Une chose est d’échanger ou de collecter les données, une autre est de les traiter.
JérÎme Fournel
En matiÚre d’analyse du risque, la Direction générale des finances publiques (DGFIP) a de son cÃŽté « entrepris de généraliser l’utilisation du datamining et de l’analyse-risque » au point qu’« en 2018, les productions issues du service centralisé d’analyse de données ont été à l’origine de 14 % des opérations de contrÃŽle ».
« Une cinquantaine de requêtes reposant sur des techniques d’apprentissage automatique ou d’analyse risque » ont été développées à cet effet, de sorte que lâapplication de ces requêtes et modÚles statistiques puisse couvrir une grande partie des risques fiscaux, « dont une quinzaine relatifs à des fraudes en matiÚre de TVA » et de déterminer, automatiquement et pour chaque entreprise, une « cotation traduisant le niveau de son risque fiscal ».
Plus de 24 000 dossiers, dont 12 700 comportant au moins une problématique en matiÚre de TVA, ont ainsi été envoyés aux services de contrÎle en 2018.
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[…] FRANCE : Bercy généralise lâutilisation du datamining 11 janvier 2020 […]
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