En 2008, la commandante de police Nathalie Le Roy conclut à la culpabilité de Jérôme Kerviel dans l’affaire qui l’oppose à la Société générale.
Quatre ans plus tard, elle accuse la banque de l’avoir influencée…
Elle estime même qu’elle a été « instrumentalisée ». Extrait du magazine « Pièces à conviction » du 22 mars.
Jean de Maillard est l’un des rares magistrats à lui porter crédit publiquement : « Je prends son témoignage au sérieux parce que Nathalie Le Roy prend un risque professionnel considérable.
Elle va se heurter aux institutions policière et judiciaire.
Et elle va se contredire elle-même en disant qu’elle s’est trompée parce qu’on l’a trompée. Et ça, c’est d’un courage extraordinaire. On doit tirer son chapeau devant quelqu’un capable de prendre de tels risques. »
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