Elite) est éclairé par l’oeil de la conscience et domine une base aveugle, faite de briques identiques (la population).Les deux mentions en latin sont très significatives. « NOVUS ORDO SECLORUM » signifie « nouvel ordre pour les siècles ». En d’autres termes: nouvel ordre mondial. Et « ANNUIT CŒPTIS » signifie: « notre projet sera couronné de succès ».Un projet aujourd’hui proche de sa réalisation finale.
pour plus d’infos, voir la page Illuminati…© Syti.net, 2001
Qui sont les Maitres du Monde?…Voici quelques participants aux organisations des Maitres du Monde.Sur leur visage se lisent des caractéristiques communes: grande intelligence, subtilité, cynisme, dureté, détermination, absence de scrupules (« la fin justifie les moyens »), sans oublier cet ineffable plaisir d’appartenir à une élite et pouvoir contempler le monde vu d’en-haut…

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De haut en bas, et de gauche à droite:1
Henry Kissinger (ministre des affaires étrangères de Nixon, président de Kissinger Associates Inc.)
George Bush (ancien président des Etats Unis, ancien directeur de la CIA de 1976 à 1977)
2
Philippe Jaffré (ex président d’Elf Aquitaine, ex PDG du Crédit Agricole)
Giovanni Agnelli (président de Fiat)
Michel Camdessus (ancien président de la Banque Mondiale, ex gouverneur de la Banque de France)
Jean-Claude Trichet (gouverneur de la Banque de France, président de la BCE, la banque centrale européenne)
Etienne Davignon (président de la Société Générale de Belgique)
3
Giulio Andreotti (l’homme qui a dirigé l’Italie durant presque 30 ans; impliqué dans de multiples scandales en relation avec la mafia, la loge maçonnique P2, et les attentats d’extrême droite en Italie dans les années 70)
Leon Brittan (vice président de la Commission Européenne, négociateur européen pour le GATT, ardent promoteur des traités AMI et NTM)
Hillary Clinton (sénateur du Parti Démocrate, épouse de Bill Clinton)
Tony Blair (premier ministre de Grande Bretagne)
Ernest Antoine Seillière (président des holdings Wendel Investissement et CGIP, président du MEDEF, l’organisation des chefs d’entreprise de France)
4
James Wolfensohn (président de la Banque Mondiale)
David Rockefeller (président de la Chase Manhattan Bank)
Bill Gates (président de Microsoft)
5
Franz Vranitzky (ancien Chancellier d’Autriche)
Hilmar Kopper (président du directoire de la Deutsche Bank)
Vernon Jordans (directeur général de la Banque Lazard)
Zbigniew Brzezinski (membre du CFR, ancien conseiller du président Jimmy Carter)
6
Bertrand Collomb (président de Lafarge)
Andre Levy-Lang (ex président de la banque Paribas)
Thierry de Montbrial (directeur de l’Ecole Polytechnique, membre de la Trilatérale, directeur de l’IFRI)
7
Pascal Lamy (Commissaire Européen, et fervent partisan de l’AMI)
Giulio Tremonti (ministre italien des Finances, député de Forza Italia, le parti de Silvio Berlusconi)
Maurice Lippens (président de Fortis Bank) Source http://www.syti.net/Organisations.html

source:https://internationalinformant.wordpress.com/wp-admin/post-new.php

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Les services étrangers se servent eux aussi allègrement dans les données volées par la France à ses citoyens et aux internautes étrangers. Selon Le Monde, l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA) et son homologue britannique, le GCHQ, s’adressent régulièrement à la DGSE pour récupérer des « blocs » concernant des régions du monde particulièrement surveillées par la France, dont notamment le Sahel.

Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie

france surveillance massive« Les services secrets volent « des milliards de données » aux Français avec la plateforme nationale de cryptage et de décryptement (PNCD), selon « Le Monde ».

C’est bien pire que ce que l’on craignait. Selon les informations du Monde, la France a mis en place depuis 2007 un système de surveillance massive qui dépasse les pires craintes des défenseurs des libertés. La plateforme nationale de cryptage et de décryptement (PNCD), installée « pour l’essentiel » dans les bâtiments du siège de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) à Paris, dispose des plus puissants calculateurs de France et intercepte puis stocke « des milliards de données françaises et étrangères ».

Gérée par la DGSE, les espions qui assurent la préservation des intérêts français hors du territoire national (en théorie…), la PNCD est aussi une source majeure d’informations pour les autres services de renseignement, tels que la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), mais aussi…

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Abstention, vote blanc ou nul: la démocratie des invisibles…

On prend les mêmes et rebelote… Si le vote blanc avait été reconnu, qu’est ce que ça aurait donné? Quand pratiquement la moitié des français désavouent, ceux qui saccagent la France, les bien pensants s’ingénient à minimiser, voire à occulter le score. Il n’y a vraiment pas de quoi se réjouir……

Un Français sur deux ne s’est pas déplacé pour voter. C’est devenu un classique de l’exercice électoral, totalement nié par les acteurs et les observateurs de la vie politique qui aiment à gloser sur les scores des uns et des autres quand la démocratie moderne s’affirme d’abord comme une démocratie de l’abstention.

« Ce soir, les électeurs se sont plutôt mobilisés ». C’est le premier commentaire dont nous a gratifié Brice Teinturier, directeur de l’institut Ipsos, sur France 2. Nos sondeurs sont pleins de ressources. Quand l’abstention frôle les 50% (49,8%), le verre démocratique est à moitié plein. Le chiffre d’ailleurs sans doute le plus significatif de ce scrutin, des précédents et de ceux à venir, n’impacte jamais en rien les commentaires politiques. Ces invisibles de la démocratie n’ont aucune existence, ni politique, ni médiatique.

Dans les partis et chez les commentateurs, l’habitude est désormais prise, sans doute pour longtemps, d’analyser et de décrypter comme un « vote des Français » un résultat qui ne concerne en fait que la moitié d’entre eux. Un procédé confortable quand il s’agit de donner encore un sens électoral à ce qui en a de moins en moins.

Pour Manuel Valls, le « vrai bouleversement » est le score de l’extrême droite, incapable de prendre en compte que ce dimanche le peuple de gauche ne s’est tout simplement pas déplacé. Comme annoncé par un sondage du Figaro, le « ni-ni » défendu par la droite a semble-t-il atteint aussi les électeurs de gauche.

Mais ce qui faisait encore parfois l’objet de quelques commentaires inquiets sur la « crise de la démocratie représentative » est désormais totalement nié. Un simple pourcentage donné dans l’attente des « vrais » résultats qui auront, eux, forcément un sens politique. Il faut disserter sur les scores respectifs du PS, de l’UMP et du FN alors même qu’une récente enquête d’opinion d’Odoxa pour iTélé et Le Parisien nous expliquait que près de la moitié des sondés (48%) ne se reconnaissent pas dans ces formations… Pis : 26% avouent n’avoir « aucune proximité partisane ». Mais tant pis, n’en parlons surtout pas…

Le vote blanc désormais compté (mais pas comptabilisé dans le résultat finalement), subit le même sort. Cette arme revendiquée contre l’abstention et les votes extrêmes est à peine présentée quand elle est tout simplement niée et ou oubliée. Dans certains cantons, il frôle pourtant les 10%. Au premier tour, le vote blanc agrégé au vote nul franchissaient ensemble la barre des un million !

Ce déni de la désertion des urnes est passé dans les mœurs électorales alors que les vrais mécontents, qui ont tellement abandonné la chose politique que même l’opposition radicale au parti au pouvoir ne les atteint pas, sont dans doute à chercher de ce côté-là.

Selon Anne Jadot, chercheuse au CEVIPOF, un phénomène s’accentue avec la montée de « l’abstention différentielle. Les électeurs du parti au pouvoir s’abstiennent plus ».

Si l’on se penche plus précisément sur les cantons convoités par le FN, on constate que la mobilisation est en effet très relative sinon imperceptible.

Dans l’Aisne 45% d’abstention, 5% de votes blancs et nuls et un Front national qui gagne 5 000 voix d’un tour à l’autre.

Dans le Vaucluse, l’abstention baisse de trois points, mais les votes blancs grimpent d’autant. Et le Front national fait le même score qu’au premier tour.

La Seine-Maritime, qui bascule à droite, affiche un taux d’abstention de 51%. Dans le Nord, on compte 53% d’abstentionnistes et 8% de votes blancs et nuls, soit plus de 60% du corps électoral qui ne choisit aucun parti. Et on pourrait égrener sans fin la liste des territoires perdus de la gauche où l’abstention flirte avec les 50%.

Symptomatique, le département de la Lozère, le seul département qui bascule à gauche, est l’un de ceux où l’abstention est la plus faible du pays (31%). La gauche gagne encore quand l’électeur s’est déplacé, mais la mobilisation nécessaire invoqué par Manuel Valls tout au long de la campagne n’a pas eu lieu.

Autrefois, la gauche contestataire « votait avec les pieds ». C’est toujours le cas. Mais les pieds bien au chaud désormais.

Auteur Régis Soubrouillard

Source : Marianne.net via Crashdebug

https://nwocontrepeuple.wordpress.com/2015/04/01/abstention-vote-blanc-ou-nul-la-democratie-des-invisibles/

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Les banques centrales deviennent les garants d’un système financier : « je gagne-je garde, je perds-tu paies ». Cela n’est possible qu’à cause de l’ignorance et de l’épuisement d’un peuple éprouvé par la perte du pouvoir d’achat et la précarité de l’emploi que ces mêmes financiers couverts par les autorités n’hésitent pas à confisquer et délocaliser.

Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie

Même en Suisse, ce modèle de démocratie directe, la souveraineté du peuple est menacée de confiscation… OD

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« Quand un peuple est invité à voter, il DOIT être informé ! Le peuple suisse est appelé à voter au sujet d’une couverture-or partielle du franc suisse. Le but est clairement de freiner la politique monétaire d’une banque centrale totalement dédiée à la haute finance internationale. Ce matin, un article de l’ATS publié dans le Nouvelliste nous relatait ceci :

« La force potentiellement explosive des renseignements fournis a, par conséquent, amené la SSR à revoir sa politique d’information interne. Les résultats des sondages effectués par l’institut gfs.bern étaient jusque-là préalablement relayés très largement au sein des nombreuses rédactions du diffuseur public.

Désormais, le cercle de diffusion sera restreint. But de la manoeuvre : diminuer le risque qu’une personne n’utilise ou ne transmette des informations non encore publiées à des fins mercantiles. »

Voir l’article original 1 057 mots de plus

Qui dit vrai? Qui ment?
Grenade offensive illégale, à lire et buzzer absolument

https://lesazas.files.wordpress.com/2014/11/scanardages-sivens-2.jpg?w=492&h=629

Originally posted on les AZA:

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le monde à l'ENVERS

Selon la célèbre phrase d’Abraham Lincoln, la démocratie se définit comme le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. Il semble pourtant que, dans les pays occidentaux censés être des exemples de démocratie, cette définition soit restée lettre morte.

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En effet, aujourd’hui plus que jamais, le pouvoir est détenu par une petite oligarchie politico-médiatico-financière, ces fameux 1% qui se sont arrogés le droit de décider du destin de peuples entiers, faisant de la démocratie un leurre.

Voir l’article original 2 864 mots de plus

Quand TF1 parlait du groupe Bilderberg… avant 40 ans de silence médiatique !

Une trouvaille de l’Agence Info Libre.

C’était en 1977. Yves Mourousi prononce « Bildelberg ». Ce qui est frappant dans ce reportage, c’est la liberté d’expression des journalistes de l’époque, en l’occurrence Dominique Bromberger. Une telle liberté serait totalement inconcevable aujourd’hui.

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Manuel Valls et le Groupe Bilderberg

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Flore Vasseur chez Karl Zero parle du bilderberg et de la finance mondiale

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Rappels :

Le grand cirque politique

Pascal Roussel : Divina Insidia – Le Piège Divin

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À propos de Olivier DemeulenaereOlivier Demeulenaere, 49 ans Journaliste indépendant Macroéconomie Macrofinance Questions monétaires Matières premières

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Dans le cadre des cours du Collège de France « hors les murs », l’Université de Nantes accueillait Pierre Rosanvallon les 17 et 18 octobre 2011 pour une série de trois cours autour du thème Démocratie simple & Démocratie complexe

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http://servir-et-defendre.com/

je me souviensNous ne reconnaissons donc plus l’autorité suprême, sur nos lois et sur notre territoire, de Sa Majesté la Reine Elizabeth II.

 

lesindignesduquebec

Sophie Doucette Sophie Doucet

À l’heure où 85% des citoyens Québécois ne veulent plus de la monarchie et du lieutenant-gouverneur (représentant la Reine d’Angleterre) au Québec, et tandis que s’amorcent de grands changements sociaux qui sont palpables dans la société, les Indignés du Québec ont décidé de publier à nouveau le texte du MANIFESTE POUR UNE RÉELLE DÉMOCRATIE AU QUÉBEC, adopté en novembre 2011. Pour le bénéfice de nos nouveaux membres nous en reproduisons le texte intégral:

« Depuis la fin de 2010 nous assistons à un soulèvement citoyen, à la fois éclairé et pacifique, qui prit naissance d’abord en Islande pour ensuite s’étendre dans le monde Arabe. En Tunisie avec la chute de Ben Ali ; en Égypte (chute de Moubarak) ; et en Europe, une vague de prises de parole citoyenne se fait entendre sur les places publiques des différentes villes de Grèce, du Portugal, d’Espagne, d’Irlande, de France jusqu’en Amérique. L’émergence d’une conscience citoyenne…

Voir l’article original 619 mots de plus

les AZA subversifs

Alors que le Mondial s’achève ce dimanche avec le match de foot de l’année 2014, il est bien de diffuser ce reportage sur l’Amérique du Sud qui a vécu bien des «colonisations» et qui a encore bien du mal à s’en défaire.

Pour ce, le choix de ce documentaire tombe à point nommé et il est sous-titré en français, si vous voulez l’écoutez sans que personne ne vous entende…

La Guerre contre la Démocratie

« The War on Democracy »

Documentaire de John Pilger. Sous-titres français. Titre original: « The War on Democracy ». « La Guerre contre la Démocratie » fut le premier documentaire de John Pilger à être diffusé dans les salles de cinéma. Ce documentaire explore la relation actuelle et passée de Washington avec les pays d’Amérique latine tels que le Venezuela, la Bolivie et le Chili.

Exploitant les images d’archives provenant de l’archiviste de Michael Moore, Carl Deal, le film…

Voir l’article original 505 mots de plus

les AZA subversifs

On en a pas fini avec la CIA! Que nenni!

Et dans ce reportage qui peut parfois paraître tirer en longueur, il est assez consternant d’apprendre comment cette agence a infiltré la culture durant la Guerre froide et comment d’intellectuels européens eussent travaillé pour la CIA.

Une opération qui a coûté des millions de dollars de l’époque (qui ne valaient donc pas des peanuts comme à l’heure actuelle!) et qui s’appuie sur une fondation du nom de «Congrès pour la liberté de la culture». On voudrait se foutre de la gueule du monde qu’on ne s’y prendrait pas mieux! Bref, cet organisme a son siège à Paris, capitale culturelle stratégique pour le monde entier et tente de soustraire les artistes et autres intellectuels de gauche afin que ces dernier-ères se rallient à la cause américaine.

(Il y a d’ailleurs des moments qui ne sont pas piqués des vers, notamment…

Voir l’article original 21 mots de plus


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