Que du beau monde!

Les boîtes de nuit rencontrées à l’épisode précédent ont généré, et génèrent encore, énormément d’argent. C’est en effet hautement rentable : comme pour les hypermarchés, les investissements architecturaux sont faibles, pour un entrepreneur, sauf chez certaines comme celle qui a connu son heure de gloire en Corse, dans les années 90, comme on va le voir. D’où les rancœurs chez ceux qui ont été évincés du juteux circuit, les inimitiés qui peuvent tourner à des règlements de compte chez les tempéraments plutôt sanguins… . De conflits qui se terminent soit par des exécutions à moto, soit par des explosions mémorables, en Corse, en général. Et au milieu de tout ça, quand ce ne sont pas des footballeurs, ce sont des vedettes du show-biz qui déferlent, voire notre Jojo national, dont on a oublié une peu la famille et le rôle qu’a pris dans sa vie son beau-père (alors autant le rappeler ici au passage). Des vedettes qui circulent…
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