La nouvelle méthode utilisée par les régaliennes pour écarter celles ou ceux qui dérangent!
De plus en plus d’abus dans les procédures d’hospitalisations psychiatriques sans consentement
Des séjours à risques pour les victimes
La loi impose un passage devant le juge dans un délai de 12 jours pour vérifier la régularité du placement. Bien que court, ce délai, pour une hospitalisation abusive, peut s’avérer ravageur pour la personne qui en est victime – effets secondaires des médicaments et risque de dépendance, impact psychologique de l’internement…
Les statistiques officielles ne détaillent pas les raisons des mainlevées
Mais dans les faits, beaucoup sont motivées par des vices de procédure. « C’est malheureusement le seul stratagème qu’ont trouvé les avocats. Si une personne est internée, elle est d’office considérée comme malade mentale, et alors, son raisonnement n’est pas recevable par les juges ».
Objet : Témoignage abus psychiatrique.
Après plusieurs menaces reçues de la part d’une personne riche et influente, je décide de déposer une
plainte en gendarmerie le 21 octobre(refus), puis le 23 octobre. Je serais menacé par un gendarme,
bloqué dans un bureau puis conduit en péril imminent aux urgences psychiatriques de Brest après
l’intervention d’une médecin généraliste qui m’a simplement pris ma tension dans le bureau de la
gendarmerie.
Aux urgences psychiatriques de Brest, la psychiatre n’a jamais écouté ma version des faits. Elle
établira un compte-rendu psychiatrique faux avec comme diagnostic un trouble de la paranoïa avec
délire de persécution. Mes parents seront conviés à se présenter à l’hôpital psychiatrique, le médecin
généraliste et le chef de la gendarmerie ont manipulé mes parents en leur répétant que : « c’était pour
mon bien, c’était pour me protéger des autres et de moi-même. »
A l’hôpital psychiatrique, aucun des psychiatres n’écoutera non plus ma version des faits. Ils
continueront à diagnostiquer que je suis paranoïaque, que je me sens persécuté. Pire, ils s’appuieront
sur des témoignages de proches qui auraient déclarés que j’étais « dangereux, agressif et autoagressif ». Je n’étais plus rentré chez moi depuis 2 mois. Donc je n’étais plus en contact avec aucun de
ces personnes proches… De plus, comment ont ils pu oser écrire que j’étais auto-agressif, m’empêcher
par la suite de charger mon téléphone portable dans ma chambre tout en y laissant mes chaussures de
randonnée avec des lacets de 1m80.
Je dénonce également un isolement téléphonique voulu afin que je ne puisse pas communiquer. En
effet, ma sœur m’apportera le 24 octobre vers 18h un téléphone neuf avec ma carte SIM dans la boite.
Je n’aurais le droit de disposer de ce téléphone que le vendredi 25 octobre à 14H. J’ouvrirais la boite
devant un infirmier. Il n’y avait pas de carte SIM. J’ai déposé plainte en sortant de l’hôpital, classée
sans suite directement par le procureur. Aucune réponse à ce jour.
Je dénonce également des manœuvres pour vouloir me faire passer comme fou pour hallucinations. En
effet, la première chambre où j’ai été placé se trouvait contre le vestiaire du personnel soignant. De
temps en temps, la douche de ma chambre se mettait en marche toute seule. J’ai préféré ne jamais leur
dire que cela arrivait pour ne pas qu’ils aggravent ainsi leurs diagnostics.
Je n’avais pas le droit aux visites. Néanmoins, des amis ayant de suite compris que ce qui se passait
était clairement une machination ont commencé à se manifester de plus en plus. Cela devenait gênant.
Ainsi, le 27 octobre, après avoir écrit vers ma hiérarchie militaire que je demandais une contre-expertise avec des psychiatres militaires et qu’en attendant cela, je ne voulais prendre aucun
médicament. J’ai donné ce courrier aux infirmiers. Puis je me suis dirigé vers l’entrée de
l’établissement car je savais qu’une amie devait arriver. Ils se mettront à une 20aine à me courir
derrière alors que je ne voulais pas fuir mais simplement que mon amie voit ce qu’ils faisaient.
Ils m’obligeront à prendre des médicaments sous la menace d’être mis sous contention et piqué. Je
serais également placé à l’isolement à compter de ce jour pendant 5 ou 6 jours.
Ce n’est qu’à ce moment qu’une infirmière viendra discrètement me donner un fascicule pour que je
demande à avoir une personne de confiance.
Ensuite, je serais placé dans un autre bâtiment, mais toujours avec une chambre contre un pignon.
Cette fois, la tête de mon lit se trouvait en contact direct avec les toilettes des personnels soignants.
Toutes les nuits, régulièrement, la chasse d’eau était activée malgré mes remarques.
Au premier passage devant le juge, le directeur de l’hôpital avait demandé par requête au procureur à
ce que je sois maintenu en hospitalisation sous contrainte notamment car des proches évoquaient mon
caractère agressif et suicidaire. Le JLD m’expliquera qu’il ne pouvait donc pas me libérer tout en me
conseillant de faire un recours car il n’était pas surpris de mon histoire. Je dénote également une
mascarade de défense par un avocat commis d’office qui ne m’a pas montré mon dossier médical
mensonger.
6 jours plus tard, je serais libéré sans préavis le jour précédent mon passage prévu en cour d’appel à
Rennes. Je suis persuadé qu’ils ne voulaient surtout pas que je répète ce que je venais de subir dans cet
hôpital psychiatrique.
Ensuite, j’ai mis plus de 3 mois à pouvoir prendre en compte ce dossier médical frauduleux. C’était
évidemment pour m’empêcher de comprendre à quel point la psychiatre des urgences avait agi
sciemment afin de paraître mon internement comme légitime au JLD et autres soignants innocents.
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Voilà un témoignage édifiant, effarant et pourtant ….. si réaliste. combien d’autres ?
Objet : Témoignage – Quand le « Devoir de citoyen » vous conduit derrière les barreaux !
Il est maintenant urgent qu’un institut de sondage établisse des statistiques dans le domaine des « internements abusifs » en France.
Au cours de cette année 2020, des avocats ont manifesté leur mécontentement dans un tribunal français car un procureur de la République a tendance à faire appel à un expert-psychiatre qui s’empresse de faire interner des « citoyens français » pour les faire taire !
Oui, c’est cela la France ! Les dérives d’une justice de l’état français qui revendique être « Le pays des lumières », de respect des libertés !
Quand des citoyens français se retrouvent « injustement » emprisonnés dans des cellules d’un genre particulier pour avoir accompli leur devoir de citoyen !
Il faut que les lecteurs du site « The International Informant » sachent qu’en France, des personnes censées avoir du discernement ou rendre la justice décident « d’un claquement de doigt » avec l’assentiment d’un expert-psychiatre d’enfermer purement et simplement des « citoyens français » sans que ces citoyens soient même assistés d’un avocat chargé de les défendre !
*** Comment faire taire un « citoyen français » qui dérange surtout lorsque ce citoyen n’a commis aucun crime !
*** Comment faire taire un « citoyen français » qui dérange lorsqu’il n’a aucun casier judiciaire !
*** Quand un « citoyen français » dénonce toutes les dérives commises dans notre pays la France !
*** Quand un « citoyen français » découvre des officiers de police et des gendarmes corrompus, gradés en tout genre sont les dévoués serviteurs de mafieux installés depuis des décennies sur notre territoire français !
*** Quand un « citoyen français » a alerté « l’appareil d’état : du préfet, sous-préfet, aux ministres et différentes directions, IGPN, IGGN, du ministère de l’Intérieur au ministère de la Justice !!!!! que chaque personne destinataire d’un courrier a fait « semblant » d’ignorer même quand des preuves ont été jointes ! Ces mêmes personnes ont tout tenté, je vous le confirme, jusqu’à faire disparaître des dossiers dans un tribunal judiciaire !
Cette « chère » administration française, ces « chers » directeurs aux titres ronflants qu’ont-ils fait quand des « alertes » ont été lancées par des « citoyens français » ? Et bien, ils cautionnent cette corruption car ils n’ont rien fait depuis des années.
Sachez qu’il y a des psychiatres qui analysent les jugements expéditifs rendus de façon arbitraire par des procureurs ou magistrats français !
Des psychiatres s’interrogent sur la façon dont peut être mené un interrogatoire quand un « citoyen français » n’a jamais eu un quelconque souci judiciaire de toute sa vie.
Vous ne trouvez pas curieux, le silence des journalistes quand un « citoyen français » est victime d’un jugement expéditif en France ? Complicité ou indifférence ?
Pendant ce temps, la justice française « assassine » sournoisement des citoyens français !
Quand le « ténor » du barreau surnommé « l’acquitator » des prétoires est devenu le « ténor » des bourreaux c’est-à-dire ceux qui rendent la justice et réduisent au silence des « citoyens français » !
Astrid de la Chauvelière
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Ha ben ppr sure un témoignage édifiant le monsieur est très fort pour faire croire des chose
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Le monsieur ronan menace tous le monde cela fait un an…..
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J imagine à quel point on doit se sentir démuni et traumatisé dans de telles circonstances..sans écoute et face à une situation visiblement très injuste et aux conséquences désastreuses
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